Lettre ouverte à François Hollande sur les énergies renouvelables

Un citoyen inquiet alerte le président de la république sur les problèmes de la politique de soutien aux énergies renouvelables.

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Lettre ouverte à François Hollande sur les énergies renouvelables

Publié le 21 juin 2013
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Un citoyen inquiet alerte le président de la République sur d’immenses problèmes, restant sans réponses, quant aux énergies renouvelables, leurs coûts et leurs résultats réels.

Par Jean-Pierre Riou, membre du Conseil mondial pour la nature.

Monsieur le Président de la République,

Je tiens à soumettre à votre attention les quelques éléments suivants, dont l’importance semble capitale en regard des objectifs nationaux.

Le ministre de l’environnement allemand, Peter Altmaier, a chiffré le coût exorbitant de la transition énergétique, pour l’Allemagne, à 1000 milliards d’euros à l’horizon des années 2030 !

En France, la rentabilité accordée par l’aide publique aux énergies renouvelables  a déjà permis des fortunes personnelles colossales et rapides, mais aussi des fraudes pour des montants se chiffrant en milliards d’euros (fraude à la taxe carbone). Elle  attire également de puissantes organisations liées au crime organisé.

Le rapport de police du commissaire Dimitri Zoulas, chargé de cette criminalité organisée (Sirasco), en dénonce, sur notre sol, l’infiltration dans « les administrations décentralisées chargées de déterminer les zones propices à l’éolien » (Le Figaro du 21/10/2012). L’importance des sommes en jeu exige le regard scientifique d’un organisme  hors de soupçon de tout conflit d’intérêt, tandis que le fossé se creuse chaque jour entre les théoriciens de cette transition et la communauté scientifique.

En effet, malgré les milliards d’euros engloutis, le monde (rapport  A.I.E du 17 avril), comme l’Allemagne, polluent autant qu’il y a un quart de siècle pour produire chaque KWh. Pire encore, l’Allemagne, déjà 6 fois plus pollueur que la France, (0,60kgCO2/Kwh contre 0.09kgCO2/Kwh)va conforter sa place d’un des principaux pollueurs d’Europe, en prévoyant  23 nouvelles centrales à charbon.

Le parc électrique français est le premier exportateur  d’électricité de l’ouest de l’Europe avec 44 200GWh de solde export en 2012, et dispose d’une « surcapacité en production de base » (bilan RTE 2012). Il est le 2° plus propre d’ Europe pour les émissions de CO2,  86% de sa production en étant exempte (bilan RTE 2012).

Malgré cette surcapacité, des moyens flexibles et réactifs restent indispensables, pour l’ajustement à la consommation. Pour ce rôle, la technologie « cycle combiné à gaz » (CCG) est préconisée par l’Union Européenne pour sa très faible pollution.

Les productions aléatoires ne peuvent prétendre remplir ce rôle.

La production éolienne française est susceptible, en effet, de varier entre 56MW (le 15/11/2012) et 6168MW (le 27/12/2012), (RTE éco2mix) soit de 1 à 100, n’offrant en rien le caractère quasi garanti que l’ADEME lui attribue. Cette variation au gré du vent étant, bien sûr, sans corrélation avec la consommation.

De plus, cette fourniture inutile participe, de deux manières, au remplacement des  centrales CCG « propres » par le charbon.

En premier lieu, en affectant leur rentabilité qui exige un minimum de 5000 heures de fonctionnement (A.I.E) (source). Alors que les énergies intermittentes leur imposent des régimes partiels et des à coups. Cela  « augmente leur facteur de pollution, diminue leur rentabilité et impacte leur durée de vie » (Enéa consulting, p15).

Mr J.F. Conil Lacoste Directeur Général de la Bourse du Mwh « Epex spot » décrit, lors de son audition au Sénat du 9 mai 2012, le mécanisme des prix négatifs du Mwh, lorsque le vent souffle, qui contraint ces centrales à s’arrêter. La revente à perte leur coûtant alors encore plus cher que l’arrêt de la production. Certains sites allemands (Eon) n’ont ainsi fonctionné que quelques centaines d’heures en 2012.

C’est, de façon générale, la compétitivité de tout le parc de production national, et de l’innovation technologique, qui se retrouvent à la merci des aléas du vent. Sans compter la ruineuse restructuration du système de transport (RTE) qui leur est liée.

En second lieu ,  les  « unités de réduction d’émission  »  et les  « garanties d’origine »,  délivrées, entre autres, aux éoliennes, sont revendues aux entreprises les plus polluantes, qui peuvent ainsi verdir leur image et respecter leurs obligations à moindres frais, continuant ainsi à polluer, en évitant des investissements coûteux.

GDF, avec la fermeture de 3 de ses 4 centrales CCG, vient d’allonger la liste de ces  unités ultramodernes, devenues inutiles à peine inaugurées (en 2009 et 2010), après plus d’un milliard d’euros d’investissements, pendant que de nouvelles centrales à charbon sont envisagées, même en France.

Confirmant cette analyse, le parc électrique français a vu, lui aussi, sa pollution augmenter en 2012 malgré une production électrique en légère baisse(+ 2.1 millions de tonnes de CO2 par rapport à 2011), en raison d’ un  recours au charbon de 35% supérieur, compensant la baisse du recours au gaz (bilan 2012 RTE p.21).

Cet « effet pervers » n’est d’ailleurs pas pris en compte dans les analyses comme celle de Civitas qui affirment cependant que les éoliennes augmentent le CO2.

Cette étude considère en effet que les centrales à gaz performantes produisent moins de CO2 que l’éolien couplé au gaz !

La France n’encourt  ni contrainte ni sanction, au regard de son engagement avec

l’ Europe concernant son  volet éolien. D’autant que cet engagement a été condamné par l’ONU en raison du manque de transparence lors de sa prise de décision.

D‘autre part, on ne peut fermer les yeux sur le scandale sanitaire lié à l’emploi de centaines de kilos de terres rares dans les aimants permanents des générateurs des éoliennes (source). Chaque tonne de ces terres rares produit, pendant son raffinage, entre 9600 et 12 000m3 de gaz contenant fluorures, SO2, SO3, 75m3 d’eaux usées acides, et 1 tonne de résidus radioactifs. Ce désastre écologique concerne principalement le village de Baotou en Mongolie, surnommé le village du cancer par les média, qui traite 70% de la production chinoise, entraînant une radioactivité 32 fois supérieure à la normale (deux fois supérieure à celle actuelle de Tchernobyl.) De plus, la dépendance quasi exclusive à la Chine qui produit 97% de ces terres rares, devenues indispensables, constitue une menace pour la sécurité énergétique.

Le rapport parlementaire du 31 mars 2010 comparait (p.35 version pdf) le coût de la tonne de CO2 évitée par la filière éolienne en ces termes : « Ce surcoût a conduit la CRE (commission de régulation de l’énergie) à une valorisation de la tonne de CO2 évitée entre 230 et 280 €, et jusqu’à 490€ pour les éoliennes implantées en mer, à titre de comparaison, le coût budgétaire de l’intervention publique est évalué à 2€ par tonne de CO2 économisée pour l’isolation thermique des parois opaques…» La France a reçu 2820 quotas Kyoto pour 5 ans (voir page 13 de ce document), soit 564 millions de tonnes CO2 par an. Son engagement a été largement respecté, 150 millions d’euros de quotas excédentaires ont même été revendus.

La production d‘électricité, cible de tous nos efforts, n’en émet que 29,5Mt/an !

Enfin, on ne peut passer sous silence le massacre des paysages, la dévalorisation des sites touristiques, et du patrimoine immobilier des riverains, comme de leur cadre de vie, ni le mépris des préconisations du rapport de  l’Académie de Médecine (le retentissement du fonctionnement des éoliennes sur la santé de l’homme, (voir le paragraphe 7 de ce document) qui recommande la distance minimum de 1500 m  des habitations, et non les 500 mètres actuellement autorisés.

L’information de la population et la formulation des choix stratégiques de la France  ne sauraient, sans dommage, se trouver sous la coupe d’omniprésents « experts de la profession » du sauvetage de la planète, et d’élus avides de récupérer, au nom de l’intérêt  général, des sommes, pourtant dérisoires, comparées à celles payées par le contribuable.

L’équilibre mondial n’est pas le long fleuve tranquille auquel font semblant de rêver ceux dont ces énergies vertes sont le fond de commerce. De nombreuses nations  développent leurs atouts nucléaires, aussi bien militaires que civils, pendant que d’autres, comme le Qatar, implantent leur économie hors de leurs frontières.

La France dispose d’un atout maître incontesté dans le domaine stratégique de la production d’électricité. Les milliards d’euros consacrés à la réforme verte, dont aucun rapport sérieux n‘atteste les effets, suppriment cet atout de notre jeu, pour le plus grand bonheur des utilisateurs de charbon allemands, des fabricants de centrales nucléaires et d’éoliennes chinois, et des fonds de pension étrangers.

Les analyses visant à démontrer l’intérêt de la filière éolienne semblent présenter des lacunes suspectes, ou des raisonnements simplistes considérant que chaque MWh éolien produit économise l’équivalent CO2 d’un MWh  des centrales les plus polluantes.

Je me permets de vous joindre en annexe un examen de quelques chiffres du ministère de l’écologie qui peuvent poser question.

Je vous remercie de l’attention que vous aurez bien voulu porter à ce courrier et pour les éléments de réponse qui seraient susceptibles d’infirmer certaines de mes craintes, et vous prie de croire, Monsieur le Président de la République, à l’expression de mon profond respect.

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  • Je suis OK avec la finalité du courrier, mais certains points de l’argumentaire me gênent.

    Et en premier lieu:

    LE CO2 N’EST PAS UN POLLUANTbon sang de bon soir nom dudju. Faut le dire combien de fois ?

    http://www.objectifliberte.fr/2009/12/le-co2-nest-pas-un-polluant.html

    Et en plus, on est en train de découvrir qu’il n’a quasiment aucune influence mesurable sur le climat.

    Donc, centrer un commentaire anti-ENR sur le fait que c’est un moyen inefficace de réduire « les émissions de CO2 » est factuellement vrai, mais légitime a contrario d’autres politiques pour réduire ces émissions, alors qu’il faudrait n’en promouvoir aucune et se désintéresser définitivement de ce non-problème qu’est le CO2.

    • 100% d’accord avec vous, Vincent, c’est surtout la place qui m’a manqué pour attaquer également sur ce front, ma lettre est déjà trop longue….J.P.Riou.

      • Quand va-t-on enfin nous prendre pour des « grands » et nous révéler le secret, c’est à dire que la finalité des EnR est de fournir 20 % de l’électricité que nous consommerons demain, celle produite à partir du charbon polonais (Rybnik) et du gaz de shiste européen ou de Russie ?
        Les allemands eux connaissent déjà ce secret depuis longtemps, il est vrai qu’ils payent pour cela !

  • Mon vote et mon adhésion à l’homme politique qui osera exposer dans les medias la réalité de l’exploitation des terres rares. J’ai déjà essayer de débattre de cela avec des membres de Greenpeace… Amusant de voir comment ils se sont soudainement transformés en Commissaires politiques, fonçant directement sur les arguments fallacieux de type « propagande lobbyistes ultra-turbo capitaliste » et autres niaiseries, ne comprenant rien à ce qui s’apparentait à des incantations chamaniques diaboliques à leurs oreilles. Thorium? Indium? Disprosium? Europium? Kézako? Allez demander aux Mongoles, ils vous montreront le bilan écologique de votre rêve… Mais où est le lobby, si ce n’est précisément chez les conglomérats industriels bien acoquinés qui se gavent de l’argent public distillé gratuitement et avec la bonté du peuple. L’arnaque est parfaite, bien huilée, et on en rigolera dans 30 ans, quand il faudra commencer à remplacer la totalité du parc éolien qui arrivera à bout de souffle.
    Ces gens sont des bisounours qui ne comprennent rien à la technologie.

    • Je suis de la partie donc ce genre de problème je connais. Et effectivement, l’extraction des terres rares (d’ailleurs beaucoup plus facile en Chine qu’ailleurs) est surement l’une des activités minières les plus polluantes que je connaisse.

      • Ce qui est amusant, c’est qu’une société minière va entamer des recherches de gisements de terres rares dans le massif Armoricain, mais aussi d’or, zinc, étain, tungstène… S’ils en trouvent, le minerai sera traité en chambres souterraines à 500 – 1000 mètres, et seuls les concentrés seront ramenés en surface.

    • A mon avis, ces ventilateurs géants, tueurs d’oiseaux ne feront pas 20 ans, et j’espère même qu’ils tiendront moins que le temps nécessaire à leur amortissement, ce sera bien fait pour les voyous qui espèrent en tirer profit.

  • J’en suis venu à la conclusion que ces histoires « durables » sont la niche des mafias modernes.

  • Il faudrait aussi un jour m’expliquer en quoi, concernant l’effet de serre, la molécule de CO2, présente dans l’air à raison d’un quart de chouia est si différente des molécules d’azote et d’ O2 qui elles constituent 99% de l’air. Il faudrait aussi un jour m’expliquer ce qu’est l’effet de serre, je connais bien les brouettes, mais je ne connais pas d' » effet brouette », je sais ce qu’est une serre, mais son « effet » ?? là je sèche…A ma connaissance une molécule de gaz, c’est beaucoup de vide et ça n’a ni sens ni d’orientation. Alors qu’a t’elle de si particulier celle de CO2 ?

  • Il serait moins délirant de ne pas connecter au réseau les actuelles éoliennes et de donner le courant électrique à qui le voudrait.
    Les ventilateurs feraient toujours joli dans le paysage, les zecolos pourraient toujours s’endormir en suçant leur pouce, et on pourra dresser des cartes postales avec en fond de paysage les moulins à vent et des enfants des écoles distribuant des graines aux oiseaux du ciel

  • Lu ce matin dans un journal local suisse: deux communes vaudoises ont refusé par votation un projet éolien à 78% et 85% . Et l’article de conclure: « La filière éolienne, largement subventionnée, n’est pas rentable. Elle ne mérite qu’une chose en Suisse: qu’on l’abandonne définitivement pour développer sereinement, après avoir épuisé toutesles possibilités d’économies, les nombreuses alternatives à disposition: hydraulique, solaire, géothermie, etc… » Je crois que je vais l’encadrer, celui-là.

  • Il est un fait que les contraintes, ainsi que les politiques floues conduites pour promouvoir l’éolien prêtent à investigations. Cependant, je suis surpris que l’on ne reprenne pas l’évolution possible du nucléaire vers les super générateur thorium qui présentent beaucoup plus de points positifs que l’uranium. Cependant un point négatif où il faudra investir c’est la manière de collecter le thorium pour éviter trop de pollution. Je trouve que l’on passe souvent à côté du réel écologisme pour de simples questions d’intérêts et cela démontre que ces gens déviant le courant du bon sens pour celui de l’argent ne sont pas à leur place.

  • Il serait plus judicieux de donner le courant électrique produit par les éoliennes. A qui veut bien s’installer en bas du mat. Ca serait moins couteux et autoriserait, comme déjà, le joli paysage avec les moulins à vent et une carte postale où figurerait des enfants des écoles distribuant des graines aux oiseaux du ciel.

  • Avec des cours fixing sur le marché de gros de l’électricité comme celui constaté ce dimanche dernier et alors que les barrages et autres énergies vertes dont biomasse et éolien turbinaient, le consommateur particulier a eu à signer, en sus du tarif d’achat obligatoire de 87 euros / Mwh dans l’éolien, un chèque de 41 euros du Mwh de prîme à l’enlèvement ( cours fixing négatif de dimanche ) pour une électricité « verte » qu’il n’a pas eu loisir de tout consommer et dont l’excédent a été exportée pour alimenter des STEP entre autres en Suisse !

    http://www.vs.ch/Press/DS_3/CP-2011-07-07-18821/fr/02-StrategieForcesHydrauliques_07-07-2011_FR.pdf
    « Lors de fortes fluctuations des prix du courant, ces installations sont aussi intéressantes au plan de la rentabilité, car l’eau peut être pompée à moindre prix et «reconvertie en courant» à un prix élevé »

    http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2013/01/bilan-%C3%A9lectrique-2012-climato-sensible.html
    « Le principal acheteur de jus français est… la Suisse, avec 24,5 TWh. En réalité, la Suisse le revend, tout de suite ou via une temporisation par des stations de pompage, à ses voisins italien et allemand.

    http://activites.edf.com/production/hydraulique-et-energies-nouvelles/hydraulique/strategie-41425.html
    « En Europe, en 2020, 20% de la consommation d’électricité devra être issue d’énergies renouvelables ; l’énergie d’origine hydraulique entrera pour une large part dans le mix d’énergies qui y pourvoiront.
    En Suisse, où EDF est présent à travers sa filiales Alpic, le développement de la capacité de production hydraulique du Groupe représente à ce titre un atout stratégique. »

    • Vous ne m’en voudrez pas, j’espère, d’avoir repris dans un autre texte, et sans même vous citer, l’excellente expression de « prime à l’enlèvement » quand Epex spot est négatif….
      Cordialement, J.P.R.

  • Je précise que le CO2, quelle que soit son origine, n’est PAS un polluant. Il est indispensable à la photosynthèse, donc à la Vie sur notre planète.

    Quant à son effet présumé sur Tglobale, ce n’est qu’une hypothèse dogmatique du GIEC, récusée par 2 publications de physiciens et par l’absence de point chaud en zone tropicale.

    Enfin, l’augmentation du CO2 a pour causes essentielles des processus naturels (publication d’Ole Humlum et al, et travaux de Murry Salby).

    Pour en savoir plus sur la problématique climatique:
    http://dropcanvas.com/#wJc9FpE34332em

    Et voici un petit document sur les EnR: http://dropcanvas.com/#SAn7p952RfNrCE

    qui rejoint ce que dit cet article.

  • «Le monde que nous avons créé est le résultat de notre niveau de réflexion, mais les problèmes qu’il engendre ne sauraient être résolus à ce même niveau. » disait Albert Einstein

    IL devient plus clair qu’un monde qui se réchauffe pourrait constituer la pire des menaces pour notre survie auxquelles nous faisons face: AOÛT 2012, le réacteur n° 2 de la centrale de Millstone a dû être arrêté suite à l’élévation importante et continue de la température de son eau de refroidissement prélevée dans le détroit de Long Island (Nord-Est des États-Unis).

    Le développement des ENR, ressources nationales, abondantes et inépuisables, représentent un réel atout pour réduire les importations d’énergies primaires pétrole, gaz et uranium. Celles-ci représentaient en 2012 la bagatelle de 69 milliards d’euros pour la France.

    Avec un déficit chronique de près de 6 millions $/mois issu de l’importation de Fioul pour env. 32 millions $/mois, le Sénégal n’a pas d’autres solution que d’engager l’installation massive d’énergie inépuisable, gratuite et valorise les ressources locales. Ce qui donc valable pour le Sénégal le serait moins pour la France?

    Le projet démonstrateur des Artisans de « L’ESPACE » SANS IMPACT FONCIER et SANS SOLLICITER LE CONTRIBUABLE permet de réduire considérablement le coût des infrastructures nécessaires à la production des énergies renouvelables, une ALTERNATIVE qui offre une VALORISATION DES RESSOURCES LOCALES de près de 70 millions d’euros/An EN PARITÉ RÉSEAU pour amenuiser les conséquences d’une crise environnementale désormais établie.

    NON IL N’EST PAS TROP TARD: On ne peut prétendre à une sortie de crise économique et sociale quand dans le même temps plus de 1000 milliards d’euro ont été dépensés dans le monde en 2012 dans une énergie fossile, limitée, polluante, mortifère et non optimisée qu’est le pétrole par ailleurs déjà inaccessible pour plusieurs nations y compris au sein de UE.

    NE RIEN FAIRE c’est abandonner les populations à leur sort: Le DÉVELOPPEMENT DURABLE exige l’intégration des évolutions économiques, sociales, environnementales et techniques qui apportent de réels progrès sans affecter l’environnement.

    Pour paraphraser le titre du livre de Nicolas Bouzou: « On entend l’arbre tomber mais pas la forêt pousser », avons-nous les moyens ou le temps de voir les arbres tomber?
    L’entrepreneuriat des Artisans de “L’ESPACE” est une INNOVATION AMORTISSABLE A COURT TERME dans le domaine de l’environnement, risques naturels et technologiques.

    • L’entrepreneuriat des Artisans de « L’ESPACE », Une Fédération Economique Environnementale, Outils du Débat national sur la transition énergétique pour sa mise en oeuvre mais aussi une Alternative SANS IMPACT FONCIER à la DUP antédiluvienne du dédoublement de l’A9:
      – Autonomie énergétique du territoire.
      – 151.000 T/an de rejet de CO2 évités.
      – Dépollution de l’air et de l’eau.
      – Réduction des nuisances sonores.
      – 13000 logements passifs et positifs.
      – 7500 emplois et 4 fois plus induits.
      – Forte économie environnementale.
      – RÉDUCTION du déficit budgétaire.
      – Réduction 90% des coûts d’entretien.
      – Interactivité européenne de TOUS les secteurs de l’économie.
      – Pas d’impact foncier, ni expropriations, ni dévalorisation patrimoniale ou foncière.
      – 40 ha d’exploitation forestière au coeur de l’ Montpellier Agglomération.
      – Préservation des biotopes.
      – Exploitations agricoles optimisées.
      – Traitement autonome des eaux usées.
      – Collecte et gestion des eaux pluviales.
      – RESPECTE le Code de l’Environnement Autorisation loi sur l’eau Articles
      L 214-1 à L 214-6

      VIDEO: http://youtu.be/QAAbfs5o5Yc

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