La politique

L’art de chercher des problèmes

Partager sur:
Sauvegarder cet article
Aimer cet article 0

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don

La politique

Publié le 14 novembre 2010
- A +

La politique, c’est l’art de chercher des problèmes, de les trouver, d’établir un diagnostic erroné et d’appliquer des mauvais remèdes.

Julius Henry Marx (1890–1977), plus connu sous le surnom de Groucho Marx. Comédien américain faisant partie des Marx Brothers.

Voir le commentaire (1)

Laisser un commentaire

Créer un compte Tous les commentaires (1)

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don
La négligence et l’imprécision dans le langage, aussi bien dans le quotidien qu’en littérature et en politique, peut être lourde de conséquences.

« Mal nommer un objet, c’est ajouter au malheur de ce monde », écrivit un jour Albert Camus. Autre formule parmi les plus connues, autour du même sujet, celle de Nicolas Boileau, « Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément ».

C’est bien sur ce même thème de l’importance du langage que George Orwell écrivit cet article paru en 1946 dans le magazine... Poursuivre la lecture

3
Sauvegarder cet article
A l’image de l’impôt sur les portes et fenêtres sous la Révolution, une nouvelle piste inédite pour le gouvernement actuel ?

On sait que le fisc n’est jamais à court de bonnes idées lorsqu’il s’agit de trouver de nouvelles sources de financement pour tenter de combler tant bien que mal une partie des déficits.

Dans le contexte actuel de déficits et d’endettement vertigineux, le gouvernement nouvellement aux affaires n’a donc d’autre préoccupation que de chercher activement des moyens de dégager de nouvelles recettes, sans toutefois don... Poursuivre la lecture

2
Sauvegarder cet article

Il est coutume dans nombre de régimes, où la contestation gronde, de lire ou d’entendre « mais que font les gens ? » tout en s’excluant soi-même de toute action immédiate ou à court terme. Le réflexe est très commun, et trouve son origine dans les mythes révolutionnaires.

C’est l’imagerie des peuples en armes ou des armées du peuple qui ont forgé cette fiction de masses d’individus capables d’infléchir le destin d’une communauté. En somme, faire accroire que les peuples sont les acteurs directs de leur propre histoire.

 Poursuivre la lecture

Voir plus d'articles