Le débat autour du réchauffement climatique d’origine humaine « indiscutable » a dépassé les frontières de l’absurde au point d’en devenir comique.
Par Stéphane Montabert depuis la Suisse.
« La Terre est en passe de devenir plus chaude que lors des 11300 dernières années », clame une étude soigneusement relayée sur le site d’information Romandie.com.
Bien entendu, sitôt la manchette passée (mais combien de gens lisent-ils encore les articles?) le soufflé se dégonfle assez vite :
Se fondant sur des analyses effectuées sur 73 sites autour du globe, des scientifiques ont pu reconstituer l’histoire des températures terrestres depuis la fin de la dernière période glaciaire, il y a environ 11 000 ans.
Ils ont constaté que ces dix dernières années ont été les plus chaudes, comparé à 80% des 11.300 années passées.
Virtuellement, tous les modèles climatiques évalués par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) montrent que la Terre sera plus chaude d’ici la fin du siècle qu’à n’importe quel moment durant les 11 300 dernières années et ce, selon tous les scénarios plausibles d’émissions de gaz à effet de serre.
Après l’affirmation d’une caution scientifique à toute épreuve, on apprend donc incidemment que les dix dernières années auraient été les plus chaudes que quatre-vingt pour-cents des 11 300 dernières années, ce qui laisse tout de même plus de 2000 années plus chaudes qu’aujourd’hui.
Expliqué de cette façon, c’est un peu moins effrayant, et beaucoup moins spectaculaire.
Oubliant que toutes les températures du passé sont basées sur des estimations hasardeuses et imprécises voire manipulées (sans parler d’une notion de « température moyenne mondiale » extrêmement douteuse), l’article reprend vite le laïus habituel sur la Terre-condamnée-à -se-réchauffer sur la base des modèles climatiques évalués par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, le fameux GIEC.
Vu de Suisse, ce genre de dépêche sensationnaliste ne provoque même plus de réaction. Le public est blasé, mais aussi, hélas, convaincu. À en croire les reportages de la télévision publique helvétique impeccablement alignés sur les thèses réchauffistes, le climat ne se réchauffe nulle part plus vite qu’en Suisse.
Les médias prennent un soin particulier à occulter tout débat. Science is settled, comme disent les inquisiteurs en dressant le bûcher. Il y aurait pourtant un intérêt public prépondérant à relayer les nombreuses polémiques faisant rage sur ce dossier, certaines impliquant des factions à l’intérieur même du camp des partisans du réchauffement climatique.
L’une d’elle a trait à l’utilisation de modèles par le GIEC. Les températures étant très complexes à extrapoler, il faut « simplifier » les mécanismes climatiques selon divers axes, étudier quelques phénomènes aux dépens du reste et ajouter un zeste de poudre de perlimpinpin.
Déjà , le GIEC emploie plusieurs modèles – FAR, SAR ou AR4 pour citer quelques acronymes aussi engageants qu’une marque de chewing-gum d’Allemagne de l’Est – et ces modèles livrent des résultats incompatibles entre eux. Comment proclamer que la Terre se réchauffe de façon « rapide » voire « catastrophique » lorsque cinq thermomètres statistiques n’arrivent pas à faire mieux que livrer cinq températures différentes ?
Certes, on répondra que si tous indiquent de la fièvre, il y a peut-être des raisons de s’inquiéter. L’argument semble tenir la route, à ceci près que le monde politique (et en son sein les écologistes les plus extrémistes) fait preuve de bien peu de modération dans ses analyses en prenant systématiquement pour argent comptant les chiffres les plus dramatiques. Le bon sens ne réclamerait-il pas plutôt de choisir enfin un seul thermomètre – le meilleur, le plus juste – et de s’y tenir ? Mais aborder le problème sous cet angle soulève encore plus de questions sur la pertinence de ces fameux modèles…
En effet, le monde s’inflige la théorie du réchauffement climatique depuis maintenant suffisamment longtemps pour que les mesures actuelles examinant la Terre sous toutes les coutures, même depuis l’espace, soient confrontées aux prédictions des modèles.
Et le moins que l’on puisse dire est que ça ne colle pas :
Il suffit d’avoir des yeux ouverts et un peu de matière grise pour constater que les températures réelles mesurées (en noir) sont, qu’on le veuille ou non, bien en deçà de l’apocalypse réchauffiste (surfaces d’incertitudes de chaque modèle colorées de diverses teintes) que nous servent en chÅ“ur avocats de la cause et journalistes. Et encore, par pudeur, le graphique ne montre pas les tendances de ces modèles jusqu’en 2100.
Ne comptez pas trop sur les médias helvétiques pour vous rapporter ce genre d’information.
Ne croyez pas non plus que ce modeste graphique soit un instant d’égarement ou une erreur de publication ; les choses deviennent vraiment intéressantes quand M. Pachauri, le président du GIEC en personne, admet publiquement le mois dernier qu’il n’y a pas eu de réchauffement climatique mondial au cours des dix-sept dernières années.
Pas de réchauffement climatique.
Dans les dix-sept dernières années.
Relisez, encore et encore.
Combien de reportages et de documentaires sur la réalité-du-réchauffement-climatique-ici-et-maintenant avez-vous vu sur la même période ?
Venant de n’importe quel climatosceptique forcément aux ordres des multinationales pétrolières, l’affirmation ferait sourire et serait immédiatement défaussée. Mais de la part du directeur du GIEC lui-même, il y a de quoi douter. C’est un peu comme si le Pape affirmait à un journaliste que cette histoire de Jésus et de résurrection n’est finalement qu’un gros malentendu.
Science is settled, vous disait-on ?
Mais au fait, quelle mouche a piqué M. Pachauri ?
Tout simplement l’écart de plus en plus net entre le réchauffement hystérique proclamé par les modèles du GIEC et la réalité, rendant intenables les cris de panique habituels. Certains avancent l’hypothèse que M. Pachauri se lance dans un modeste mea culpa pour restaurer une crédibilité en miettes et pouvoir proclamer quelque chose comme « le temps nous aura donné raison » au cas où les températures augmenteraient réellement d’ici quelques années. Le pari est audacieux, mais le GIEC est si mal en point qu’il n’a plus guère le choix.
Le plus terrible est que tout cela aurait pu être évité simplement en abordant dès le départ une attitude précisément scientifique.
Comme l’explique le professeur Robert Carter :
Compte tenu de la grande variabilité naturelle manifestée par les données climatiques, et l’incapacité à ce jour d’y sélectionner ou d’y identifier un signal anthropique [c’est-à -dire provoqué par l’Homme], la bonne hypothèse de départ est l’hypothèse nulle, parce qu’elle est la plus simple qui soit compatible avec les faits connus, et qui peut être formulée ainsi : les changements climatiques globaux sont présumés être d’origine naturelle, au moins jusqu’à ce que des preuves spécifiques parviennent à démontrer la causalité anthropique.
C’est une des caractéristiques les plus extraordinaires du GIEC que les études qui y sont menées procèdent d’une inversion (injustifiée) de l’hypothèse nulle, à savoir : les changements climatiques globaux sont présumés résulter des émissions anthropiques de dioxyde de carbone, au moins jusqu’à ce qu’une preuve spécifique n’indique le contraire.
Évidemment, une posture aussi biaisée scientifiquement ne pouvait que faillir sur le long terme :
La réalité scientifique actuelle est que l’hypothèse du GIEC sur le réchauffement climatique dangereux a été testée à plusieurs reprises, et que ces tests ont échoué. Malgré l’investissement d’importantes sommes d’argent au cours des 25 dernières années (plus de 100 milliards de dollars), et l’immense effort de recherche effectué par les scientifiques liés au GIEC et par des scientifiques indépendants, à ce jour, aucune étude scientifique n’a établi un lien avéré entre les changements d’un quelconque paramètre environnemental significatif et l’origine humaine des émissions de dioxyde de carbone.
Sans parler du fait que la planète ne se réchauffe même pas…
Mais peu importe ! Dans la sphère médiatique européenne le combat continue, même contre des moulins à vent. On joue sur les mots, on ne parle plus de réchauffement climatique, mais dérèglement climatique, ce qui induit l’idée que le climat a été réglé un jour, une parfaite hérésie ; ou encore de changement climatique, ce qui induit que précédemment le climat ne changeait pas, une autre excellente plaisanterie !
Le débat autour du réchauffement climatique d’origine humaine « indiscutable » a dépassé les frontières de l’absurde au point d’en devenir comique. Il sera intéressant d’examiner pendant combien d’années les médias, et en particulier les médias suisses, continueront sur leur lancée avec le même cap idéologique, éloignés d’une réalité qui a réussi à s’imposer même au directeur du GIEC.
—-
Sur le web.
Hier, les pieds dans la neige et le froid, je disais à ma voisine (prof) « quel froid aujourd’hui ! décidément le réchauffement climatique se fait attendre… » et elle me répondit de go d’un air réprobateur  » mais cela fait partie du réchauffement climatique, tous les scientifiques l’avait prédit ! « .
Le dogme a encore de beaux jours…
Voici de que disaient les scientifiques. Le web n’oublie pas.
http://www.independent.co.uk/environment/snowfalls-are-now-just-a-thing-of-the-past-724017.html
Normal une « prof » ça n’a que l’opinion de son conseiller d’état et en général ceux qui sont au poste de l’éducation sont très souvent roses ou pastèques. Il n’y a qu’a voir la propagande relayée en cours de géographie, enfoncée de force dans la tête de nos chérubins.
Même si vous niez ce réchauffement (admis par l’extrême majorité du monde scientifique), comment ne pas prôner quand même une réduction de la pollution en général (atmosphérique ou autre) qui a de forts impacts sur les populations, la faune et la flore, et l’humanité entière à moyen terme ? Contrepoints, je vous savais libéral, je vous découvre réactionnaire.
Mais bien sur qu’il faut essayer de polluer le moins possible et je ne pense que contrepoint ait publié un jour le contraire. Ce qui est scandaleux dans cette affaire de machin climatique ce sont les sommes colossales qui ont été cramées en pure perte. J’aurai préféré pour ma part, qu’on utilise ce pognon pour la lutte contre le cancer, le sida, la faim dans le monde, l’accès à l’eau etc etc … Pas vous ?
« comment ne pas prôner quand même une réduction de la pollution en général »
Et comment donc ?
Sinon, on peut aussi laisser faire le marché (oui je sais, c’est un gros mot): http://www.contrepoints.org/2012/07/09/89722-mythes-economiques-le-capitalisme-detruit-lenvironnement
Méchant ! Méchant Contrepoints ! il est libéral réactionnaire et en plus il ne mélange rien dans l’article : l’escroquerie scientifique du réchauffement d’un côté et la politique écologique à laquelle on est pas obligé d’adhérer de l’autre.
Et, cerise sur le gâteau, Contrepoints ignore les myions de myions de morts dus à la pollution.
En clair, il n’y pas de réchauffement, mais on s’en fiche : lutter contre un réchauffement inexistant, ça va dans le bon sens donc on le fait quand même !!
Une pollution c’est nocif, néfaste, dangereux ou toxique. En quoi le CO2 serait-il une pollution ?
Rand Paul :
« Même si vous niez ce réchauffement… »
C’est le RC par le CO2 d’origine humaine qui reste à prouver scientifiquement.
À moins que vous n’acceptiez sans barguigner ce genre de propos :
« Peu importe que la science soit fausse, il y a des avantages écologiques collatéraux… Le changement climatique offre la plus grande chance d’apporter la justice et l’égalité à la planète.
Christine Stewart, Ministre de l’Environment du Canada (Calgary Herald, 2003) »
 » stewart « c’est celui, ou celle qui sert la soupe.
Le réchauffement n’est nié par personne, sauf peut-être le giec lui même dont la terminologie évolue de réchauffement global à réchauffement climatique puis à déréglement climatique puis à changement climatique. C’est éloquent./ Ce qui est nié c’est la relation de cause à effet qui va de la (petite) part anthropique du CO2 au réchauffement. Les 15 dernières années ne montrent pas de réchauffement et sont celles de la plus grande production anthropique de CO2.
Pas Chaud Rit Jaune.
pas chaud rit golade.
La « majorité du monde scinetifique » comme celle qui ne voulait pas des théories de Galilée?
le réchauffement n’est pas nié. Ses pseudo causes le sont.
C’est quoi « l’extrême majorité du monde scientifique »? 50,000000000….00001 % ? la majorité des gens qui s’y intéressent (donc une infime minorité)? Sur le plan économique, dans un discipline qui nécessitait déjà de très gros ordinateurs mais était somme toute très marginale, cela a permis de bénéficier de gros investissements, n’est-ce-pas?
Une seule solution : exterminer au moins la moitié de la population mondiale.
Peut-on savoir par quoi s’explique la fonte d’une bonne partie des glaces de la banquise aux pôles, qu’on nous dit importante?
Merci.
La banquise fond au Nord et s’épaissit au sud.
Il existe diverses théories plausibles, mais le réchauffement généralisé de la terre par l’effet de serre dû au rejet de CO2 par l’activité humaine a été invalidé par l’absence de montée en température sur les 16 dernières années alors que le taux de CO2 est monté.
« Fonte de la banquise qu’on nous dit importante » : voyez cependant l’extension de la banquise, au jour le jour, par satellite : http://www.ijis.iarc.uaf.edu/seaice/extent/AMSRE_Sea_Ice_Extent_L.png
Bonjour,
Ben justement, le graphique montre bien que la couche de glace diminue depuis 10 ans ? non ? Les plus bas (septembre) sont de plus en plus bas avec un plus bas historique chaque année.
autant de gagné pour le transport maritime.
le pôle nord n’est pas le thermomêtre de la terre.
le pôle nord ne contient que 10% des glaces de la terre.
la région nord, russie, canada gagne en terres fertiles nourricières.
la température n’est pas la chaleur, la température n’est pas le problème, le problème c’est l’eau, l’eau douce alimentaire pour les besoins de l’Homme plus nombreux demain qu’hier.
Bon. Mais ce jour, 13 mars 2013, en regardant le graphique, constatez-vous une importante fonte des glaces au Pôle Nord ? Non ? Alors ?…
pas aux pôles!!! au seul pôle nord lequel contient 10 fois moins de glace que le pôle sud.
@8enoit
Pour se mettre au niveau du giec il faut descendre.
C’est parce que le pôle nord est en haut et le pôle sud en bas que les glaces de l’artique (en haut, au nord) fondent qu’elle viennet nourrir le pôle sud (en bas sud). En disant ça, comme ça, on est au niveau du giec.
En parallèle, comme on dit au sud du 45ème, que la russie et le canada se réchauffe, est-ce une mauvaise chose? chaque degré gagné -gagné- augmente de plusieurs milliers d’hectares la surface de terre fertiles!
Pas chaud risotto.
Je vous conseille le site très documenté pensee-unique.fr où vous trouverez, entre autres, des articles très techniques sur le sujet. En faisant très court: non il n’y a pas » fonte d’une bonne partie des glaces ».
@Benoît
Fastoche!
http://www.biokurs.de/treibhaus/180CO2/Echanges-meridiens-Chang-clim.pdf
et : http://hockeyschtick.blogspot.fr/
Regardez la courbe globale (Banquise boréale et banquise australe, ainsi que l’évolution de la banquise australe, qui bat des records de superficie, en hiver comme en été.
Cet excellent article ne suit pas qu’il faut polluer. Il demande pourquoi n’y a-t-il pas une déferlante d’articles dans la presse suisse, française et belge sur l’arrêt du réchauffement climatique…Malheureusement les journalistes réchauffistes continueront à contribuer à l’escroquerie intellectuelle. Patience….encore quelques années de stabilisation ou de réduction des températures et surtout de crise, et ils se réveilleront enfin.
Pachaury considère que 17 ans c’est trop court pour nier l’existence d’un réchauffement.
pourtant 17 ans auparavant, 16 années de réchauffement avaient mis le feu aux poudres.
Le giec bouge encore et protège son mensonge.
Cette position n’est pas tenable puisque la NOAA avait expliqué en 2008 que 15 ans suffirait pour nécessiter de revoir les modèles informatiques qui « prouvent » la cause humaine. Revenir sur ça maintenant que ça fait plus que 15 ans, à quoi ça ressemble ?
de même que le bug de l’an 2000 n’a existé qu’avant l’an 2000 seulement dans l’esprit d’informaticiens ou assimilés très émotifs ou très  » motivés « .
Habitant dans l´hémisphère sud, je constate entre les tropiques des chaleurs plus intenses en été (47º), l´Australie a même passé des 50º, des phénomènes climatiques plus violents (orages, éclairs, trombe d´eau etc…) et des hivers plus doux, au long terme c´est l´océan qui commande le climat avec un long décalage entre l´augmentation du co2 et de la température de l´air.
Lisez les articles et vous en saurez plus.
http://sciences.blogs.liberation.fr/home/terre/
« Habitant dans l´hémisphère sud, je constate  »
J’ai arrêté de lire à cet endoit : vouloir déduire de son expérience personnelle le comportement du climat à une échelle géographique planétaire et une échelle temporelle géologique est l’une des plus grosse connerie qui m’ai été donné de lire
biais de confirmation detected!
Roberton: « Habitant dans l´hémisphère sud, je constate »
Climatologue de bistrot spotted !
Habitant dans l’hémisphère Nord, je confirme qu’il est normal que votre théorie et votre jugement soient débiles, vu que vous avez la tête en bas et les pieds en haut.
Ma réponse à votre post n’est évidemment pas très intelligente, mais du moins j’ai tenté de me mettre à votre niveau…
Lisez les articles et vous en saurez plus.
http://sciences.blogs.liberation.fr/home/terre/
Avec de telles sources d’informations, ça reste à prouver…
Si vous ne connaissez pas, je vous suggère :
http://www.pensee-unique.fr/
47° indique une température, pas une chaleur.
La température, c’est le sommet le la montagne, lequel peut être plus ou moins pointuE (sic).
La chaleur c’est le volume de la même montagne.
l’analogue chaleur = volume, température = pic n’est pas bonne. En fait grosso modo la température est proportionnelle à la chaleur, et donc si on compare la chaleur au volume d’une montagne, alors la température correspond plutôt à son altitude moyenne.
euh, pas mal de mauvaise foi dans cette article. Dire que « FAR, SAR, TAR, AR4 sont différents modèles » c’st un peu n’importe quoi, puisque ces acronymes désignent les rapports successifs du GIEC (First, Second, Third, 4) et donc les « scénarios » présentés dans ces rapport, qui sont eux-même une synthèse des différents modèles (une grosse vingtaine) différents qui existe. Cela dit on constate bien une absence de réchauffement (au moins temporaire) inexpliquée par les modèles actuels, qui va nécessairement conduire à donner plus de poids à la nature et moins au CO2 dans l’analyse du climat. Il y a sasns doute eu un emballement prématuré sur les deux décennies de réchauffement 1979 – 2000
Une composition de plusieurs modèles est encore un modèle.
emballement, oui, c’était bien emballé! comme emballages et flaconnages de cosméto-homéopathie qui sont la seule vertu du contenu.
l’étude est nulle ils comparent les reconstructions du passé lointain en faisant des moyennes sur 140 ans (correspond à la pécision des sédiments analysés) et des données récentes sur moins de 10 ans. N’importe quel élève scintifique de 1ère année se ferait recaler avec une méthodologie aussi vérolée mais comme ça va dans le bon sens. Complément pas de réchauffement depuis 17 à 23 ans selon les différents réseaux (GISS, HADCRUT, UAH et RSS). Pour les satellites (moins sujets à caution car ne subissant pas les biais des îlots de chaleur urbains) ça donne 20 ans en moyenne ….
« comme ça va dans le bon sens on diffuse sans se poser de questions … »
ce n’est plus de la science comme avait écrit Mc Kitrick à propos des bidouillages de Mann. Complément l’étude donne un intervalle de confiance de seulement un écart type (et non 2 voir 3 comme dans toute étude statistique sérieuses) l’intervalle de confiance ne représente qu’une probabilité de 68% (contre 95 ou 99% avec 2 ou 3 sigmas)
« Qu’importe la science… »
Pour les réchauffistes, les changements climatiques sont anthropiques.
Donc, en corrigeant l’Homme, on se sauve (et la planète)…
Et s’ils sont naturels ? Bizarrement, on reste à TINA. Comme si les écolo du GIEC considéraient le facteur naturel comme hors de leur compréhension : « C’est le destin, on ne peut rien faire… » (Contreverse Rocard – Allegre).
C’est comme si toute politique qui viserait à s’adapter était une trahison…
C’est depuis cette attitude quasi mystique (« Si Gaïa a décidé, alors malheur à l’Homme ») que je suis devenu sceptique !
Quelques exemples : Une pub clame l’isolation des maisons…
Quand j’ai fait isoler par l’extérieur la mienne, un collègue m’a raconté que chez lui, un simple orage un peu violent avait grêlé de trous une façade isolée. Alerte-on les acheteurs à ce risque ?
Autre cas : A quoi pensaient les résidents inondés, quand ils isolaient leurs maisons sises à coté d’une digue mal entretenue ?
Pas chaud rit golo
Le coupable, c’est le soleil, principale source d’énergie. Il fait peut-être effectivement monter la température globale (ça reste à démontrer, mais c’est très crédible), ce qui fait dégazer les océan et augment les concentrations de CO2 (avec une inertie très importante). Cela fait plusieurs années qu’il a été démontré que la hausse de la concentration de CO2, en suivant la flèche du temps (celui qui passe, hein), SUIT la hausse des températures.
La causalité est tout simplement inversée, et la contribution anthropique est tout simplement peanuts et n’a aucune influence sur quoi que ce soit.
C’est tellement évident que j’ai du mal à comprendre (hors intérêts personnels) pourquoi le GIEC s’enferre à pondre des modèles biasés par une hypothèse fausse dès le départ.
Mais la peur est un bon terreau pour les politique (et pour taxer un peut plus, cf. loi à venir sur des malus à la consommation électrique).
« Follow the money ». Pas besoin d’aller plus loin.
@ M.Shadok, Dire coupable pour le soleil c’est dire que le réchauffement a un effet négatif. Ou est l’aspect négatif du réchauffement?
Voici une petite synthèse sur la problématique climatique et les errances du GIEC/IPCC, qui montre que le GIEC a tout faux (on s’en doutait!…).
http://dropcanvas.com/#wJc9FpE34332em
Bonne lecture!
Ma concierge a également écrit un article sur le sujet pour son journal intime et qui démonte point par point tous les mensonges du GIEC. Je le numérise et je l’envoie à Contrepoints. Ça ne devrait que pouvoir vous intéresser.
Si ta concierge a du bon sens, pourquoi son analyse ne serait elle pas pertinente ?
A propos de fumisterie ecolo-médiatique, comment est il possible que tout le monde ait oublié qu’il y a 25 ans on ne donnait pas 10 ans à l’ensemble des fôrets européennes menacées par les fameuses « pluies acides » ?
Précisément. C’est exactement ce qu’à ma concierge. Du bon sens.
@bidou_ilys
Votre commentaire est vraiment de bas étage, compte tenu de la référence à votre concierge….
Discrimination étagière. Je ne m’abaisserais pas à y répondre.
Merci d’être passé pour montrer à tout le monde le argumentaire du réchauffisme.
Repassez quand vous voulez, vous êtes le bienvenu ! 🙂
Ray: « Merci d’être passé pour montrer à tout le monde le argumentaire du réchauffisme. »
Ça ne fait pas lourd mais saluons l’effort, d’habitude c’est encore plus pitoyable. 🙂
C’est que je ne suis pas paléoclimatologue du dimanche pour ma part. Remarquez, j’ai certainement tort au regard de la puissante littérature publiée sur ce site.
bidou_ilys : « regard de la puissante littérature publiée sur ce site »
Ah voila un commentaire positif et encourageant !
Uni de Zurich = Thomas Stocker = GIEC
Uni de Neuchâtel + Uni Lausanne = Martine Rebetez = GIEC
Uni de Genève = Martin Beniston = GIEC.
Primo, impossible de recevoir un enseignement de la climatologie digne de ce nom en Suisse, les mandarins vendus au GIEC y font la pluie et le beau temps en même temps que de la propagande digne du « bon » docteur Goebbels.
Secundo, impossible d’éviter les restrictions imposée de force par la minorité des khmers-verts et par notre chère, très chère, trop chère, conseillère fédérale Doris Leuthard qui, n’ayant pas les compétences intellectuelles requises, se retranche derrière les mandarins vendus au GIEC qui y font aussi la pluie et le beau temps.
Tertio, la complicité crasse des alter-journalistes ayant noyautés les rédactions de tout les quotidiens suisses, maintenant une chape de plomb sur tout ce qui pourrait faire du tort à la politique d’escroc menée par Mme Leuthard et sa clique de zélotes du GIEC.
Voilà l’état déplorable de la science climatique en Suisse.
Attention, FAR SAR AR4 etc ne sont pas des modèles « incompatibles entre eux » mais sont des acronymes pour « first assessment report », second assessment report », « assessment report n°4 » etc…, une numérotation des rapports successifs du GIEC autrement dit. Soyez précis, vous êtes en général mieux inspiré…
Ne voulant pas me lancer dans une polémique chronophage, je voudrais juste préciser une chose. UNFCCC ou CCNUCC en français veulent dire Convention Cadre des Nations Unies sur le CHANGEMENT Climatique… pas réchauffement. Car on ne sait tout juste pas ce qu’il va se passer. Une tempete tropicale sur New York, des sécheresses en Australie, Russie , Etats Unis,… des inondations ailleurs, des conséquences gravissimes sur les rendements agricoles sont des choses qu’il vaut mieux préparer, anticiper, plutot que d’en subir de plein fouet les impacts lents ou violents, juste dans le but final de vivre à l’échelle de la planète le plus harmonieusement possible et en minimisant le nombre de victimes. paix et clairvoyance.
il faut clouer le bec à tout ces climatosceptiques, notre guide à tous, Al Gore, n’a-t-il pas dit en 2008 à San Francisco: « vous avez le devoir de réduire au silence tous ceux qui s’opposent aux avis du GIEC »? n’a-t-il pas également clôturé son discours à Kyoto par « de toute manière, Dieu est avec nous »? comme Maurice Strong, l’autre grand guide de notre croyance en la science, nous sommes investi d’une mission Divine
Libertynic, vous parlez comme un vrai totalitaire illuminé .