Les connaissances scientifiques actuelles n’accréditent pas les propos de Ban Ki-Moon sur le climat selon une lettre ouverte de 125 scientifiques au secrétaire général de l’ONU.
Tribune parue initialement dans le Financial Post.
First Avenue and East 44thStreet, New York, New York, U.S.A. November 29, 2012
M. Le Secrétaire-Général :
Le 9 Novembre de cette année, vous avez déclaré à l’Assemblée Générale de l’ONU : « les conditions climatiques extrêmes sont devenues la norme […] Notre défi reste clair et urgent : réduire les émissions de gaz à effet de serre, renforcer l’adaptation aux […] chocs climatiques de grande ampleur […] et parvenir à un accord légalement lié au climat d’ici à 2015 […] Cela devrait être l’une des principales leçons de l’ouragan Sandy. »
Le 13 novembre, à Yale, vous avez professé : « La science est claire, nous ne devrions plus perdre de temps sur ce débat. »
Le jour suivant, au Webcast d’Al Gore « Dirty Weather », vous avez parlé de « tempêtes bien plus dévastatrices, de sécheresses bien plus dures, de plus importantes inondations », concluant « deux semaines plus tôt, l’ouragan Sandy frappait la côte maritime de l’est des États-Unis. Un pays prenait conscience de la réalité du changement climatique. La guérison coûtera des dizaines de milliards de dollars. Le coût de l’inaction sera bien plus grand. Nous devons réduire notre dépendance aux émissions carbones. »
Nous soussignés, qualifiés sur les problématiques liées au climat, souhaitons vous faire part que les connaissances scientifiques actuelles n’accréditent pas vos déclarations.
Le Met Office du Royaume-Uni a récemment publié des données démontrant que sur les 16 dernières années, il n’y avait pas eu de réchauffement climatique statistiquement significatif. Durant cette période, selon le National Oceanic and Atmospheric Administration des États-Unis (ndlt : Agence Nationale pour l’étude des Océans et de l’Atmosphère), les concentrations en dioxyde de carbone ont augmenté de près de 9% pour constituer aujourd’hui une part de 0,039% de l’atmosphère. Un réchauffement climatique n’ayant pas encore eu lieu ne peut être à l’origine des conditions météorologiques extrêmes de ces dernières années. Comment, quand et dans quelle mesure un réchauffement atmosphérique pourrait reprendre est une question encore en suspens. La science n’est pas claire. Certains scientifiques démontrent qu’un refroidissement naturel est également possible dans un avenir proche, de par les variations dans les rayonnements solaires.
Les « chocs climatiques de grande ampleur» dont vous avez fait part seraient bien plus terribles si le monde refroidissait que si le monde se réchauffait. Le climat varie naturellement tout le temps, parfois dramatiquement. L’hypothèse que nos émissions de CO2 aient causé ou causent des réchauffement dangereux n’est appuyé par aucune preuve.
La fréquence et la gravité des climats extrêmes n’a pas augmenté. Il y a peu de preuves que des événements dangereux liés au climat aient lieux plus souvent dans le futur. Le groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat de l’ONU même indique dans son Rapport Spécial sur le Climat Extrême (2012) qu’il y a « une absence de signal attribuable au changement climatique » dans les tendances des dégâts causés par les climats extrêmes à cette date. Les fonds actuellement dédiés à essayer de stopper les événements météorologiques extrêmes devraient être dédiés à renforcer nos infrastructures afin de permettre de résister à ces événements naturels et inévitables, et à aider les communautés à reconstruire après le passage de catastrophes naturelles telle que la tempête tropicale Sandy.
Il n’y a pas de raison solide pour les coûteuses et restrictives décisions politiques publiques proposées à la conférence sur le climat de l’ONU au Qatar. Une analyse rigoureuse issue de données observables et non biaisées n’appuie pas les projections sur un réchauffement mondial futur prédit par les modèles d’ordinateurs dont l’exagération sur le réchauffement et ses effets est aujourd’hui prouvé.
Le rapport « État sur le Climat en 2008 » de la NOAA affirme que 15 années ou plus sans réchauffement significatif en termes de statistiques indiquerait une divergence entre les observations et les prédictions. Seize années sans réchauffement ont ainsi prouvé que les modèles sont faux par les critères même de leurs créateurs.
Basés sur ces considérations, nous demandons à ce que vous cessiez d’exploiter la misère des familles de ceux qui ont péri ou qui ont tout perdu dans la tempête tropicale Sandy en faisant d’insupportables déclarations sur les causes humaines à l’origine de cette tempête. C’est faux. Nous vous demandons également de reconnaître que les actions politiques faites par l’ONU, ou par les membres signataires de l’UNFCCC, ayant pour but une réduction des émissions de CO2 ne sont pas à même d’exercer une quelconque influence significative sur le climat futur. Les politiques climatiques, de fait, doivent se focaliser sur les préparations et les adaptations également nécessaires à tout événement climatique dangereux, quelles qu’en soient les causes.
Traduction : Virginie Ngo pour Contrepoints.
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Signataires :
- Habibullo I. Abdussamatov, Dr. Sci., mathematician and astrophysicist, Head of the Selenometria project on the Russian segment of the ISS, Head of Space Research of the Sun Sector at the Pulkovo Observatory of the Russian Academy of Sciences, St. Petersburg, Russia
- Syun-Ichi Akasofu, PhD, Professor of Physics, Emeritus and Founding Director, International Arctic Research Center of the University of Alaska, Fairbanks, Alaska, U.S.A.
- Bjarne Andresen, Dr. Scient., physicist, published and presents on the impossibility of a “global temperature”, Professor, Niels Bohr Institute (physics (thermodynamics) and chemistry), University of Copenhagen, Copenhagen, Denmark
- J. Scott Armstrong, PhD, Professor of Marketing, The Wharton School, University of Pennsylvania, Founder of the International Journal of Forecasting, focus on analyzing climate forecasts, Philadelphia, Pennsylvania, U.S.A.
- Timothy F. Ball, PhD, environmental consultant and former climatology professor, University of Winnipeg, Winnipeg, Manitoba, Canada
- James R. Barrante, Ph.D. (chemistry, Harvard University), Emeritus Professor of Physical Chemistry, Southern Connecticut State University, focus on studying the greenhouse gas behavior of CO2, Cheshire, Connecticut, U.S.A.
- Colin Barton, B.Sc., PhD (Earth Science, Birmingham, U.K.), FInstEng Aus Principal research scientist (ret.), Commonwealth Scientific and Industrial Research Organisation (CSIRO), Melbourne, Victoria, Australia
- Joe Bastardi, BSc, (Meteorology, Pennsylvania State), meteorologist, State College, Pennsylvania, U.S.A.
- Franco Battaglia, PhD (Chemical Physics), Professor of Physics and Environmental Chemistry, University of Modena, Italy
- Richard Becherer, BS (Physics, Boston College), MS (Physics, University of Illinois), PhD (Optics, University of Rochester), former Member of the Technical Staff – MIT Lincoln Laboratory, former Adjunct Professor – University of Connecticut, Areas of Specialization: optical radiation physics, coauthor – standard reference book Optical Radiation Measurements: Radiometry, Millis, MA, U.S.A.
- Edwin X. Berry, PhD (Atmospheric Physics, Nevada), MA (Physics, Dartmouth), BS (Engineering, Caltech), Certified Consulting Meteorologist, President, Climate Physics LLC, Bigfork, MT, U.S.A.
- Ian Bock, BSc, PhD, DSc, Biological sciences (retired), Ringkobing, Denmark
- Ahmed Boucenna, PhD, Professor of Physics (strong climate focus), Physics Department, Faculty of Science, Ferhat Abbas University, Setif, Algéria
- Antonio Brambati, PhD, Emeritus Professor (sedimentology), Department of Geological, Environmental and Marine Sciences (DiSGAM), University of Trieste (specialization: climate change as determined by Antarctic marine sediments), Trieste, Italy
- Stephen C. Brown, PhD (Environmental Science, State University of New York), District Agriculture Agent, Assistant Professor, University of Alaska Fairbanks, Ground Penetrating Radar Glacier research, Palmer, Alaska, U.S.A.
- Mark Lawrence Campbell, PhD (chemical physics; gas-phase kinetic research involving greenhouse gases (nitrous oxide, carbon dioxide)), Professor, United States Naval Academy, Annapolis, Maryland, U.S.A.
- Rudy Candler, PhD (Soil Chemistry, University of Alaska Fairbanks (UAF)), former agricultural laboratory manager, School of Agriculture and Land Resources Management, UAF, co-authored papers regarding humic substances and potential CO2 production in the Arctic due to decomposition, Union, Oregon, U.S.A.
- Alan Carlin, B.S. (California Institute of Technology), PhD (economics, Massachusetts Institute of Technology), retired senior analyst and manager, U.S. Environmental Protection Agency, Washington, DC, former Chairman of the Angeles Chapter of the Sierra Club (recipient of the Chapter’s Weldon Heald award for conservation work), U.S.A.
- Dan Carruthers, M.Sc., Arctic Animal Behavioural Ecologist, wildlife biology consultant specializing in animal ecology in Arctic and Subarctic regions, Turner Valley, Alberta, Canada
- Robert M. Carter, PhD, Professor, Marine Geophysical Laboratory, James Cook University, Townsville, Australia
- Uberto Crescenti, PhD, Full Professor of Applied Geology, Università G. d’Annunzio, Past President Società Geologica taliana, Chieti, Italy
- Arthur Chadwick, PhD (Molecular Biology), Research Professor of Geology, Department of Biology and Geology, Southwestern Adventist University, Climate Specialties: dendrochronology (determination of past climate states by tree ring analysis), palynology (same but using pollen as a climate proxy), paleobotany and botany; Keene, Texas, U.S.A.
- George V. Chilingar, PhD, Professor, Department of Civil and Environmental Engineering of Engineering (CO2/temp. focused research), University of Southern California, Los Angeles, California, U.S.A.
- Ian D. Clark, PhD, Professor (isotope hydrogeology and paleoclimatology), Dept. of Earth Sciences, University of Ottawa, Ottawa, Ontario, Canada
- Cornelia Codreanova, Diploma in Geography, Researcher (Areas of Specialization: formation of glacial lakes) at Liberec University, Czech Republic, Zwenkau, Germany
- Michael Coffman, PhD (Ecosystems Analysis and Climate Influences, University of Idaho), CEO of Sovereignty International, President of Environmental Perspectives, Inc., Bangor, Maine, U.S.A.
- Piers Corbyn, ARCS, MSc (Physics, Imperial College London)), FRAS, FRMetS, astrophysicist (Queen Mary College, London), consultant, founder WeatherAction long range weather and climate forecasters, American Thinker Climate Forecaster of The Year 2010, London, United Kingdom
- Richard S. Courtney, PhD, energy and environmental consultant, IPCC expert reviewer, Falmouth, Cornwall, United Kingdom
- Roger W. Cohen, B.S., M.S., PhD Physics, MIT and Rutgers University, Fellow, American Physical Society, initiated and managed for more than twenty years the only industrial basic research program in climate, Washington Crossing, Pennsylvania, U.S.A.
- Susan Crockford, PhD (Zoology/Evolutionary Biology/Archaeozoology), Adjunct Professor (Anthropology/Faculty of Graduate Studies), University of Victoria, Victoria, British Colombia, Canada
- Walter Cunningham, B.S., M.S. (Physics – Institute of Geophysics And Planetary Sciences, UCLA), AMP – Harvard Graduate School of Business, Colonel (retired) U.S. Marine Corps, Apollo 7 Astronaut., Fellow – AAS, AIAA; Member AGU, Houston, Texas, U.S.A.
- Joseph D’Aleo, BS, MS (Meteorology, University of Wisconsin), Doctoral Studies (NYU), CMM, AMS Fellow, Executive Director – ICECAP (International Climate and Environmental Change Assessment Project), College Professor Climatology/Meteorology, First Director of Meteorology The Weather Channel, Hudson, New Hampshire, U.S.A.
- David Deming, PhD (Geophysics), Professor of Arts and Sciences, University of Oklahoma, Norman, Oklahoma, U.S.A.
- James E. Dent; B.Sc., FCIWEM, C.Met, FRMetS, C.Env., Independent Consultant (hydrology & meteorology), Member of WMO OPACHE Group on Flood Warning, Hadleigh, Suffolk, England, United Kingdom
- Willem de Lange, MSc (Hons), DPhil (Computer and Earth Sciences), Senior Lecturer in Earth and Ocean Sciences, The University of Waikato, Hamilton, New Zealand
- Silvia Duhau, Ph.D. (physics), Solar Terrestrial Physics, Buenos Aires University, Buenos Aires, Argentina
- Geoff Duffy, DEng (Dr of Engineering), PhD (Chemical Engineering), BSc, ASTCDip. (first chemical engineer to be a Fellow of the Royal Society in NZ), FIChemE, wide experience in radiant heat transfer and drying, chemical equilibria, etc. Has reviewed, analysed, and written brief reports and papers on climate change, Auckland, New Zealand
- Don J. Easterbrook, PhD, Emeritus Professor of Geology, Western Washington, University, Bellingham, Washington, U.S.A.
- Ole Henrik Ellestad, former Research Director, applied chemistry SINTEF, Professor in physical chemistry, University of Oslo, Managing director Norsk Regnesentral and Director for Science and Technology, Norwegian Research Council, widely published in infrared spectroscopy, Oslo, Norway
- Per Engene, MSc, Biologist, Co-author – The Climate, Science and Politics (2009), Bø i Telemark, Norway
- Gordon Fulks, B.S., M.S., PhD (Physics, University of Chicago), cosmic radiation, solar wind, electromagnetic and geophysical phenomena, Portland, Oregon, U.S.A.
- Katya Georgieva, MSc (meteorology), PhD (solar-terrestrial climate physics), Professor, Space Research and Technologies Institute, Bulgarian Academy of Sciences, Sofia, Bulgaria
- Lee C. Gerhard, PhD, Senior Scientist Emeritus, University of Kansas, past director and state geologist, Kansas Geological Survey, U.S.A.
- Ivar Giaever PhD, Nobel Laureate in Physics 1973, professor emeritus at the Rensselaer Polytechnic Institute, a professor-at-large at the University of Oslo, Applied BioPhysics, Troy, New York, U.S.A.
- Albrecht Glatzle, PhD, ScAgr, Agro-Biologist and Gerente ejecutivo, Tropical pasture research and land use management, Director científico de INTTAS, Loma Plata, Paraguay
- Fred Goldberg, PhD, Adj Professor, Royal Institute of Technology (Mech, Eng.), Secretary General KTH International Climate Seminar 2006 and Climate analyst (NIPCC), Lidingö, Sweden
- Laurence I. Gould, PhD, Professor of Physics, University of Hartford, Past Chair (2004), New England Section of the American Physical Society, West Hartford, Connecticut, U.S.A.
- Vincent Gray, PhD, New Zealand Climate Coalition, expert reviewer for the IPCC, author of The Greenhouse Delusion: A Critique of Climate Change 2001, Wellington, New Zealand
- William M. Gray, PhD, Professor Emeritus, Dept. of Atmospheric Science, Colorado State University, Head of the Tropical Meteorology Project, Fort Collins, Colorado, U.S.A.
- Charles B. Hammons, PhD (Applied Mathematics), climate-related specialties: applied mathematics, modeling & simulation, software & systems engineering, Associate Professor, Graduate School of Management, University of Dallas; Assistant Professor, North Texas State University (Dr. Hammons found many serious flaws during a detailed study of the software, associated control files plus related email traffic of the Climate Research Unit temperature and other records and “adjustments” carried out in support of IPCC conclusions), Coyle, OK, U.S.A.
- William Happer, PhD, Professor, Department of Physics, Princeton University, Princeton, NJ, U.S.A.
- Hermann Harde, PhD, Professur f. Lasertechnik & Werkstoffkunde (specialized in molecular spectroscopy, development of gas sensors and CO2-climate sensitivity), Helmut-Schmidt-Universität, Universität der Bundeswehr Fakultät für Elektrotechnik, Hamburg, Germany
- Howard Hayden, PhD, Emeritus Professor (Physics), University of Connecticut, The Energy Advocate, Pueblo West, Colorado, U.S.A.
- Ross Hays, Meteorologist, atmospheric scientist, NASA Columbia Scientific Balloon Facility (currently working at McMurdo Station, Antarctica), Palestine, Texas, U.S.A.
- Martin Hovland, M.Sc. (meteorology, University of Bergen), PhD (Dr Philos, University of Tromsø), FGS, Emeritus Professor, Geophysics, Centre for Geobiology, University of Bergen, member of the expert panel: Environmental Protection and Safety Panel (EPSP) for the Ocean Drilling Program (ODP) and the Integrated ODP, Stavanger, Norway
- Ole Humlum, PhD, Professor of Physical Geography, Department of Physical Geography, Institute of Geosciences, University of Oslo, Oslo, Norway
- Craig D. Idso, PhD, Chairman of the Board of Directors of the Center for the Study of Carbon Dioxide and Global Change, Tempe, Arizona, U.S.A.
- Sherwood B. Idso, PhD, President, Center for the Study of Carbon Dioxide and Global Change, Tempe, Arizona, U.S.A.
- Larry Irons, BS (Geology), MS (Geology), Sr. Geophysicist at Fairfield Nodal (specialization: paleoclimate), Lakewood, Colorado, U.S.A.
- Terri Jackson, MSc (plasma physics), MPhil (energy economics), Director, Independent Climate Research Group, Northern Ireland and London (Founder of the energy/climate group at the Institute of Physics, London), United Kingdom
- Albert F. Jacobs, Geol.Drs., P. Geol., Calgary, Alberta, Canada
- Hans Jelbring, PhD Climatology, Stockholm University, MSc Electronic engineering, Royal Institute of Technology, BSc Meteorology, Stockholm University, Sweden
- Bill Kappel, B.S. (Physical Science-Geology), B.S. (Meteorology), Storm Analysis, Climatology, Operation Forecasting, Vice President/Senior Meteorologist, Applied Weather Associates, LLC, University of Colorado, Colorado Springs, U.S.A.
- Olavi Kärner, Ph.D., Extraordinary Research Associate; Dept. of Atmospheric Physics, Tartu Observatory, Toravere, Estonia
- Leonid F. Khilyuk, PhD, Science Secretary, Russian Academy of Natural Sciences, Professor of Engineering (CO2/temp. focused research), University of Southern California, Los Angeles, California, U.S.A.
- William Kininmonth MSc, MAdmin, former head of Australia’s National Climate Centre and a consultant to the World Meteorological organization’s Commission for Climatology, Kew, Victoria, Australia
- Gerhard Kramm, Dr. rer. nat. (Theoretical Meteorology), Research Associate Professor, Geophysical Institute, Associate Faculty, College of Natural Science and Mathematics, University of Alaska Fairbanks, (climate specialties: Atmospheric energetics, physics of the atmospheric boundary layer, physical climatology – see interesting paper by Kramm et al), Fairbanks, Alaska, U.S.A.
- Leif Kullman, PhD (Physical geography, plant ecology, landscape ecology), Professor, Physical geography, Department of Ecology and Environmental science, Umeå University, Areas of Specialization: Paleoclimate (Holocene to the present), glaciology, vegetation history, impact of modern climate on the living landscape, Umeå, Sweden
- Hans H.J. Labohm, PhD, Independent economist, author specialised in climate issues, IPCC expert reviewer, author of Man-Made Global Warming: Unravelling a Dogma and climate science-related Blog, The Netherlands
- Rune Berg-Edland Larsen, PhD (Geology, Geochemistry), Professor, Dep. Geology and Geoengineering, Norwegian University of Science and Technology (NTNU), Trondheim, Norway
- C. (Kees) le Pair, PhD (Physics Leiden, Low Temperature Physics), former director of the Netherlands Research Organization FOM (fundamental physics) and subsequently founder and director of The Netherlands Technology Foundation STW. Served the Dutch Government many years as member of its General Energy Council and of the National Defense Research Council. Royal Academy of Arts and Sciences Honorary Medal and honorary doctorate in all technical sciences of the Delft University of technology, Nieuwegein, The Netherlands
- Douglas Leahey, PhD, meteorologist and air-quality consultant, past President – Friends of Science, Calgary, Alberta, Canada
- Jay Lehr, B.Eng. (Princeton), PhD (environmental science and ground water hydrology), Science Director, The Heartland Institute, Chicago, Illinois, U.S.A.
- Bryan Leyland, M.Sc., FIEE, FIMechE, FIPENZ, MRSNZ, consulting engineer (power), Energy Issues Advisor – International Climate Science Coalition, Auckland, New Zealand
- Edward Liebsch, B.A. (Earth Science, St. Cloud State University); M.S. (Meteorology, The Pennsylvania State University), former Associate Scientist, Oak Ridge National Laboratory; former Adjunct Professor of Meteorology, St. Cloud State University, Environmental Consultant/Air Quality Scientist (Areas of Specialization: micrometeorology, greenhouse gas emissions), Maple Grove, Minnesota, U.S.A.
- William Lindqvist, PhD (Applied Geology), Independent Geologic Consultant, Areas of Specialization: Climate Variation in the recent geologic past, Tiburon, California, U.S.A.
- Horst-Joachim Lüdecke, Prof. Dr. , PhD (Physics), retired from university of appl. sciences HTW, Saarbrücken (Germany), atmospheric temperature research, speaker of the European Institute for Climate and Energy (EIKE), Heidelberg, Germany
- Anthony R. Lupo, Ph.D., Professor of Atmospheric Science, Department of Soil, Environmental, and Atmospheric Science, University of Missouri, Columbia, Missouri, U.S.A.
- Oliver Manuel, BS, MS, PhD, Post-Doc (Space Physics), Associate – Climate & Solar Science Institute, Emeritus Professor, College of Arts & Sciences University of Missouri-Rolla, previously Research Scientist (US Geological Survey) and NASA Principal Investigator for Apollo, Cape Girardeau, Missouri, U.S.A.
- Francis Massen, professeur-docteur en physique (PhD equivalent, Universities of Nancy (France) and Liège (Belgium), Manager of the Meteorological Station of the Lycée Classique de Diekirch, specialising in the measurement of solar radiation and atmospheric gases. Collaborator to the WOUDC (World Ozone and UV Radiation Data Center), Diekirch, Luxembourg
- Henri Masson, Prof. dr. ir., Emeritus Professor University of Antwerp (Energy & Environment Technology Management), Visiting professor Maastricht School of Management, specialist in dynamical (chaotic) complex system analysis, Antwerp, Belgium.
- Ferenc Mark Miskolczi, PhD, atmospheric physicist, formerly of NASA’s Langley Research Center, Hampton, Virginia, U.S.A.
- Viscount Monckton of Brenchley, Expert reviewer, IPCC Fifth Assessment Report, Quantification of Climate Sensitivity, Carie, Rannoch, Scotland
- Nils-Axel Mörner, PhD (Sea Level Changes and Climate), Emeritus Professor of Paleogeophysics & Geodynamics, Stockholm University, Stockholm, Sweden
- John Nicol, PhD (Physics, James Cook University), Chairman – Australian climate Science Coalition, Brisbane, Australia
- Ingemar Nordin, PhD, professor in philosophy of science (including a focus on “Climate research, philosophical and sociological aspects of a politicised research area”), Linköpings University, Sweden.
- David Nowell, M.Sc., Fellow of the Royal Meteorological Society, former chairman of the NATO Meteorological Group, Ottawa, Ontario, Canada
- Cliff Ollier, D.Sc., Professor Emeritus (School of Earth and Environment – see his Copenhagen Climate Challenge sea level article here), Research Fellow, University of Western Australia, Nedlands, W.A., Australia
- Oleg M. Pokrovsky, BS, MS, PhD (mathematics and atmospheric physics – St. Petersburg State University, 1970), Dr. in Phys. and Math Sciences (1985), Professor in Geophysics (1995), principal scientist, Main Geophysical Observatory (RosHydroMet), Note: Dr. Pokrovsky analyzed long climates and concludes that anthropogenic CO2 impact is not the main contributor in climate change,St. Petersburg, Russia.
- Daniel Joseph Pounder, BS (Meteorology, University of Oklahoma), MS (Atmospheric Sciences, University of Illinois, Urbana-Champaign); Meteorological/Oceanographic Data Analyst for the National Data Buoy Center, formerly Meteorologist, WILL AM/FM/TV, Urbana, U.S.A.
- Brian Pratt, PhD, Professor of Geology (Sedimentology), University of Saskatchewan (see Professor Pratt’s article for a summary of his views), Saskatoon, Saskatchewan, Canada
- Harry N.A. Priem, PhD, Professore-emeritus isotope-geophysics and planetary geology, Utrecht University, past director ZWO/NOW Institute of Isotope Geophysical Research, Past-President Royal Netherlands Society of Geology and Mining, Amsterdam, The Netherlands
- Oleg Raspopov, Doctor of Science and Honored Scientist of the Russian Federation, Professor – Geophysics, Senior Scientist, St. Petersburg Filial (Branch) of N.V.Pushkov Institute of Terrestrial Magnetism, Ionosphere and Radiowaves Propagation of RAS (climate specialty: climate in the past, particularly the influence of solar variability), Editor-in-Chief of journal “Geomagnetism and Aeronomy” (published by Russian Academy of Sciences), St. Petersburg, Russia
- Curt G. Rose, BA, MA (University of Western Ontario), MA, PhD (Clark University), Professor Emeritus, Department of Environmental Studies and Geography, Bishop’s University, Sherbrooke, Quebec, Canada
- S. Jeevananda Reddy, M.Sc. (Geophysics), Post Graduate Diploma (Applied Statistics, Andhra University), PhD (Agricultural Meteorology, Australian University, Canberra), Formerly Chief Technical Advisor—United Nations World Meteorological Organization (WMO) & Expert-Food and Agriculture Organization (UN), Convener – Forum for a Sustainable Environment, author of 500 scientific articles and several books – here is one: “Climate Change – Myths & Realities“, Hyderabad, India
- Arthur Rorsch, PhD, Emeritus Professor, Molecular Genetics, Leiden University, former member of the board of management of the Netherlands Organization Applied Research TNO, Leiden, The Netherlands
- Rob Scagel, MSc (forest microclimate specialist), Principal Consultant – Pacific Phytometric Consultants, Surrey, British Columbia, Canada
- Chris Schoneveld, MSc (Structural Geology), PhD (Geology), retired exploration geologist and geophysicist, Australia and France
- Tom V. Segalstad, PhD (Geology/Geochemistry), Associate Professor of Resource and Environmental Geology, University of Oslo, former IPCC expert reviewer, former Head of the Geological Museum, and former head of the Natural History Museum and Botanical Garden (UO), Oslo, Norway
- John Shade, BS (Physics), MS (Atmospheric Physics), MS (Applied Statistics), Industrial Statistics Consultant, GDP, Dunfermline, Scotland, United Kingdom
- Thomas P. Sheahen, B.S., PhD (Physics, Massachusetts Institute of Technology), specialist in renewable energy, research and publication (applied optics) in modeling and measurement of absorption of infrared radiation by atmospheric CO2, National Renewable Energy Laboratory (2005-2009); Argonne National Laboratory (1988-1992); Bell Telephone labs (1966-73), National Bureau of Standards (1975-83), Oakland, Maryland, U.S.A.
- S. Fred Singer, PhD, Professor Emeritus (Environmental Sciences), University of Virginia, former director, U.S. Weather Satellite Service, Science and Environmental Policy Project, Charlottesville, Virginia, U.S.A.
- Frans W. Sluijter, Prof. dr ir, Emeritus Professor of theoretical physics, Technical University Eindhoven, Chairman—Skepsis Foundation, former vice-president of the International Union of Pure and Applied Physics, former President of the Division on Plasma Physics of the European Physical Society and former bureau member of the Scientific Committee on Sun-Terrestrial Physics, Euvelwegen, the Netherlands
- Jan-Erik Solheim, MSc (Astrophysics), Professor, Institute of Physics, University of Tromsø, Norway (1971-2002), Professor (emeritus), Institute of Theoretical Astrophysics, University of Oslo, Norway (1965-1970, 2002- present), climate specialties: sun and periodic climate variations, scientific paper by Professor Solheim “Solen varsler et kaldere tiår“, Baerum, Norway
- H. Leighton Steward, Master of Science (Geology), Areas of Specialization: paleoclimates and empirical evidence that indicates CO2 is not a significant driver of climate change, Chairman, PlantsNeedCO2.org and CO2IsGreen.org, Chairman of the Institute for the Study of Earth and Man (geology, archeology & anthropology) at SMU in Dallas, Texas, Boerne, TX, U.S.A.
- Arlin B. Super, PhD (Meteorology – University of Wisconsin at Madison), former Professor of Meteorology at Montana State University, retired Research Meteorologist, U.S. Bureau of Reclamation, Saint Cloud, Minnesota, U.S.A.
- Edward (Ted) R. Swart, D.Sc. (physical chemistry, University of Pretoria), M.Sc. and Ph.D. (math/computer science, University of Witwatersrand). Formerly Director of the Gulbenkian Centre, Dean of the Faculty of Science, Professor and Head of the Department of Computer Science, University of Rhodesia and past President of the Rhodesia Scientific Association. Set up the first radiocarbon dating laboratory in Africa. Most recently, Professor in the Department of Combinatorics and Optimization at the University of Waterloo and Chair of Computing and Information Science and Acting Dean at the University of Guelph, Ontario, Canada, now retired in Kelowna British Columbia, Canada
- George H. Taylor, B.A. (Mathematics, U.C. Santa Barbara), M.S. (Meteorology, University of Utah), Certified Consulting Meteorologist, Applied Climate Services, LLC, Former State Climatologist (Oregon), President, American Association of State Climatologists (1998-2000), Corvallis, Oregon, U.S.A.
- J. E. Tilsley, P.Eng., BA Geol, Acadia University, 53 years of climate and paleoclimate studies related to development of economic mineral deposits, Aurora, Ontario, Canada
- Göran Tullberg, Civilingenjör i Kemi (equivalent to Masters of Chemical Engineering), Co-author – The Climate, Science and Politics (2009) (see here for a review), formerly instructor of Organic Chemistry (specialization in “Climate chemistry”), Environmental Control and Environmental Protection Engineering at University in Växjö; Falsterbo, Sweden
- Brian Gregory Valentine, PhD, Adjunct professor of engineering (aero and fluid dynamics specialization) at the University of Maryland, Technical manager at US Department of Energy, for large-scale modeling of atmospheric pollution, Technical referee for the US Department of Energy’s Office of Science programs in climate and atmospheric modeling conducted at American Universities and National Labs, Washington, DC, U.S.A.
- Bas van Geel, PhD, paleo-climatologist, Institute for Biodiversity and Ecosystem Dynamics, Research Group Paleoecology and Landscape Ecology, Faculty of Science, Universiteit van Amsterdam, Amsterdam, The Netherlands
- Gerrit J. van der Lingen, PhD (Utrecht University), geologist and paleoclimatologist, climate change consultant, Geoscience Research and Investigations, Nelson, New Zealand
- A.J. (Tom) van Loon, PhD, Professor of Geology (Quaternary Geologyspecialism: Glacial Geology), Adam Mickiewicz University, former President of the European Association of Science Editors Poznan, Poland
- Fritz Vahrenholt, B.S. (chemistry), PhD (chemistry), Prof. Dr., Professor of Chemistry, University of Hamburg, Former Senator for environmental affairs of the State of Hamburg, former CEO of REpower Systems AG (wind turbines), Author of the book Die kalte Sonne: warum die Klimakatastrophe nicht stattfindet (The Cold Sun: Why the Climate Crisis Isn’t Happening”, Hamburg, Germany
- Michael G. Vershovsky, Ph.D. in meteorology (macrometeorology, long-term forecasts, climatology), Senior Researcher, Russian State Hydrometeorological University, works with, as he writes, “Atmospheric Centers of Action (cyclones and anticyclones, such as Icelandic depression, the South Pacific subtropical anticyclone, etc.). Changes in key parameters of these centers strongly indicate that the global temperature is influenced by these natural factors (not exclusively but nevertheless)”, St. Petersburg, Russia
- Gösta Walin, PhD and Docent (theoretical Physics, University of Stockholm), Professor Emeritus in oceanografi, Earth Science Center, Göteborg University, Göteborg, Sweden
- Anthony Watts, ItWorks/IntelliWeather, Founder, surfacestations.org, Watts Up With That, Chico, California, U.S.A.
- Carl Otto Weiss, Direktor und Professor at Physikalisch-Technische Bundesanstalt, Visiting Professor at University of Copenhagen, Tokyo Institute of Technology, Coauthor of ”Multiperiodic Climate Dynamics: Spectral Analysis of…“, Braunschweig, Germany
- Forese-Carlo Wezel, PhD, Emeritus Professor of Stratigraphy (global and Mediterranean geology, mass biotic extinctions and paleoclimatology), University of Urbino, Urbino, Italy
- Boris Winterhalter, PhD, senior marine researcher (retired), Geological Survey of Finland, former professor in marine geology, University of Helsinki, Helsinki, Finland
- David E. Wojick, PhD, PE, energy and environmental consultant, Technical Advisory Board member – Climate Science Coalition of America, Star Tannery, Virginia, U.S.A.
- George T. Wolff, Ph.D., Principal Atmospheric Scientist, Air Improvement Resource, Inc., Novi, Michigan, U.S.A.
- Thomas (Tom) Wysmuller –NASA (Ret) ARC, GSFC, Hdq. – Meteorologist, Ogunquit, ME, U.S.A.
- Bob Zybach, PhD (Environmental Sciences, Oregon State University), climate-related carbon sequestration research, MAIS, B.S., Director, Environmental Sciences Institute Peer review Institute, Cottage Grove, Oregon, U.S.A.
- Milap Chand Sharma, PhD, Associate Professor of Glacial Geomorphology, Centre fort the Study of Regional Development, Jawaharlal Nehru University, New Delhi, India
- Valentin A. Dergachev, PhD, Professor and Head of the Cosmic Ray Laboratory at Ioffe Physical-Technical Institute of Russian Academy of Sciences, St. Petersburg, Russia
- Vijay Kumar Raina, Ex-Deputy Director General, Geological Survey of India, Ex-Chairman Project Advisory and Monitoring Committee on Himalayan glacier, DST, Govt. of India and currently Member Expert Committee on Climate Change Programme, Dept. of Science & Technology, Govt. of India, author of 2010 MoEF Discussion Paper, “Himalayan Glaciers – State-of-Art Review of Glacial Studies, Glacial Retreat and Climate Change”, the first comprehensive study on the region. Winner of the Indian Antarctica Award, Chandigarh, India
- Scott Chesner, B.S. (Meteorology, Penn State University), KETK Chief Meteorologist, KETK TV, previously Meteorologist with Accu Weather, Tyler, Texas, U.S.A
- Richard A. Keen, PhD (climatology, University of Colorado), Emeritus Instructor of Atmospheric Science, University of Colorado; former President, Boulder-Denver branch of the American Meteorological Society; Expert Reviewer, IPCC AR5; author of reports and books on the regional weather and climate of Alaska, the Arctic, and North America; NWS co-op observer, Coal Creek Canyon, Golden, Colorado, U.S.A.
RT @Contrepoints: Réchauffement climatique : lettre ouverte de 125 scientifiques à Ban Ki-Moon http://t.co/sB9cv3aI
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La bête n’est pas morte loin de là, suivant l’adage que « les con ça ose tout… » et qu’ils sont dotés d’incroyable capacités à l’excuse bidon et au détournement ils vont continuer comme si de rien n’était au maximum et une fois le sujet totalement plié ce débander discrètement et ce reformer plus loin.
Voir Christopher Booker et Richard North, « Scared to Death »
http://www.amazon.fr/Scared-Death-Global-Warming-Costing/dp/0826476201/ref=sr_1_1?s=english-books&ie=UTF8&qid=1354699097&sr=1-1
Sur les grandes peurs en général, dont le réchauffement : une fois qu’elles sont mortes, les règlementations survivent, sans aucune raison d’être, nous subissons par exemples les règlementations de la vache folle qui devait faire des centaines de milliers de morts. Et avec les règlementations, la démolition de la liberté, du pouvoir d’achat et de la prospérité. Suite au réchauffement, et même une fois que plus personne n’y croira, les privations de liberté subsisteront.
« Suite au réchauffement »
Plus précisément : au RCA, lorsqu’il ne se sera plus mis en cause, …
Ce qui sera conforme à une cette déclaration de Mme Christine Stewart, Ministre de l’Environment du Canada (Calgary Herald, 2003) :
«Peu importe que la science soit fausse, il y a des avantages écologiques collatéraux… » Herald, 2003).
Pile je gagne. Face tu perds 🙂
Bonjour Nick,
Dans le cas présent, de quelles privations de liberté parle tu?
Confiscation de propriété, fruits de notre travail pris par la force sous un faux prétexte, réduction quotidienne de l’autonomie de déplacement, grossissement de la taille de l’Etat et des organisations supranationales, et des fausses ONGs financées par les Etats, vol de matériel informatique sans mandat par la police, injection de propagande mensongère dans l’instruction des enfants, interdiction pure et simple de produits utiles, mise en place d’une fausse énergie, en fait intermittente, qui va aller jusqu’à nous menacer de coupures de courant.
Pour la suite, on a déjà les menaces, donc, on sait où tout cela se dirige, en cas d’absence de résistance :
http://www.contrepoints.org/2010/12/21/9508-les-sceptiques-a-la-noyade
http://www.contrepoints.org/2010/10/01/2578-eco-totalitarisme-no-pressure
http://www.contrepoints.org/2010/04/05/97-maintenant-greenpeace-passe-aux-menaces
Si la question était scientifiquement tranchée, les intérêts partisans n’auraient plus autant de place dans le débat. Il y en aurait toujours, mais seraient marginaux.
Cela devrait pourtant être un bon moyen de détecter les pseudo-sciences pour lesquelles ces comportements sont typiques.
Et puis, en dehors du débat scientifique, il y a le débat politique. Il y a tout de même un sacré problème dans le fait de se faire traiter de négationniste climatique dès lors qu’on critique les questions politiques…
Le global varming, réchauffement global, devenu réchauffement climatique, puis déréglement climatique, puis changement(s) climatique(s) est une religion qui ne manquent pas de prédicateurs.
En tirant un sornette (sic) d’alarme, les grands prêtes du grand dogme, entretiennent leur position sur l’estrade du bateleur illusioniste.
Hippolyte Canasson: « est une religion qui ne manquent pas de prédicateurs. »
Et qui est multi-millénaire dans sa forme intrinsèque. Ça fait des siècles qu’on nous prédis la fin du monde suite aux pêchés de l’homme, l’ère technologique a donné des prétextes aux rageux de la flagellation et à leur confrères, ceux qui vendent de la rédemption et des indulgences (devenue verte).
Sans compter les rouges qui après l’échec sanglant de leur prise de contrôle social ont trouvé un bon moyen de continuer à faire ch… leurs semblables.
Qu’on remette en cause la source humaine du réchauffement, je peux le concevoir, mais le réchauffement lui même, je suis surpris.
La fonte massive des glaciers à l’échelle planétaire est il me semble incontestée et si on est sceptique face au discours scientifique (il faut toujours être sceptique ;)) on peut nous même constater cette fonte de nos glaciers dans les alpes. Comment pourrait on expliquer ce phénomène de fonte sans réchauffement climatique?
Il y a de nombreux éléments comme celui-ci qui il me semble « prouvent » le réchauffement, après que les modèles soient faux c’est un autre sujet.
http://www.20minutes.fr/article/1021320/surface-banquise-antarctique-atteint-record
Attention à l’information sélective : les glaciers ne sont pas figés, ils sont tous toujours en train d’avancer ou de reculer. Or, aux informations et dans la presse, vous n’entendez parler que de ceux qui semblent être en train de reculer. Ne jamais parler de ceux qui avancent ne fait pas qu’ils n’existent pas, pour autant.
Mush: « Comment pourrait on expliquer ce phénomène de fonte sans réchauffement climatique? »
On a toute sorte de dessins, photos et témoignages de ces glaciers depuis plusieurs siècles et ô surprise ils n’ont cessés de varier de tailles en plus et en moins.
Regarder par la fenêtre ou dans son jardin n’a jamais été un signe de quoi que ce soit d’autre que des conditions locale d’enneigement, de précipitations, de régime des vents et effectivement de températures…locale. (A différent niveau, pays, continent, chaine de montagne etc.)
Pour le global cf: le lien de Fernugil.
Quoi qu’il en soit il y a bien eu une augmentation de température depuis le petit age glaciaire, mais rien ne dis que nous ne somme pas en haut de la courbe, prêt a redescendre, rien ne dis non plus que l’homme en est responsable puisque ça n’a pas changé depuis 16 ans malgré une augmentation du CO2.
La seule chose dont on soit sur c’est que les modèles sont faux et que le catastrophisme qu’on nous vend très cher est basé sur du vent.
@ Mush, pour un topo assez complet à tête reposée : http://www.contrepoints.org/2011/12/10/59762-echec-du-sommet-climatique-de-durban-interview-exclusive-du-chimiste-istvan-marko
@Mush,
Selon que le réchauffement est ou non d’origine humaine, la réponse diffère. La fonte des glaciers se manifeste dans l’hémisphère nord.
Les glaces sont pour 90% au pôle Sud qui en regorge, qui en relargue, qui ne fond pas, qui ne se réchauffe pas. De même, l’examen des températures à Libreville, Gabon, ne montre pas d’élévation.
Il y a un réchauffement, il n’est pas global, probablement pas de source humaine, ses effets sont présentés comme néfastes, toxiques, négatifs
L’ouverture du passage du nord-ouest, qui fait gagner temps, argent et carburants pour le transport maritime, l’augmentation de surfaces cultivables au Nord (Canada et Russie), véritable providence pour l’agriculture, autant de choses passées,coupablement, au silence.
Le réchauffement n’est ni global, ni porteur de seuls effets négatifs.
Quant à la hausse des mers, l’altitude des grottes ornées de France démontrent que les niveaux des mers futs plus haut, vallée de la Dordogne, Ariège, Lozère, et plus bas : Grotte Cosquer près de Marseille.
Lorsque la terre était beaucoup plus chaude (il y a des dizaines de millions d’années) la vie était florissante et débordante, un véritable éden donc effectivement, un réchauffement de la terre serait probablement très bénéfique au global.
@Mush
Vous écrivez :
« Qu’on remette en cause la source humaine du réchauffement, je peux le concevoir, mais le réchauffement lui même, je suis surpris. »
– – – – – – – – – – – – – –
Vous ne devriez pas l’être !
En effet, si le changement/réchauffement climatique n’a pas d’autre explication que la variabilité naturelle du climat… à quelle logique et quelle légitimité, selon vous, pourraient alors correspondre les solutions mises en œuvre pour contrer et réduire la supposée cause anthropique ?
@ Mush,
85% de la glace est au pôle Sud, qui ne fond pas.
12% au Groenland, la fonte de la glace, ici, ouvrirait des perspectives économiques.
Les glaciers de montagnes font 2%, pas de drame donc, leurs variations dépendent plus des précipitations que de la température. Qu’il fasse -25°C ou -40°C, la glace ne font pas. Qu’il neige ou pas en altitude fait la différence. Dans le réchauffement climatique « on » ne parle que de température, or la température n’est une chose, la chaleur, au sens physique du terme est une autre chose. Pour faire simple, un air humide et un air sec à la même température ne contiennent pas la même quantité de chaleur. Y a plus de chaleur dans l’air humide. Je ne sais pas comment s’y prend le climat pour n’augmenter que la température !
Je ne saurais trop conseiller la visite du site pensee- unique.fr qui comporte des milliers de pages qui répondront à toutes vos questions sur le pseudo-réchauffement d’origine humaine, y compris sur les fables glaciaires ou banquisardes.
Tglobale est stable depuis 16 ans.
http://www.woodfortrees.org/plot/hadcrut3vgl/from:1997/offset:-0.15/trend/plot/rss/from:1997/trend
Donc aucun événement, dont ceux que vous citez, ne peut être attribué au RC, puisque, comme dirait ce bon Monsieur de La Palisse, il n’y en a plus depuis 16 ans
Les glaciers ont toujours évolué dans le temps. Diverses études montrent que les glaciers himalayens ont des évolutions variables: certains perdent de la glace, d’autres en gagnent. La glace dépend de la température locale, de la sublimation, de l’ensoleillement, de l’ennuagement, et des précipitations de neige.
Les glaciers ont toujours évolué dans le temps. Diverses études montrent que les glaciers himalayens ont des évolutions variables: certains perdent de la glace, d’autres en gagnent. La glace dépend de la température locale, de la sublimation, de l’ensoleillement, de l’ennuagement, et des précipitations de neige. Il est aussi possible que nos glaciers alpins soient les victimes des microparticules de carbone-suie émises par les diesels, dont le développement a été bêtement favorisé par l’Etat, d’autant elles ont aussi des effets négatifs sur la santé publique..
Mon commentaire était destiné à Mush.
Frustrés peut-être du non bug de l’an 2000, les annonciateurs de ciels sombres, sombrent dans le pathétique ridiculesque.
Pour ne pas être contredits par les faits, les prévisionnistes de le « climat », Gore et consorts nous annonce la fin du monde pour l’an 3000, c’est plus prudent que pour l’an 2000 et mieux que Paco Rabane récemment. Mais moins rigolo, bien que de même métal, que la fin du monde pour le 21/12/1012.
C’est marrant, l’an mil devait être la fin du monde, puis l’an 2000, maintenant 3000 …
Je ne comprend pas l’intérêt de ces prévisions : soit le mec qui les fait à tord, et passe pour un con, soit personne ne s’en rappel et personne ne s’en rappel, soit le monde prend effectivement fin, et alors what’s the point ?
Fergunil : « Je ne comprend pas l’intérêt de ces prévisions »
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Mme Irma et autres « marchands de certitudes » (cf la chanson de Capdevielle) ont bien compris où est l’intérêt.
Suivez la piste de l’argent et elle vous racontera toute l’histoire.
Je reformule : Je ne comprend pas la naïveté des gens qui y croient encore.
Pour l’an 3000, j’attends de voir !
Le rechauffement climatique et son origine humaine fait consensus dans la cummunaute scientifique, et meme si 125 scientifiques ont signe cette lettre, les 99% d’autres ne le remettent pas en question.
De plus je trouve que traduire et rajouter des liens (contrepoints et wikiliberal) sur une lettre signee (ce qui modifie significativement son sens ) sans rajouter aucune notes « NDR » est particulierement fallacieux.
Si 125 scientifiques de renommées international ne sont pas d’accord, il n’y a pas consensus …
Kris : « les 99% d’autres ne le remettent pas en question. »
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99% d’autres sortis du chapeau => poubelle.
Effrayant comme certains se laissent manipuler par les « grands médias ». Allez sur http://pensee-unique.fr/ pour vous informer scientifiquement de la situation climatique ainsi que sur l’arnaque organisée par le GIEC qui est une organisation politique et pas scientifique comme son nom l’indique.
Il me semblait d’ailleurs que c’était plutôt 99,99%, non ?
Du temps de Galilée 99,999999% des scientifiques déclaraient la terre plate…
99%, c’est le score de la réélection d’un dictateur stalinien, non ?
Les stats qu’on nous ressort tout le temps, c’est 97%, et ce chiffre provient de l' »étude » de Doran et Zimmerman où il ne restait au final que 77 militants devant répondre à des questions du genre dont une était s’il faisait plus chaud que durant le début du 18e siècle (soit durant la petite ère glaciaire)… Un échantillon de 77 personnes, c’est représentatif ?
La science étant la recherche de la vérité dans les faits. Si on ne recherche que la vérité et non pas promouvoir l’idéologie, comment peut-on se compromettre accepter mentir ainsi ? Pourquoi malgré la fraude évidente, on nous ressort ce chiffre tout le temps ?
Kris: « Le rechauffement climatique et son origine humaine fait consensus dans la cummunaute scientifique »
125 scientifiques qui travaillent dans le secteur ce n’est quand même pas rien, eh bien cherchez cet appel sur les autres médias: pas un ne le rapporte, silence total !
Ce ne sont pas les premiers à se révolter contre la pensée unique et ce n’est pas le premier appel de scientifiques qui commencent à la trouver saumâtre très loin de là.
Le consensus est un mythe !
Appel de 50 scientifiques de la nasa:
http://www.wikistrike.com/article-escroquerie-du-changement-climatique-anthropique-co2-50-scientifiques-et-astronautes-de-la-nasa-e-103333244.html
Voir ici pour les appels de scientifiques:
http://www.pensee-unique.fr/liens.html
31072 (le 20 mai 08, dont 9021 PhD-docteurs ès sciences) scientifiques américains déclarent que le réchauffement climatique est sans fondement scientifique (The global Warming Petition Project)
4000 Scientifiques signent ‘L’appel de Heidelberg ‘ (Science & Environmental Policy Project)
Le site de la déclaration de Manhattan avec ses signataires (600+ scientifiques et 463 grand public)
Plus de 700 Scientifiques éminents ont contesté le réchauffement climatique anthropogénique (en fin 2009) (US Senate Committee on Environment & Public Works). Tout y est : les déclarations, les titres et les rattachements des signataires.
500 Scientifiques ont des doutes étayés sur la panique dû au réchauffement climatique anthropogénique(Heartland Institute)
150 Scientifiques, Economistes et Theologiens signent une lettre ouverte adressée aux signataires de ‘Changement climatique : Un appel évangélique pour l’action ‘ (ISA)
105 Scientifiques signent ‘ La déclaration de Leipzig sur le changement climatique global’ (Science & Environmental Policy Project)
100 Scientifiques signent une ‘Lettre ouverte au Secrétaire Général des Nations Unies'(National Post, Canada)
77 scientifiques sceptiques (Business and Media Institute)
60 Scientifiques en appellent à Harper pour un réexamen de la science du réchauffement global (Financial Post, Canada)
47 Scientifiques signent le « déclaration par des scientifiques de l’atmosphère sur le réchauffement par effet de serre »(Science & Environmental Policy Project)
48 anciens de la conquête de l’espace par la NASA écrivent au Directeur pour protester contre les prises de positions alarmistes de l’agence.
41 Scientifiques démontent l’alerte au réchauffement climatique (The Daily Telegraph, UK)
35 scientifiques sceptiques, ‘Les négationnistes’ (National Post, Canada)
100 scientifiques éminents écrivent au Président Obama au sujet d’une de ses déclarations sur le réchauffement climatique affirmant que « The science is beyond dispute and the facts are clear ». Le titre de la lettre est « With all due respect, Mr President, that is not true ». (2 avril 09)
125 scientifiques ce n’est pas rien. Par contre ce n’est rien comparé à la liste des organisations scientifiques admettant qu’il n’y a aucun doute sur le réchauffement et qu’il est très probablement d’origine humaine.
La liste est trop longue pour la copier ici: c.f. http://en.wikipedia.org/wiki/Scientific_opinion_on_climate_change#Statements_by_concurring_scientific_organizations
D’autant plus qu’il y en a aucune qui affirme encore publiquement le contraire.
Si vous faites de la climatologie, il est nécessaire d’avoir de très gros ordinateurs, supercalculateurs et autres puisque les variables sont infiniment nombreuses. Jusqu’à encore récemment, l’étude du climat était extrêmement limitée par ce biais. L’hypothèse d’un réchauffement climatique et sa prétendue origine anthropique permets donc aux climatologues de sortir d’un milieu très limité par ce manque de moyens. Et de convaincre les politiques transforme brutalement votre science confidentielle en Eldorado économique. Il y a un biais économique lourd dans cette hypothèse
Voir aussi ceci : http://www.contrepoints.org/2012/01/30/66842-pas-besoin-de-paniquer-sur-le-rechauffement-climatique
Autres pétitions :
• Oregon Petition
http://www.wikiberal.org/wiki/Oregon_Petition
Sur cette page sont citées :
• Heidelberg Declaration
• Leipzig Declaration
• Manhattan Declaration
D’aucuns osent encore parler de consensus ?
les 99%, ils sont spécialisés en quoi ?
Des scientifiques, on en forme à la pelle et de tout niveau.Même chez ces gens la, l’élite est rare.
Quand un scientifique vous soutient que les ours polaires disparaissent à cause du réchauffement climatique, c’est pas la peine de poursuivre…(Autant dire que les bébés phoques ont été victimes du climat ) Ce gars a été mal orienté à la sortie du bac.
Il vous suffirait de surfer un peu pour trouver des pétitions de milliers de scientifiques climato-sceptiques .Ca sert à cela, la liberté d’information. Et, rebelote, visitez pensee-unique.fr.
L’hiver dernier un cerisier de 30 ans est mort du froid. Bizarre comme réchauffement climatique… J’habite le Var. Pas eu d’amandes ni de cerises depuis 2010, les fleurs ont gelé… Mais je fais partie de ceux « qui regardent par leurs fenêtres…
Pour rappel, le « monde scientifique » si sur de lui et dominateur a mis des années avant d’accepter la théorie d’Alfred Wegener… Des cadors on vous dit !!! 🙂
En toute rigueur, Alfred Wegener avait raison pour la mauvaise raison 🙂
On ne connaissait pas la structure interne du globe à l’époque, et donc il ne pouvais pas comprendre la dérive des continents par inertie de la convection magmatique. Il avait proposé que la dérive des continents trouve sa source dans les marrés terrestres causée par la lune (il me semble) et ne parvenait pas à prouver le mouvement par les méthodes disponibles (augmentation de la durée de transit d’une onde entre deux continents).
Finalement, son intuition était bonne (les fossiles sont identiques entre plusieurs continents par ils n’en formaient qu’un seul autrefois) mais les doutes des autres scientifiques étaient complétement fondés.
Dans le cas du réchauffement climatique par contre, on parle de trucage de données, de manipulation médiatique … bref de comportements malhonnête et anti-scientifique.
Cher Fergu, mon intention n’était pas de « comparer » mon cher Alfred avec qui que ce soit, juste de faire remarquer que lorsqu’il a sorti sa théorie, au moins 125 « scientifiques » l’avaient jugé et condamné comme un grand HERETIQUE !!!! 50 ans après – oh mon dieu ! Il avait raison le bougre !!! 🙂
Je rappelle pour tout le monde que du temps des dinosaures – et fort autres temps aussi… – il n’y avait pas de GLACE sur terre, les températures étant beaucoup plus élevées que de nos jours…
Bref, les imbéciles de naguère seront peut être les génies de demain, tandis que les totalitaires d’un jour le resteront toujours… 😉
Eh bien, il y beaucoup des consipirationistes ici… Par rapport à la nature de ce qui est affirmé, il faudrait au moins qu’une seule oraganisation scientifique soutienne ces propos, or il n’y en a aucune.
c.f. les references en bas de la page wikipedia:
http://en.wikipedia.org/wiki/Scientific_opinion_on_climate_change
« Since 2007, when the American Association of Petroleum Geologists released a revised statement,[103] no scientific body of national or international standing rejects the findings of human-induced effects on climate change.[10][11] »
KriS: « Eh bien, il y beaucoup des consipirationistes ici »
Surtout beaucoup de gens qui savent lire des papiers scientifiques et tirer des conclusions.
Le très rechauffiste MET office britannique ne constate pas de réchauffement depuis 16 ans. Je vous saurais gré de me trouver UN seul papier ou modèle du GIEC qui prévoit un tel plateau malgré un augmentation continue du CO2.
http://www.contrepoints.org/2012/10/17/100916-16-ans-sans-rechauffement-climatique
Si on devait maintenant rattraper les températures prévues par le GIEC il faudrait allumer tout les volcans en même temps.
La conclusion c’est qu’ils se sont encore plantés en beauté comme souvent dans le passé avec entre autre les pluies acides (censés dévaster les forets) le trou de la couche d’ozone (oh mon dieu), les multiples fin du pétrole annoncée tout les dix ans « pour dans dix ans » et ironie suprême le refroidissement climatique qui allait tous nous engloutir dans les glaces.
Vous n’avez pas du connaitre cette couverture du Time, à l’époque on était inondé d’émissions cataclysmique et ça faisait consensus aussi.
http://www.calwatchdog.com/wp-content/uploads/2012/08/Time-magazine-global-cooling.jpg
Qui a parlé de complot ici ?
Je rappelle que le conspirationnisme, c’est le fait d’affirmer que les phénomènes sociétaux sont provoqués par des organisations secrètes. Parler des ces phénomènes en soi n’est pas du conspirationnisme, sinon, il faudrait considérer que la mode, l’idéologie, les hystéries collectives sont une conspiration…
L’idéologie, cela a poussé des peuples à l’autodestruction, cela a poussé les Allemands à donner priorité à la Shoah alors qu’ils perdaient la guerre…
Je vous conseille la lecture de la psychologie des foules de Gustave Lebon ou encore Propaganda de Bernays pour comprendre un peu plus ces phénomènes.
Par contre, des idéologues, des endoctrinés qui cherchent à se servir de la science pour cautionner leur pensée, cela existe bien. Voyez par exemple cette récente étude sur les OGM…
Et c’est bien de cela dont on parle ; pas d’une intervention de reptiliens sionistes en costume d’Elvis.
Parler de conspirationnisme dans ce débat ne sera jamais rien d’autre qu’un argument ad hominem classique qui ne fera que discréditer et démontrer le manque d’argument son auteur, démontre que la question n’est pas tranchée, laissant donc libre cours aux positions partisanes et aux charlatans idéologues.
http://en.wikipedia.org/wiki/Global_warming_conspiracy_theory
‘ Proponents of such allegations refer to the scientific consensus as a « global warming hoax »,[1] or « global warming fraud ».’
C’est sur que Wikipedia est la source ultime de la Vérité indéniable. Surtout sur les sujets controversés et partisans.
Allez, un petit peu plus que la simple critique de la source : en quoi cet article démontre que ne pas accepter les assertions à propos d’un consensus de 97% serait une forme de conspirationnisme ?
Il ne fait que sélectionner des arguments des adversaires politiques et affirmer sans démonstration qu’il s’agit de conspirationnisme en raillant certains arguments, erreurs, etc.
Affirmer comme ça que les arguments sont faux et les railler n’est pas un argument scientifique mais fait partie de techniques fréquentes de propagande.
Il n’y a rien d’encyclopédique, juste de la propagande pour laquelle l’auteur s’est accaparé quelques Ko sur les serveurs de wikipedia pour la diffuser et polluer le débat en trompant les naïfs. Comme disait l’autre : calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose.
Ce qui est tout de même ironique, c’est qu’en dénonçant le conspirationnisme de leurs adversaires, ils tombent eux mêmes dans des logiques conspirationnistes, en voulant leur donner pour origine des actions de lobbies, de think tanks pro-marché, en comparant les critiques aux politiques de lobbying des cigarettiers…
Et là, ils ne parlent pas de phénomènes sociaux, mais de leur donner pour origine l’organisation consciente et volontaire.
Et bien sur, Greenpeace n’est pas du tout un lobby et est sans reproche alors qu’Exxon est un méchant lobby… Et surtout, il est capitaliste et ultralibérââââl, faisant donc partie du camps du mâââl.
KriS : « il faudrait au moins qu’une seule oraganisation scientifique soutienne ces propos, or il n’y en a aucune. »
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C’est bien sûr totalement faux, comme toutes les légendes colportées par les propagandistes réchauffistes.
L’Association des state climatologists (l’AASC) est sceptique, cf sa position sur le changement climatique. Et elle au moins sait de quoi elle parle, s’agissant de climat.
Le comité des géosciences de l’Académie de Pologne est très très sceptique, cf sa déclaration de 2009 : http://www.kngeol.pan.pl/images/stories/pliki/pdf/Com._Geol._Sci._PAS_Climate_change.pdf
Là pareil, il s’agit de gens qualifiés qui savent replacer le CC dans le contexte géologique de la Terre.
La World Federation of Scientists, qui a plus de 10.000 membres est sceptique.
Même l’Académie française, pourtant complètement noyautée par les alarmistes climatiques, n’a pas pu ni voulu trancher le débat scientifique soulevé par Allègre, tu parles d’un « consensus » !
Au passage, il faut être complètement couillon pour prendre pour argent comptant une source archi-biaisée comme Wiki quand on sait à quel point ça a été noyauté par les khmers verts sur tout ce qui est question écologique. Essayez d’ajouter l’info comme quoi, l’Académie des Sciences polonaise a un comité scientifique sceptique climatique sur la page Wiki, et vous allez voir ce que les activistes réchauffistes vont faire d’une vérité qui dérange leur propagande.
Eh oui, mentir et encore mentir, c’est tout ce qu’il vous reste comme argument.
Ecoute, tu n’a pas besoin de traider les gens de menteurs. Je ne demande qu’a appendre si j’ai loupé quelque chose. Ensuite concernant tes references, les trois sont peux-etre sceptiques, mais aucune ne nie officiellement le réchauffement ou son origine humaine.
KriS: « Je ne demande qu’a appendre si j’ai loupé quelque chose. »
Beaucoup de gens ici savent lire des papiers scientifiques et tirer des conclusions.
Le très rechauffiste MET office britannique ne constate pas de réchauffement depuis 16 ans. Vous ne trouverez aucun papier ou modèle du GIEC qui prévoit un tel plateau malgré un augmentation continue du CO2.
http://www.contrepoints.org/2012/10/17/100916-16-ans-sans-rechauffement-climatique
Si on devait maintenant rattraper les températures prévues par le GIEC il faudrait allumer tout les volcans en même temps.
La conclusion c’est qu’ils se sont encore plantés en beauté comme souvent dans le passé avec entre autre les pluies acides (censés dévaster les forets) le trou de la couche d’ozone (oh mon dieu), les multiples fin du pétrole annoncée tout les dix ans « pour dans dix ans » et ironie suprême le refroidissement climatique qui allait tous nous engloutir dans les glaces.
Vous n’avez pas du connaitre cette couverture du Time, à l’époque on était inondé d’émissions cataclysmique et ça faisait consensus aussi.
http://www.calwatchdog.com/wp-content/uploads/2012/08/Time-magazine-global-cooling.jpg
KriS : « les trois sont peux-etre sceptiques, mais aucune ne nie officiellement le réchauffement ou son origine humaine. »
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L’existence d’un réchauffement n’a jamais fait débat. Bref ta rhétorique de l’homme de paille, poubelle.
Ensuite, contrairement à tes insinuations gratuites, les sceptiques en question nient justement que « le réchauffement soit d’origine humaine » (ce qui supposerait une part quasiment 100% humaine). Même le GIEC ne se hasarde pas à dire que « le réchauffement est d’origine humaine », si tu prenais la peine de lire ce qu’il avait écrit précisément, puisqu’il n’est pas fichu d’estimer par cette part par un chiffre et encore moins avec un intervalle d’incertitude.
Certains sceptiques reconnaissent que le réchauffement puisse avoir une part humaine mais ça c’est un truisme qui revient à dire que pisser dans un lac fait monter l’eau, rien à voir avec « un réchauffement d’origine humaine ». Et cette part humaine peut être autre que le CO2 comme les ilots de chaleur urbains (donc il s’agit d’un réchauffement… des thermomètres et non global), un changement d’usage des sols, une irrigation massive, la construction de barrages, l’émission à grande échelle de la vapeur d’eau des centrales électriques…
Pose toi la question : si les arguments des réchauffistes étaient solides, pourquoi ont-ils besoin de déformer et caricaturer en permanence la position de leurs contradicteurs ? Jusqu’à les traiter de « négationnistes climatiques » (comme si on peut nier le climat !). Si tu ne crois pas qu’il y a un problème manifeste, c’est qu’on peut te faire croire à n’importe quoi.
Pourquoi conspirationnistes? Il y a des chiffres qui peuvent faire réfléchir. Par exemple, toute l’énergie produite et utilisée par les hommes en une année ne représente qu’1/10000ème de l’énergie solaire reçue par notre planète sur la même période. Nous sommes 7 milliards d’humains. Les océans représentent 34 ou 35 milliards de kms-cubes d’eau. Soit 1 homme pour 5 km3 (ça en fait de l’eau – 5 milliards de m3 par humain). Vous êtes sur d’influencer plus le climat que 5 milliards de m3?
Justement, il a tenté d’apporter les preuves de son intuition, il n’a pas réussi, mais les suivant l’on fait. Le doute autour de sa théorie est bien moins choquant que pour les découvertes de Galilée, Mendel ou Darwin qui ont fourni directement leur théorie complète, illustrée et n’ont pas été pris au sérieux preuve à l’appuie.
J’avoue mon ignorance sur la réaction des contemporains de Wegener, mais je pense qu’ils étaient de bonne foi : en l’absence de preuve, on doute.
Dans notre cas, il n’y a plus de science, simplement des impressions, des théories du complots, des histoires de gros sous. Effectivement, l’histoire jugera, comme toujours, et sévèrement. Mais je pense qu’elle jugera plus durement l’hystérie collective que les tentatives de comprendre ce qui se passe vraiment, car il est presque impossible de savoir ce que fait le climat, on a des données réellement fiable et nombreuses sur quelques décennies, quand on parle de cycle de durée variable se chevauchant, les plus long durant plusieurs dizaines de milliers d’années.
Je pense que la compréhension précise du climat n’est pas pour tout de suite, loin de là (c’est un problème peut être plus complexe que l’architecture du cerveau humain), et comme je refuse le concept de foi, je considère que ce que je ne peux pas savoir ne vaut pas que j’y sacrifie quoi que ce soit 🙂
Je suis tout à fait d’accord avec votre conclusion, par contre :p
Fergunil : « J’avoue mon ignorance sur la réaction des contemporains de Wegener, mais je pense qu’ils étaient de bonne foi : en l’absence de preuve, on doute. »
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La réaction de l’establishment contre Wegener était bien plus que le « doute ». C’est du même ordre que celle des bigots réchauffistes actuels, à savoir une hostilité qui dépasse largement le cadre d’une discussion scientifique rationnelle : http://pangaea.org/wegener.htm
Imaginez que votre théorie est qualifiée de « archi pourriture » par le président d’une prestigieuse institution de promotion scientifique comme la American Philosophical Society, que pensez-vous qu’il arrive à la carrière académique de ceux qui ont l’outrecuidance de vous défendre ?
Voici ce qu’on peut lire dans le lien au sujet des détracteurs de Wegener :
« Utter, damned rot! » said the president of the prestigious American Philosophical Society.
« If we are to believe [this] hypothesis, we must forget everything we have learned in the last 70 years and start all over again, » said another American scientist.
Anyone who « valued his reputation for scientific sanity » would never dare support such a theory, said a British geologist.
Mais aussi
Pasteur mène une lutte contre les partisans de la « génération spontanée », en particulier contre Félix Archimède Pouchet et un jeune journaliste, Georges Clemenceau80; ce dernier, médecin, met en cause les compétences de Pasteur, qui ne l’est pas, et attribue son refus de la génération spontanée à un parti-pris idéologique (Pasteur est chrétien)
Merci MiniTAX pour la défense de mon Wegener chéri qui toute sa vie a été montré du doigt comme un sombre idiot alors qu’il avait RAISON sur toute la ligne !!!!!
Essayez de lire « une histoire de la géologie » de Gabriel Gohau, retrouvé dans un des « tas » de livres – faut VRAIMENT que je m’offre une bibliothèque !!! – et vous serez surpris du nombre d’idiots qui ont été adulés dans le passé… Pas de raison que ça change… 🙂
PS (que je n’aime pas ce mot !) Lucrèce savait déja pour les atomes… La science ça se fait à partir d’observations ou à partir de théories…
Il y a de l’entropie partout! J’ai survolée la liste, pourquoi les 125 sont 130? Où ai-je mal lu?
C’est plutôt affligeant de se rendre compte qu’à cause de soit disant scientifique on risque de ne rien faire.
à lire ce genre de déclaration, on pourrait comprendre qu’ils préfère que tout le monde fasse les autruches et et se regarde le nombril pour pouvoir polluer sans se soucier de rien plutôt que d’oser poser des questions qui remette en cause leur petit confort.
Commentaire absolument affligeant qui ne repose que sur des mensonges, allez vous défouler sur libération ou li monde.
Comme disait Coluche, la culture c’est comme un parachute, quand on en a pas, on s’écrase.
Qu’entendez-vous par « polluer » ?
sébi jack: « qu’ils préfère que tout le monde fasse les autruches et et se regarde le nombril »
L’Allemagne a fait… à mort même ! Bilan: énergie deux fois plus chère et trois fois plus de rejets de CO2. :clapclap:
La conclusion c’est que même si ont croit à tout les mythes catastrophistes il est urgent de ne PAS laisser les politiques verdatre ou d’autre couleurs s’en emparer pour nous faire cracher au bassinet sans aucun autre résultat qu’un appauvrissement généralisé.
Et pour finir on n’y peut rien si le réchauffement s’obstine à ne plus réchauffer depuis 16 ans. Blâmez Gaïa plutôt !
http://www.contrepoints.org/2012/10/17/100916-16-ans-sans-rechauffement-climatique
«C’est plutôt affligeant de se rendre compte qu’à cause de soit disant scientifique on risque de ne rien faire.»
Faire quoi ? En quoi « remettre en cause notre petit confort » va-t-il « sauver la planète » ? Ce n’est pas avec les grands plans académiques faits par un Gosplan qu’on va appréhender le mieux ce soi disant réchauffement, mais par l’adaptation individuelle. C’est comme cela que ça fonctionne.
On vit dans un univers dynamique et l’homme s’y adapte et se développe malgré ces difficultés au fur et à mesure qu’elles se présentent.
En fait, ce que veulent les verts, c’est figer la société actuelle. Ils veulent prendre un cliché flou de la société actuelle et le faire perdurer à l’infini.
Les verts sont probablement les plus conservateurs, prêts à sacrifier les valeurs et tout ce qui ont permis à la société d’être ce qu’elle est pour conserver la société sous sa forme actuelle. Quelle décadence !
Le changement, il viendra tôt ou tard, mais les plancentros ne feront que retirer à l’homme ses capacités d’adaptations.
Sinon, faut-il donc les empêcher de parler parce qu’ils ne sont pas d’accord avec vous ?
Bien envoyé à Ban ki moon. S’il a peur d’avoir trop chaud, qu’il enlève sa veste. Mais il risque d’avoir à remettre une grosse parka sous peu. Nous sommers au reigne du mensonge d’Etat dans tous les domaines, voilà qu’on nous refait le coup des armes chimiques comme pour l’Irak en parlant de l’Iran. Mentez, mentez, il en restera quelque chose d’autant que nous sommes au siècle de la paresse totale: vu à la TELE, entendu à la TELE suffit à beaucoup!
« vu à la TELE, entendu à la TELE »
C’est une parenthèse un peu « H.S. » mais imaginez la surprise…
Pour sacrifier au « jeunisme » à la mode, la sécu., comme support dans une campagne de prévention bucco-dentaire, datant maintenant d’une quinzaine d’années, avait utilisé un tract portant la mention super « flashy » : « Vu à la radio » !
Bravo et merci !
La réalité, c’est qu’il est plus que probable que la prévision climatique à long terme nous soit inaccessible. Il y a plus d’un siècle, le grand mathématicien Henri Poincaré avait brillamment démontré une impossibilité de prévision semblable à propos des phénomènes liés à la gravitation mettant en évidence pour la première fois ce que l’on appelle aujourd’hui un phénomène chaotique: en effet, contrairement à ce qu’on croit couramment, la trajectoire des astres et des planètes nous est totalement inconnue sur le long terme, et ce qu’elle que soit la puissance des calculateurs susceptibles d’être mis en jeu! Et après tout pourquoi serait ce étrange que Dieu se réserve la connaissance de certaines composantes de sa création? Mais évidemment, admettre cela ne ferait pas l’affaire de l’écolomondialisme qui trouve dans l’hypothèse du réchauffement anthropique l’occasion d’accroître sur nous sa pression et son pouvoir.
Nota: À propos de Henri Poincaré, certains pourront être interessés par le fait qu’il vient récemment d’être montré qu’il est le véritable inventeur de la théorie de la relativité et non Einstein.
Christian: « qu’il est le véritable inventeur de la théorie de la relativité et non Einstein. »
Oui mais non. Newton expliquait bien le phénomène de multiples contributions en déclarant qu’il avait fait ses découvertes « juché sur l’épaule de géants ».
On peut bien attribuer l’invention du trombone à coulisse à Gra’ohk l’inventeur du feu et on n’aurait pas tout à fait tort mais ça ne reste qu’une contribution parmi bien d’autres. Poincaré à d’ailleurs développé les groupes de transformation de Lorentz et s’est basé lui-même sur de nombreux travaux antérieur. Einstein reste bien le point d’orgue de la relativité, celui qui donne sa forme finale au « trombone à coulisse ».
C’est d’ailleurs le plus attaqué des scientifiques depuis deux siècles. Donc « saviez vous qu’Einstein » houamf quoi.
Lorsque j’avance que Poincaré est, avec Lorentz, l’inventeur de la relativité, je ne me réfère pas du tout à une prétendue pré-éminence de deux scientifiques au sein d’une foule de contributeurs dont Einstein n’aurait été que le représentant, mais à l’histoire telle qu’elle résulte de l’analyse des archives allemandes et françaises effectuée par Jules LEVEUGLE, et présentée dans son ouvrage: – la relativité, Poincaré et Einstein, Planck et Hilbert – histoire véridique de la théorie de la relativité – aux éditions de l’Harmattan. On y voit clairement que les deux inventeurs de la théorie en question sont sans doute possible,Poincaré et Lorentz, le prétendu article fondateur d’Einstein en 1905 n’étant qu’une compilation de leurs travaux. Il y eut une véritable machination dont le principal responsable n’est pas Einstein, mais le mathématicien Hilbert grand rival de Poincaré avec la complicité du physicien Max Planck, tout cela sur fond de nationalisme allemand et français exacerbé, avec des savants français qui ont refusé de défendre Poincaré, aucun d’entre eux n’ayant lu et compris ses travaux!
Leveugle, volontairement polémique et parti pris. Il ne raconte pas l’Histoire, il raconte l’histoire qui l’intéresse et fait du cherry picking.
Christian: « Il y eut une véritable machination »
->Poubelle.
C’est dommage que toutes les contributions ne soient pas reconnues à leurs juste valeur et il y a effectivement des combats d’égo homérique, ça ne date pas d’hier, mais c’est comme ça, la postérité n’aime pas les longs génériques.
Quant à faire d’Einstein un vulgaire compilateur, ce serait encore amusant sans plus si Leveugle n’était pas le millième type à vouloir se le payer.
Quand je parle de compilation, il s’agit d’un fait qui s’impose irrésistiblement à l’esprit dès qu’on prend la peine de comparer le fameux texte fondateur aux textes antérieurs de Poincaré, notamment sa conférence au congrès de Mexico en 1903, où pour la première fois il utilisa l’expression de relativité. IImryn, les considérations générales que tu développes à propos de la querelle des »égos » dans les sciences, vraies dans leur généralité, ne peuvent pas prévaloir sur ce fait. Du reste, peut-on parler d’égo à propos de Poincaré, dont l’attachement exclusif à la vérité et la modestie sont reconnus?
« quelqu’en soient les causes »:(juste à la fin du texte). Non, madame la traductrice: « quelles qu’en soient les causes ». Il existe aussi une écologie de la langue.
Corrigé. Toutes nos excuses. Merci.
Il n’y a plus que 130 scientifiques à ne pas encore croire au fatalisme du réchauffement ?
C’est la méthode des assemblées générales étudiantes : « 20000 personnes sont dans notre université, et 200 nous ont signifiée qu’elle souhaitaient reprendre les cours, nous représentons donc 19800 étudiants militants actifs »
Des nouvelles du Front :
Il semblerait, d’après « Nature Géosciences » que le réchauffement de la couverture de glace de l’Antarctique occidental augmente plus vite que prévu.
La fonte des glaces de cette partie du monde participe à hauteur de 10% à l’augmentation du niveau des océans et l’Antarctique c’est aussi 70% des arguments des climato-sceptiques.
Un mystère demeure, comment une idéologie de valeurs basée sur la liberté peut-elle imposer une pensée unique sur le réchauffement climatique.
Comment un projet de société peut-il se discréditer sur un sujet si décalé ?