Comment sortir la France et l’Europe de l’ornière ? Quels vrais remèdes après la fausse austérité (faustérité) que les politiques imposent à tout sauf à la dépense publique ?
Pour y répondre, Contrepoints vous propose quatre débats exceptionnels le samedi 15 juin à Paris.
Un programme et plus de 15 intervenants de grande qualité pour identifier les meilleurs pistes de réformes en France et en Europe.
Pour vous inscrire, tout se passe ici !
Programme prévisionnel :
09h00-09h50 – Grand débat – La politique fiscale du gouvernement [titre provisoire]
Débat sur les sujets qui font l’actualité dont notamment les nouvelles taxes et la crise économique et sociale avec 4 représentants de partis politiques.
10h00-10h50 – Conférence de presse : Lancement du Manifeste pour la Solidarité Européenne
Un groupe d’économistes du nord, du sud de l’Europe et de pays non-membres de la zone euro présentera une stratégie pour une segmentation contrôlée de la zone euro afin d’aider l’Europe du sud et sauver l’Union européenne et le Marché commun.
Modérateur : Jean-Jacques Rosa (Sciences Po Paris)
Intervenants : Hans-Olaf Henkel (ancien président de la Fédération des industries allemandes), Stefan Kawalec (ancien vice-ministre des finances polonais), Brigitte Granville (Université Queen Mary de Londres), Alfred Steinherr (ancien économiste en chef de la Banque européenne d’investissement)
11h00-11h50 – Panel 1 : Baisser les dépenses publiques
Redéfinir le fonctionnement de l’État, des collectivités locales, des retraites, de l’assurance-maladie et de l’assurance-chômage.
Intervenants : Jean-Michel Fourgous (maire d’Élancourt, ancien député), José Piñera (International Center for Pension Reform), Dan Mitchell (Institut Cato), Pierre Garello (Université Paul Cézanne), Edward Stringham (Université Fayetville)
12h00-12h50 – Panel 2 : Libérer la croissance
Assouplir les contraintes fiscales et réglementaires qui pèsent sur le développement des entreprises et de l’emploi, simplifier l’administration afin de laisser la société se réinventer.
Intervenants : Anne Coffinier (Fondation pour l’école), Enrico Colombatto (Université de Turin), Barbara Kolm (European Coalition for Economic Growth), Nicolas Lecaussin (Institut de Recherches Économiques et Fiscales), Erich Weede (Université de Bonn)
Inscrivez-vous vite pour seulement 12 € (soit 40% de réduction jusqu’au jeudi 23 mai) !
—
Remarques :
- Pour tous les participants, les débats seront traduits en simultané du français vers l’anglais et de l’anglais vers le français.
- Le produit de la vente des billets sert exclusivement à  couvrir partiellement les frais de traduction simultanée des intervenants et la location de la salle. Contrepoints ne réalise pas de bénéfice sur la vente des billets.
En fait il faut surtout que le débat sur tous ces sujet soit suivi
non pas d’oubli mais d’action soutenue
car ce pays se meurt d’idéologie , d’étatisme , de mensonge , d’intérêts privés .
De mon côté à tavers mes blogs(en plus des sujets généraux) je ne cesse d’écrire des articles ou d’en être le relais afin que toutes les « vieilles lunes » soient détruites , que nous retrouvions nos libertés actuellement étouffées , que chacun et donc la France puisse entreprendre , prospérer …..
L’on avance que le plus gros de la crise est passé, que des signes tangibles de reprise économique apparaissent ici et là dans le monde. Cependant bien avant que les pouvoirs publics l’annoncent, la récession s’est installée partout, d’abord dans les pays de l’Europe du Sud. Désormais elle gagne rapidement les pays du Nord. Les plans d’austérité présentés par les incompétents comme l’ultime solution ont bien vite montré leur limite. Bien évidemment il était impossible que la rigueur et les hausses d’impôts génèrent de la croissance. La désindustrialisation et une monnaie surévaluée qui freine les exportations, sont les deux facteurs qui creusent profondément chaque mois le déficit de la balance des paiements. Au plan intérieur, l’absence d’investissement et la montée incessante du chômage amplifient irrémédiablement la récession.
Vu l’ampleur de la tâche dans une multitude de domaines, la résistance des corporatismes, syndicats, ou autres et la nullité du personnel politique de tous bords, je finis par me demander si il ne faudrait pas éviter de sortir la France de l’ornière comme vous le suggérer, quelle se prenne le mur une bonne fois pour toute.
Pas sûr que cela résolve nos problèmes mais la prise de conscience j’y crois encore moins !