PS : réinsertion de délinquants

Après la polémique sur le passé délinquant (en col blanc) de notre nouveau Premier Ministre, les socialistes soutiennent Taubira et ses réinsertions en nommant Harlem Désir à la tête du PS, ancien condamné pour emplois fictifs.

Partager sur:
Sauvegarder cet article
Aimer cet article 0
imgscan contrepoints672 Désir Ayrault

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don

PS : réinsertion de délinquants

Publié le 11 septembre 2012
- A +

Le regard de René Le Honzec.

Après la polémique sur le passé délinquant (en col blanc) de notre nouveau First Ministre (ne pas confondre avec la First Girl Friend), les socialistes soutiennent Taubira et ses réinsertions en nommant Harlem Désir à la tête du PS, ancien condamné pour emplois fictifs (à 18 mois et amende de 30 000 F). Nul doute que les malfrats de Marseille ou de Corse vont frémir de peur à l’idée de finir grand commis de l’État.

Voir les commentaires (4)

Laisser un commentaire

Créer un compte Tous les commentaires (4)
  • Il n’y a donc qu’une seule solution : interdiction à vie de responsabilité politique en cas de condamnation.

    • Ben non. Sinon, il devient très facile d’éliminer des opposants.
      Les électeurs sont cons : Ils en redemandent. C’est de leur faute

      • C’est parfois vrai mais souvent faux ; Harlem par exemple n’a jamais réussi à se faire élire sur son nom, seulement dans le cadre d’une liste.
        Ça ne me choque pas qu’on « élimine trop » : si on manque de candidats valables ce n’est certainement pas parce qu’on est trop méchant sur le critère de condition d’éligibilité ! Si un jour on commencait à manquer de repris de justice-candidats, il serait temps de devenir moins sévère que la proposition Necropaul… De toute façon être inéligible n’est pas une tare grave qui change la vie ; en fait, pour le commun des mortel perdre son permis de conduire est infiniment plus grave que perdre une éligibilité en pratique inutile, car inutilisable (se faire élire sans être d’un parti étant quasi impossible).

        • La question n’est pas de savoir si on manque de candidats, mais si on manque des bons.
          Faire procès sur procès à des types qu’on n’aime pas jusqu’à ce qu’il y ait une condamnation qui passe, au besoin grâce à la connivence d’un juge rouge, c’est pas impossible, loin de là.

          Tiens, il n’y a pas longtemps, Zemmour s’est fait condamner pour avoir dit la vérité….

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don

L’économisme de gauche le plus archaïque est bien parti pour revenir peu ou prou aux affaires et, avec lui, le magistère d’économistes théoriciens non-pratiquants, comme Élie Cohen, réputé faire consensus. L’objectivité et l’omniscience prêtées à ceux-ci par ce dernier reposent depuis longtemps sur un dosage subtil et pourtant largement déséquilibré entre libéralisme et interventionnisme d’État agrémenté d’antinucléarisme « raisonnable ». 

 

Dans cette caste séculairement omniprésente sur les plateaux télé, on trouve le dis... Poursuivre la lecture

Lors de son discours de politique générale, Gabriel Attal a annoncé deux milliards d’euros de baisses d’impôts pour les classes moyennes, financées par la solidarité nationale.

En langage courant, cela signifie payé par les riches. Les classes moyennes ne devraient pas se réjouir trop tôt : François Hollande avait déjà opéré ce type de transfert fiscal au début de son quinquennat et pour lui, être riche commençait à 4000 euros par mois. Le jeune Gabriel Attal était à cette époque membre du cabinet de Marisol Touraine. Le fruit ne tombe... Poursuivre la lecture

Par Victor Fouquet. Un article de l'IREF

Après l’Assemblée nationale le 5 juin, le Sénat a, à son tour, rejeté le 3 juillet les deux projets de loi de règlement du budget et d’approbation des comptes pour les années 2021 et 2022, les dépenses du budget de l’État atteignant un niveau historiquement élevé malgré un contexte de reprise économique.

Pour rappel, le Parlement avait déjà rejeté le projet de loi de règlement pour 2021 l’été dernier. Si elle n’a pas de conséquences financières à proprement parler, l’absence de loi de règ... Poursuivre la lecture

Voir plus d'articles