Le regard de René Le Honzec.
Pendant qu’une tempête de neige laboure le Nord-Est américain et que notre Est à nous croule sous les flocons, faut-il encore une fois souligner les incohérences des réchauffistes qui s’acharnent contre les évidences qui glacent les coucougnettes du Nord au Sud, de l’Est en Chine ? L’idéologie aveugle des verts de tout acabit et des alter-tout arrive pourtant à carrément interdire la réflexion sur les gaz de schistes en France, qui serait potentiellement riche de 200 ans de consommation, à rendre les constructions plus chères pour des normes discutables, bloquer routes et aéroports utiles, envisager de supprimer le feu de bois de nos cheminées. Face à cet ordre moral, désobéissance civique, camarades libéraux et libertariens ! Chauffez-vous des tonnes de papiers de propagande officielle. Indignez-vous !
Il y a sans doute beaucoup de choses à dire dans le cadre d’une approche critique de la théorie du réchauffement de la planète. Maintenant si on évoque les « évidences » relativement à la neige en hiver et une tempête locale et temporaire, on renforce obligatoirement n’importe quelle autre approche qui s’exprime dans le langage de la science et on se décrédibilise.
Enfin il me semble.
Les réchauffistes n’hésitent pas eux, à utiliser des « évidences » genre canicules, période métérologique chaude pour s’en gargariser. Donc, je fais de même en soulignant que moi, je les mets face à leurs contradiction: cela fait plus de 15 ans que nous étions censés avoir des hivers « doux et humides » et des étés « chauds et secs » avec de « plus en plus de canicules ». Je ne prétends , quant à moi, qu’à un climat « normal », avec des périodes alternées de « chaud » et de « froid » dont je suis coutumier en tant qu’historien. Je laisse le soin au site pensee-unique.fr d’argumenter avec le sérieux scientifique quant au prétendu réchauffement anthropique
Depuis des années des bouquins sont écrits sur l’imposture écologique, mais le GIEC bat tous les records et surtout en France où l’inculture générale pousse à la crédulité. La science véritable devrait nous sauver, mais les médias qui ont pour fond de commerce la peur qu’ils provoquent n’invitent que des escrologistes.
Il y a quelques mois les pontifes du GIEC interdisaient d’écrire et de penser ce qui suit.
Où en sont-ils aujourd’hui?
SCIENCE SANS CONSCIENCE N’EST QUE RUINE DE L’ÂME !
» Dans un consensus écrasant, la communauté scientifique reconnait que le changement climatique est réel. Les gaz à effet de serre ont nettement augmenté et sont une conséquence de l’activité humaine « , a encore souligné Rajendra Pachauri. »
On vient donc nous expliquer une fois de plus que le GIEC, qui rassemble des scientifiques dont la compétence parait indiscutable, fonctionne par « consensus ».
Selon le dictionnaire Larousse, un consensus est un accord de consentement du plus grand nombre.
Ceux que l’on appelle les climato sceptiques préfèrent la démarche qui comme le préconise Descartes doit mettre en doute toutes les connaissances qui nous semblent évidentes pour établir un fondement scientifique inébranlable dont sera déduit tout le reste.
Pour le GIEC le consensus, accord de la majorité sur des points que l’on ne met pas en doute, relève peut être de la science puisqu’il est pour partie le fait de scientifiques, mais il relève surtout de la politique et pourrait être obtenu par vote, par référendum et pourquoi pas par sondage.
« Science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». Notre bon François Rabelais aurait-il accepté de faire partie du GIEC ou d’en cautionner les oukases et autres conclusions péremptoires ?
Est-il possible et raisonnable en effet, ainsi que le fait le GIEC, de mélanger sans risque science et politique ?
Non ! Loin de moi l’idée de sous entendre que la politique se fait au plus grand mépris de la conscience, mais enfin ! Il y a quand même des arrangements, et l’exemple d’Albert Einstein dont les découvertes ont été utilisées aux fins militaires que l’on sait, et qui en a terriblement souffert, montre bien que les politiques sont parfois loin de considérer que pour être véritablement au service de l’Homme, la science doit être liée à cette conscience morale qui caractérise les vrais scientifiques, et peut-être pas toujours ces mêmes politiques.
On objectera certes que ce sont les tenants et conservateurs de l’ordre moral, qui s’opposèrent aux travaux de la première dissection humaine que fit à Montpellier, Rabelais, le célèbre curé de Meudon.
Ce sont les mêmes qui firent que Galilée condamné à la prison à vie par la Congrégation du Saint-Office aurait murmuré dans sa barbe, le 22 juin 1633 : « Mais pourtant elle tourne ! ».
C’est vrai ! Mais après tout n’y avait-il pas chez ces inconditionnels de la conscience morale un soupçon de comportement politique lié au fait qu’il faillait ménager la chèvre et le chou, en l’occurrence faire en sorte que l’école de médecine de Montpellier ne soit pas trop en avance sur les autres ; ou que les partisans du géocentrisme ne soient pas trop brutalement ridiculisés par Galilée.
Il a fallu la ténacité de Louis Pasteur pour que son vaccin de la rage passe outre le consensus du monde médical dont il avait le tort de ne pas faire partie.
Sans vous inviter Messieurs les scientifiques du GIEC à faire preuve d’un peu de conscience dont on ne veut pas croire que vous êtes dépourvus, pussions nous par contre vous inviter à un peu plus de modestie, en ne considérant pas, comme le firent les géocentristes, que la terre est le centre de l’Univers, et que les petits cirons que nous sommes sur cette terre ont tout pouvoir pour régenter cet Univers et notamment agir de façon irréversible sur les facteurs qui gouvernent le climat.
Pour en revenir à la conscience et afin que la science ne devienne pas ruine de l’âme, il serait bon que cette science dirigeât ses recherches, non plus sur les actions sans doute très marginales que l’Homme pourrait avoir sur le changement climatique, mais sur les conditions dans lesquelles l’humanité peut s’adapter à ce changement sur lequel de plus en plus d’entre nous, et surtout de grands scientifiques consensuso-sceptiques croient que ne pouvons que peu de choses.
N’oubliez pas que de cette adaptation au réchauffement, entre autres, dépend l’espoir que nous avons tous que ne meurent plus de faim ces malheureux petits dont des dizaines ont disparu dans le monde depuis que vous avez commencé à lire ce commentaire.
Ce n’est pas parce qu’il y a consensus que ce n’est pas scientifique. Il y a des scientifiques qui disent qu’il y a un réchauffement, d’autres qui disent que non mais ils sont minoritaires… ceux-là ont plus de mal à convaincre apparemment. Il y a aussi un certain nombre de scientifiques qui disent qu’il y a bien un réchauffement mais s’occupent de savoir si il est d’origine humaine ou non, d’autres à savoir si nous pouvons y faire quelque chose ou non, d’autres encore à savoir si ça pose ou non un problème.
Votre commentaire me semble mêler toutes les thèses en même temps. J’ai du mal à vous suivre et je n’arrive à en déduire ni aucune thèse scientifique ni aucune orientation politique. Galilée a au moins dit que la terre tournait, vous dites quoi ? qu’il y a un réchauffement et qu’il faut s’y adapter, qu’il n’y a pas de réchauffement ou qu’il y ait ou non réchauffement n’a aucune importance ? ces 3 approches peuvent difficilement cohabiter en toute cohérence.
Taratata ! Bullshit ! Le fonds de commerce des escrocs du GIEC est le RCA, pas les variations naturelles du climat dont ils n’ont rien à foutre puisqu’on ne peut rien y faire, que dalle. L’objet du GIEC est purement politique, il n’a jamais été scientifique.
Voici une petite présentation de la réalité des données d’observation et des résultats de publications « GIECquement incorrectes »: http://dropcanvas.com/#7Q6L48INFo42CO
A diffuser sans modération!
Kenavo
Intéressant… dommage de le partager au format docx.
Vous le voulez en format PDF?
Non je l’ai ouvert avec GoogleDrive, ce n’était qu’une toute petite sensibilisation au fait que tout le monde ne peut pas ouvrir des docx (d’ailleurs GoogleDrive est une bonne solution de partage : le html me semble avoir gagné la guerre des formats).