Le CO2 est innocent

Une étude empirique très convaincante contredisant la thèse climatique dominante vient d’être publiée

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Le CO2 est innocent

Publié le 20 mai 2011
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La nouvelle la plus importante de ces derniers jours pour l’économie du monde de ces 20 prochaines années n’est peut-être pas le sordide fait divers qui met toute la presse en ébullition en ce moment et dont la dimension spectaculaire s’effacera vite.

Par contre, une toute petite information passée jusqu’ici inaperçue pourrait d’ici quelques mois changer le cours des politiques les plus coûteuses conduites par la plupart des pays européens.

Soyons réalistes, il se peut aussi que la classe politique affecte de l’ignorer comme elle a ignoré les informations du même type depuis quelques années. Mais cette fois-ci, c’est le cÅ“ur même des justifications d’une politique devenue très importante au fil des années qui est remis en cause.

 

Climat : déterminé par le CO2 ou par le Soleil ?

C’est bien sûr de changement climatique dont je veux parler.

En effet, une confirmation empirique très convaincante de la principale théorie contredisant la thèse climatique dominante vient d’être publiée et une seconde devrait suivre très vite.

Mais avant d’y venir, petit background.

Aujourd’hui, malgré le nombre croissant d’études remettant en cause le primat du CO2 émis par les activités humaines dans les changements de notre climat, malgré de nombreuses pétitions de scientifiques contre la pensée unique du GIEC, nombre de gouvernements, ignorant purement et simplement ces thèses hérétiques, continuent de prêcher la chasse aux émissions de CO2 comme si de rien n’était, et imposent à leurs populations des décisions politiques incroyablement lourdes de conséquences financières au nom de la lutte contre un gaz pourtant non polluant et vital pour la vie végétale.

Des multinationales bien en cour se livrent d’ailleurs à un lobbying effréné pour pousser les gouvernements à toujours plus de subventions vers l’économie dite verte au nom de cette prétendue pré-éminence du CO2 qui nous amènerait tout droit à une catastrophe climatique.

Il existe certes des théories alternatives induisant que le principal déterminant des variations de court et moyen terme (*) du climat à l’échelle mondiale serait à chercher du côté du Soleil.

Cette thèse était vigoureusement combattue par l’establishment carbocentriste représenté principalement par le GIEC (IPCC en anglais), organisme émanant de l’ONU publiant tous les 6 ans un rapport très alarmiste, vertement critiqué pour son manque de rigueur scientifique, les errements déontologiques de certains de ses membres et de son président et sa propension à ignorer sans autre forme de procès tous les travaux scientifiques n’allant pas dans le sens de ses conclusions catastrophistes.

Le GIEC affirme que « les variations du rayonnement énergétique solaire vers la terre sont bien trop faibles pour justifier des variations de température observées ». Ce qui semble parfaitement exact.

 

La théorie solariste « Cosmique »

La théorie solariste défendue entre autres par le scientifique danois Svensmark et l’Israélien Shaviv, postule cependant que ce n’est pas l’activité énergétique du Soleil qui est à prendre en considération mais son activité magnétique.

En effet, selon Svensmark, Shaviv et quelques autres, les orages magnétiques solaires qui se matérialisent par de nombreuses taches sombres sur notre astre lumineux perturberaient les flux de particules cosmiques subatomiques arrivant en permanence sur la planète, réduisant la formation nuageuse et donc favorisant notre ensoleillement.

Autrement dit, plus les orages solaires seraient intenses plus le globe serait ensoleillé et donc réchauffé. Au contraire, quand le Soleil serait calme (peu de taches observables), les rayonnements cosmiques arriveraient bien plus nombreux, augmentant la formation nuageuse et empêchant une plus grande part du rayonnement solaire de parvenir au sol. Ceux qui souhaitent une description plus détaillée de cette théorie pourront se référer au dossier de vulgarisation établi par Jacques Duran sur le site Pensée Unique.

 

Vers une confirmation expérimentale des thèses cosmiques

Mais cette thèse avait un tout petit défaut : certes, l’influence des orages magnétiques sur le rayonnement cosmique a bel et bien été mesurée, plus personne ne le conteste. Mais bien que très fortement étayé par de nombreuses corrélations issues d’observations incontestables et par quelques premiers résultats expérimentaux, le processus de formation des nuages imputé aux rayonnements cosmiques manquait encore d’une confirmation expérimentale solide.

Pour confirmer ou infirmer cette thèse, divers chercheurs de plus de 17 pays se sont associés au sein d’un programme de recherche baptisé CLOUD utilisant les ressources du CERN de Genève, visant à reproduire en vase clos des mélanges gazeux proches des différentes couches atmosphériques, de les bombarder par un rayonnement de particules ionisantes présentant les mêmes caractéristiques que le rayonnement cosmique et d’observer si le processus de formation des nuages varie selon l’intensité du rayonnement. En parallèle au programme CLOUD, Svensmark a bâti un protocole expérimental moins coûteux, basé à Ahrrus, dénommé SKY, visant également à simuler la rencontre entre couches atmosphériques et phénomènes initiaux de la formation nuageuse.

Les résultats de ces expérimentations commencent à tomber.

Le programme SKY, tout d’abord, a fait l’objet d’un article publié le 12 mai dernier par la Geophysical Research Letter, rédigé par Svensmark et al.

Ceux-ci confirment la relation entre intensité des rayonnements ionisants et formation de noyaux nuageux (voir également ce résumé en anglais). Certes, en bon scientifique prudent, Svensmark ne crie pas encore victoire. Il existe plein d’autres paramètres qui peuvent influencer la quantité de nuages sur Terre. Mais il ne parait pas possible aujourd’hui d’écarter d’un simple revers de manche l’hypothèse cosmique dans la formation de la couche nuageuse.

Les résultats du programme CLOUD conduit par le CERN de Genève ne sont quant à eux pas encore publiés sur papier. Ils devraient l’être sous trois mois. Mais d’ores et déjà, les chercheurs associés au programme, au premier rang desquels le Danois (encore) Jesper Kirby, laissent entendre que la relation entre rayonnements ionisants et formation de noyaux nuageux observée en milieu expérimental est très forte (vidéo ci dessous – transcription partielle).

Or, une variation de quelques pourcents de la couverture nuageuse a potentiellement bien plus d’impact sur le bilan énergétique de la planète que la variation du taux de CO2. Que l’on puisse prouver une cause exogène importante de formation nuageuse et toute la théorie carbocentrée du climat vendue par le GIEC depuis 20 ans est à mettre à la poubelle.

Les résultats de CLOUD et SKY, sont à confirmer par une deuxième vague d’expérimentations (les bons scientifiques sont toujours prudents et tentent de reproduire plusieurs fois leurs résultats ou de les recouper avant de les graver dans le marbre…) à venir qui devrait permettre d’aller au-delà de la formation de noyaux nuageux de très petite taille. Mais d’ores et déjà, ils remettent lourdement en cause la monomanie carbocentrée du GIEC qui a toujours rejeté sans réel examen la thèse solariste.

 

Conséquences politiques et économiques de ces découvertes

Maintenant, se pose LA question politique découlant de ces observations.

Sauf retournement (plus très probable, mais encore possible) de la science dans ces prochains mois, la thèse d’une influence solaire bien plus importante que celle du CO2 sur le climat sera validée. Dans ces conditions, peut-on encore baser une politique climatique et énergétique plus que dispendieuse sur la seule théorie carbocentriste défendue par le GIEC qui ne repose que sur des modèles mathématiques incapables de prendre en compte la formation des nuages (c’est l’académie des sciences qui le dit, pas moi…) et dont les fondations expérimentales sont pour le moins très insuffisantes ?

À l’évidence, ce n’est plus possible aujourd’hui. Or, en France, mais aussi en Grande-Bretagne et plus généralement à l’échelle européenne nos politiques continuent de promouvoir des programmes au mieux ruineux et au pire liberticides au nom de la sacro-sainte lutte contre les émissions de CO2 promu au rang de danger numéro un pour l’avenir du monde.

Des éoliennes au double vitrage et à la construction BBC en passant par l’automobile, des pans entiers de l’industrie ont structuré leur action récente et future autour des politiques carbocentristes et des très généreuses subventions qui les accompagnaient. Tout notre droit des sols est rigidifié au nom de la lutte contre le besoin de mobilité et l’étalement urbain, accusés d’être générateurs d’émissions de CO2.

Tout cela, sans aucun doute, pour RIEN. Car à l’évidence si notre climat dépend des rhumes du Soleil, nous n’avons pas d’autre choix que de nous y adapter.

Nos dirigeants devront très vite changer de cap. Ou s’ils persistent dans l’absurde voie carbophobique, prêter le flanc à des accusations d’incompétence grave, ou pire de corruption et d’inféodation aux oligarchies financières qui à ce jour prétendent tirer profit de l’économie verte, fut-ce en rackettant les contribuables occidentaux.

Un changement de cap permettrait peut être de réorienter nos ressources, qui ne sont pas infinies, vers la résolution de problèmes réels.

Enfin, les gouvernements siégeant à l’ONU doivent d’urgence prononcer la dissolution du GIEC dont les dysfonctionnements et vices de conception sont largement documentés et qui a été l’organe de propagation déterminant d’une des plus ruineuses escroqueries économiques jamais perpétrée. Le climat doit être géré comme n’importe quel champ scientifique, sans qu’il soit besoin d’un organisme politique supranational pour dicter aux scientifiques les « bons » et les « mauvais » chemins à suivre.

——–
Note :

(*) Pour les variations climatiques à long terme, de fortes présomptions pèsent sur des variations de l’orbite terrestre liée à l’interaction qui se produit parfois avec les plus grosses planètes du système solaire, et des variations dans l’inclinaison de l’axe de rotation de la terre dont la périodicité serait de plusieurs milliers d’années. Voir ce court exposé pédagogique de l’Ecole Normale Supérieure de Lyon.

——–

Lire également :

GRL: « Aerosol Nucleation induced by high energy particle beam »
Physics world: « Evidence that cosmic rays seed clouds »
Physics world: transcription partielle de la vidéo de J. Kirby

Sur le blog Objectif Liberté :

Dossier réchauffement climatique

et notamment:

Observations des satellites ERBE : les modèles du GIEC bons pour la poubelle !  

Brèves : de nombreuses entorses au soi disant consensus

Fraude au réchauffement climatique, deux rapports détaillés

Réchauffement: le naufrage du GIEC

Lobbying réchauffiste Accenture-Barclays (court) (version longue)

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  • Vincent qui nous continue sa lutte contre les certitudes des vilains carbo centristes , sur la base des thèses solaristes et / ou cosmiques tiendra t-il contre la puissante machine rde communication de ses adversaires ?

  • L’Affaire DSK montre une fois de plus la collusion des médias français avec ses politiques. Je ne peux m’empêcher de faire le parallèle avec le « climategate » de décembre 2009. Les médias français ont été et sont toujours lamentables sur ce sujet, alors que les médias anglosaxons, allemands ont fait leur travail. Résultats, nos politiques (et la commission européenne) continuent leur lutte contre le carbone comme si de rien n’était . Ils s’imaginent sans doute qu’en poussant l’étiquettage carbone sur les biens, nous protégerons notre marché. Une ligne Maginot de plus.

  • [Ecarte tout ça d’un revers de main]
    « Science is settled, debate is over »

  • La question est plutôt: si c’est un problème de couverture nuageuse, est-ce que ça ne fait pas longtemps qu’on devrait le voir, via l’observation satellitaire ?

  • Ceci dit, j’aime bien le fait que l’auteur donne des leçon dans l’article « un scientifique ne crie pas trop vite victoire, il vérifie ses expériences, etc », et dans le même temps, tire, lui, ses conclusions immédiates allant jusqu’à les poser dans le titre de l’article.

    Un peu de retenue, tout de même…

  • ???
    On était dans une phase creuse des tâches solaires donc des orages magnétiques, le cycle viens de reprendre.
    Pourtant c’est ses dernière décennies qu’on localise les plus grosses canicule et on peut pas dirent que l’hivers qu’on viens d’avoir se soit montrer particulièrement froid ou que les ouragan tropicaux annoncé aient baiser en fréquence.
    Je ne constate pas non plus que l’apport de CO2 aient dopé la croissance de la végétation comme ont l’observe en horticulture.
    Je veux bien croire en une thèse scientifique.
    Mais faudrait vous décidé.
    Pendant les années 70-80 ont nous prônait un retour à l’ere glacière.
    Mais une chose est sur qu’entre 1970-2010 la nature n’est pas la grandes gagnantes des pronostics scientifiques.

  • Votre thèse est fausse sur au moins quatre points :

    1° – Vous présentez le GIEC en opposition à une multitude de laboratoires et chercheurs sous diverses tutelles.

    En réalité le GIEC n’est qu’un organe politique international et le GIEC, ni ne commande, ni ne finance, ni ne met en oeuvre le moindre travail de recherche, car, là n’est pas sa fonction !

    Le GIEC compile toutes les recherches effectuées dans le monde sur le climat, recherches essentiellement publiques et militaires.
    Le GIEC n’est chargé que de faire la synthèse de toute l’information qu’il trouve, de cette synthèse il sort un rapport, tous les 4 ans et non tous les 6 ans comme avancé dans l’article, rapport qui doit être voté par l’ensemble des gouvernements des pays qui financent le GIEC.
    A chaque fois, les USA ou la Russie refusent de signer le rapport et le GIEC est sommé de minimiser l’impact de l’activité humaine sur le réchauffement climatique, pour obtenir leur signature avant publication.

    Donc, vous commettez l’erreur de présenter le GIEC comme un organisme de recherche et vous commettez l’erreur de confronter vos thèses, non pas à celles des chercheurs qui soutiennent la thèse du réchauffement climatique carboné, ce que vous devriez faire, mais à celles du GIEC !

    C’est comme si dans un procès, l’avocat de la victime ne confrontait pas sa thèse à celle de l’avocat de l’inculpé, mais à celle du juge !

    2° – Le GIEC soutiendrait d’après vous, que, je vous cite, « les variations du rayonnement énergétique solaire vers la terre sont bien trop faibles pour justifier des variations de température observées ».

    J’ai lu les rapports du GIEC destinés aux décideurs et je n’y ai jamais rien trouvé de tel :

    http://www.ipcc.ch

    Pouvez-vous citer précisément votre source ?

    Tout votre raisonnement est basé sur ce postulat, mais il me semble erroné, bien au contraire, le GIEC n’a pas implémenté la modélisation des effets du soleil, tout simplement parce qu’on ne sait rien du soleil, on sait simplement que les tâches solaires évoluent sur des cycles de 12 ans, on ne peut donc pas implémenter dans un modèle mathématique, un phénomène dont on ne connaît rien…

    Par contre, j’ai déjà lu des articles du GIEC qui affirmaient que la conjonction de l’activité solaire et des gaz à effet de serre, pourraient aboutir à de pires scénarios que ceux aujourd’hui avancés en ne modélisant que l’impact des gaz à effet de serre !

    3° – Vous affirmez que le GIEC ne sait pas modéliser les nuages.

    Le GIEC comme évoqué au point 1 ne modélise justement rien, ce n’est pas son rôle, il reprend les modélisations qu’il trouve et il apparaît justement que sur les modélisations disponibles, les seuls nuages créés par les seules traînés d’avions (sans même évoquer la pollution engendrée par les avions), génèrent à eux seuls 1% de l’effet de serre, preuve que le GIEC a étudié des modélisations qui tentent d’appréhender le comportement des nuages… comportement qu’on sait d’ailleurs prévoir en météo, mais pas en climatologie…

    4° – Niez-vous que les gaz à effet de serre engendrent de l’effet de serre (Il n’y a d’ailleurs pas que le CO2, les gaz rejetés par les avions sont notamment jusqu’à 15 fois plus générateur d’effet de serre que le CO2) ?

    « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » : loi physique fondamentale.

    Les carburants fossiles avant d’être transformés en énergie ainsi qu’en CO2, n’existaient que sous terre, ils n’existaient donc pas dans l’atmosphère. On retire les carburants du sous-sol, qui sont répandus dans l’atmosphère, moins l’énergie qu’ils produisent.

    Puisque nous connaissons l’épaisseur de l’atmosphère et que nous pouvons estimer les rejets annuels de CO2 dans l’atmosphère, nous pouvons estimer à terme la quantité de CO2 et autres gaz à effet de serre qui viendront s’ajouter à la composition de notre atmosphère.

    Il n’y a aucun doute sur la dangerosité des gaz à effet de serre, ni sur la nature de l’effet de serre induit, mais nous ne savons pas encore la limite à partir de laquelle l’écosystème mondial entrerait en rupture ; des tests sont menés sur des plantations que l’on sature en CO2 pour étudier leur limite et pour le moment en implémentant les résultats obtenus dans les modèles mathématiques de prévision du climat, on prévoit bien une rupture qui commencerait de 2030 à 2100, selon les variables choisies, avec un scénario alternatif qui commencerait lui en 2300.

    Nous avons une parfaite connaissance des températures depuis plusieurs siècles, car les marins mettaient sur les routes marchandes des thermomètres chaque jour dans l’eau et compilaient leurs relevés dans des livres de bord que nous pouvons encore aujourd’hui consulter.
    Les thermomètres se démocratisaient vers 1700.

    D’après ces relevés et d’autres, terrestres, nous savons que la température moyenne du globe est aujourd’hui plus élevée de 0.5 degrés qu’au début du XXème siècle !

    Conclusion :

    L’Homme contrairement à l’animal est justement doté d’une conscience pour maîtriser la technologie sans s’autodétruire, cela est valable sur le réchauffement climatique, comme pour le nucléaire civil ou militaire.

    • « le GIEC n’a pas implémenté la modélisation des effets du soleil, tout simplement parce qu’on ne sait rien du soleil »

      Eh bien quand nous en saurons plus vous ne manquerez pas de nous faire part des nouvelles conclusions parce qu’imposer des certitudes alors qu’on ignore tout du principal moteur de réchauffement ça fait quelque peu Nostradamus.

      On ne peut plus actuellement ignorer les voix scientifiques ou les études (peer review) discordantes. Le sujet est infiniment complexe et la science dans ce domaine encore très jeune, il est donc trop tôt pour les certitudes.

      La science n’a jamais été un long fleuve tranquille il convient de ne pas l’oublier.

  • Le GIEC est bel et bien un organe politique comme le souligne Tintin…

    A ce titre, il collecte « toutes » les informations qu’il veut bien chercher et oublie toutes les informations qui ne vont pas dans son sens.

    Le GIEC ne cherche pas à faire un état de l’Art sur la science du climat… d’ailleurs dans ses statuts on peut lire :

    « Le GIEC a pour mission d’évaluer, sans parti pris et de façon méthodique, claire et objective, les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique qui nous sont nécessaires pour mieux comprendre les fondements scientifiques des risques liés au changement climatique d’origine humaine (…) »

    Donc, dès le départ, les dés sont jetés. Cet organisme mène une instruction à charge sur les méfaits supposés de l’homme au climat. Fermez le ban !

    Entre autres énormités, le CO2 n’est pas un gaz dangereux, mais plutôt indispensable à la vie sur Terre. Les thermomètres n’ont donné de température précise qu’à la fin du 18e siècle et non pas un siècle plus tôt. Les routes commerciales marines ne représentent absolument pas l’ensemble des mers et des océans au niveau de leurs températures. Enfin, qu’elle est la définition de la température moyenne du globe ????
    On compte quoi ? La température de la Terre (noyau en fusion compris ?) et de la croûte terrestre ? du contenu des océans ? et de toute l’atmosphère jusqu’à quelle altitude ?

  • Tintin : « de cette synthèse il sort un rapport, tous les 4 ans et non tous les 6 ans comme avancé dans l’article, rapport qui doit être voté par l’ensemble des gouvernements des pays qui financent le GIEC. »
    ———————–
    Rapport n°1 : 1990
    Rapport n°2 : 1995
    Rapport n°3 : 2001
    Rapport n°4 : 2007
    Rapport n°5: 2013 ou 2014

    Donc il s’agit bien d’un rapport tous les 6 ans.
    Quant au « rapport voté par l’ensemble des gouvernements », c’est FAUX. Les gouvernements ne « votent » que le Résumé pour Décideurs d’une dizaine de pages qui, dans la plus pure tradition orwellienne sort 4 mois… AVANT le rapport complet (pour le rapport de 2007, le Résumé est sorti en grande pompe en février 2007, le rapport complet, qu’aucun décideur n’a lu bien évidemment, en juin 2007. Donc les gouvernements ne peuvent PAS voter pour quelque chose qu’ils n’ont vu que 4 mois après !
    Le summum de l’esbroufe, c’est ce qui est écrit dans les statuts même du GIEC : « le rapport complet doit refléter le contenu du Résumé », elle n’est pas belle la bureaucratie onusienne ?

    Bref, vous n’êtes même pas capable de voir juste les faits même les plus simples, incontestables et facilement vérifiables, on ne peut que douter sur le reste de votre raisonnement.

  • @miniTAX :

    Vous prenez deux pots de verre dans lesquelles vous mettez un thermomètre, dans un pot avant de le refermer vous mettez du gaz d’échappement sorti d’un pot d’échappement d’une auto, dans l’autre vous ne mettez rien.

    Maintenant, vous placez pendant une journée les deux pots en plein soleil.

    Le pot qui contient le gaz sera à l’intérieur beaucoup plus chaud que le pot qui ne contient pas de gaz.

    Ceci est la preuve que les gaz d’échappement engendrent de l’effet de serre.

    Ces gaz d’échappement n’étaient pas présent dans l’atmosphère mais sont le résultat de la combustion de produits fossiles présents sous la terre et confinés sous la terre.

    Donc, on accroit la quantité de gaz à effet de serre dans l’atmosphère.

    Il me semble avant toutes autres choses que vous ne voyez donc pas les faits les plus simples.

  • @abitbol :

    Vous citez le paragraphe suivant :

    « Le GIEC a pour mission d’évaluer, sans parti pris et de façon méthodique, claire et objective, les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique qui nous sont nécessaires pour mieux comprendre les fondements scientifiques des risques liés au changement climatique d’origine humaine (…) »

    Le GIEC n’est pas fondé pour étudier ce sur quoi nous n’avons pas prise !
    Il a été démontré depuis bien longtemps que les gaz à effet de serre engendrent justement de l’effet de serre ! (voir le commentaire plus bas).

    Le GIEC n’étudie donc que les risques d’origine Humaine, au regard de ce seul paragraphe cela ne signifie donc pas qu’il est partial, mais qu’il n’étudie que les phénomènes d’origine humaine, sur lesquels on peut agir.

    Le GIEC est donc directement un outil politique.

    • Considérer que le réchauffement climatique serait d’origine humaine est un parti pris idéologique. Au regard de la contradiction des termes, il est évident que le GIEC n’a qu’un but politique, bien loin de l’exigence scientifique pourtant professée dans la même phrase. Le GIEC est une arnaque, dès les prolégomènes.

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Par Alexander C. R. Hammond et Gale L. Pooley[1. Gale L. Pooley est économiste, professeur associé à la Brigham Young University de Hawaï.], depuis les États-Unis.

 

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