Réchauffement climatique : un climat délétère ?

Un professeur d’université décrypte la présentation par les médias de la question du réchauffement climatique.

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Réchauffement climatique (Crédits Mikael Miettinen, licence CC-BY 2.0), via Flickr.

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Réchauffement climatique : un climat délétère ?

Publié le 16 mars 2013
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Un professeur d’université décrypte la présentation par les médias de la question du réchauffement climatique.

Par István E. Markó, depuis Louvain, Belgique.

S’il est une chose particulièrement irritante, c’est bien l’attitude de certains médias francophones par rapport aux problématiques climatiques et écologiques. S’agit-il de lacunes scientifiques, d’une attitude partisane vis-à-vis d’une croyance particulière, ou, plus simplement encore, d’une réelle volonté de désinformation ? La question se doit d’être posée.

J’ai toujours pensé qu’avant de relayer une quelconque information, il appartient à l’équipe journalistique de suivre une série d’étapes. Parmi celles-ci, il faut, non seulement lire le texte original – même s’il est écrit dans un jargon difficilement compréhensible pour le commun des mortels – mais surtout, le comprendre. Ces deux opérations, dont la difficulté ne doit pas être sous-estimée – certains articles scientifiques sont d’une herméticité rare, même pour les spécialistes du domaine – sont cruciales à la bonne transmission de l’information. Ce travail délicat nécessite souvent le recours à l’avis de plusieurs scientifiques, ainsi qu’une recherche bibliographique poussée, afin de recouper les diverses sources d’information et de vérifier leur exactitude. Par la même occasion, ce travail bibliographique met en lumière l’originalité et la pertinence de l’information qui sera ainsi relayée.

Écrire un article scientifiquement correct, tout en restant compréhensible pour tout le monde, est un exploit qui mérite l’admiration la plus sincère. Rédiger un tel document sans y introduire de biais personnels, politiques ou dogmatiques, est une gageure des plus difficiles à tenir.  Rares sont ceux qui y parviennent. Ajoutons-y la terrible poussée de certains lobbys, le manque de temps, la nécessité d’être les premiers à divulguer l’information, la réduction des moyens et la recherche du sensationnel à tout prix, et la pression devient vite intolérable.

Si cette démarche est scrupuleusement suivie par les journalistes sérieux, d’autres semblent s’être lancés dans une course à l’échalote idéologique, quitte à raconter les pires bêtises, voire les mensonges les plus éhontés. Triste monde que le nôtre qui véhicule ainsi une quantité grandissante d’inepties ! Malheureux sont les journalistes qui confondent science et idéologie, car leur réputation finit par en pâtir, et à nuire par amalgame à l’ensemble de leur corporation.

Les exemples d’un tel manque de professionnalisme dans le domaine climatique et écologique sont légion. À titre d’illustration, rappelons l’exubérante floraison d’articles catastrophistes sur la fonte exceptionnelle des glaces de l’Arctique, que nous avons dû subir cet été. S’il est vrai que la fonte des glaces arctiques a été particulièrement rapide cette année, l’imputer au désormais omnipotent Réchauffement Changement Climatique (sic), relève d’une légèreté peu admissible. En effet, il suffisait de lire jusqu’au bout l’article original, publié par le Pr. M. Serreze, pour y trouver, dans le dernier paragraphe, l’explication du phénomène : une combinaison d’événements naturels et non la conséquence de l’activité humaine. Les loups hurlant avec les loups, les moutons bêlant avec les moutons, la presse « sciento-politique » est devenue, l’espace de plusieurs semaines, la caisse de résonance des alarmistes, catastrophistes et écologistes les plus véhéments. Il suffisait pourtant de faire son métier correctement.

Voguant sur ce petit tsunami médiatique, ces mêmes journalistes sensationnalistes n’ont pas manqué d’ignorer avec superbe, voire de dénigrer, ceux qui leur opposaient une version contradictoire, scientifiquement étayée. Bien entendu, ces mêmes véhicules officiels ont oublié de mentionner qu’à la même période, les glaces de l’Antarctique ont atteint un record historique. En d’autres mots, si au Nord, les glaces de l’Arctique ont fondu avec une rapidité exceptionnelle, au Sud, il n’y en a jamais eu autant. Ajoutons qu’aucun de ces médias n’a signalé, avec une fougue similaire, que la vitesse à laquelle les glaces du Pôle Nord se reforment est exceptionnellement rapide, dépassant de loin celles des autres années. Il y a davantage de glace aujourd’hui qu’en 2006 ou 2007. Sur la dernière décennie, seules trois années (2003, 2004 et 2009) ont compté plus de glace en Arctique que 2013 ! Mais sur ces points, qui visiblement dérangent, les médias adeptes de la sciento-politique restent silencieux. Déontologie, quand tu nous tiens !

Des contre-vérités remarquables – voire des mensonges éhontés – peuvent également voir le jour lorsqu’il s’agit d’attirer le chaland. Un superbe exemple est le titre d’un article de l’AFP récent paru dans la version électronique du journal Le Figaro : « Hausse des températures mondiales ». Voilà qui est parfait pour effrayer – et remettre dans le droit chemin de la doxa « réchauffiste » – une population plus inquiète aujourd’hui pour sa facture énergétique que pour le sort de la Planète en 2100. Il est vrai que se chauffer correctement l’hiver devient un défi colossal – et parfois insurmontable – pour un nombre grandissant de citoyens européens, ceci, à cause des nombreuses décisions politiques aux visées écologiques.

Non seulement le titre de l’article est mensonger, mais son contenu est rédigé d’une manière telle qu’elle envoie au lecteur un message tronqué, au contenu fallacieux et parfois erroné. Examinons ces points un par un.

1. Le titre est mensonger. James Hansen (Goddard Institute, NASA), l’un des plus ardents défenseurs du Réchauffement Climatique dû au CO2 anthropique, vient de reconnaître publiquement – à son corps défendant, certes – que les températures moyennes du globe n’augmentent plus depuis près de 15 années ! Cette information est corroborée par le GIEC lui-même, comme on peut le voir à la Figure 1a et le lire dans la version non-officielle du rapport AR5 du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du Climat), qu’une fuite « heureuse » a rendue publique.

Figure 1a

Figure 1a. Variation de l’anomalie de température en fonction du temps (AR5, GIEC). Les traits noirs représentent les températures observées tandis que les surfaces colorées reprennent les divers scénarii calculés par modélisation. Remarquez le manque de prédictabilité des modèles.

Figure 1b

Figure 1b. Expansion de la variation de l’anomalie de température en fonction du temps sur les 25 dernières années (Centre Hadley Centre de l’Office Météorologique Britannique). Le plateau est particulièrement visible.

Comment un journaliste de l’AFP peut-il écrire une telle ineptie ? Comment peut-il se permettre de ne pas vérifier la véracité de ses dires ? Mystères…

2. Le contenu est présenté de manière fallacieuse. Le premier paragraphe débute en ces termes : « Huit des neuf années les plus chaudes enregistrées sur le globe depuis le début des relevés de température en 1880 se sont toutes produites depuis 2000, a indiqué aujourd’hui la Nasa. L’année 2012 a été la neuvième la plus chaude… ». Est cité, à titre de référence, l’Institut Goddard pour les études spatiales de la NASA. Tiens, le même institut que James Hansen ! Analysons ce paragraphe en détail. Après tout, c’est le premier et donc le plus important, avec le dernier.

Ce paragraphe nous indique que les années actuelles comptent parmi les plus chaudes depuis le début des mesures. En tant que tel, ce n’est évidemment pas faux. Rappelons-nous cependant que les températures récentes, ayant atteint un plateau et évoluant sur celui-ci, il est normal qu’elles soient plus élevées que celles des 25 années précédentes (Figure 1b). Toutefois, cette affirmation masque la réalité actuelle, c’est-à-dire l’arrêt du réchauffement depuis près de quinze ans ! Cette observation, une fois de plus contraire aux prédictions du GIEC, gêne au plus haut point les chantres du Réchauffement Apocalyptique. L’embarras est de taille puisque cet arrêt du réchauffement climatique, non prévu par les modèles climatiques au coût exorbitant et sur lesquels se base l’actuelle politique énergétique, est toujours inexpliqué.

À la lecture de cet article, présenté d’une manière spécieuse, un public non averti – la grande majorité d’entre nous – sera aisément trompé et croira forcément que la température du globe a de nouveau augmenté en 2012 ! Or, il n’en est rien ! Même l’Office Météorologique Britannique a été obligé de reconnaître l’invalidité des prédictions de ses modèles climatiques et de revoir à la baisse la prétendue augmentation de température. Les deux figures ci-dessous se passent de commentaires tant elles sont édifiantes.

Figure 2a

 

Figure 2b

Variation de l’anomalie de température en fonction du temps. La figure 2a reprend en bleu les prédictions du Hadley Centre du Met Office Britannique. La figure 2b reprend les mêmes prédictions, mais revues et corrigées à la lumière du plateau de températures observé depuis une quinzaine d’années. Remarquez que cette nouvelle prédiction indique une stagnation des températures jusqu’en 2020.

Qu’un tel revirement de situation, qui tient du scandale scientifique, n’ait pas fait la une des journaux francophones pourtant si désireux de sensationnel, ou au minimum interpelé les politiques, est pour le moins surprenant.

3. Le message est erroné. La stagnation de la température est d’autant plus embarrassante, qu’entretemps, la quantité de CO2 dans l’atmosphère continue de croître. Elle a atteint en 2012 un record historique démontrant, s’il le fallait encore, le manque de couplage entre ces deux facteurs climatiques. C’est pourquoi la remarque du climatologue Gavin Schmidt : « La planète se réchauffe et la raison est que nous continuons d’émettre de plus en plus de dioxyde de carbone (CO2) dans l’atmosphère » est ahurissante de mauvaise foi.

Rappelons de nouveau les faits : de 1940 à 1975, la température moyenne du globe a diminué, de 1975 à 1998, elle a subi une hausse, depuis, elle s’est stabilisée. Si la température joue au yoyo, il n’en est pas de même de la concentration en CO2 dans l’atmosphère. Celle-ci n’a pas cessé d’augmenter paisiblement et de manière continue. Visiblement, ce gaz qui est l’aliment des plantes n’a que faire des variations de la température du globe. Quant à l’affirmation de Gavin Schmidt, elle reflète probablement son désespoir le plus profond.

En effet, il sait pertinemment que plus le temps passe et plus la théorie du réchauffement climatique attribué à la production de CO2 par l’homme s’effrite. Nombreux sont ceux qui osent aujourd’hui contester ouvertement cette théorie des plus douteuses. Chaque minute qui passe, durant laquelle la température moyenne du globe n’augmente pas, l’érode sans pitié. Sans elle, l’édifice construit sur de la pseudo science s’écroulera et révèlera la sinistre mascarade qui s’est jouée depuis tant d’années.

Il est donc remarquable de constater à quel point le choix judicieux d’un langage approprié lors de la présentation d’une information peut véhiculer un message erroné et fausser la perception du lecteur. Ajoutons qu’en général, on ne lit pas un texte électronique avec la même concentration qu’un document papier, mais plutôt qu’on le survole rapidement.

 

Signalons, pour terminer, qu’à court d’arguments pour étayer leurs thèses, les journalistes adeptes de la sciento-politique n’hésitent pas à recourir à l’insulte comme moyen suprême pour avoir le dernier mot. Un exemple particulièrement intéressant est celui de M. Stéphane Foucart du journal Le Monde, qui écrit à propos d’une interview récente de l’auteur de ce billet : « La synergie entre un journaliste imbécile et un scientifique imbécile peut produire des choses remarquables ». Je laisse au journaliste Jean-Paul Duchâteau (La Libre Belgique), qui m’a interviewé, le plaisir d’apprécier cette remarque toute en finesse et en subtilité, caractéristique des cimes vers lesquelles M. Foucart a contribué à porter le débat climatique, en France, avec l’aide de son compère en injures Sylvestre Huet (Libération). Quant à moi, je continuerai à m’en tenir aux faits scientifiques.


Professeur à l’Université catholique de Louvain, Belgique, l’auteur s’exprime à titre personnel.

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  • « Les exemples d’un tel manque de professionnalisme dans le domaine climatique et écologique sont légion. »Je vous rassure ce n’est pas le seul domaine,je suis agriculteur, et si vous saviez les conneries qui peuvent être dites …

    • Exemple : les nitrates. Des millions d’euros sont dépensés chaque année pour en limiter la concentration dans l’eau. Des milliers de personnes y travaillent aux frais des contribuables. Tout ça, pourquoi? Pour rien. Les nitrates ne sont aucunement nuisibles à la santé. Ils seraient même bénéfiques. Mais chut! Dévoiler tout ça irait à l’encontre du discours officiel de l’UE et il ne faut pas déconsidérer les politicards de tous les pays. La France va donc continuer à payer des amendes à l’UE! Voir : http://www.larecherche.fr/savoirs/dossier/nitrates-norme-aux-pieds-argile-01-02-2001-69374

      • Personnellement, j’ai eu l’occasion de constater les effets des nitrates dans la baie de St Brieuc, c’est pas brillant 🙁

        • Ce n’est pas esthétique, mais l’écologie est censé défendre la santé de la nature, ou la beauté subjective de la verdure d’un point de vue humain ?
          Ce qu’on reproche aux plages bretonnes, c’est de grouiller de vie …

          • @Fergunil

            « Ce qu’on reproche aux plages bretonnes, c’est de grouiller de vie … »

            Oui, quand elles ne sont pas recouvertes d’une épaisse couche d’algues vertes dès le printemps étouffant et intoxiquant toute vie.

            Un minimum d’objectivité SVP !

    • L’état lamentable dans lequel se trouve le « journalisme scientifique » de nos jours, n’est que le triste reflet (ou la cause) de l’effondrement du lectorat de la presse et de la faillite qui va avec.

      Qui irait verser quelques euros pour procurer un salaire à des journalistes sous-qualifiés qui n’hésitent pas à verser dans l’injure vis à vis d’opposants infiniment plus compétents qu’eux ?

      Qui aurait imaginé cela de la part du Monde ou de LIbé, il y a une seulement une vingtaine d’années ?

      Cette presse est foutue. Elle sombre dans le ridicule. On ne la regrettera pas.

    • je suis egalement agriculteur, je confirme: quand il y a un reportage sur l’agriculture, je preferes zapper.

  • Talleyrand disait déjà « cent affirmations valent une preuve »:-)

    C’est bien sur ce principe que s’est labcé le joyeux affairisme réchauffissteavec ses chantres, ses « sauveurs », ses grands-messes autour un globe (à grand renfort du CO2 honni) et la secte est soutenue par les medias qui nous donnent notre catastrophisme quotidien.

    Toute ressemblance avec l’examen scientifique de ce dogme ne peut être que fortuite, et ne mérite, pour les apostats, les sceptiques, les sacrilèges, que le bûcher.

    Ce qui nous sauve, c’est que ls bûchers eux-mêmes produisent du CO2 ou d’autres substances qui tuent les ours blancs 🙂

  • Mais les insultes ont depuis longtemps été l’argument employé contre les malheureux scientifiques sceptiques. Souvenons-nous des insultes données à C. Allègre, à V. Courtillot et même Laurent Cabrol pour son livre « Et si la terre s’en sortait toute seule » (communication personnelle).
    Quant à tous les autres non français, ils étaient accusés d’être payés par les pétroliers.
    Personnellement, je n’ai jamais cru à cette théorie du réchauffement climatique causé par le CO2 et je vous assure qu’aucun pétrolier ne m’a jamais donné d’argent !!!

  • Il est simple de connaître la vérité, il faut simplement la chercher. Elle est à la portée de tous. Encore faut-il la rechercher. Il suffit d’aller sur le site de la NASA qui donne les épaisseurs de glace au pôle nord jour par jour, avec la possibilité de comparaison d’une année sur l’autre pour se rendre compte par soi-même de la rapidité avec laquelle la glace se reforme en hiver. Il faut aussi constater que la profondeur de la glace est supérieure à ce qu’elle a été pendant des années. Ce sont des faits, encore faut-il les rechercher et les accepter.
    http://igloo.atmos.uiuc.edu/cgi-bin/test/print.sh?fm=11&fd=12&fy=1979&sm=11&sd=12&sy=2009

  • «  » » »C. Allègre, à V. Courtillot et même Laurent Cabrol » » » »

    Aucun des trois n’est compétent en la matière, les prendrfe pour références c’est comme demander à un boucher (même chevalin) de faire une opération à coeur ouvert.

    Hadcrut ne prend pas en compte les poles, il manque donc la zone ou ça chauffe le plus, l’océan arctique. Quant à l’antarctique, sa relative bonne santé est parfaitement documentée, il ne tient qu’aux sceptiques de se documenter. et mercie de ne pas confondre banquise et continent, ce dernier perd de la glace et pas que depuis hier.

    http://www.deas.harvard.edu/climate/eli/Courses/global-change-debates/Sources/18-West-Antarctic-ice-sheets/nature_mercer_1978_wais.pdf

    • Si ça « chauffe » au nord, comment est-il possible que la glace se reforme à toute vitesse, plus rapidement qu’avant ? En bonne logique réchauffiste, la glace devrait se reformer, en tendance moyenne, un peu plus lentement qu’avant.

    • « «  » » »C. Allègre, à V. Courtillot et même Laurent Cabrol » » » »
      Aucun des trois n’est compétent en la matière »

      « Robert » dixit !
      Mais c’est « Robert »…

      « C’est malhonnête de prétendre que 2500 éminents scientifiques du GIEC ont atteint un consensus sur l’influence significative des activités humaines sur le climat. Ce consensus concerne seulement une petite douzaine d’experts dans les études de détection et d’attribution. »
      Mike Hulme, Pr Science climatique à l’University of East Anglia, Avril 2010.

    • Mais Monsieur Robert, lui est compétent, ainsi que MM Huet & Foucard « tripes et volailles ».
      Dans ce domaine comme dans bien d’autres, l’argument d’autorité est le dernier refuge des menteurs.

  • Sur le comportement déplorables de certains, journalistes ou autres :

    L’« ultime stratagème » de Schopenhauer, systématiquement utilisé par les opposants […] quand les faits scientifiques leur donnent tort […]

    … préférer émettre des insinuations et des attaques ad hominem

    (extrait de : http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article2080 )

  • Jól van, professzor úr.

  • 1) Tristement dit : une volonté de nos médias de désinformer les masses lambda. Ce médias suivent là le courant mainstream.

    2) Motivations sous-jacentes ? Pour rester en grâce avec les staff de partis, leurs journalistes « accrédités auprès de… » se doivent de propager les messages préférés des camarades. Slogans et leitmotive associés se disent et se tartinent donc au quotidien.

    3) Depuis que le lectorat (ou de chers auditeurs) « foutent le camp » par désappointement et irritation face aux mensonges qui leur sont déversés, les « stratèges de la COMM médiatique » ont cru bon de recourir à ce qui s’appelle en termes de marketing « la segmentation des marchés ». Ainsi, des titres jadis vespéraux ou militants du bénitier sont-ils virés vers les courants des gauches catho/verte/rouge (…). Tous se dit : raclons large parmi les couches de « croyances crédules ». En un cas d’espèce, parmi ces titres, prenons LLB et son prosélyte Ecolo (un certain G.T.) – sinon quelques stagiaires à la plume habile. Chacun d’eux s’emploie à nous matraquer les yeux et les oreilles de leur bêtisier quotidien (en pages 2-3-4 dudit quotidien). Tout ceci, particulièrement depuis l’avant élections belges de 2007 (et en concordance avec ce film d’esbroufe autocentré d’Al Gore). Cherchez la faille ? Moi je me suis ainsi désabonné de trois titres nous prenant chacun pour de gros cons ! Ceux-là s’interrogeront-ils encore sur des raisons de leurs pertes massives de lectorat ???

    4) le comble se trouve parmi de présumés « scientifiques » logés un pied dans les campus universitaires, un second pied calé dans un poste international de visibilité (p.ex. au GIEC/IPCC) et la tête partagée en tant que « con-seiller » d’un parti du verdissement européen ! Rigueur de la science « exacte » que tout ceci ? Ben non, c’est de l’endoctrinement massif des jeunes assez malléables que pour acheter des thèses non démontrées, puis d’en faire des militants à la seule « cause idéologique » !

    6) nos politiciens étant rarement des diplômés de sciences exactes, mais essentiellement des gens du droit, sinon de nombreux enseignants encartés, des adeptes recasés parmi les cabinets ministériels à tous les étages de pouvoir … nos maîtres à édicter des lois/décrets/directives européennes se sont fait abuser et ont céder aux sirènes. Tous liés par des croyances suspectes, croyances dignes de sectes (scientologues & co). D’où notre dramatique recul socio-économique en U.E. »con-quis » par les européens adeptes de l’écologisme politicien ! Tout ça masqué sous le couvert de la « crise ».

    7) l’ultime bêtisier se rencontre malheureusement chez nombre d’industriels européens qui ont cru bon de se soumettre aux diktats politiciens. Depuis l’ERT européenne jusqu’aux simples chefs d’entreprises, tous se croient reconvertis à des thèses (à X % publicitaires) dont la réalité des vrais phénomènes climatologiques inverse actuellement la tendance !

    En conclusion : les effets de la « pensée unique » chère à nos unificateurs U.E. conduisent un continent entier et 500.000.000 de citoyens en plein dans le mur.
    Devrons-nous nous flatter d’avoir écouter et suivi les nouveaux obscurantistes ? La réponse se lit dans ma question !

    NB : il ne fait aucun doute que des commentateurs abscons vont encore jouer les G.O. (gentils objecteurs) face à ces évidences de plus en plus alarmantes…

  • Très bonne mise au point, merci !

    A propos des évolutions corrélatives du CO2 et de la température, elles sont bien corrélatives sur le long terme, l’important est de savoir qui commande l’autre.

    Depuis plusieurs années déjà, des chercheurs ont trouvé qu’il fallait s’intéresser aux variations de vitesse de changement de la teneur en CO2 et non à celles de la teneur globale.

    Des renseignements utiles sur ces travaux se trouvent en français ici :
    http://www.skyfall.fr/wp-content/2012/01/temp-co2.pdf
    http://www.skyfall.fr/wp-content/2013/01/graph-temp-co2-actual.pdf

    Et sur d’autres sujets connexes voir aussi l’ensemble de la rubrique :
    http://www.skyfall.fr/?page_id=862

  • J’ai écrit deux billets à ce sujet sur mon blog que vous pouvez consulter, me référant aux articles initiaux et à des commentaires réalisés par des personnes dont l »objectivité n’est pas à remettre en cause. Je ne suis pas climatologue mais en tant qu’ancien scientifique, je comprend à peu près tout d’un article rédigé en anglais :
    http://jacqueshenry.wordpress.com/2013/02/26/le-rechauffement-climatique-vaste-fumisterie/

    http://jacqueshenry.wordpress.com/2013/03/02/rechauffement-climatique-suite/

  • Le drame le plus terrible avec cette absurdité du dogme du RCA, ce sont les conséquences pratiques élaborées par nos techno-bureacrates de l’UE et de nos Etats: réglementations et normes contraignantes, bourse d’échange carbone, sources de malversations nombreuses, soutien du développement incontrôlé des EnR (dont nous n’avons nul besoin), bonus-malus énergétique (là, c’est le comble de la stupidité dogmatique), ….

    http://dropcanvas.com/#SAn7p952RfNrCE

    Et une petite synthèse sur la problématique climatique, que nos 2 chantres du dogme du RCA, Foucart et Huet, n’apprécient pas du tout!…
    http://dropcanvas.com/#wJc9FpE34332em

    A diffuser urbi et orbi, sans modération….

  • Et pourtant le réchauffement climatique anthropique existe bel et bien : c’est celui de l’anus des contribuables qui doivent payer pour toutes ces conneries.

  • Tenez, pour vous faire voir le sérieux des scientifiques qui interrogent la planète terre :
    Un avion chasseur américain P-38 est tombé sur le Groenland le 15 juillet 1942. Il fut localisé à 75 m de profondeur en 1988. Il fut remonté en mai 1992. L’avion a donc été recouvert de 75 m de glace en moins de 50 ans (Creation ex nihilo – june-August 1997)
    Ainsi donc de 1942 à 1988 soit en 46 ans, un objet s’est enfoncé de 75 m.
    En faisant la règle de trois,
    1) 75 m font 46 ans
    2) 1 m font 46/75 = 0,61333 ans
    3) 3270 m font 46/75*3270 = 2005,6 ans

    Comme c’était au Groenland, ce n’est pas tout à fait applicable à l’Antarctique mais ce doit être du même ordre. Evidemment les journalistes vont préférer 800 000 ans à 2006 ans car croire les paléontologues est moins fatiguant que de vérifier leurs affirmations. Et voilà pourquoi, Monsieur, votre fille est muette !
    Le site relatant la récupération de l’avion P-38
    http://p38assn.org/glacier-girl-recovery.htm

    • Ahaha, le Groenland équivalent à l’Antarctique ?! Si vous voulez comprendre pourquoi votre raisonnement est erroné, commencez par étudier les environnements respectifs du Groenland et de l’Antarctique…

  • Parce que j’avais lu dans l’Est Républicain du jeudi 15 mai 2008 sous le titre « Gaz à effet de serre à un niveau record » qu’en Antarctique, une carotte de glace prélevée à 3270 m de profondeur permet d’examiner la composition de l’air jusqu’à 800 000 années en arrière.

  • Cela fait plus de dix ans que je dis haut et fort que les tenants du réchauffement climatique d’origine aanthropique sont des charlatans. En effet, il n’y a ni réchauffement, comme le montre les dernières données ni effet de l’homme. Difficile de se tromper autant.
    Pendant ce temps-là, alors que la messe est dite ou quasi, nos politiques continuent a) à dire autant d’inepties sur le sujet (et tant d’autres) que possible) b) à dépenser des milliards de notre argent d’une façon à la fois débile (c’est souvent le cas) mais en plus tout à fait contre la sience. On se croit revenir au temps, de Galilée. Si au moins, cela ne coûtait pas aussi cher.

  • On peut actuellement dire au Parti Socialiste français ce qu’on pense de sa politique concernant le développement durable et la transition énergétique ; c’est ici
    http://www.parti-socialiste.fr/articles/contribuez-au-theme-nous-lancer-enfin-dans-la-transition-energetique?utm_source=hommage2&utm_campaign=PS_13_03_2013&utm_medium=email?utm_source=hommage2&utm_campaign=PS_13_03_2013&utm_medium=email
    C’est un peu long pour poster, le résultat n’est pas garanti, et le message ne remontera sans doute pas très loin , sauf peut-être si de nombreux déçus de l’écologisme ambiant se manifeste
    j’ai posté ceci , et c’est passé
    Je vois ci-dessus une phrase mémorable de Monsieur de De Perthuis; effectivement il y a plus de Carbone dans le sol et le sous sol que l’atmosphère puisse supporter, puisqu’elle a mis plusieurs milliards d’années avec le concours de la biosphère pour l’y enfouir.
    Mais ce que nous en prélevons tous les ans en représente une part infime ; le réchauffement climatique s’est arrêté il y a quinze ans ; Mr Pachauri l’a reconnu officiellement ;et pourtant le CO2 continue à grimper comme jamais à cause de la propagande écologiste contre le nucléaire et la mise en place d’infrastructures d’énergies renouvelables qui nous délivrent une énergie beaucoup plus onéreuse
    En fait Monsieur de De Perthuis prône la décroissance , alors que je viens de lire que la priorité de Mr Hollande c’est la relance de la croissance ; voilà la contradiction gouvernementale.
    Nul besoin de taxer le fossile (ou le diesel) sauf si ce n’est pour renflouer les caisses de l’état ; le peak oil on y est , et le non conventionnel , qu’il s’agisse de gaz ou d’huile ne peut que repousser de quelques années l’échéance d’une énergie fossile bientôt inabordable pour le commun des mortels ; la transition énergétique se fera toute seule et ce n’est pas en délocalisant notre industrie dans des pays moins regardant sur la pollution atmosphérique par particules que nous sauverons la planète d’une hypothétique crise de réchauffement qui a commencé bien avant la révolution industrielle .
    S’il y a un effort à faire , ce n’est pas dans la construction de tours éoliennes ou de fermes solaires qui seront en fin de vie avant leur amortissement ; c’est dans la recherche

  • Bon alors Philiber Té, La science officielle donne quel âge à un objet enfoncé à 75 m dans le Groenland ? 46 ans ?

    • Le climat de l’Antarctique est très sec, les précipitations neigeuses ne sont clairement pas comparables à celles du Groenland. Voila où est l’erreur dans votre raisonnement simpliste !

  • Et mes posts, ils sont où??

  • Il y a quelque chose qui continue de me surprendre: je comprends parfaitement que l’on réfute le réchauffement anthropique, mais quand est il du réchauffement naturel ? Les cycles d’activité solaire semblent présager une période plus chaudes pour les années à venir, non ?

  • Un exemple typique d’article sensationnel, publié bien entendu lors d’une période « chaude » (trois beaux jours venaient de s’écouler avec des pointes entre 17 et 21°C, juste avant l’arrivée du front froid qui amena la neige). Ce qui est terrible, c’est la teneur de la majorité des commentaires. On peut clairement y voir l’exaltation de ceux qui désinformés en permanence sont tout prêts à partir en croisade…
    http://www.sudouest.fr/2013/03/08/les-temperatures-vont-depasser-le-record-etabli-depuis-le-dernier-age-de-glace-988975-706.php

    • Le journal Sud-ouest est-il compétent pour affirmer ce qu’il affirme ?
      Dans l’article il est dit que « la controverse scientifique est close  » or justement la science, la vraie, procède par hypothèses. Si les résultats expérimentaux ou les données observées la contredisent, on modifie l’hypothèse et ainsi de suite. Autrement on fait article de foi et cela n’a rien à voir avec la science. Or de nombreuses observations actuelles contredisent cette hypothèse basée surtout sur des modèles informatiques.

  • Mr. Marko n’applique même pas ses propres conseils:
    « Il faut, non seulement lire le texte original mais surtout, le comprendre. »

    Les figures 2a, 2b ne sont pas les figures originales, elles ont été retouchées (courbes effacées, légende et barres d’erreur supprimées) et republiées sur un site sceptique.

    Lire le texte original sur le site du met office (decadal forecast), permet aussi de comprendre que les prédictions à l’échelle décénale sont encore expérimentales et que la différence entre les 2 graphes provient d’un upgrade vers une meilleure version du modèle.

  • Cher Didier Pignard,
    l’histoire de l’avion du Groenland est bien connue et résolue, non par une règle de trois mais par des mesures, aussi bien au Groenland (GRIP et GISP2) qu’en Antarctique (Vostok et autres); mesures de l’âge des portions successives de carottes glaciaires.

    Ces mesures permettent de montrer qu’il existe un tassement qui semble hyperbolique avec la profondeur ce qui parait logique puisque la glace subit le poid de celle qui la suit dans le temps. Ce tassement est cependant modulé par l’eneigement variable avec les périodes glaciaires (très faible) et interglaciaires (environ 3 fois plus fort).

    Pour mettre en vidence ces deux phénomènes, il suffit de représenter sur un graphique les différences d’âge entre deux portions successives.

    Ainsi, à Vostok voici quelques données qui sont rarement représentées mais que l’on peut facilement calculer sur une feuille excell à partir des archives de la NOAA.

    Dans le premier m, il y a environ 17 ans, entre ~3000 et ~11000 ans, il y a ~50 ans par m. Puis, dans la période glaciaire qui a suivi l’Eémien, interglaciaire précédant le notre que j’appelle Int -1, on trouve entre 75 et 100 ans par m, l’Eémien à -120000 ans remonte à 50 ans/m. Dans la période suivant l’int -2, de -130000 à -230000 ans, il y a entre 110 et 200 ans/m.

    Pour se limiter aux interglaciaires, le -2 est à 120 ans/m, le -3 à 210 ans/m, le -4 à 500 ans/m. ces deux derniers sont sous plus de 3000m de glace et le dernier, -4, âgé de ~410000 ans. Au plus fort de la glaciation qui a suivi ce dernier, il y a 650 ans/m.
    Tous les chiffres donnés sont approximatifs, mais pourraient être précisés en retournant à la feuille excell.

    Le vrai problème de ces données n’est pas la détermination de l’âge mais la non prise en compte de l’enneignement tassement pour évaluer les teneurs moyennes en éléments lourds comme 18O et Deutérium, ou le CO2 qui servent ensuite à « déterminer » les températures et leurs relations avec le prétendu « gaz à effet de serre » CO2. Les teneurs sont toujours rapportées à une portion de carotte, jamais au nombre d’années qu’elle recouvre.

    Quand on sait par ailleurs que l’àge moyen du CO2 contenu dans une portion de glace est entre 2300 et 6500 ans environ plus jeune que la glace qui l’a piégé, respectivement en période interglaciaire et glaciaire, on doit être très circonspect sur les beaux graphiques que l’on voit souvent en paléoclimatologie.

  • Sérions les problèmes :
    – Le catastrophisme idéologique professé par les Ecolos.
    – Les taxes et contraintes que les autres partis en retirent.
    – Le manque de scientifiques (pas un seul) au gouvernement.
    – La formation des journalistes qui n’ont eu de cesse, dans leur cursus, de fuir les sciences exactes.

  • Ne croyant pas à grand chose , que ce soit à un prétendu « politique « , ou à un « prétendu » journaliste etc etc , la lecture attentive de cet article scientifique me conduit , certes en extrapolant ,à cette seule interrogation : la démocratie parlementaire où nous vivons en France ne serait elle , elle aussi ,qu’une occasion pour une prétendue « majorité » d’imposer sa loi à une prétendue « minorité « ???

  • Excellent votre exemple, d’une part : « la température n’a jamais été aussi élevée depuis… années » et la réalité : les températures globales qui stagnent depuis au moins 15 ans, malgré que la teneur en CO2 continue à augmenter plus que prévu. Catastrophe en vue?? Tiens tiens, on vient de publier un article comme quoi la terre n’a jamais été aussi verte et que les rendements agricoles n’ont jamais été aussi élevés que ces dernières années! voir aussi Nature Geoscience
    Chris Huntingford, sur les forêts tropicales qui se portent bien grâce à ce cher CO2, nécessaire et indispensable à toute vie sur terre, mais cela on n’en entend pas parler…

  • A sdw, Et non, ce n’est pas une blague. La théorie de l’évolution acceptée par la science officielle,
    les médias, les politiques, les écoles, a purement et simplement enterré l’histoire crue pendant 4500 ans qu’il y a eu un déluge, que celui-ci a fait périr tous les êtres vivants vivant sur la terre ferme et ayant souffle de vie, que Noé a construit une arche pour sauver 8 personnes et un couple des animaux de chaque espèce, que la Bible n’a jamais pu être mise en difficulté sur les récits historiques et sur sa pertinence scientifique.
    Il s’agit tout simplement d’un négationnisme de l’histoire crue pendant 4500 ans au profit d’une histoire réinventée avec ses millions d’années, son acceptation que l’homme s’est fait tout seul, que le hasard est capable d’avoir créé votre main (celle qui en tombe sur le clavier, regardez-là et faites la bouger), que les dinosaures (Broaaarrrrrh) se sont transformés en oiseaux (cui-cui). Mais sdw, c’est une blague, ne me dites pas que c’est votre vrai nom !

    • Indubitablement vous faites partie des créationnistes. C’est dommage de se donner l’air scientifique quand au sujet de l’histoire on parle de « croyance ».

      « (…) a purement et simplement enterré l’histoire crue pendant 4500 ans (…) »

      C’est la direction naturelle de la science : enterrer les croyances. Par contre les pseudo-science comme le créationnisme sont des détournements assez rigolotes pour certaines, dangereuses pour d’autres, de méthode scientifique pour tenter de donner un crédit scientifique à ce qui reste une croyance.

      Restez dans votre domaine, s’il vous plait. Vos arguments n’ont rien de scientifique.

    • Daniel,

      Ne m’en parlez pas de ces pseudo-scientifikeux !! L’autre jour, en buvant une tasse de thé avec Russell, cet imbécile (si je puis me permettre) n’a jamais voulu tenir compte de mes avertissements concernant l’huître violette de la damnation !!!
      Rira bien qui rira le dernier.

      PS : sdw n’est pas mon vrai nom … et si je ne m’abuse, il y avait plus qu’un couple par espèce (nombre variant d’ailleurs suivant si l’animal est pur ou impur)

  • Ces tornades en Usa les inondations en Europe des punitions divine les catastrophes naturelles les virus les révoltes météorite des punitions divine la preuve ce verset de coran ALLAH dit ( Dis-leur : «Dieu a le pouvoir de susciter contre vous un cataclysme descendant du ciel ou surgissant de la terre, ou de vous diviser en sectes rivales et de faire goûter aux uns la brutalité des autres.» Regarde comment Nous varions Nos enseignements, afin de les amener à comprendre.Ton peuple qualifie le Coran d’invention, alors qu’il est la stricte Vérité. Dis : «Je ne suis nullement votre garant.») 65 et 66 sourate AL An’am les bestiaux aux êtres humains de convertir a l’islam aujourd’hui pour éviter leurs mort par ces punitions d’ALLAH si la fin du monde pour éviter la peur et l’enfer changement climatique le plus grand mensonge satanique de siècle

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