Il n’est jamais bon de sur-réagir : le lendemain d’une atrocité est le pire moment pour proposer une nouvelle règlementation de sécurité.
Par Daniel Hannan, depuis Oxford, Royaume-Uni.
Il FAUT faire quelque chose ! Ce quelque chose est secondaire, pourvu qu’il y ait quelque chose. Censurons les prêcheurs de haine ! Ou expulsons-les ! Espionnons leurs communications téléphoniques ! Interceptons leurs e-mails ! Réprimons le radicalisme sur internet ! Étendons la durée de détention provisoire !
On ne devrait pas avoir à rappeler – tant c’est une évidence – que le pire moment pour modifier notre politique de sécurité est immédiatement après une atrocité. Il peut y avoir besoin d’une réforme. Mais la réforme doit être abordée avec recul : calmement, proportionnellement et de manière tempérée. Un recul qu’on ne trouve pas aujourd’hui dans les gros titres des journaux.
Un des aspects les plus tristes des politiques contemporaines est la manière dont les ministres aiment créer de nouvelles lois au lieu de faire appel aux lois existantes. Le délit d’incitation existe et est parfaitement utilisable, on peut tout à fait poursuivre sur ces bases – surtout si preuve est faite que des gens ont été effectivement incités. De la même façon on peut faire beaucoup pour écarter les indésirables hors du pays (combien de fois doit-on rappeler qu’Abu Qatada est entré en Grande-Bretagne avec un faux passeport ?).
La colère et l’angoisse sont souvent mères de lois terribles : la loi sur les chiens dangereux, la loi en faveur de l’interdiction de stade pour les supporters de foot, l’interdiction des armes de poing. Dieu sait que nous avons déjà bien assez de lois passées au nom de la sécurité. Avant même d’en envisager de nouvelles, nous devrions nous poser trois questions :
- Les ministres ont-ils épuisé l’arsenal législatif déjà à leur disposition ?
- La mesure proposée est-elle proportionnelle à la menace, plutôt qu’au niveau d’indignation des titres des journaux ?
- Et aurait-elle évité les infractions récemment constatées ?
—
Sur le web.
Traduction : Laurett/Contrepoints.
Un lien qui démontre toute l’insondable naïveté de ce texte. Et Abu Qatada, grâce à un autre «machin», la Cour européenne des droits de l’homme, à qui le Royaume-Uni a dévolu bêtement une partie de sa souveraineté en matière de justice, comme d’autres pays de l’Union européenne d’ailleurs, est «obligé» de garder, entretenir et surveiller cette ordure d’Abu Qatada, au motif qu’il pourrait être torturé ou n’aurait pas droit à un procès équitable, alors que tout islamiste agissant se place en situation de HAUTE TRAHISON. «L’arsenal législatif» évoqué dans l’article n’est qu’un arsenal de mots. Et on se paie de mots au sujet des terroristes islamique qui eux passent aux actes à coup de machette et recourrent ensuite aux lois du pays d’accueil pour s’en tirer et vivre à ses crochets. C’est exactement ce que vont faire les deux terroristes de Londres qui viennent d’être arrêtés.
Les Anglais ne veulent pas besoin d’une ènième loi sécuritaire. Ils veulent que leur gouvernement AGISSE.
Mais, temporisons, temporisons, il en restera toujours quelque chose, comme du sang sur le pavé.
“Les Anglais ne veulent pas besoin d’une ènième loi sécuritaire. Ils veulent que leur gouvernement AGISSE.”
Vous n’avez manifestement pas lu l’article qui explique justement que le problème ce n’est pas d’avoir une nouvelle loi, mais d’appliquer les lois existantes. Je ne vois pas où est la naïveté.
“Et Abu Qatada, grâce à un autre «machin», la Cour européenne des droits de l’homme, à qui le Royaume-Uni a dévolu bêtement une partie de sa souveraineté en matière de justice, comme d’autres pays de l’Union européenne d’ailleurs, est «obligé» de garder, entretenir et surveiller cette ordure d’Abu Qatada, au motif qu’il pourrait être torturé ou n’aurait pas droit à un procès équitable, alors que tout islamiste agissant se place en situation de HAUTE TRAHISON”
Ne pas extrader un individu qui risque la torture, un châtiment cruel ou un procès inéquitable c’est bien la moindre des choses. Peut-importe qui il est ou la positon de la cour européenne des droits de l’Homme sur le sujet (le droit anglais n’a pas attendu la convention européenne pour interdire une telle extradition). Mais dans ce cas là on le juge et on le punit soi-même.
Oublié le lien : http://www.dreuz.info/2013/05/la-loi-islamique-des-nombres-explique-la-decapitation-de-londres/
Vous rêvez!La mode est à la suppression progressive des libertés individuelles depuis le 11 septembre 2001!En attendant la suite qui risque d’être réjouissante du point de vue des libertés!J’en fait déjà des cauchemars!
Bonasse : Qui a bon caractère, qui se montre très complaisant dans ses relations avec autrui, souvent jusqu’à l’excès, par simplicité d’esprit, faiblesse de tempérament;qui dénote un bon caractère, une nature accommodante jusqu’à l’excès.
Voilà ce que nous sommes, nous les Occidentaux, bonasses. Des types comme Abu Qatada devraient être mis dans le premier avion pour le prochain pays islamique à l’horizon ou exécuté.
Mais non, nous sommes des indécrottables bonasses. Nous ne voulons pas reconnaître notre ennemie. Nous ne voulons pas lui enlever les droits que nos démocraties lui accordent et qu’il nous enlèvera à la première occasion lorsqu’il prendra le POUVOIR. Nous ne voulons pas reconnaître que c’est là son seul but : le POUVOIR.
Je nie à l’Islam la qualité de religion. Je nie à l’Islam toute verticalité et toute transcendance. Ce n’est qu’une pseudo théologie ignoble, violente et rétrograde. L’Islam est de par sa nature profonde un authentique TOTALITARISME POLITIQUE. D’ailleurs, il ne s’en cache même pas. Pour le comprendre, il n’y a qu’à remplacer la race aryenne, chère à l’hitlérisme, par la race humaine qui doit dans sa totalité se soumettre à Allah (ou crever). C’est bête, stupide et simple comme cela.
Nommer (reconnaître) son ennemie est la première condition pour le combattre. Jusqu’à quand tolérerons-nous l’intolérable, c’est-à-dire nos ENNEMIS, qui nient tout ce que nous sommes, et que NOUS avons fait entrer par la grande porte du multiculturalisme! Quand allons-nous enfin comprendre que l’Occident (et une partie de l’Orient) est en Dar-al Harb, en territoire de la guerre! Que l’Islam, par la Jihad, a pour mission de faire de tout territoire connu le Dar-al Islam, le territoire de la soumission!
Une petite citation de l’ayatollah Khomeiny (pour nous requinquer le moral) :
«J’annonce au monde entier, sans la moindre hésitation, que si les dévoreurs du monde se dressent contre notre religion, nous nous dresserons contre leur monde entier et n’auront de cesse avant d’avoir annihilé la totalité d’entre eux. Ou nous tous obtiendrons la liberté, ou nous opterons pour la liberté plus grande encore du martyre. Ou nous applaudirons la victoire de l’Islam dans le monde, ou nous tous irons vers la vie éternelle et le martyre. Dans les deux cas, la victoire et le succès nous sont assurés.»
Voilà. Bonasses je vous dis…Bonasses…
C’est vous qui êtes accommodant avec excès à l’égard des principes et des valeurs occidentales qui méritent le plus d’être défendu : l’état de droit, a présomption d’innocence, la tolérance religieuse…
Nommez sont ennemis c’est le premier pas pour le combattre, il est vrai. Donc je le dis : pour moi vous êtes autant l’ennemi que les islamistes.
L’Islam ne reconnaît aucun autre droit que la Charia, l’Islam ne nous reconnaît aucune innocence puisque nous sommes coupables d’être des infidèles et des mécréants, l’Islam ne tolère aucune autre religion que lui-même. L’Islam prend appui sur les principes et les valeurs occidentales pour poursuivre ses avancées en Dar-al-Harb et pour mieux les abolir.
Mais évidemment, je suis autant l’ennemi que les islamiste…
Bonasse…
Et voilà où mène la bonasserie :
http://www.dreuz.info/2013/06/grande-bretagne-letranglement-de-la-democratie-par-lislam/