De la liberté

Contraindre quiconque pour son propre bien, physique ou moral, ne constitue pas une justification suffisante

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De la liberté

Publié le 17 octobre 2010
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Contraindre quiconque pour son propre bien, physique ou moral, ne constitue pas une justification suffisante. Un homme ne peut pas être légitimement contraint d’agir ou de s’abstenir sous prétexte que ce serait meilleur pour lui, que cela le rendrait plus heureux ou que, dans l’opinion des autres, agir ainsi serait sage ou même juste.

John Stuart Mill (1806-1873), philosophe et économiste britannique, penseur libéral le plus influent du 19e siècle, défenseur de la théorie de l’utilité, une théorie éthique préalablement exposée par son parrain Jeremy Bentham.

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