Climat : le triomphe de la vérité

Des chercheurs viennent de dévoiler leurs dernières conclusions à la suite de l’analyse de données provenant de 30 000 stations

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Climat : le triomphe de la vérité

Publié le 5 février 2012
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La classe politique québécoise prend très à cœur la question du réchauffement climatique et ne manque pas une occasion de réitérer la nécessité de se conformer au protocole de Kyoto.

Tout récemment, Mme Marois déclarait : « Un gouvernement du PQ va continuer dans la voie [du protocole de] Kyoto […] Et que Kyoto, nous, on y croit. » Peu de temps avant, le ministre de l’Environnement, Pierre Arcand, annonçait la mise en place d’une bourse du carbone afin de réduire, d’ici 2020, les émissions de GES de 20 % par rapport au niveau de 1990.

Leurs intentions sont certainement louables, mais leurs positions catégoriques deviennent absurdes à la lumière des dissensions scientifiques qui minent chaque jour davantage la théorie du réchauffement anthropique. À écouter leurs propos tranchés et leur dévotion à la cause, on pourrait croire qu’ils ignorent totalement les séismes qui secouent à répétition la science du climat. Ne s’informent-ils donc pas ?

Il y a quelques jours à peine, un autre collectif, celui-ci composé de seize chercheurs de réputation mondiale, a signé un texte nous invitant à ne pas paniquer à propos du réchauffement climatique. Selon eux, il n’existe aucun argument scientifique irréfutable pour justifier l’adoption de mesures radicales de décarbonisation de la planète.

L’impact de ce texte est toutefois marginal à côté du coup de grâce porté, presque simultanément, par l’unité de recherche sur le climat de la University of East Anglia (UEA), située au Royaume-Uni. On se souvient que ce sont principalement des chercheurs de cette université qui ont influencé le GIEC, les décisions de nos gouvernements et les propos apocalyptiques d’Al Gore. L’un d’eux, David Viner, avait même affirmé que les enfants britanniques ne connaîtraient pas la neige. On se souvient également que ce sont les chercheurs de ce même établissement qui ont été au centre du scandale des courriels (Climategate). On leur reprochait, entre autres, d’avoir dissimulé l’absence de réchauffement au cours de la dernière décennie.

Heureusement, la vérité finit toujours par triompher. Des chercheurs de la UEA viennent de dévoiler leurs dernières conclusions à la suite de l’analyse de données provenant de 30 000 stations. Le verdict est simple : il n’y a pas eu de réchauffement climatique depuis 1997! Vous avez bien lu, le berceau de la théorie du réchauffement climatique confirme que sa thèse était fausse. Son discours alarmiste était donc non fondé. L’édifice climato-catastrophiste était lézardé depuis plusieurs années. Avec les révélations de la UEA, il s’est complètement écroulé.

J’adresse donc quelques questions élémentaires à nos politiciens encore déterminés à sauver l’humanité : maintenant que vous savez que les chercheurs à l’origine de la thèse du réchauffement climatique sont revenus sur leurs affirmations et qu’ils confirment que la température n’a pas bougé depuis quinze ans, allez-vous à votre tour réviser vos politiques environnementales ? Êtes-vous toujours résolus à saboter notre économie avec une bourse du carbone destinée à corriger un problème que vous êtes maintenant seuls à voir ?

La thèse du réchauffement climatique est morte… un véritable leader ne pourra feindre de l’ignorer !

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  • Le triomphe de la vérité, c’est vite dit! Ma première réaction après avoir lu votre article a été de faire une comparaison rapide sur Google actualités: une recherche sur « réchauffement anglia » d’un côté, sur « warming anglia » de l’autre. Oui, en langue anglaise, il se passe quelque chose, en tout cas on en parle. En français, à part cet article, il n’y a… rien. Le deuxième résultat est tout aussi récent et se gausse de ceux qui doutent encore du réchauffement.

  • Il serait utile que l’auteure donne la référence du prétendu papier qui conclurait qu' »il n’y a pas eu de réchauffement climatique depuis 1997″.

    En effet, outre que personne en-dehors de quelques blogs complotistes des plus extrémistes ne relève la question (et le fait que Mme Nathalie Elgrably-Lévy défende régulièrement une représentation complotiste de la science étant, sans doute, une pure coïncidence), il est surtout intéressant d’aller voir sur le site web de l’UEA où l’on n’annonce aucune publication ou résultat de ce type. Et, accessoirement, accueille toujours l’internaute avec un joli graphique menant ici: http://www.cru.uea.ac.uk/cru/info/warming/

    Mais je suppose que pour l’auteure, c’est peut-être un détail qui n’a pas beaucoup d’importance?

  • Il n’empèche que réduire notre consommation d’énergie à de nombreux autres intêtets…

  • C’est très bien mon gars, tu as vu juste, tu as rejoint le côté obscur de la planète le réchauffement c’est du pipo et tout va aller de mieux en mieux, n’est-ce pas ?

  • Avez vous un lien pour indiquer la source directe?

  • http://metofficenews.wordpress.com/2012/01/29/met-office-in-the-media-29-january-2012/
    Ils ne savent plus quoi inventer pour cacher leurs ignorance sur ce que se passe au niveau climatique

  • Pour être exact, le Met Office, une officine de propagande de l’Eglise de Climatologie, n’a pas conclu qu’il n’y a pas de réchauffement depuis 1997 (on se demande bien pourquoi…), donc Bat a en partie raison.

    C’est sa publication des températures les plus récentes et complètes pour l’année 2011 qui permettent de conclure qu’il n’y a pas de réchauffement depuis 1997, il suffit d’aller vérifier sur son site (bas de page, lien « Data files » : http://www.metoffice.gov.uk/hadobs/hadcrut3/diagnostics/global/nh+sh/ , 2e colonne, il faut 30 s d’Excel pour avoir la pente et l’écart type).

    En clair, c’est les données et observations qui ont conclu, pas tels ou tels chercheurs.
    Les gens du Met Office ont beau marteler le slogan du « climat qui continue de se réchauffer », ça ne change rien au fait que leur pathétiques dénégations sont contredites par leurs propres données. Répéter 100x un mensonge ne le transforme pas en vérité.

    On pourrait penser que les réchauffistes les plus hystériques comme Bat se serait dit, « chouette, l’apocalypse thermocabonique n’aura pas lieu » et se seraient empressé d’aller voir les données de leurs propres yeux pour vérifier la bonne nouvelle. Et bah non, ils vont crier au scandale parce que les données fichent en l’air leur croyance, preuve que le réchauffisme n’a rien à voir avec la science et tout avec la religion.

    • MiniTax, je suis 100% avec vous: « Répéter 100x un mensonge ne le transforme pas en vérité. »

      Dans le « débat » climatique, je laisse chacun juger qui répète 100 fois les mêmes mensonges en trouvant argument de la répétition pour attester une vérité…

  • Effectivement, ce que dit Minitax est vrai: j’invite tout le monde à aller télécharger les données de température sur le site du Met office et faire un petit graphique excel: c’est plus parlant que tous les articles du monde 🙂

    http://www.metoffice.gov.uk/hadobs/hadcrut3/diagnostics/global/nh+sh/

    • Non, MiniTax n’a pas raison. Il se plante et/ou essaie de vous enfumer.

      Premièrement, qu’est-ce que l’écart-type vient faire dans cette histoire? Cet indicateur n’a aucun sens ici. Un « réchauffiste » aurait dit une énormité pareille qu’il serait déjà crucifié comme complotiste par 36 commentateurs… Mais c’est secondaire.

      Deuxièmement, la deuxième colonne ne donne pas des température mais des anomalies. Donc même une pente négative peut signifier un réchauffement: si on passe d’une anomalie de +1 à une anomalie de +0,5 ou même +0,1, ça baisse peut-être sur votre graphique xls, mais ça signifie quand même que ça continue à monter, mais moins vite. Entre 1997 et 2012, sur près de 200 anomalies, pas une seule n’est négative, ce qui signifie que ça a toujours été plus élevé que la normale, même si c’est plus ou moins élevé. Les « propagandistes de l’Eglise de Climatologie » et les « réchauffistes les plus hystériques » comme moi ont donc raison de dire que le réchauffement ne marque aucune pause depuis 1997. Malgré les fantasmes de MiniTax, les données ne contredisent en rien les affirmations des chercheurs, mais il semblerait qu’elles contredisent les allégations de MiniTax.

      Enfin, si on prend les données lissées, il n’y a même plus rien à voir.

      Encore un complot des membres de la secte réchauffiste et la kabbale des modèles contre le bon sens de l’homme de la rue et les faits de la nature, sans doute…

      • Bat : « Premièrement, qu’est-ce que l’écart-type vient faire dans cette histoire? Cet indicateur n’a aucun sens ici. »
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        Bah si, l’écart-type ça un sens ici, pour savoir si le réchauffement (ou le refroidissement) est STATISTIQUEMENT significatif ou non, on n’a pas inventé ce coef pour les chiens.
        Si vous avez grossi de 100 g sur 10 ans mais que votre poids fluctue de 1kg d’année en année (écart-type), ça veut dire qu’on ne peut pas conclure statistiquement à une prise de poids. Quand la variation est inférieure à l’écart type, on dit qu’elle n’est statistiquement pas significative (ni positive, ni négative), en l’occurrence, il n’y a aucun réchauffement depuis 1997.

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        « Deuxièmement, la deuxième colonne ne donne pas des température mais des anomalies. Donc même une pente négative peut signifier un réchauffement: si on passe d’une anomalie de +1 à une anomalie de +0,5 ou même +0,1, »
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        Bah non, ce que vous avancez est grotesque ! Si on passe d’une anomalie de 1°C à 0,5°C, ça veut dire que la température passe de 15°C à 14,5°C (en prenant la normale à 14°C, mais une autre valeur n’y change rien). Arriver à appeler ça un « réchauffement », il faut être un analphabète, ou un bigot réchauffiste (c’est souvent les mêmes).

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        « comme moi ont donc raison de dire que le réchauffement ne marque aucune pause depuis 1997 »
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        Vous êtes en pleine confusion, entre la valeur et la tendance. La valeur (en anomalie ou en température, peu importe du moment qu’on garde l’une ou l’autre tout au long du raisonnement puisqu’il y a juste un décalage constant qui les distingue) est peut-être élevée mais ça ne veut pas dire que la tendance est en hausse. On peut avoir une entreprise au CA de 50 Millions d’euros (valeur élevée) en 2011 mais si dans les années 1997, le CA était à 51 millions (tendance en baisse) persister à raconter aux gens que la hausse du CA « ne marque aucune pause », c’est passible de tôle, surtout si c’est pour vendre aux gens des plans d’investissement renouvelables ou durables.

        Si les propagandistes s’accrochent au slogan « décennie la plus chaude », c’est parce que l’information « tendance de la température » fiche en l’air leur propagande.
        Si la température reste la même que maintenant les 50 prochaines années, ce qui de toute évidence réfute irrémédiablement la théorie du réchauffement anthropique, ils pourront toujours dire « 5 décennies la plus chaude depuis que les mesures existent », ce qui démontre l’escroquerie du raisonnement même si ça a permis d’attraper pleins de gogos.

        • Votre explication sur l’écart-type tient la route, à au moins un près: Votre raisonnement utilisant l’écart-type serait parfaitement correct si on ne travaillait pas sur une série temporelle. L’écart-type, est une mesure de dispersion: c’est grosso modo la différence moyenne par rapport à la moyenne. Le problème ici est la signification de la moyenne: si votre moyenne ne vous renseigne pas sur ce que vous cherchez à savoir (ici: l’évolution des températures, or la moyenne n’a pas de sens puisqu’elle réduit l’évolution à un point unique (*)), l’écart-tupe n’a lui-même pas de sens.

          Le problème de l’anomalie est différent. Une anomalie de température, c’est quoi? On n’est pas dans une mesure absolue, mais dans une mesure relative: une anomalie est une déviation par rapport à une situation standard ou typique. L’expression en termes d’anomalie permet d’identifier une situation anormale: même si 14,5°C est plus bas que 15°C, on est toujours au-delà de la norme de 14°C. On est bien dans une situation de réchauffement par rapport à la norme. « Réchauffement » ne signifie pas hausse continue des températures, mais situations prolongées au-dessus des normes. C’est bien ce qu’on a dans les données du MET: TOUTES les mesures 1997-2012 sont supérieures à la norme, même si c’est parfois à la hausse, parfois à la baisse. Ceux qui disent que ces données ne contredisent pas le constat d’un réchauffement on donc raison.

          Oui, mais si on passe de 15 à 14,5 puis à 14,2, etc., vous me direz que c’est quand même une baisse. Vous n’avez pas tort. Mais ça baisse par rapport à la mesure précédente, pas par rapport à la norme. Mais il ne s’agit pas pour autant d’un « camouflage » d’une donnée gênante, car à long terme ces évolutions vont fournir une connaissance sur l’évolution de la température. En effet, la norme résulte d’un lissage des mesures effectuées précédemment sur de longues périodes (p.ex, moyenne de la température sur 1960-1990). Les anomalies, si elles se prolongent sur de longues périodes, vont impacter la norme de référence.

          Quant à la tendance, je ne vous comprends pas bien. Les sceptiques ne cessent qu’on ne peut rien dire sur rien si on n’a pas des mesures très précises sur de très longues périodes, et vous mettez en avant quelques mesures sur une courte période pour élaborer une « tendance », sans aucunement tenir compte de la norme expliquée ci-dessus (le fameux long terme que vous appelez tout le temps), et qui en plus n’est pas aussi claire que vous le prétendez: même en imaginant qu’on n’ait QUE ces mesures, il est aussi difficile de conclure à la baisse qu’à la hausse. Ce n’est pas très cohérent.

          (*) Je précise que je ne dis pas qu’une moyenne de température n’a pas de sens, sinon vous allez démarrer au quart de tour. Je dis qu’elle n’a pas de sens dans ce cas-ci: une moyenne, ça sert à avoir une vision « résumée » d’une situation. Résumer une évolution à un point n’a pas de sens: on ne résume rien. Il faut au moins deux repères pour résumer une évolution.

          • Pardon, il fallait lire « votre explication (…) tient la route, à au moins UN DETAIL près ».

          • MC : « Votre raisonnement utilisant l’écart-type serait parfaitement correct si on ne travaillait pas sur une série temporelle.  »
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            Bah non, mon raisonnement sur l’écart-type pour connaître la signifiance statistique est correct qu’on soit en série temporelle ou non, et ce n’est pas parce que vous sortez du chapeau un prétexte ad hoc que ça y change.

            ————————
            MC : « Une anomalie de température, c’est quoi? On n’est pas dans une mesure absolue, mais dans une mesure relative: une anomalie est une déviation par rapport à une situation standard ou typique. L’expression en termes d’anomalie permet d’identifier une situation anormale: »
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            Là encore, désolé mais vous racontez n’importe quoi. L’anomalie telle que c’est donné par HadcruT, GISS, UAH, RSS…, c’est tout simplement la température moins une CONSTANTE qui est la moyenne d’une période de référence (de 30 ans selon la convention OMM), en l’occurrence 1961-1990 pour le HadCruT, la même convention que celle fixée par l’OMM. (alors que le GISS lui utilise pour sa « normale » la période 1951-1980, du reste, le GISS publie la température et l’anomalie, les deux n’étant différents que d’une constante). C’est ça la définition de la normale, une pure convention de calcul et RIEN d’AUTRE.
            Quelle que soit la période choisie pour cette normale (par convention de l’OMM, elle est de 30 ans réactualisée toutes les 10 ans, on a eu les « normales » 1941-1970, 1951-80, 1961-1990 etc…), ça ne change rien à l’allure de l’anomalie qui est pareille que celle de la température, juste translatée verticalement, donc ça ne change rien aux tendances.
            Votre histoire de « situation anormale » donc est une fable qui démontre que vous n’avez pas la moindre idée de ce que vous racontez. Allez faire un tour sur un site de climatologie et renseignez-vous un minimum avant de venir faire votre show en espérant faire illusion avec quelques vagues généralités, on ne vient pas dans un champ de tirs avec un canif.

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            « Les anomalies, si elles se prolongent sur de longues périodes, vont impacter la norme de référence. »
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            NON ! La normale est calculée sur 30 ans de valeurs existantes (cf détails ci-dessus) indépendamment de l’avancement de la série.

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            « Les sceptiques ne cessent qu’on ne peut rien dire sur rien si on n’a pas des mesures très précises sur de très longues périodes, »
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            Rien à voir. Les sceptiques disent que les mesures anciennes sont pourries (manque de stations, données sans méta données, erreurs introduites par les déplacement de stations et par l’effet îlots de chaleur urbains, couverture ridicule des océans, etc… dans toute l’Afrique ou l’Amérique du Sud par ex. il n’y a pas une seule station urbaine continue sur 100 ans, PAS UNE SEULE) donc on ne peut rien dire sur des tendances à long terme à cause de l’incertitude sur les températures du passé. En France par ex., pays d’ingénieurs et inventeur du système métrique, on n’a même pas de séries correctes avant 1950 et MF par ex. met même en garde publiquement contre l’utilisation des valeurs pré-1950, donc dire par exemple que la température en France a augmenté de 1,5°C sur 1 siècle alors qu’on ne connaît pas bien la température du début du siècle (faut voir la gueule des séries des stations françaises, c’est à pleurer !), ça relève plus de l’incantation que de la science.

            Par contre, pour les périodes récentes, depuis 1979 en fait (premières mesures des séries RSS et UAH), on dispose de données homogènes des satellites, donc bien plus fiables que les mesures par stations terrestres donc on peut avoir une idée plus fiable des tendances. Et ces températures satellites montrent que depuis 10, 15 ans, il n’y a PAS de réchauffement, ce qui contredit totalement aux idées reçues propagées par les réchauffistes.

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            « Résumer une évolution à un point n’a pas de sens: on ne résume rien. Il faut au moins deux repères pour résumer une évolution. »
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            On n’a pas une évolution à un point, on a une évolution sur 15 ans ! Si 15 ans d’absence de réchauffement pendant même que la prétendue cause principale de ce réchauffement, à savoir les émissions de GES, a fortement augmenté, il faudrait quoi pour réfuter la théorie ?

          • J’essaie de vous faire la réponse promise, mais apparemment ça ne passe pas. Après deux tentatives, je suis un peu énervé d’avoir perdu ma prose, donc je vous la (re)fait en version courte.

            1. Sur les moyennes et l’écart-type. Ni l’un ni l’autre ne permet de rendre compte, seuls, d’une évolution. Votre moyenne ou votre écart-type vous disent comment se comporte en moyenne une série, pas comment elle évolue. Si vous voulez faire cela, vous pouvez le faire à l’aide de moyennes, mais il vous en faut plusieurs pour pouvoir les comparer. Pour cela, vous devez découper votre série en tranches, et voir la tendance centrale de chaque tranche. En d’autres mots, vous lissez la série.

            2. Sur l’anomalie, nous sommes d’accord sur la définition: on compare la mesure à une norme conventionnelle. C’est exactement ce que j’ai dit: on ne parle pas dans les termes d’une mesure absolue, mais relative (qui est à interpréter par rapport à une autre donnée qui en définit le sens). C’est l’idée même « d’anomalie ».

            Mais il faut préciser deux choses:

            -On travaille sur de longues périodes (généralement 30 ans). Donc comparer trois mesures à une norme établie sur 30 ans, ça n’a pas beaucoup d’intérêt, et c’est trop peu pour établir une quelconque conclusion ou tendance. C’est du niveau de ce que fait la presse: été chaud, plus de réchauffement; février froid, l’âge glaciaire nous guette… Or c’est un peu ce que vous faites en détachant des mesures pour montrer qu’il y a de une anomalie mais moindre sur telle sous-période pour conclure à un « refroidissement ». Attendez de voir ce que ça donne sur la longueur.

            -Non, on ne recalcule pas la norme en cours de période (sinon on arrêterait pas, encore que cela ait été essayé), mais les mesures faites vont permettre de définir de nouvelles références pour les tranches suivantes. Si on a 30 années de refroidissement après 1990, ne vous inquiétez pas, les climatologues le verront et ce sera une nouvelle référence. Personne ne cache rien, il n’y a que les sceptiques qui pensent cela!

    • Pas besoin de faire le graphique: il est sur la page de téléchargement des données.

    • MC : « 1. Sur les moyennes et l’écart-type. Ni l’un ni l’autre ne permet de rendre compte, seuls, d’une évolution. »
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      Je n’ai jamais dit le contraire. Je ne parlais pas de moyenne mais de de « tendance ». Si vous n’êtes pas capable de lire une phrase simple, relisez, avec le doigt. Et l’écart-type en question (qui soit-disant ne sert à rien d’après vous) permet de savoir si la tendance est statistiquement significative ou non, bis repetita. Il faut 10 secondes pour en trouver l’explication sur le web et vous persistez à déblatérer des vacuités pour vous rattraper aux branches, punaise, vous êtes hyper lourd comme mec ! ( http://en.wikipedia.org/wiki/Trend_estimation, cf paragraphe « Noisy time series, and an example »).

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      « 2. Sur l’anomalie, nous sommes d’accord sur la définition: on compare la mesure à une norme conventionnelle. C’est exactement ce que j’ai dit: on ne parle pas dans les termes d’une mesure absolue, mais relative (qui est à interpréter par rapport à une autre donnée qui en définit le sens). C’est l’idée même « d’anomalie ». »
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      Vous n’aviez donné aucune définition de l’anomalie ou de la norme, vous avez seulement cherché à noyer le poisson avec du goubliboulga du style « la norme résulte d’un lissage des mesures effectuées précédemment sur de longues périodes » (comprenne qui pourra).
      Le mot « anomalie » tel que c’est utilisé en climatologie pour la température globale ou autres ne contient aucun jugement de valeur, aucune « idée » qualitative, c’est juste un mot pour dire température – normale, normale étant la moyenne sur 30 ans et RIEN d’AUTRE !!! Que « l’anomalie » soit positive ou négative, ça n’a rien d’anormal, si on suivait vos insinuations grotesques sur ce qu’elle signifie, 99,99% des valeurs seraient « anormales » vu qu’elles sont pratiquement toutes différentes de la normale.
      Il suffit de 2 secondes pour trouver la définition du mot, mais au lieu de le faire, vous continuez à vous enfoncer dans le ridicule.
      Soit dit en passant, « anomalie » est un anglicisme pratique mais en bon français, tel qu’on voit dans le lexique de MF et employé tous les jours par les météorologues, on dit « écart à la normale ».

      De toute évidence, il est impossible de faire rentrer dans votre petite tête même une notion hyper simple comme l’écart à la normale et dont la définition ne fait l’objet d’aucune contestation. Non seulement, vous ne maîtrisez pas une notion de base mais en plus, vous persistez dans l’erreur et vous brodez toute une pseudo-explication invraisemblable autour pour tenter d’avoir raison, vous êtes un âne et décidé à le rester. Vous expliquer quelque chose, aussi basique soit-elle, c’est comme faire boire à un âne qui n’a pas soif.

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      « C’est du niveau de ce que fait la presse: été chaud, plus de réchauffement; février froid, l’âge glaciaire nous guette… Or c’est un peu ce que vous faites en détachant des mesures pour montrer qu’il y a de une anomalie mais moindre sur telle sous-période pour conclure à un « refroidissement ». Attendez de voir ce que ça donne sur la longueur. »
      ——————————————-
      Ce n’est pas que la presse qui fait du sensationnalisme climatique, c’est les climatologues réchauffistes eux-mêmes qui ne manquent pas une seule occasion pour crier à l’apocalypse alors vos dénégations sont grotesques, surtout à l’heure de l’internet où tout est archivé. Le Treut avait par ex. déclaré, lors de la canicule de 2006 à l’AFP du 18/07/2006 : « Le dérèglement est en marche, il n’y a aucun doute, on est au début du processus ».
      Jouzel, lors de la tempête en 2009, oui, une seule tempête, avait dit à l’AFP du 26/01/2009 « cette tempête [Klaus] qui semble avoir été particulièrement intense est conforme aux observations et aux prévisions ».
      Donc pour résumer votre argument, 15 ans d’absence de réchauffement, c’est trop tôt pour conclure qu’il n’y a pas eu de réchauffement (!), mais par contre, une seule canicule, une seule inondation, une seule tempête, ce serait le signe du réchauffement. Admirez la logique du réchauffiste de base, pas étonnant qu’ils n’arrivent plus à convaincre personne malgré le bourrage de crâne médiatico-politique permanent, à part les membres de la secte.

      Du reste, l’excuse désespérée de « attendre quelques années avant de conclure », ce n’est pas comme si la Fraternité alarmiste du RC exagéré (la FARCE) nous l’avait pas déjà fait hein. Voici ce qu’avait déclaré Bard dans la Recherche n°352 avril 2002 (oui en 2002 !) :
      « Les opinions divergentes sur le réchauffement global pourraient être départagées dans un futur proche car nous entrons actuellement dans la phase descendante du cycle solaire. D’ici à 2006, l’influence des gaz à effet de serre dominera si l’on en croit la plupart des spécialistes. Si [les solaristes] ont raison, alors la baisse d’activité solaire pourrait ralentir un peu le réchauffement ».
      Sans commentaire !

      • Bat « Votre moyenne sur 30 ans, qu’est-ce sinon une synthèse de ces données? Je reconnais avoir fais une phrase alambiquée, mais si on travaille avec des chiffres normalisés et conventionnel, c’est précisément pour « lisser » les variations incessantes. »
        ————————–
        Vous persistez à raconter des inepties, encore et encore. Une normale, ça ne lisse rien du tout, c’est juste UNE constante. Et les chiffres normalisées, ça n’a rien de « lissé », c’est juste la température moins la normale. Depuis quand la soustraction d’une constante d’une série permet de lisser quoi que ce soit ???
        Vous reconnaissez faire des phrases alambiquées parce que vous n’avez pas la moindre idée de ce que vous racontez et vous essayez de noyer le poisson avec des expressions qui ne veulent rien dire, genre « chiffre normalisé » (qui a une toute autre signification en physique), « synthèse de ces données », « lisser « . Le propre d’une discussion scientifique et rationnelle, c’est d’utiliser une terminologie précise, des ordres de grandeurs corrects et des faits documentés, pas des fables sorties du chapeau. Si vous croyez que votre terminologie approximative et vos vagues généralités peuvent faire illusion, vous vous mettez le doigt dans l’oeil.

        ————————
        « Conclusion: la période actuelle est indubitablement plus chaude que la précédente, de référence, que ça vous plaise ou non. Le raisonnement en termes d’anomalie permet de le voir immédiatement. »
        ————————
        Les températures brutes permettent de le savoir sans peine, nul besoin de « termes en anomalies » pour le savoir. Et de toute façon, les sceptiques n’ont jamais prétendu le contraire. Bref, confusion volontaire et noyage de poisson, comme dab de votre part.

        Ce que les sceptiques disent, c’est que cette décennie plus chaude que la précédente n’empêche pas le fait qu’il n’y a PAS eu réchauffement pendant toute la décennie, c’est un FAIT, vérifiable et incontestable. On peut avoir une fièvre à 40°C (plus chaud que la normale) mais qui reste à cette température sans réchauffement pendant x jours. Ou on peut avoir sa taille entre 20 et 30 ans plus haute que les 10 années précédentes, il n’empêche qu’il n’y a plus de croissance entre 20 et 30 ans. Mais visiblement, même une logique aussi simple vous échappe, c’est du délire !

        ———————————–
        « Vous rejetterez immédiatement le graphique qui suit car il vient de Skeptical Science que vous considérez comme une « officine de propagande », mais il a le mérite de bien montrer la différence entre votre raisonnement et celui que j’essaie de présenter ici:

        http://www.skepticalscience.com/pics/SkepticsvRealistsv3.gif
         »
        ————————————————
        Le graphe de skepticalscience, outre le fait qu’il est délibérément mensonger parce qu’il prend la courbe de température des continents et non la température globale (qui n’aurait pas permis à Cook the crook de faire sa manipulation malhonnête !), montre justement que la période de non-réchauffement de ces dernières années est la plus longue, c’est plutôt raté pour insinuer qu’il y a eu « réchauffement accéléré ».

        Et ce graphe montre bien que le raisonnement qui consiste à tirer une droite depuis le passé pour conclure que « le réchauffement n’a pas fait de pause » ne rime à rien. En suivant ce raisonnement, même avec une température qui n’augmente plus pendant 50 ans, la pente serait toujours positive et vous allez pouvoir toujours « démontrer » qu’il y a réchauffement, ce qui est bien évidemment absurde, cf l’illustration graphique : https://lh6.googleusercontent.com/-fIkcHuB8IlA/TywuKPa1wHI/AAAAAAAAAPU/nTFJXPGo7o8/s1093/afterSkS.gif

  • Nathalie je vous aime…

  • Quelle blague, quelle manipulation !

    Pas de réchauffement depuis 1997 ?

    Et qui a prétendu le contraire ?

    Vous avez vu le GIEC prétendre qu’il y avait eu un réchauffement depuis 1997 ?

    Où ?

    Il y a augmentation des températures depuis 1 siècle, de façon constante, mais cela ne signifie pas qu’il n’y a pas des paliers pendant cette progression !

    Rien n’est jamais linéaire.

    Par ailleurs, la température depuis 1997 n’a certes pas augmenté, mais elle est stabilisée à un niveau incroyablement élevée comparée au niveau de stabilisation du siècle et des siècles passés, pour lesquels nous avons une parfaite connaissance des températures, puisque dès l’invention du thermomètre les marins consignaient chaque jour dans leurs livre de bord la température des océans !

    Si on considère que le soleil joue un rôle et que nous sommes dans un cycle bas d’activité solaire, alors, pourquoi les températures depuis 1997 ne sont-elles pas revenues au niveau de celles d’avant 1997 ?

    Cette stratégie de manipulation est donc la même que celle qui consiste à dire que Obama a créé 200 000 emplois depuis 3 ans, en occultant qu’il en a détruit des millions juste une année avant !

    De même, vous prétendez que les températures n’augmentent pas depuis 1997, en occultant que le niveau des températures de 1997 à aujourd’hui est juste lui-même bien plus élevé que le niveau des températures de 1900 à 1997 !

    La vrai question n’est donc pas, pourquoi les températures de 1997 à aujourd’hui n’augmentent pas, mais pourquoi elles ne chutent pas ?

    De fait ce pallier très élevé des températures de 1997 à aujourd’hui, démontre une rupture significative dans le cycle des températures depuis 1900.

    Si sur un marché le prix d’un bien évolue entre 10 et 100 euros par cycles de 10 ans pendants 100 ans, si passé ce délais le prix crée un planché pendant 10 ans à 150 euros, que faudrait-il retenir, que le prix n’a pas augmenté ces 10 dernières années ou qu’il y a eu rupture du cycle des prix ?

    Là c’est la même chose, il vient de se produire une formidable rupture dans le cycle des températures et vous ne voulez y remarquer qu’une absence donc artificielle de hausse des températures.

    • Tous les modèles informatiques de l’équipe des contributeurs du GIEC donnaient une augmentation sur cette période. Or ce sont eux qui étaient utilisés pour « prouver » la nature anthropique du réchauffement. Dès lors, que reste-t-il ? Quelques pins bristlecone et les 6 arbres de Yamal, et voilà tout. En quoi constituent-ils une preuve concluante de quoi que ce soit ?

      • Mais comme je l’ai dit plus haut: ça monte, ça monte, cher Nick.
        Fort heureusement, la science n’a pas besoin de Contrepoints pour avancer.

        • Dans les 1/2 degré sur 130 ans, moins l’incertitude sur les mesures et les corrections qui y ont été apportées, les données brutes restant non disponibles (cf la farce récente de BEST qui n’a fait que recycler les données des usual suspects). Une période de températures et de réchauffement qui n’a rien d’anormal par rapport à de telles périodes passées. Quelqu’un va-t-il enfin, un jour, me donner une raison d’accorder du crédit à une cause anthropique ? (Je ne suis pas exigeant : une).

  • Admettons que la température a augmenté de 0,7 degré au cours du XXe siècle. Nous n’avons aucune façon de savoir si la température du XIXe siècle était stable, avait baissé ou avait également augmenté. Quant au XVIIIe siècle, au XVIIe, etc… nous n’en savons fichtrement rien non plus.
    Donc, on peut répéter 1000 fois que la température a augmenté au cours du dernier siècle, ça ne veut rien dire si on ne connait rien avant. Et c’est bien le cas, à moins que Bat ait un scoop et qu’elle soit en mesure de nous fournir des données avec la même précision et les mêmes instruments de mesure pour les siècles à rebours, disons sur 2000 ans.

    • Ne faites pas l’enfumage pour noyer le poisson!

      Comme vous savez que j’ai raison sur la critique des pseudo-calculs de MinTax, vous essayez de reprendre l’avantage en disant qu’on ne peut rien conclure de l’augmentation, car on ne sait pas ce qu’il en était il y a 100, 1000 ou 100.000 ans.

      Soit. Peut-être qu’on ne peut rien conclure. Mais soyez au moins beau joueur et reconnaissez que vous admettez (implicitement) l’augmentation.

      Pour répondre à votre question, allez lire les travaux en paléoclimatologie. Il y en a plein, et pas simplement ceux du CRU, et ils sont passionnants…

      • « Comme vous savez que j’ai raison sur la critique des pseudo-calculs de MinTax »
        ——————-
        Vous critiquez mes calculs alors que vous ne savez même pas comment on calcule une normale, la probabilité que vous ayez raison est nulle.

      • @ MC
        L’escroquerie, l’entourloupe, la manip, l’enfumage, c’est la spécialité des alarmistes. Je n’ai aucune leçon à recevoir d’un nul.
        VOUS NE REPONDEZ PAS à une simple question : OU SONT LES MESURES ANTERIEURES, PRECISES ET COMPARABLES A CELLES DU 20E SIECLE ?
        Et pas la peine de parler de proxies, de cernes des arbres, de paléoclimatogies, de sédiments, de carrotages, etc…
        LES MESURES ??????

        • Donc, nous sommes d’accord.
          Dans ces conditions, le RCA avec un indice de probabilité de 90% dixit le GIEC, c’est du pipi de chat !
          Merci de nous le confirmer.

        • « …Mais il existe beaucoup de travaux convergents, donnant une idée relativement précise des variations. … »

          Définissez beaucoup. Et définissez convergents. Avec des exemples précis.

          « …Oui. Même si la couverture est inégale. … »

          Quelle proportion de la surface totale du globe jouit-elle de séries de données continues avec données brutes disponibles pour tout un chacun pour vérification. Dites un chiffre.

          @Abitbol : partir du principe que les mesures du XXème siècle sont plus précises que celles du XIXème, quand on voit l’emplacement des stations et les « corrections » apportées aux données, c’est un grand pas à franchir. Je vous conseillerais de reconsidérer cette question.

        • Bat : « tout ne repose pas sur une construction élaborée par une petite mafia de chercheurs ayant étudié un seul arbre. »
          ———————–
          Quelle rhétorique débile ! Et… ça prouverait quoi ???
          Que la construction élaborée par une grosse mafia ayant étudié pleins d’arbres (qui de l’aveu même des dendrochronologues, ne permettent pas de reconstituer la température) serait a contrario correcte, par la magie d’un effet de manche ?

          Et d’où tenez-vous qu’il « existe beaucoup de travaux convergents, donnant une idée relativement précise des variations » ? Laissez-moi deviner, de la même source que vos fables sur les anomalies et les écarts-types soit-disant pas applicables aux séries chronologiques, càd du vent.
          Mais bon, du vent, pour faire tourner le réchauffisme, quoi de plus naturel après tout.

        • @ Nick

          J’ai déjà développé dans mes commentaires sur Contrepoints tout le mal que je pensais de la précision des mesures de températures pour les trois premiers quart du 20e siècle.
          Mon propos est bien de dire que si les données du 20e siècle sont trop insuffisantes, trop mal reparties spatialement et trop manipulées, alors que penser du 19e siècle et du passé plus lointain ?
          Mais bon, cela en touche une à Bat sans faire bouger l’autre… Puisqu’il n’est pas question d’observations pour lui et ses semblables, mais de foi dans les « scientifiques » qui défendent la thèse du RCA comme d’autres la virginité de Marie ou l’infaillibilté pontificale.

        • moule charentaire : « mais j’ai plein de travail au labo »
          Oui, d’ailleurs, est-ce que mes photos de Noël sont enfin prêtes ?

        • Bat : « Vous pouvez notamment vous attarder sur la figure suivante: http://www.ipcc.ch/publications_and_data/ar4/wg1/en/figure-6-10.html et voir en quoi les courbes convergent et divergent.  »
          ————————–
          Oui donc la figure montre un plat de spaghetti de courbes que ça n’a rien de « convergent » et qui ne donne en rien « une idée précise des variations ». Mais merci quand même pour votre tentative d’enfumage.

          D’ailleurs, vous qui insinuez (gratuitement comme dab évidemment) qu’il y a « beaucoup de travaux » qui montrent la même chose que la crosse de hockey de Mann, pouvez-vous svp citer ne serait ce que un ou deux qui soient à peu près indépendants (en choix des proxies) de celui de Mann et la Team, histoire d’aligner pour une fois autre chose que des fatuités ?

          Pour l’instant, tout ce que vous avez fait, c’est brasser du vent en psalmodiant les vieux versets réchauffistes que tout le monde connaît (« allez consulter la littérature », on appelle ça une réponse « galvinesque », typique des prêtres de Realclimate), mais dès qu’il s’agit de rentrer dans les détails, de répondre aux questions précises, d’argumenter avec logique et preuves, bref, de faire le minimum syndical d’une démarche scientifique, la Moule, on ne la voit plus.

          • « D’ailleurs, vous qui insinuez (gratuitement comme dab évidemment) qu’il y a « beaucoup de travaux » qui montrent la même chose que la crosse de hockey de Mann, pouvez-vous svp citer ne serait ce que un ou deux qui soient à peu près indépendants (en choix des proxies) de celui de Mann et la Team, histoire d’aligner pour une fois autre chose que des fatuités ? »

            Un peu de lecture, MiniTAX. C’est tout chaud ça vient de sortir. Totalement indépendent de Mann:

            http://www.clim-past.net/8/227/2012/cp-8-227-2012.html

            http://www.clim-past.net/8/227/2012/cp-8-227-2012.pdf

            « we also find that the rate of warming from the 19th to the 20th century is unprecedented in the context of the last 1200 yr. The positive Northern Hemisphere temperature change from the 19th to the 20th century is clearly the largest between any two consecutive centuries in the past 12 centuries »

            Ne vous étranglez pas en regardant le figure 4 ! :-). Qui soit dit en passant n’est pas complété par les données instrumentales, et qui ne prend en compte que la moyenne du XXe siècle.

            Les auteurs mettent la première décennie du XXIe 1C au dessus de la moyenne du XXe siècle « The first decade in the 21st century
            was more than 1 C above the 20th century mean. » p 243.

          • miniTAX, vous qui aimez tant la précision, sachez que le contributeur de RealClimate auquel vous faites allusion s’appelle Gavin Schmidt, et non « Galvin » (avec un L).

            Pour le reste, que voulez-vous que je vous dise? Les sceptiques parlent de « débat » climatique, mais c’est très largement une fiction, et pas pour les raisons (de « censure ») qu’ils avancent. Le débat est simplement impossible: il est simplement rejeté par les sceptiques. Toute discussion rationnelle semble impossible. Vous me reprochez de ne pas entrer dans les détails, mais c’est une fin de non-recevoir à chaque tentative: l’argument n’est pas recevable, vous savez mieux que les autres, c’est faux, les mesures sont erronées et les modèles faux, et c’est évident… pour vous. J’exagère? Voyons cela.

            On réfère à la littérature? Elle ne vous plaît pas, ou vous ne voulez pas la comprendre ou uniquement de façon hémiplégique, ou encore vous considérez que c’est une entourloupe, ou simplement parce que c’est payant. Non, désolé, en science, la littérature, c’est la base, si vous ne voulez pas des bases, ne prétendez pas faire mieux que tous les scientifiques du monde réunis. Quant à l’accès payant, je peux considérer que cela pose problème, mais ce n’est pas de la faute des scientifiques, et cela ne constitue en rien une bonne raison pour ne pas considérer ces publications.

            On Mentionne des auteurs travaillant sur les questions dont vous dites qu’elles seraient ignorées par les scientifiques? Les auteurs seraient forcément fourbes ou inféodés à une « mafia ». C’est bien de le dire, ce serait mieux de le prouver: démontez leurs travaux (pour la plupart validés par les pairs), critiquez les méthodes, vérifiez les calculs, reproduisez leurs résultats… et là on se rend compte que ce n’est pas si facile, et qu’à partir d’un certain niveau de spécialisation, ce n’est plus du tout accessible à du bac +3 en éco et gestion.

            On parle de débats dans les labos et les colloques? Vous parlez de comédie ou vous préférez les interventions médiatiques de gens qui ne font pas de science, ou pas sur ces questions. Vous confondez moulinets médiatiques et controverse scientifique.

            On explique que les incertitudes sont prises en compte? Vous y voyez la preuve qu’on cherche à les cacher. Argument génial: on ne peut rien lui opposer, puisque toute réponse « prouve » le complot.

            On vous explique les conventions de définition ou de mesure? Vous ne voulez pas de convention. Et comment pensez-vous qu’on peut s’entendre entre scientifiques et comparer nos résultats, dès lors?

            Etc.

            Personnellement, cela ne me dérange pas que vous considériez que je « brasse du vent » en « récitant des psaumes réchauffistes », ou que la tirade qui précède serait une fuite pour cacher ma supposée ignorance: on peut très très bien travailler sans vous. Mais si vous prétendez intervenir dans ces questions, faites-le en considérant vos interlocuteurs autrement que comme des gangsters mafieux déviants obscurantistes dont tous les arguments seraient fatalement idéologiques et faux à partir du moment où ils ne correspondent pas à votre conception du problème. On ne peut se mêler de science sans la considérer comme activité humaine, complexe et normée. Si on balaie tout cela de façon a-critique sans vouloir comprendre la logique interne de la démarche et le cadre épistémologique où elle se développe, comme le font beaucoup de sceptiques, c’est du café du commerce.

            C’est d’autant plus dommage à une époque où tout est facilement accessible en ligne. Si, au lieu de demander sans cesse « des références » comme si on jouait à « qui a la plus grosse » (liste bibliographique, bien sûr ;-)), vous aviez simplement cherché ceci, vous auriez de la lecture pour au moins 6 mois: http://scholar.google.fr/scholar?q=paleoclimatology

            Comme vous direz certainement que c’est un enfumage facile, vous pouvez aussi lire utilement tout ou partie des articles publiés ici, et avec un peu de chance vous direz un peu moins n’importe quoi sur les travaux en paléoclimatologie:

            http://www.journals.elsevier.com/palaeogeography-palaeoclimatology-palaeoecology/
            http://www.agu.org/journals/rg/
            http://journals.ametsoc.org/toc/clim/current
            http://www.clim-past.net/volumes_and_issues.html
            http://www.agu.org/journals/jgr/
            http://www.int-res.com/journals/cr/cr-home/
            http://www.schweizerbart.de/journals/metz

          • Bat : « On réfère à la littérature? Elle ne vous plaît pas, ou vous ne voulez pas la comprendre ou uniquement de façon hémiplégique, ou encore vous considérez que c’est une entourloupe, ou simplement parce que c’est payant. »
            ————————
            Quel sceptique a dit que la littérature scientifique ne lui plaît pas ou que c’est une entourloupe ??? Vous rhétorique de l’homme de paille est grotesque.

            ——————————
            Bat : « Comme vous direz certainement que c’est un enfumage facile, vous pouvez aussi lire utilement tout ou partie des articles publiés ici, et avec un peu de chance vous direz un peu moins n’importe quoi sur les travaux en paléoclimatologie: »
            ——————————
            J’aurais dit « n’importe quoi sur les travaux en paléoclimatologie » où ??? Si vous êtes malade et que vous projetez vos fantasmes sur les autres, il faut aller vous faire soigner mon gars.
            J’ai demandé une question précise et tout ce que vous avez comme réponse, c’est une foule de liens sans aucun rapport. Vous croyez quoi, qu’il suffit juste de coller une tartine de liens hors-sujet pour que votre affirmation sans preuve (« beaucoup de travaux convergents donnant une idée relativement précise des variations [de température] ») soit comme par magie prouvée ?

            Et quand bien même, en supposant que vous ayiez pu les citer ces hypothétiques « beaucoup de travaux » (ce qui n’a pas été le cas), que faites vous des dizaines d’autres travaux qui prouvent le contraire, tels que c’est compilé sur CO2science ( http://www.co2science.org/data/mwp/mwpp.php )? Ah oui, c’est vrai, dans l’univers orwellien des réchauffistes, les travaux qui contredisent leur théorie, il suffit de ne pas en parler et ils n’existent pas.

          • Warm : « Un peu de lecture, MiniTAX. C’est tout chaud ça vient de sortir. Totalement indépendent de Mann:
            http://www.clim-past.net/8/227/2012/cp-8-227-2012.html
            http://www.clim-past.net/8/227/2012/cp-8-227-2012.pdf »
            ——————————
            Déjà, « totalement indépendant de Mann », c’est mensonger vu que ça contient des proxies de Yamal de Briffa et Dunde de Thompson, tous deux des « serial NON archiver » notoires et dont les proxies, qui truffés de problème de cherry picking et ont été fournies sans données brutes rendant impossible toute réplication & vérification, sont utilisés par Mann, mais bon, bref, c’est du Warm et sa crapulerie ordinaire, n’est ce pas.

            Ensuite, la reconstruction de Ljungqvist ne montre absolument pas une courbe en crosse de hockey et encore moins « une idée précise des variations » (vu que l’incertitude est de l’ordre du °C, donc les variations modernes de l’ordre du dixième de °C relèvent du bruit) bref tout le contraire de ce qu’avance Bat.

            On notera au passage que, si l’on en croit la reconstruction de Ljungqvist , le fait que l’optimum médiéval est bien présent et aussi chaud que maintenant et que le climat s’est refroidi tout au long du millénaire jusqu’au PAG, TOUT SEUL, comme un grand, est une réfutation cinglante de la théorie de l’effet de serre, une de plus encore. Bref, l’effet de serre est majoritairement aux abonnés absents à toutes les échelles de temps, pendant 700 ans sur 1000, pendant plus de la moitié du temps sur ces dernières décennies (refroidissement 1950-1975, puis 1998-2011). Aucune vraie science ne peut survivre à une réfutation aussi massive, preuve que le réchauffisme est une science pathologique.
            Le roi carbonique est nu et les bigots réchauffistes de continuer à clamer « vive le roi ». Cherchez l’erreur…

    • Les carottes glacières ainsi que l’examen des sédiments et fossiles permettent de déduire la température au pôle Nord, au pôle Sud ainsi que dans les océans sur l’axe du Gulf Stream, sur des centaines de milliers d’années.

      Pour la période récente, nous disposons des relevés de température réalisés par les navires qui consignaient chaque jour dans leur livres de bord sur les routes maritimes depuis l’invention du thermomètre (voilà plusieurs siècles), la température des océans… et nous disposons des relevés des stations météo terrestres depuis d’invention de ce même thermomètre.

      Enfin, les ouvrages, récits, gravures… nous permettent de déduire les températures d’évènements climatiques exceptionnels notamment au Moyen-age.

      Nous avons ainsi une parfaite connaissance du climat passé.

      Nous savons ainsi par exemple avec certitude, qu’au cours de l’histoire climatique mesurable par les carottes glacières, le gulf stream plus de 10 fois c’est arrêté, qu’à chaque fois il lui fallut plus de 300 ans pour se relancer et que parfois, il lui fallut moins de 10 ans pour s’arrêter… à la veille d’un arrêt du gulf stream des concentrations majeurs de cendres volcaniques donc de CO2 semblables à celles que nous trouvons actuellement dans notre atmosphère, sont mesurées.

      Paris est sur la même latitude que Montréal, mais si nous n’avons pas -50°C à Paris et s’il n’y a pas la banquise dans la manche, c’est grâce au Gulf stream.

      On mesure en temps réel la puissance du gulf stream avec des navires qui mouillent dans l’océan atlantique entre l’island et le Royaume Uni, les relevés font apparaitre que le gulf stream a perdu 10% de sa puissance depuis le début de ces mesures et nous ne savons pas si cette perte est cyclique ou due au réchauffement climatique…

      Voilà comment, à cause du réchauffement climatique, nous pourrions avoir le blizzard à Paris chaque hiver et la banquise dans la manche !

      Le gulf stream n’est qu’un élément parmi des milliers impacté par le réchauffement climatique…

      Je vous invite ainsi à étudier l’ensemble des études indépendantes par ailleurs compilées par le GIEC qui démontrent toutes ces réalités.

  • A noter aussi que Jones, le géniteur de HadCruTV3 (du moins avant ce soit pris en main par la Met Office) avait lui-même reconnu que, selon ses propres données, statistiquement parlant (en terme de signifiance statistique), il n’y a pas de réchauffement depuis 1995. C’était en 2010 : http://news.bbc.co.uk/2/hi/8511670.stm
    Or en 2011, la température a encore chuté, donc à fortiori, le réchauffement est toujours aux abonnés absents.

  • La position défendue dans ce fil par les soit-disant sceptique est qu’on ne connait rien à la température et au climat du passé, et que même pour le XXe siècle, on ne sait pas grand chose.

    C’est une position d’incertitude que l’on peut défendre, admettons.

    Mais pourquoi n’ont-ils peur qu’à la fin de ce siècle le niveau des océans soit (soyons fous) 20m plus haut qu’aujourd’hui, noyant toutes les villes côtières ??

    Si on ne sait rien du climat passé, et qu’il est peut-être très variable, alors, il est tout à fait possible que la température (et le niveau des océans qui va avec) augmente fortement sur le XXIe siècle, non ?

    Ou alors vous êtes persuadés que rien ne va changer sur le XXIe siècle ? Mais alors sur quoi basez-vous cette certitude, si vous ne pensez qu’on ne connait rien du climat du passé ?

    • « il est tout à fait possible que la température (et le niveau des océans qui va avec) augmente fortement sur le XXIe siècle, non ? »
      ——————–
      Il est tout à fait possible que les cochons ont des ailes aussi. Et… ?

    • Le problème avec les dingos du climat, c’est qu’ils veulent encore et toujours nous vendre du drame, de la catastrophe, du merdier…
      Ce qu’on sait avec certitude, c’est que faire des prédictions ne rime à rien. Il est tout à fait possible que la température augmente, ou qu’elle baisse, ou qu’elle reste stable, ou qu’elle varie…
      Z’êtes content ?

      • « Le problème avec les dingos du climat, c’est qu’ils veulent encore et toujours nous vendre du drame, de la catastrophe, du merdier…
        Ce qu’on sait avec certitude, c’est que faire des prédictions ne rime à rien. Il est tout à fait possible que la température augmente, ou qu’elle baisse, ou qu’elle reste stable, ou qu’elle varie…
        Z’êtes content ? »

        C’est votre position qui est catastrophiste, pas celle de la majorité des scientifiques. Les projections pour 2100 c’est (en gros) 2-5 degré en plus au niveau global, et 1-2m de hausse du niveau de la mer. Il y a une forte incertitude sur ces chiffres, mais on sait où on va et on sait éventuellement ce qu’il faut faire pour changer les choses (mais ça, c’est du domaine politique, pas de la science).

        Votre position est catastrophiste, puisque si vous êtes complètement conséquent avec vous même, New York sera peut-être bien sous 10m d’eau en 2100… Peut-être que c’est arrivé dans le passé y’a pas si longtemps (puisque vous prétendez qu’on ne sait rien de la situation climatique avant le XXe siècle, je vous cite: VOUS NE REPONDEZ PAS à une simple question : OU SONT LES MESURES ANTERIEURES, PRECISES ET COMPARABLES A CELLES DU 20E SIECLE ? Et pas la peine de parler de proxies, de cernes des arbres, de paléoclimatogies, de sédiments, de carrotages, etc…LES MESURES ??????)

        Donc soit vous êtes conséquent avec vous même, et vous pronez une évacuation rapide de toutes les côtes, puisque le pire peut arriver à tout moment, soit vous avez tout de même des données auquel vous croyez qui montrent que cela ne peut pas arriver et que le risque d’élévation des mers est nul: et dans ce cas montrez nous ces donnés pour qu’on puisse discuter…

    • Enfin une position réaliste sur l’état actuel de la science : « j’ai un peu peur que la mer ne monte de 20 m, mais je ne sais pas du tout pourquoi ». OK, sur ça, on peut vous rejoindre.

      Sinon, où quiconque a-t-il écrit que « rien ne va changer au XXIème siècle » ? Merci de l’indiquer précisément.

      (Pour votre gouverne, l’hypothèse 0 du climat c’est juste qu’il y a de variations naturelles. L’hypothèse à prouver, avec charge de la preuve sur ceux qui l’avancent, est que l’activité humaine influence de façon perceptible ces variations. En tant que membre du public intéressé, ça fait des années que je n’obtiens pas de réponse à cette question, pourtant simple vous en conviendrez. Même ici, dans ce fil -habiles esquives de Bat qui ne se sont pas vues du tout-).

      • « Sinon, où quiconque a-t-il écrit que « rien ne va changer au XXIème siècle » ? Merci de l’indiquer précisément. »

        Mais voyons, c’est la thèse du billet ! Les modèles sur l’évolution climatique à venir sont formel: le réchauffement à venir sera tout sauf régulier et des pauses de 10ans sont à prévoir.

        Lire par exemple Santer 2011

        http://muenchow.cms.udel.edu/classes/MAST811/Santer2011.pdf

        « Because of the pronounced effect of interannual noise on decadal trends, a multi-model ensemble of anthropogenically-forced simulations displays many 10-year periods with little warming. »

        Ou Esterling 2009:

        http://www.agu.org/pubs/crossref/2009/2009GL037810.shtml

        « We show that the climate over the 21st century can and likely will produce periods of a decade or two where the globally averaged surface air temperature shows no trend or even slight cooling in the presence of longer‐term warming.  »

        Ou encore Meehl 2011
        http://www.nature.com/nclimate/journal/v1/n7/full/nclimate1229.html

        Montrer que le réchauffement actuel n’est qu’en pause (ce qui est faux, j’y reviendrai) est donc totalement en ligne avec les connaissances scientifiques. Pour se porter en faux par rapport à ces connaissances (ce que fait le billet), c’est donc prétendre que le réchauffement c’est DEFINITIVEMENT arrêté, et que donc il n’y aura aucune évolution sur le XXIe siècle, c’est ce qui est largement sous-entendu.

        En ce qui concerne le soi-disant arrêt du réchauffement depuis 1997, 1998, 2003 (ça varie au gré du cherry picking), c’est tout simplement faux: il a été démontré que la terre continue d’être en déséquilibre radiatif et continue d’accumulé de la chaleur:

        Lire par exemple:

        http://www.columbia.edu/~jeh1/mailings/2011/20110415_EnergyImbalancePaper.pdf
        http://www.atmos-chem-phys.net/11/13421/2011/acp-11-13421-2011.html

         » Improving observations of ocean heat content show that Earth is absorbing more energy from the Sun than it is radiating to space as heat, even during the recent solar minimum. The inferred planetary energy imbalance, 0.58 ± 0.15 W m−2 during the 6-yr period 2005–2010, confirms the dominant role of the human-made greenhouse effect in driving global climate change. »

        Ou encore:

        http://www.agu.org/pubs/crossref/2011/2011GL048794.shtml

        « Ocean warming (90% of the total of the Earth’s energy increase) continues through to the end of the record, in agreement with continued greenhouse gas forcing.  »

        Voir cette figure basé sur cet article:

        http://www.skepticalscience.com/graphics/Total_Heat_Content_2011_med.jpg

    • Si le catastrophisme c’est de dire honnêtement qu’on ne peut pas prédire l’avenir à 1 siècle, alors la très grande majorité des gens le sont toutes compétences confondues…
      Tiens, un scoop : on peut peut être guérir de la folie collective des alarmistes du climat ! C’est une assez bonne nouvelle pour nos grands malades Bat, warm et tant d’autres…

      Puisqu’on a les yeux tournés vers l’Allemagne en ce moment.

      http://thegwpf.org/best-of-blogs/4867-germanys-top-environmentalist-turns-climate-sceptic.html
      http://notrickszone.com/2012/02/06/body-blow-to-german-global-warming-movement-major-media-outlets-unload-on-co2-lies/

  • Demande à tous les intervenants sur ce site. Pourriez-vous une bonne fois pour toute arrêter d’utiliser systématiquement l’expression « homme de paille » à tort et à travers, notamment pour insulter ou décrédibiliser les gens qui ne sont pas dans la doctrine orthodoxe du Parti?

    « Homme de paille » a deux sens.

    Un homme de paille est quelqu’un qui met son nom sur des actes ou des écrits effectués par quelqu’un d’autre pour préserver l’anonymat de ce dernier. C’est un intermédiaire, généralement avec une connotation louche.

    En rhétorique, c’est aussi une technique consistant à présenter la position de son adversaire de façon erronée pour pouvoir la critiquer ensuite.

    A vue de nez, les 3/4 des utilisations de cette expression sur ce site ne rentrent ni dans un cas, ni dans l’autre.

    Respectez la langue. Merci.

    • « A vue de nez, les 3/4 des utilisations de cette expression sur ce site ne rentrent ni dans un cas, ni dans l’autre. »
      ——————
      Un exemple peut-être ?

  • ———–
    Déjà, « totalement indépendant de Mann », c’est mensonger vu que ça contient des proxies de Yamal de Briffa et Dunde de Thompson, tous deux des « serial NON archiver » notoires et dont les proxies, qui truffés de problème de cherry picking et ont été fournies sans données brutes rendant impossible toute réplication & vérification, sont utilisés par Mann, mais bon, bref, c’est du Warm et sa crapulerie ordinaire, n’est ce pas.
    ———————————–

    Il y a 120 proxy utilisé dans l’étude, si 2 proxys posent problème, est-ce que les exclure change quoi que ce soit à la conclusion ? Dans les suppléments, vous trouverez toutes sortes de vérifications, dont par exemple des résultats en excluant complètement la dendro…
    Mais bon, quand on a pas d’arguments, on attaque les scientifiques, c’est vrai que c’est plus simple…

    ——————————-
    Ensuite, la reconstruction de Ljungqvist ne montre absolument pas une courbe en crosse de hockey
    ————————–

    On ne doit pas avoir les mêmes yeux 🙂

    ———————–
    et encore moins « une idée précise des variations » (vu que l’incertitude est de l’ordre du °C, donc les variations modernes de l’ordre du dixième de °C relèvent du bruit) bref tout le contraire de ce qu’avance Bat.
    ———————–

    Le réchauffement de l’HN sur le XXe siècle (qui est le sujet de l’étude) est bien supérieur à 1C, comme précisé dans l’étude

    ——————————–
    On notera au passage que, si l’on en croit la reconstruction de Ljungqvist , le fait que l’optimum médiéval est bien présent et aussi chaud que maintenant et que le climat s’est refroidi tout au long du millénaire jusqu’au PAG, TOUT SEUL, comme un grand, est une réfutation cinglante de la théorie de l’effet de serre, une de plus encore.
    ————————-

    Absolument pas… Le CO2 n’est devenu un acteur majeur du climat que sur le XXe siècle. Auparavant, il y a d’autre forçages radiatifs qui rentre en jeu. Le plus important, et totalement irréfutable parce que basé sur la mécanique céleste, c’est la décroissance millénaire de l’insolation estivale dans l’arctique depuis l’optimum holocène il y a 10’000ans environ, qui a entrainé une baisse de T progressive (lire par exemple Kaufmann 2009: http://public.wsu.edu/~forda/285/Kaufman%20ea_Acrtic%20cooling%20reverse_2009.pdf ).

    Autre facteur: l’activité solaire (minimum de Maunder), et volcanique (un tout nouvel article sur le sujet: http://www.agu.org/pubs/crossref/2012/2011GL050168.shtml )

    Autre erreur de votre part, l’étude dont on parle ne montre pas un optimum médiéval aussi chaud qu’aujourd’hui, il montre un optimum médiéval aussi chaud que la moyenne du XXe siècle, tout en sachant que le début du XXIe est un degré plus haut que cette moyenne (c’est du reste, exactement ce que trouve Mann 2008): tout celà est écrit noir sur blanc dans l’étude… Je vous invite également à lire les suppléments, où vous avez une reconstruction qui comprend uniquement les proxys qui couvrent toute la période (816 à 1984, 52 proxys), ou les proxys allant jusqu’à 1995 (34 proxys): ces 2 reconstructions montrent un XXe siècle plus chaud que l’optimum médiéval, placé du reste au Xe siècle, période non couverte dans l’étude originale de la crosse de Hockey (Mann 1999).

    ————————-
    Bref, l’effet de serre est majoritairement aux abonnés absents à toutes les échelles de temps, pendant 700 ans sur 1000, pendant plus de la moitié du temps sur ces dernières décennies (refroidissement 1950-1975, puis 1998-2011). Aucune vraie science ne peut survivre à une réfutation aussi massive, preuve que le réchauffisme est une science pathologique.
    Le roi carbonique est nu et les bigots réchauffistes de continuer à clamer « vive le roi ». Cherchez l’erreur…
    —————————–

    L’effet de serre a été présent depuis le début de l’histoire de la terre, ne racontez pas n’importe quoi…

    • Warm : « Il y a 120 proxy utilisé dans l’étude, si 2 proxys posent problème, est-ce que les exclure change quoi que ce soit à la conclusion ? »
      ————————
      Là n’est pas la question, n’essaie pas de faire diversion, tu as menti et exagéré comme dab en disant que c’est TOTALEMENT INDEPENDANT de Mann alors qu’il y a deux proxies liés à Mann, point barre. C’est peut-être un détail, mais ça en dit long sur ta crapulerie et ta manie d’affabuler.

      ———————
      Warm : « Le réchauffement de l’HN sur le XXe siècle (qui est le sujet de l’étude) est bien supérieur à 1C, comme précisé dans l’étude »
      ———————–
      « Bien supérieur » à 1°C, ça ne veut rien dire, tu brasses du vent. Et tu insinues quoi, qu’il vaut mieux croire à un réchauffement « bien supérieur à 1°C » d’une reconstruction à partir de proxies au lieu du réchauffement de 1,1°C donné par les mesures instrumentales modernes (sur lesquelles sont basées d’ailleurs la calibration de proxies). T’es sacrément tordu comme mec.

      Warm : « Absolument pas… Le CO2 n’est devenu un acteur majeur du climat que sur le XXe siècle. Auparavant, il y a d’autre forçages radiatifs qui rentre en jeu. Le plus important, et totalement irréfutable parce que basé sur la mécanique céleste, c’est la décroissance millénaire de l’insolation estivale dans l’arctique depuis l’optimum holocène il y a 10’000ans environ, qui a entrainé une baisse de T progressive (lire par exemple Kaufmann 2009: »
      ———————-
      N’importe quoi ! Ce que tu ne comprends pas, pov tache, c’est que les explications ad hoc et apostiori que tu sors du chapeau pour expliquer les causes de la baisse millénaire de température selon Ljungqvist, tu ne peux pas les utiliser AUSSI pour expliquer le plat millénaire de la température selon la courbe en crosse de hockey de Mann et abondamment utilisée par la FARCE. Vu qu’on a qu’une terre et une seule température, c’est soit une courbe, soit l’autre et les mêmes causes ne peuvent pas expliquer deux courbes différentes. Bref, tes explications à la vas-y-que-je-te-pousse typique du réchauffisme, poubelle.

      ———————————–
      « il montre un optimum médiéval aussi chaud que la moyenne du XXe siècle, tout en sachant que le début du XXIe est un degré plus haut que cette moyenne »
      ———————————–
      Le début du 21e siècle ne peut pas être à 1°C plus haut (pour l’HN) que la moyenne du 20e siècle, ne raconte pas n’importe quoi !
      Les températures instrumentales ne montrent rien de tel, donc soit le papier a conclut à une telle chose que donc l’auteur a complètement déliré, soit tu as raconté un bobard grotesque. Vu que tu es un serial bonimenteur, je pencherai sur la deuxième hypothèse (je peux me tromper).

      ————————–
      « L’effet de serre a été présent depuis le début de l’histoire de la terre, ne racontez pas n’importe quoi… »
      ————————–
      Si tu parles de l’effet de serre qui était 5 fois plus importante que maintenant mais qui n’a pas transformé la Terre en Vénus, de l’effet de serre qui n’arrive pas réchauffer la Terre pendant 15 ans alors qu’il a augmenté sur la même période, de l’effet de serre qui refroidit la Terre entre 1950 et 1975 alors qu’on était en plein 30 glorieuses et qu’on émettait les GES comme des porcs, alors non, cet effet de serre n’a jamais été présent sur Terre, il n’existe que dans les ordinateurs de la fraternité alarmiste du RCA et il est contredit en long et en large par la réalité.

      • « Là n’est pas la question, n’essaie pas de faire diversion, tu as menti et exagéré comme dab en disant que c’est TOTALEMENT INDEPENDANT de Mann alors qu’il y a deux proxies liés à Mann, point barre. C’est peut-être un détail, mais ça en dit long sur ta crapulerie et ta manie d’affabuler. »

        Affabulation ? L’étude est bien indépendante de Mann. Si on suit votre interprétation, le site des Idso (Co2Sciences) est pourri parce qu’on y trouve des références à des Proxy qui ont été utilisé dans Mann 2008… Un peu de sérieux, c’est fatiguant ces attaques ad hominem.

        ——————-
        « Bien supérieur » à 1°C, ça ne veut rien dire, tu brasses du vent. Et tu insinues quoi, qu’il vaut mieux croire à un réchauffement « bien supérieur à 1°C » d’une reconstruction à partir de proxies au lieu du réchauffement de 1,1°C donné par les mesures instrumentales modernes (sur lesquelles sont basées d’ailleurs la calibration de proxies). T’es sacrément tordu comme mec.
        ————————

        Mon propos est de souligner que la reconstruction de cette étude ne montre pas qu’aujourd’hui (soit le début du XXIe siècle) est aussi chaud que l’optimum médiéval (placé vers le Xe siècle): la moyenne du XXe siècle est équivalent à la moyenne du siècle le plus plus chaud de l’optimum médiéval. Mais le début du XXIe siècle (pour l’HN) est 1 degré au dessus de la moyenne du XXe… relisez mieux l’article.

        —————-
        N’importe quoi ! Ce que tu ne comprends pas, pov tache, c’est que les explications ad hoc et apostiori que tu sors du chapeau pour expliquer les causes de la baisse millénaire de température selon Ljungqvist, tu ne peux pas les utiliser AUSSI pour expliquer le plat millénaire de la température selon la courbe en crosse de hockey de Mann et abondamment utilisée par la FARCE. Vu qu’on a qu’une terre et une seule température, c’est soit une courbe, soit l’autre et les mêmes causes ne peuvent pas expliquer deux courbes différentes. Bref, tes explications à la vas-y-que-je-te-pousse typique du réchauffisme, poubelle.
        —————–

        Cette étude est très proche des conclusion de Mann09. Quand à comparer avec Mann1999, c’est une autre histoire: cette reconstruction (la fameuse courbe de hockey) ne remonte pas aussi loin ! Enlever les 200 premières années à la fig 4 de Ljungqvist2012, et c’est largement comparable à Mann1999: même si le refroidissement du petite âge glaciaire est un peu plus prononcé (comme dans Mann09, du reste), en tenant compte des incertitudes, c’est superposable…

        ———————
        Le début du 21e siècle ne peut pas être à 1°C plus haut (pour l’HN) que la moyenne du 20e siècle, ne raconte pas n’importe quoi !
        Les températures instrumentales ne montrent rien de tel, donc soit le papier a conclut à une telle chose que donc l’auteur a complètement déliré, soit tu as raconté un bobard grotesque. Vu que tu es un serial bonimenteur, je pencherai sur la deuxième hypothèse (je peux me tromper).
        —————

        C’est ce que disent les auteurs pg. 243 en se basant sur les T HadCRU3

        « A widespread NH warming since the late 19th century
        is clearly illustrated in the maps. The regions with sufficient
        data show that the 1890s to 1910s were colder than
        the 20th century mean and that the 1990s was the warmest
        decade in the last century. The first decade in the 21st century
        was more than 1 C above the 20th century mean. »

        Il s’agit des températures « land only »… ceci explique cela

        • Warm : « Affabulation ? L’étude est bien indépendante de Mann. Si on suit votre interprétation, le site des Idso (Co2Sciences) est pourri parce qu’on y trouve des références à des Proxy qui ont été utilisé dans Mann 2008… »
          ——————–
          Pour le site CO2science, même en supposant qu’il contient des proxies utilisés par Mann (affirmation gratuite de ta part), personne n’a clamé que c’est « totalement » indépendant de Mann. Contrairement à toi qui a affirmé sans vergogne que l’étude de Ljungqvist est « totalement » indépendant de Mann alors qu’elle ne l’est pas totalement. Donc je confirme, tu es bien un menteur compulsif, mais bon, j’enfonce une porte ouverte.

          —————————-
          « Enlever les 200 premières années à la fig 4 de Ljungqvist2012, et c’est largement comparable à Mann1999: même si le refroidissement du petite âge glaciaire est un peu plus prononcé (comme dans Mann09, du reste), en tenant compte des incertitudes, c’est superposable… »
          ———————
          Bah non, enlever la période 800-1000 ne change rien, l’optimum médiéval est toujours aussi chaud voire plus que maintenant, donc rien à voir avec la crosse de hockey de Mann. La différence entre les courbes de Ljungqvist2012 et celle de Mann1999 est bien pire si on regarde juste la reconstruction par dendrochronologie pour faire une vraie comparaison (Mann99 n’utilise que 12 proxies tous basés sur les cernes). Oser qualifier une différence aussi flagrante de « superposable » (admirez la précision toute scientifique de la terminologie du réchauffiste), c’est de l’escroquerie, surtout quand on se rappelle que tu as cité exprès le papier de Ljungqvist pour défendre l’affirmation grotesque de Bat ( » beaucoup de travaux montrent la même chose que la crosse de hockey de Mann »). Mentir et encore mentir, c’est tout ce que tu peux faire pour défendre une théorie foireuse.

          ———————————
          Warm : « C’est ce que disent les auteurs pg. 243 en se basant sur les T HadCRU3
          « A widespread NH warming since the late 19th century
          is clearly illustrated in the maps. The regions with sufficient
          data show that the 1890s to 1910s were colder than
          the 20th century mean and that the 1990s was the warmest
          decade in the last century. The first decade in the 21st century
          was more than 1 C above the 20th century mean. »

          Il s’agit des températures « land only »… ceci explique cela »
          ———————————
          Oui, donc on est parti d’une température soit disant sans précédent (« début du XXIe est un degré plus haut que la moyenne du 20e siècle » ) et on s’aperçoit que c’est juste la température de l’HN et puis finalement juste la température de l’HN land-only, soit à peine 1/5 de la surface terrestre. C’est très loin de la prétention avancée par la Moule sur les « travaux convergents qui donnent une idée précise des variations » du climat terrestre. Exagération et enfumage réchauffiste une fois de plus donc.

          Mais bon soit, ok, Ljungqvist a dit que la décennie du 21e siècle est plus de 1°C au dessus de la moyenne du 20e siècle. Mais c’est pas parce qu’il l’a dit que c’est vrai. On peut vérifier très simplement et on constate que c’est archi-faux parce qu’aucune série ne montre un tel réchauffement. Que ce soit chez GISS ou HadCruT même en fraudant honteusement en « refroidissant le passé » (c’est amplement documenté et prouvé), on trouve tout au plus 0,8°C et non pas « plus de 1°C » pour l’HN land-only, Donc ton ultime tentative désespérée pour faire croire que Ljungqvist 2012 montre des courbes en crosse de hockey « superposables » à celle de Mann, poubelle.
          http://www.woodfortrees.org/plot/crutem3vnh/from:1900/mean:12/plot/crutem3vnh/from:1900/to:2000/trend/plot/crutem3vnh/from:2000/trend

  • Bat : « Quand Jouzel dit qu’un événement climatique ets conforme à ce qui est prévu par un modèle, il dit juste qu’il n’est pas étonné, pas que cela prouve quoi que ce soit. »
    ——————————-
    Vous mentez effrontément, encore et toujours. Jouzel n’arrête pas de raconter que ça « démontre le réchauffement climatique » quand ça va dans son sens et que « c’est la météo » quand ça ne l’arrange pas, on a les preuves de ce qu’il dit noir sur blanc. Pas plus tard qu’il y a quelques semaines, il avait déclaré partout que «L’hiver exceptionnellement doux démontre le réchauffement climatique», vous allez sans doute nier ça aussi ???
    http://www.20minutes.fr/article/851177/jean-jouzel-l-hiver-exceptionnellement-doux-demontre-rechauffement-climatique
    Vos dénégations ne sont donc pas seulement grotesques, elles sont désespérées, il faut avoir un esprit dérangé pour persister autant dans l’erreur en s’accrochant à des mensonges aussi manifestes.

    ———————————–
    MC : « Ce n’était peut-être pas vous qui pinailliez sur les reconstructions paléoclimatiques? D’accord, il y a des travaux, mais pas pas assez « à peu près indépendants (…) de celui de Mann et la Team », pour reprendre vos termes. La suite de votre échange avec Warm le confirme: on vous donne d’autres références, mais vous les rejetez à nouveau car cela contient quelques proxies qui ne vous plaisent pas. »
    ———————————–
    Au contraire, j’ai discuté et je n’ai pas rejeté la réf. donnée par Warm sur Ljungqvist, un scientifique honorable qui respecte à peu près l’éthique sur la transparence des données contrairement aux tricheurs comme Mann & co. Vous délirez à bloc en m’accusant de « rejeter les références », il faut apprendre à lire, mon gars !

    Quand je dis que votre liste de liens sans queue ni tête (ou celui de Warm) ne rime à rien, ça ne veut en aucun cas dire que la « littérature scientifique ne me plaît pas », il n’y a que vous pour faire une interprétation aussi débile.
    C’est comme si vous colliez tous les liens sur la recherche sur le cancer en disant que ceux qui ne croient pas que la poudre de requin guérissent le cancer ne croient pas à la littérature scientifique, j’espère que vous rendez compte de la stupidité de l’amalgame. S’il suffit de coller un lien sur un papier qui va dans votre sens pour avoir raison, alors des liens, je peux en coller des centaines qui disent que la théorie du RC anthropique est de la foutaise. Ces plus de 900 papiers sceptiques http://www.populartechnology.net/2009/10/peer-reviewed-papers-supporting.html vous allez dire que c’est de « l’entourloupe » peut-être ? (ah oui, que suis-je bête, l’entourloupe, c’est toujours quand le papier est sceptique, jamais quand c’est alarmiste !).
    Dans n’importe quel domaine en science, une théorie avec autant de réfutations serait mise à la poubelle depuis longtemps. Mais avec le réchauffisme, il suffit d’ignorer les preuves contraires pour que ça n’existe plus, preuve s’il en est besoin de la malhonnêteté et d’absence de scrupule des défenseurs de cette escroquerie du siècle.

    ———————–
    MC : « C’est cela que je vous reproche et que je reproche aux sceptiques: vous exigez sans cesse des informations, des « preuves », mais vous seuls, avec des critères que vous décidez seuls (pour autant qu’il y en ait), »
    ———————–
    Bah non, c’est encore une fois de plus votre interprétation loufoque et parano des faits. Les sceptiques ne demandent rien d’autre que des critères scientifiques de base, comme par ex. la transparence des données pour permettre la réplication, l’arrêt de toutes les basses manoeuvres pour écarter les chercheurs sceptiques (cf les emails du climategate), la présentation neutre et objective de l’état de la science et non l’activisme politique et les pemanentes exagérations des climatologues, etc… Peut-on dire que les grand prêtres de l’Eglise de Climatologies comme Mann, Jones, Schellnhuber, Jouzel, Le Treut, van Persele… remplissent ces critères de base ? De toute évidence, NON !

    ———————–
    « Votre démarche ne diffère guère de la grotesque et pathétique blogueuse canadienne Laframboise qui s’amuse à dénoncer la mauvaise science en examinant (très mal à un point que ça en devient drôle) la littérature « recevable » à ses yeux, ou en épluchant les CV des chercheurs via Google pour les décrédibiliser… »
    ———————–
    Ne soyez pas ridicule, si ces chercheurs n’ont rien à se reprocher dans leur CV, alors il n’y a rien à dénoncer et encore moins décrédibiliser en épluchant leur CV. Vous voudriez qu’elle fasse quoi pour son travail d’investigation, qu’elle dénonce en se basant sur des rumeurs comme le font les escrologistes ou en se basant sur l’examen des CV ? Donc c’est vos accusations gratuites portée sur une journaliste attachée à la transparence qui sont pathétiques. C’est typique des cafards, ça aime bien bouffer chez les autres mais ça n’aime pas la transparence ni la lumière.

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Par Alexander C. R. Hammond et Gale L. Pooley[1. Gale L. Pooley est économiste, professeur associé à la Brigham Young University de Hawaï.], depuis les États-Unis.

 

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