Catastrophe, même la Terre empile de la dette écologique !

Ce n’est plus le 20 août, mais le 29 juillet.
Chaque année, la Terre augmenterait sa dette écologique. Un concept qui ne veut rien dire.
Cet article de 2013, signé h16, n’a pas perdu de son actualité. REPLAY

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Catastrophe, même la Terre empile de la dette écologique !

Publié le 29 juillet 2019
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Par h16.

Magie des vacances, puissance phénoménale de la réflexion journalistique, écologisme de combat poussé dans les retranchements les plus obscurs d’une pensée féconde de n’importe quoi qui gazouille, à mi-chemin entre la pignouferie de combat et le fluffysme ultime, la presse nous relaie une nouvelle effrayante : à partir de ce jour, la Terre vit à crédit.

Oui, vous avez bien lu, mais je vais reprendre le chapeau de l’article pour bien vous faire prendre conscience de toute l’horreur de la situation :

Il n’aura fallu à l’humanité qu’un peu moins de huit mois, 232 jours exactement, pour consommer toutes les ressources naturelles que la planète peut produire en un an. Ce mardi 20 août correspond au « Global Overshoot Day » ou « jour du dépassement planétaire » selon l’organisation non gouvernementale Global Footprint Network (GFN), qui calcule chaque année ce « jour triste et solennel ». Principaux responsables de ces dégâts : le rejet massif de CO2 et la surexploitation des milieux naturels.

C’est dit.

Le 20 août, plus d’air, plus d’eau, plus de pétrole, plus rien.

À côté, l’Armageddon économique qui nous pend au nez depuis un moment, ou l’Armageddon politique que la France subit depuis 40 ans en tache de fond, c’est de la rigolade, un parcours de santé, une plaisanterie de potache : le 20 août 2013, c’est le jour où la Terre va s’arrêter net d’exister. Pouf. Comme ça.

Et comme c’est une ONG éco-consciente qui le dit, non seulement c’est vrai, mais ça doit nous obliger à prendre du recul et à penser très sérieusement à notre place d’humain sur cette pauvre planète. Mais vite : il nous reste 72 heures avant le « pouf ! » final.

Au passage, on admirera le joli logo de l’ONG en question :

Catastrophe, même la Terre empile de la dette écologique !

C’est une ONG qui ne fait pas dans la demi-mesure, puisqu’elle travaille à Faire Avancer la Science de la Durabilité. Tout de suite, un slogan pareil, ça vous pose une ONG dans le domaine du sérieux méticuleusement calculé. Ainsi, la Durabilité est une Science. Et on peut la faire avancer, notamment en expliquant à tout le monde que les ressources de la Terre commenceront à être surexploitées à partir du 20 août.

Plus exactement et pour reprendre le gloubiboulga du journaliste bien en peine de comprendre quelque chose au charabia indigeste de l’association de branquignoles à roulettes qui fait avancer son pipeau durable, à partir du 20 août, les humains auront épuisé les ressources naturelles pouvant être fournies cette année par la Terre.

Et à partir du 20 août, ils auront le choix :

  • ne plus rien consommer du tout. Ce qui va poser des problèmes. Si si, je vous assure.
  • consommer des ressources à crédit, ce qu’aucune espèce d’explication physique ou mathématique ne permet d’éclairer.

Par je ne sais quelle sorte de bricolage insensé, on en arrive donc à dire que les Terriens, ces gros mammifères encombrants, qui rotent, qui pètent et qui polluent, vont brûler du pétrole qu’ils n’ont pas encore extrait, et manger des ressources qui ne sont pas encore produites.

Évidemment, ici, le « travail » grotesque du journaliste aura permis, de façon assez élégante, de fusiller définitivement le « travail » ridicule de l’ONG. Un peu comme les interférences destructives dans la physique ondulatoire, on constate ici que les ondulations lancinantes de l’ONG visant à nous faire paniquer sur une dette de l’humanité sont annulées par les ondulations à contre-phase des journaleux qui transmettent n’importe comment une information déjà fortement suspecte de foutaisitude au départ.

Il va de soi que l’ONG n’a pondu qu’un de ces copieux calculs basés sur de l’air, manipulés à la grosse louche, entourés de conditions et de prérequis frisant le comique et aboutissant à des conclusions burlesques. Les folliculaires, s’emparant de la nouvelle, la prémâchent pour en obtenir un jus quintessenciel de conneries consternantes, comme d’habitude.

L’idée générale de l’ONG est de prétendre pouvoir calculer le temps que met la biosphère terrestre dans son ensemble à reproduire la biomasse consommée par les Terriens dans une période donnée. Chose amusante, le calcul de 2009 avait été trop optimiste sur cette capacité de la Terre à reproduire ses ressources, d’où un différentiel d’un mois – oui, 1/12e d’année – avec le résultat du calcul de 2010. On imagine la précision diabolique des calculs. Depuis, on tombe heureusement toujours à peu près à la même date. Ouf. Les apparences scientifiques sont sauves.

Immédiatement, des questions – qui n’effleureront pas les journalistes – viennent à l’esprit :

Pourquoi utiliser l’empreinte carbone pour ces calculs fumeux ? Cela fait un moment qu’on sait que le CO2 n’est pas un polluant et constitue même une véritable ressource. L’ONG serait-elle en retard d’un combat ?

Comment calculer les ressources initiales, sachant qu’on ne connaît pas tout de cette planète, loin s’en faut ? Ne connaissant pas même 1 % des espèces vivantes, il paraît en effet pour le moins couillu de prétendre en connaître précisément les entrées-sorties. Par exemple, le caca humain (merdus vulgaris) est, malgré tout, un substrat pour pas mal de choses, qui vont, d’une façon ou d’une autre, permettre à d’autres choses de vivre ou survivre et aboutir, au final – oui c’est troporrible aussi mais c’est comme ça – dans une assiette humaine.

D’autre part, et même en imaginant que les données initiales sont connues (hypothèse hardie, on l’a vu), la conclusion qui aboutit à un déficit devrait être sujette à caution : d’où vient le manque à gagner ? D’une part, l’humanité n’a pas, discrètement et sur une autre planète, constitué un petit stock de denrées pour y puiser de temps en temps ce qui lui manquerait pour finir l’année. D’autre part, dès lors que des ressources manquent, leur consommation diminue : eh oui, quand il n’y a pas de pétrole, on n’en brûle pas.

Ce qui veut dire que toute idée de déficit écologique est, à proprement parler, absurde : au pire, l’humanité ne pourra pas se maintenir à six milliards d’êtres humains, voire disparaîtra doucement – ce qui est, au final, ce qui se passe pour toute espèce vivante à terme -, au mieux, elle pourra très bien vivre, et dans ce cas, pas de quoi en faire tout un foin.

Mais en tout cas, à aucun moment, elle ne constituera une dette envers d’hypothétique extra-terrestres qui viendraient nous fournir de la nourriture, des pilules énergétiques ou un stock conséquent de papier nécessaire à l’impression de tous les euros et les dollars que la crise économique va nous obliger à imprimer.

Ce mois d’août montre en tout cas la force cumulée des journalistes et des fluffies : à partir d’un calcul absurde, et d’une conclusion qui l’est tout autant, on aboutit à des articles consternants.

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  • L’article du Monde titre : « l’humanité entre en période de dette écologique »
    Et qui nous fait crédit ? http://cdn.memegenerator.net/instances/400x/26428401.jpg

  • Un moyen supplémentaire de justifier les politiques malthusiennes et les entraves à nos libertés. Il est à craindre que l’écologisme en tant qu’idéologie ne soit responsable de grands massacres au cours de ce siècle, comme se fût le cas pour le communisme au siècle derniers…

    • @ Fred
      Non, n’allons pas jusque là!
      Nous savons bien que les gens qui vivent bien ont moins d’enfants que ceux qui ne peuvent compter que sur eux quand ils seront vieux et incapables de produire.
      L’écologie est l’appellation à la fois des soins que les humains prennent envers ce que les débiles appellent la Nature, appellation abstraite et ridicule: ou elle existe et alors l’Homme en fait intégralement partie: on appelle ça la terre ou le monde, ou elle demande une définition précise avec ses réserves!
      Je ne suis pas opposé au courant écologique, assez partagé, actuellement. Au courant, pas aux partis en rouge-vert!
      Nous avons fabriqué sans doute trop de plastics « one use » qu’on a jeté à la mer et qui mettent trop longtemps à se dégrader: c’est certain! Le tri des déchets (un succès!) et le recyclage: cela c’est « durable »: réutiliser les déchets pour en faire autre chose, ça, c’est humain et donc intelligent! Les animaux sauvages n’y sont pas parvenus au même niveau.
      Qui approuve encore celui qui déménage et va jeter dans la forêt proche ses vieux salon (canapé et 2 fauteuils défoncés) et frigo vétuste que vous-mêmes n’avez pas envie de croiser, en promenade?

      Donc oui à l’écologie et non aux écologistes!

      Sinon, moi aussi, j’attends que l’on prouve que le CO2: 0,04% de l’atmosphère, est un facteur essentiel de réchauffement climatique hypothétique!…

      • @mikylux
        On peut même ajouter que ces micro-traces de CO2 à 0,04% de notre atmosphère sont à 97% produites par la nature….
        Donc les 3% de CO2 (anthropologique) ne sont que des peanuts de peanuts, en gros une molécule sur 100000 (cent mille) molécules d’atmosphère qui résulterait de l’action humaine et … qui bien sûr, à elle seule réchaufferait la planète….
        Celui ou celle qui peut croire à une c…rie pareille veuille bien me l’expliquer.
        (A l’exception bien sûr de la théorie des cordes ou des battements d’ailes de papillon…)

        • @ Leboss
          Merci de votre commentaire.
          Je crois que le CO2 est devenu un emblèmes des dits « gaz à effet de serre », prétendus cocoupables du changement climatique, partie anthropique.
          Donc on parle de ces gaz en tonne de CO2 (déjà, scientifiquement, ça se discute!).
          On peut se poser la question de la mesure de CO2 lors d’une éruption volcanique difficilement évitable donc qualifiée, elle, de naturelle! Les gaz soufrés ne sont pas plus sympathiques et tous les autres que j’ignore!
          Donc contentons-nous de faire ce qui, logiquement, nous parait bon pour notre qualité de vie! Et vous verrez que les gens ont des tas de bonnes idées!

    • si les  » solutions » proposées sont collectivistes ça peut en effet

    • @ Flimz
      L’avortement est la solution du désespoir et un échec pour le bébé, c’est clair, pour la maman et pour le médecin (et des médecins volontaires, il y en a de moins en moins: c’est pas vraiment leur vocation!).
      Pendant ce temps-là les enfants à adopter trouvent-ils plus facilement des couples stériles demandeurs? Pourtant ces couples vont à l’étranger pour trouver une mère porteuse!

      Si vous croyez que vous avez résolu le problème, tant mieux ou tant pis pour vous!

      Et le suivant vous pend au nez: l’euthanasie! Ces vieux qui restent désespérément et de plus en plus longtemps vivants sans travailler, c’est de plus en plus cher pour les actifs!…

      • Les écolos on déjà suggéré aux Pays-bas de cesser les soins médicaux pour les vieux! Quand je disais que Hitler (d’ailleurs végétarien et écolo) était un précurseur!

  • « …Par exemple, le caca humain (merdus vulgaris) est, malgré tout, un substrat pour pas mal de choses, qui vont, d’une façon ou d’une autre, permettre à d’autres choses de vivre ou survivre et aboutir, au final – oui c’est troporrible aussi mais c’est comme ça – dans une assiette humaine… »

    …tu vas rire H16.

    Je crois qu’il y a une démonstration similaire, qui justifie la dépense publique.
    Il suffit de remplacer « merdus vulgaris » par « dépense publique » et « assiette humaine » par « salaire privé »…
    🙂

    • ben non malheureusement

      parce que, au lieu de le repandre sur les cultures auquel il apporterai substance azotée et complements hautement profitable des huluberlus irresponsable l’envoent dans des stations d’epuration qui le denaturent definitivement

      réabilitatons l’usage de la merde pour diminuer le deficit planetaire

      • @ poilsagrater
        Nourrir des végétaux en leur donnant votre merde, c’est scandaleux! La France n’a pas encore sa charte pour la protection des végétaux??? Ni sa SPV? Ni un ministère (et une administration) qui s’en occupe? « C’est un scandale »!

  • Donc maintenant on ne détruit plus la planète que 133 jours l’an. Comparativement à plupart des scénarios catastrophes ou rapports d’ONG écolos, c’est un progrès !

  • Les politiques économiques et sociales et notamment leurs aspects écologiques, migratoires, de l’emploi, de santé et de sécurité publique, etc. ne peuvent avoir de sens que si sont pris en compte les fondamentaux de la démographie mondiale et les problèmes (dont la pauvreté, la violence et les atteintes à l’environnement) qu’elle génère inexorablement.
    L’empreinte écologique de l’humanité ne résulte après tout que de ses prélèvement sur les ressources naturellement limitées de la terre. C’est le prix payé par la planète pour le développement incontrôlé de l’espèce la plus prédatrice de toutes, dorénavant mondialement en surnombre.
    En conséquence, le seul combat écologique – et humaniste – qui vaille consiste à limiter la population, pour la ramener à des dimensions compatibles avec son habitat. Le reste n’est que cautère sur une jambe de bois.
    Pour approfondir cette réaction, voir :
    http://claudec-abominablepyramidesociale.blogspot.com
    Les articles et commentaires publiés sur ce blog sont accompagnés de schémas, à l’intention des visiteurs que décourage la lecture.

    • Et combien d’hommes à exterminer pour aboutir à votre rêve ? D’ailleurs, étant vous même un nuisible, je propose que vous vous suicidiez. Ceci serait bénéfique pour la terre et nous épargnerait vos bêtises, n’est-ce pas ?

    • On attend de l’auteur de ce commentaire qu’il diminue lui-même son empreinte écologique :
      a/ en arrêtant son informatique
      b/ en éliminant toute descendance qu’il aurait malencontreusement pu avoir déjà produit.
      c/ en se ligaturant ou, mieux, en se suicidant pour éviter toute récidive.

      Faute de quoi, il passe pour un guignol incohérent.

    • Claudec : La démographie mondiale n’augmente pas indéfiniment !
      En réalité son taux de croissance est inférieur à celui du début du siècle dernier et l’ONU qui calcule la population mondiale estime que cette dernière se stabilisera à 11 Milliards à l’horizon 2200. En fait 60% de cet accroissement de population vient de 12 pays seulement, pays émergents qui stabiliseront leur population avec le temps (si on les laisse se développer et donc s’urbaniser). C’est à dire à 2 enfants ou moins par femme. L’Inde qui possède la plus grosse part de la croissance démographique en est à 3,23 enfants par femme contre 5,97 dans les années 50. La surpopulation est un mythe… à moins de s’appauvrir entre temps et retourner vivre dans les champs.

    • Si je vous lis bien il faut poser la question aux écologistes de savoir pourquoi ils font ce qui est le pire pour la planète : avoir des enfants et pourquoi dès lors ils demandent aux autres de faire des efforts ….cette planète est foutue

    • Le Club de Rome il y a quelques décennies avait planifié deux milliards d’hommes max à la fin du 20e siècle. Il n’y avait pas d’autre solution….

    • Tiens voila un petit Hitler écolo qui se réveille pour nous sortir ses sempiternelles conneries, déjà débitées il y a 250 ans par Malthus. Vous devriez vous suicider! Cela fera une bouche de moins et au moins vous sauverez la planète!

    • Le bon contrôle aurait été que vos parents s’abstiennent de vous mettre au monde. Limiter la population, ce veut toujours dire limiter les autres. Limiter la connerie serait déjà un sacré progrès.
      En admettant que la Terre ait des ressources limitées (mais alors pour combien d’individus ? de quelles espèces ? quand ?) L’Univers est plein de ressources et rien que notre système solaire peut amplement nous apporter énergie et matériaux pour des millénaires. Nous sommes à l’aube des voyages sur Mars et la lune est à quelques heures de notre portée. Il faut manquer d’imagination et de dynamisme pour rester le cul par terre en chouinant comme un écolo-bobo.

    • prendre en compte la démographie mondiale…
      sinon les gens prennent en compte les trucs… ca c’est ce qu’il faut rappeler avant tout les défenseurs de l’environnement ne se battent pas contre les destructeurs de l’environnement, ils se battent contre eux même car tout le monde « détruit l’environnement ».
      l’objectif de cette doctrine n’est pas la sauvegarde de l’environnement mais son appropriation. c’est assez similaire avec les communisme ..

  • Au royaume des irresponsables, quand le sage montre l’étoile, le fou se moque du doigt tordu du viel homme, et provoque un éclat de rire de toute la cour.

  • règle empirique : tout ce qui prétend science, en mettant « science  » dans son titre, n’en est pas une. Les vraies sciences (physique, chime, biologie, etc.) ont un nom qui ne comporte pas ce mot

    • Merci pour les Géosciences… :-°

      • @ Philliber Té
        Les géosciences, qu’est-ce? La géologie? La géo-histoire? La Science des volcans, vulcanologie, des séismes terrestres (sismologie) ou d’autres, analysant, par exemple la composition de l’atmosphère et ses effets dûment constaté: Ce n’est pas la science qui décide mais évidemment des hommes ou femmes: Haroun Tazieff a le droit d parler de vulcanologie! De politique ou de l’avenir à préparer, c’est moins sûr: sur ces sujets, il dit sa conviction, pas sa science! C’est son libre droit, pourvu qu’il n’abuse personne!

  • « il n’est pas évident a priori que lorsque les ressources s’amenuisent, la consommation diminue. »

    Ah bon. Lorsque vous n’avez plus d’air, vous continuez à respirer ? Magique.

    • H16 vous êtes à côté de la plaque. On peut très bien imaginer que le stock d’oxygène soit en diminution et que l’on continue à respirer. C’est par exemple le cas dans un sous-marin. Le temps d’un voyage les stocks diminuent mais aucun marin ne meurt asphyxié ni ne se retient de respirer.

      La remarque de Kim est globalement pertinente et il faut bien toute votre mauvaise foi pour ne pas vouloir y répondre. Je vous reconnais bien là.

      • Et il faut toute votre mauvaise foi pour ne pas simplement LIRE l’auteur : il a utilisé le verbe MANQUER, pas le verbe DIMINUER.

      • Sauf que, historiquement, le cas de figure de la fin de ressources violente ne se présente simplement… jamais.

        Toutes les ressources qui ont connues des pénuries (pour diverses raisons, la plupart du temps politiques d’ailleurs) ont été peu à peu abandonnées et remplacées par d’autres.

        Le jour où monsieur M. BP rentrera dans son bureau le matin pour entendre « Chef, on n’a plus de pétrole… on a vendu la dernière goutte hier » n’arrivera jamais. Parce que, bien avant que les cuves ne soient vides, d’autres énergies aurons prises le relais motivées par la hausse des cours du pétrole.

      • L’air n’est pas un exemple facile à utiliser j’aurai plutôt utilisé la production agricole, dire qu’on vit à crédit signifierais qu’à partir du mois d’août on a plus de céréale, plus de légumes, … au alors venant d’un stock antérieur, mais comme on vit à crédit chaque année le stock devrait être vide depuis longtemps. cherchez l’erreur ….

        PS à H16 : l’argument du stock et l’argument des enfant (éliminer toute descendance) ça me fait du bien que quelqu’un qui est lu l’écrive enfin

    • Manoeuvres dilatoires débiles caractéristiques du troll sans envergure.
      L’ONG nous dit que l’humanité s’endette.
      Je demande : auprès de qui ?
      Vous me répondez … Vous ne me répondez pas. Vous divaguez, pinaillez, tournez autour du pot.

      Vous savez parfaitement que cette notion est débile.

      Ou si vous ne vous en êtes pas encore rendu compte, c’est qu’il n’y a rien à attendre de vous.

      • Comme la plupart des khmers verts, ils ont sûrement une culture scientifique sans limite, et ils vont probablement nous sortir une entropie négative. Aux chiottes la raison, vive les ignares aigris qui rêvent de la souffrance des autres !
        Cette notion d endettement est tellement vide que ça rend le propos débile.

        • J’avais un prof de géographie, il y a très longtemps (j’étais encore un jeune étudiant) qui m’avait sorti qu’il existait des « frigorie ».
          Comme je lui demandait ce que c’était (je précise j’étais encore un jeune étudiant, j’étais peut-être passé un côté d’un cours de physique) , il m’explique doctement que les « frigories » sont comme les calories, mais en négatif. En fait elles refroidissent…
          Et oui, il avait inventé l’entropie négative !!!
          J’ai rapidement abandonné son cours de géographie !!!

          • Bonjour, une frigorie(symbole:fg) est une unité de mesure d’absorption de chaleur, c’est l’inverse d’une calorie.
            1fg = -1 cal
            1 fg = -4,185 joules

            • Ce n’est pas une unité du système international SI.
              C’est logique elle n’a aucune signification physique.

              • C’est du travail négatif, un concept pourtant bien connu dans l’administration française, tant en termes d’énergie cinétique que potentielle…

                • Ouaip, on peut même consommer des NEGAwatt…

                  • @ Steven et al.
                    Une frigorie n’est pas une unité scientifique mais technique: demandez à votre surgélateur comment il fait pour avoir besoin d’énergie électrique pour faire le contraire de la chaudière: la chaudière apporte des calories et le surgélateur fait l’inverse, mais vous, vous travaillez pour payer la production des 2!

        • @ lm
          Comment ne voyez-vous pas une France nationaliste, auto-satisfaite, qui se réjouit encore de ses gloires historiques pour mieux ignorer les réalités: la chute, la décadence, l’écart s’élargissant entre rationalité et mythes populaires Français qui prétendent beaucoup mais concrétisent bien moins!
          Le discours peut convaincre oralement les Français mais pas tous les pays qui préfèrent les actes et les faits!

        • @ Im
          Non! La notion d’endettement, bien développée par les parents, ce seront les enfants qui payeront la note, sans le sourire et pour l’euthanasie! Malgré tout, il y a une logique dans la politique!

    • pour votre gouverne, les besoins en oxygène sont effectivement réduit quand sa disponibilité diminue. L’alimentation des organes périphérique est réduit, leur température baisse, etc.
      Et ma voiture diminue sa consommation quand son réservoir est presque vide : dans ce cas je ne roule plus à 120 mais à 90 (bien sûr c’est un choix de ma part, pas une fonction automatique, mais vu de l’extérieur c’est pareil)

      • C’est tout de même marrant de voir comment les malthusiens font leur caca nerveux dès qu’on introduit la possibilité que cela puisse se passer progressivement plutôt que par une rupture totale avec la société qui s’effondre comme un château de cartes et les cavaliers de l’apocalypse…

        Il faut dire que tout leur modèle ne tient qu’au seul fait que cela puisse s’effondrer… Et sans cela, ben ils tombent dans l’oubli.

        • Les gaucho-écolo-malthusiens fonctionnent de la même façon dont fonctionnent leurs pires ennemies : les gens du FN. Ils vendent de la peur, ils remplacent juste les maghrébins par le CO2, la viande et les riches.

          • @ AlfredSG
            Ça me rappelle cet album de Tintin qui commençait avec cette rencontre d’un prophète de plus de la fin du monde.
            Donc oui: tout ce qui peut faire peur trouvera son public de pessimistes qui pensent que c’était mieux avant!
            Les optimistes observent que depuis des millénaires, déjà, les humains ont survécu, déjà, et ont résolu des problèmes au fur et à mesure qu’ils se présentaient, pas toujours du premier coup, et, comme d’habitude avec avantages et quelques inconvénients.
            Si tout cela devra finir un jour, c’est possible, évidemment, mais quand, personne n’en sait rien ni comment l’éviter! Alors …

    • « Puisque vous prenez la très mauvaise analogie de la respiration, vos besoins en oxygène sont-ils moindres lorsque sa concentration diminue ? »

      Oui, c’est notamment le cas en haute Altitude.

      • « Puisque vous prenez la très mauvaise analogie de la respiration, vos besoins en oxygène sont-ils moindres lorsque sa concentration diminue ? »

        Oui, c’est notamment le cas en haute Altitude.

        –> Tom : c’est exactement l’inverse. Plus on en altitude et plus nos besoin en oxygène augmentent. Car comme il est rare dans l’air, il faut respirer plus pour fournir le même travail physique, ce qui augmente notre demande en oxygène. Le corps s’adapte en baissant la quantité de travail musculaire fourni. Comme l’économie et la société qui cherchera une autre solution en s’adaptant !!

        • Vous avez raison, ce ne sont pas les besoins qui diminuent mais l’essentiel c’est bien l’adaptation.

          • @ Tom
            Oui et donc grimper l’Everest, c’est une diminution volontaire de son rendement personnel!
            Alors que descendre au niveau de la mer est l’inverse (même si ce n’est pas ce qu’on constate sur les plages!).

  • On peut éventuellement arguer que l’humanité consomme certains stocks plus vite qu’il ne se reconstituent ; c’est notoire et elle a toujours fait ça, déjà quand elle exploitait le silex et le mammouth (et le monde ne s’est pas écroulé quand le stock s’est épuisé). Ça ne justifie pas de transposer ça en « dette » et « vie à crédit » : les stocks existent bel et bien, on ne les emprunte à personne. Faire ça c’est juste profondément débile. Que nos journalistes fasse écho à cette assertion ridicule démontre à quel niveau ils sont tombés.

  • Le calcul de cette ONG omet par exemple la formation de méthane continue résultant de l’action des bactéries sur les sédiments organiques qui s’accumulent au fond des océans. Le Japon dépense des fortunes pour importer du méthane liquéfié depuis l’arrêt de ses réacteurs nucléaires et est dans le même temps à la pointe de l’exploitation de ce méthane qui se présente sous forme d’hydrates. Les estimations sont astronomiques puisqu’il y a des sites exploitables sur l’ensemble de la planète.
    Lire à ce sujet et du Japon deux billets de mon blog :
    http://jacqueshenry.wordpress.com/2013/08/20/le-ver-est-dans-le-fruit/

    http://jacqueshenry.wordpress.com/2013/03/12/une-avancee-decisive-dans-lexploitation-de-lhydrate-de-methane/

  • « Quant au reste, vous spéculer sans pouvoir avancer la preuve de ce que vous dites »

    D’autres spéculent sans avancer de preuve de la non existence des licornes et des dragons…

    « Si le système est cadenassé et entièrement dépendant d’une ressource, il peut dans certains cas se maintenir jusqu’à épuisement total. »

    En effet. C’est le cas dans les régimes collectivistes avec la tragédie des communs.
    Une solution existe : la propriété privée qui responsabilise en récompensant celui qui prend soin de ses ressources et sanctionne celui qui les gaspille.

    « Enfin, il n’est non plus pas démontré que la transition sera douce. »

    Est-il démontré que la transition sera dure ?

    De toutes façons, même si la transition est dure, croyez-vous qu’on puisse y faire quelque chose ?
    Croyez-vous donc que l’homme puisse devenir maître de son histoire, mettre fin aux guerres, à la maladie, à la famine, à la méchanceté, au vice… ? Moi qui croyait qu’un des fondamentaux de l’écologie était que l’homme ne pouvait maîtriser les éléments…
    On va tous mourir ? Et alors ? Faut-il tous arrêter de vivre et s’enterrer vivant ?

    • Ah misère, on est vraiment tombé bien bas si on vous a confié un TP épistémo. Si vous aviez collé un zéro à ph11, qui exprime simplement (quoique maladroitement) la très classique impossibilité de prouver une non existence, je vous aurai viré.

    • votre sens de la logique semble lui totalement absent. L’auteur n’avance nulle part la moindre hypothèse sur une éventuelle transition, il se borne à dénoncer la stupidité de l’appellation « déficit » ou « dette » appliquée à l’utilisation d’un stock.

    • Si des gens comme vous donnent des cours d’épistémologie, je comprends pourquoi le pays va si mal…

  • Mais comment peut-on proférer de telles inepties, sans rire ?

  • chapeau l’artiste…sinon pour l’intro d’un texte c’est chapo

  • Il faut encourager ce genre de croyance. A force de ne bouffer que des steaks de quinoa, de refuser tout trajet excédant la possibilité des pieds ou du vélo, et de ne pas se chauffer, ces Nostradamus verts vont disparaître tout seuls 🙂

  • Mais où avez vous pêché cet histoire de consommation « a crédit » ? Bien sur, c’est absurde, mais je n’en vois nulle trace dans l’extrait que vous donnez.

    Le concept de dette écologique est à ma connaissance utilisé seulement pour désigner les dommages intérêts prétendument dus par certains pays du fait des dégâts causés à l’environnement dans d’autre pays.

    Ici, le concept se rapproche plus de l’analogie avec un agriculteur (à l’ancienne) qui consommerait la partie normalement réservée au semis de l’année suivante, entamant son capital productif.

    D’autre part, l’idée que la planète peut très bien se passe de nous … se serait bien d’arrêter de la servir à tous les repas. Les organisations écolos, aussi critiquables soient elles, quand elles parlent de « sauver l’environnement », entendent de sauver l’environnement qui a accompagné l’évolution de l’homme, ayant permis et permettant encore sa subsistance, et ce pour les générations futures (c’est d’ailleurs le nom d’une asso écolo). Si vous voulez vraiment critiquer sur le principe toutes ces initiatives, il faut vous attaquer aux droits et devoirs supposés des générations présentent vis à vis des générations futures.

    • Des devoirs envers les générations futures ? Lesquels ? C’est qui les générations futures ? Et ces générations futures ont-elles des devoirs aussi ? Les générations passées, celles qui ont fait des guerres mondiales, se sont elles soucié des générations futures ?

      Il y aurait donc une lutte des générations et vous voulez donc instaurer l’égalitarisme générationnel ? Comment faites vous pour savoir ce qui est bon pour elles ?
      Croyez-vous vraiment que cette pseudo-étude faite par un obscur groupe écolo soit seulement viable ?

      Concernant les ressources du fermier, croyez-vous donc qu’abolir la propriété privée fait que les fermiers gèrent mieux leurs ressources ? Les kolkhozes ont donc donné de bons résultats ?

      Les générations futures, du moins les individus qui les composent, ils feront comme tout le monde depuis l’aube des temps : s’adapter.

    • Je persiste et signe  » Pour le reste de l’année, notre consommation résultera en un déficit écologique croissant qui puisera dans les stocks de ressources naturelles et augmentera l’accumulation du CO2 dans l’atmosphère. » voici ce qu’on trouve sur le site du global footprint network. Nulle mention de « dette » écologique, on parle de déficit, menant à attaquer le capital pour assurer les dépenses courantes.

      • Cette histoire de dette ou d’humanité vivant « a credit », c’est probablement une invention d’un journaleux d’une agence de presse, reprise sans réfléchir par tous les perroquets branchés sur ce genre de canaux.

        • @ FabriceM
          Non, je ne pense pas. Je crois que c’est peut-être l’assimilation (et la coïncidence) à la date de « libération fiscale » où vous commencez à travailler enfin pour vous-mêmes, alors que vous partez en vacances!
          Pour le reste, les prophètes et les prévisionnistes sont toujours en quête d’auditoires.
          À côté, il y a ceux qui cherchent et trouvent les solutions!

      • « attaquer le capital pour assurer les dépenses courantes » on faisait déjà ça au néolithique : pour la plupart des matières premières (métaux, carbone, silex, sable, etc.) la production naturelle est nulle ou quasiment, par conséquent su on veut regarder ça comme ça alors c’est dès le premier janvier, et pas le 20 août, que l’Homme tape dans le capital naturel. Et ensuite il change de matière. Il remplace le silex par le cuivre, puis le fer, puis l’aluminium, puis les plastiques, etc. Jusqu’à quand ? aucune idée. Tout ce qu’on sait, c’est que malgré ce « déficit » permanent, ça fait plusieurs milliers d’année que ça dure.
        Ou alors on se souvient de ses cours de physique et que c’est l’énergie qui commande, et dans ce cas on doit bien constater que l’homme ne consomme pas 1 millionième de l’énergie que le soleil envoie sur la Terre, et que donc on est très loin d’un déficit
        Dans tous les cas cette ONG raconte strictement n’importe quoi

        • « Ou alors on se souvient de ses cours de physique et que c’est l’énergie qui commande, et dans ce cas on doit bien constater que l’homme ne consomme pas 1 millionième de l’énergie que le soleil envoie sur la Terre, et que donc on est très loin d’un déficit »

          Les hommes ne sont pas autotrophes. Comparer leur consommation d’énergie au flux provenant de sources biologiquement inertes est un non sens. Certes, nous nous sommes fait une spécialité d’exploiter les ressources minérales, mais ça ne fait pas de nous des autotrophes pour autant. Nous dépendons d’autres êtres vivants pour assurer notre (sur)vie. Et c’est par rapport au flux exploitable venant de la biosphère qu’il faut mesurer notre consommation.

          Comprenez moi bien : je ne pense pas qu’il faille se sentir coupables d’exploiter les ressources minérales fossiles. Mon point de vue, c’est celui d’une évaluation posée du degré de dépendance vis à vis de certaines ressources, à mettre en regard de notre capacité d’adaptation, qui est certes formidable, mais reste limitée. Je me retrouve pas mal dans les écrits de Vaclav Smil. Il a calculé qu’environ 95% de la biomasse des mammifères présents sur terre est composée des hommes et de leur bétail, partant de 50% il y a seulement quelques décennies. C’est une influence énorme.

          D’après quelques calculs personnels sur les données de la FAO, l’ordre de grandeur de la proportion des terres émergées vivables (hors déserts) occupées par l’agriculture et l’élevage, c’est 50%. C’est énorme.

          L’influence des hommes sur les niveaux des populations de poissons est plus qu’avéré, et énorme lui aussi.

          En comparant notre consommation aux flux d’énergie solaire arrivant sur terre, vous passez complètement à côté de la réalité.

          • Euh non, tout animaux compris ca fait 0.5% de la biomasse.
            Rien que les champignons représentent 2% de la biomasse ,
            les bacteries 13%, etc

            (biomasse en tonne de carbone)

      • Alors répondez à cette question : à combien se monte le capital de la planète et qui le calcule et comment ?

  • MAlthus c’est la dictature et la pauvreté assurées.

  • Le « Global FootPrint  » est une arnaque totale. Le calcul de ce truc est stupide et totalement erroné !!!
    Par exemple :
    –> Sur les 51 milliards d’hectares de surfaces terrestres seuls 12 milliards sont pris en compte dans le calcul car « producteurs de matière organique ». Ce qui veut dire que le Global footprint résume la terre à 12 milliards d’hectares soit 23,5 % de la surface totale.
    –> toute la production d’énergie est calculée sur la base d’une centrale à charbon des années 30.
    –> la production agricole est calculée sur la base des rendements céréalières de 10 quintaux par ha.
    –> la vitesse de déplacement moyen est calculée sur une base de moins de 25 km/h
    –> le CO2 est présenté comme un polluant qu’il faut réduire à tout prix, alors que c’est un gaz nécessaire à la vie, et que plus sa teneur augmente et plus les rendements agricoles augmentent aussi !!!
    Et le reste est à l’avenant !!!

    L’écologie (la vraie) est une science.
    D’abord il faut définir ce que l’on entend par dépasser l’utilisation d’une ressource. On produit de la matière organique pour se nourrir ! Alors en quoi peut-on dépasser la capacité de production ? Si on dépasse la capacité de production…. et bien on ne peut tout simplement plus produire.

    Pour l’agriculture La FAO montre que :
    – 37.5 % de la surface terrestre de la planète est en agriculture
    – 31.5 % est en forêt
    – 31.5 % autres (villes, lacs, glaciers…)

    Qu’entre 1961 et 2010 : la surface productive par habitant est passée de 0.45 ha à seulement 0,23 ha. Alors que la population mondiale a doublé.
    Ce qui veut dire que l’on produit de la nourriture pour deux fois plus de monde sur deux fois moins de surface.
    Comment dire alors que l’on dépasse la capacité de production de la terre, alors qu’au contraire on a réduit les surfaces agricoles utilisées. Surface qui ont été rendu à la nature (en Europe la forêt a doublé de superficie en 50 ans) !!!

    – La quantité de matière organique consommée par l’homme par an sur terre = 10 Gigatonne (10 milliards de tonnes)
    – La quantité de matière organique produite naturellement sur terre = 900 gigatones.
    On ne consomme que 1 % de la production de matière organique totale !!!

    Production d’énergie.
    – Quantité d’énergie consommée par an dans le monde par les humains = 4,26×10E20 Joules
    – Quantité d’énergie solaire reçue par la terre chaque année = 5,475x10E24 Joules (soit 12 000 fois plus que l’énergie consommée par les hommes).
    – Quantité d’énergie libérée par un tremblement de terre de magnitude 9,3 (Sendai, Thaïlande 2004) : 2x10E18 Joules

    Il ressort de ceci que le « jour du dépassement » est une mensonge des escrolos pour bien faire peur et bien manipuler !!!

    • Merci de ces précisions 🙂

    • Un grand merci pour toutes ces précisions, je m’étais trompé d’un facteur dix dans un billet sur mon blog rendant totalement ridicules les gesticulations des écologistes à propos du réchauffement climatique. j’avais écrit que l’énergie radiative solaire atteignant la terre représentait 1000 fois la production de chaleur anthropique, il faut donc lire 10000 ! Mais est-ce que ces terroristes d’un nouveau genre finiront par admettre qu’ils sont dans l’erreur, là est toute la question. Lynas a fait amende honorable à propos de OGM, un ingénieur de la NASA a fait de même (j’ai oublié son nom, je ne suis pas journaliste et plutôt bordélique dans mes archivages, même mon blog est bordélique) quant au nucléaire civil, c’est pire, j’ai écrit un article intitulé « le paradoxe de la banane », lisez-le, c’est instructif … je dis ça en toute modestie.
      http://jacqueshenry.wordpress.com/2013/08/11/le-paradoxe-de-la-banane/

    • Avez-vous une source d’info qui explique le mode de calcul détaillé de ce « jour de dépassement » ?

      • vous trouverez les sources, données méthodologie ici
        http://www.footprintnetwork.org/fr/index.php/GFN/page/methodology/
        http://www.footprintnetwork.org/images/uploads/Standards_2006_French_Final.pdf

        A noter (c’est pas une blague) : la méthode de calcul n’est pas donnée !!!
        Personne en réalité ne sait comment est réellement calculer « le global foot print » …. Super démocratique !!!

        • Le truc des écolos c’est de dire n’importe quoi pour faire peur, alors qu’une simple vérification permet de le constater. Cette allégation est la plus grotesque, Malthus et le Club de Rome se sont déjà ridiculisés avec leurs prévisions alarmistes!
          Les derniers modèles d’avions sont à 90% composés de carbones au lieu d’aluminium. Le progrès permet d’employer de nouveaux matériaux. Lorsque le pétrole sera épuisé nous roulerons à l’hydrogène. Et bientôt nous manipulerons même les atomes!

          • @ Virgile
            Le problème des écolo’s, c’est qu’il disent défendre la « Nature » en insinuant que nous n’en faisons pas partie: et pourquoi? C’est inepte!

            Nous sommes des mammifères, proches du singe et du cochon, avec des ADN assez semblables.

            Nous mangeons du cochon, mais contrairement aux autres prédateurs, nous faisons aussi naitre les cochons que nous mangerons et nous les nourrissons et les soignons.

            Il ne nous appartient pas de créer une « nature » où nous devrions nous, humains, nous sacrifier pour que vive tout le reste: ça n’a aucun sens, c’est se prendre pour le créateur!

    • En fait, les écologistes ont une conception matérialiste des ressources, c’est-à-dire en dehors des données économiques d’un moment et du génie de l’homme pour en tirer parti. Les premières sont largement imprévisibles, le second est infini…

      • Leur conception matérialiste finie et figée des ressources fait écho à la conception figée et finie de la richesse par les socialistes qui ne conçoivent la richesse que comme un gâteau fixé qu’il convient de se partager et non comme un élément évolutif qui peut s’accroître sous l’effet d’une bonne gestion.
        Cela explique les facilités des échanges entre écologisme politique et socialisme.

    • Très juste. La surface cultivée a énormément baissé en France, car nombre de fermes ont disparu. Dans le village où je passe le week end, les 3 fermes existantes ont cessé toute activité et les terres sont en friche. Il faut de plus prendre en compte les rendements des surfaces cultivées. L’Afrique en est encore à l’agriculture de subsistance, les terres des pays de l’est: Roumanie, Ukraine, Russie, etc… ainsi qu’une grande partie de l’Asie sont sous exploitées. Ainsi qu’on le constate des fermes urbaines sont envisagées. Nous pouvons donc nourrir infiniment plus de monde.
      Et les écolos oublient, comme tous les malthusiens, le Progrès. Malthus avait calculé suivant les rendements de son époque! Ils prétendent se baser sur des études scientifiques alors qu’ils sont ignorants comme le rappelle Daniel ci dessus!

      • Pour les fermes urbaines, l’espace disponible reste des plus réduits, donc à part le potager bobo du coin, faut pas rêver. Pour les fermes verticales, c’est un peu moins limité, mais pour remplacer 300.000km2 de terres cultivées et d’élevage par du vertical, même avec un rendement amélioré, va falloir un sacré nombre d’étages et des centrales nucléaires en rab. On n’est pas près de remplacer les bons vieux fermiers 😉

    • Très juste Daniel. Je me tue à répéter à ceux qui prétendent la terre surpeuplée, et dans l’impossibilité dans nourrir plus, qu’elle peut sans problème assurer pour le double. Les habitants des pays pauvres déboisent pour cultiver, mais dans le même temps les pays riches voient une diminution drastique des terres cultivées. Ce qui se traduit par une augmentation des surfaces forestières qui ont doublée depuis le XIXe siècle. Et les zones non exploitées ou sous exploitées sont immenses. L’Afrique en est toujours à l’agriculture de subsistance, ainsi que d’autres zones dans le monde! Le problème des écolos est leur malhonnêteté, car ces statistiques sont disponibles, il suffit de les consulter, ce que fait un spécialiste.

  • Qui finance cette ONG? Ce genre de structure aime bien les subventions d’habitude…

  • et cette ONG reçoit combien de milliers d’euros de subventions ?

  • Quand une ressource diminue, son prix augmente et donc sa consommation diminue. Du moins dans un système de libre marché où l’on ne fausse pas les prix.

  • Personnellement ce que j’ai compris quand j’ai lu cette news : la Terre créé chaque année X ressources via processus naturels chimiques. Les humains en extraient chaque jour Yi (1 < i X et que donc nous allons épuiser le stock sur le long terme plus vite qu’il ne se remplie et donc arriver à un jour « pic » (dans une année future, ça dépend du stock accumulé depuis plusieurs milliards d’années, lol) de consommation/d’extraction.

    C’est sacrément osé comme raisonnement. Faut être couillu pour sortir ça avec leurs arguments/analyses dignes d’un élève de CP et être publié.

    • Oula le site a bouffé la moitié de ma réponse (je me suis pourtant bien relu). Je vais arrêter de commenter sur le téléphone (Android et Firefox) xD

  • Je le refais.

    Ce que j’ai compris le lisant la news (et les articles en parlant) :
    – la Terre produit X ressources chaque année (via multiples procédés chimiques ou acquis via poussière spatiale ou tout ce qui nous traverse (radiations solaires, etc…)) ;
    – l’Homme en consomme Yi chaque jour (pour en faire, c’est supposé dans l’article, du polluant non-réutilisable (1er lol)) ;
    – sachant que 1 < i X.

    Donc les chercheurs doivent savoir avec grande précision quelles sont les réserves qu’a accumulé la Terre depuis des millions d’années (sachant que les fonds sous-marins sont quasiment tous inexploités), combien l’Homme en extrait et quoi/combien il produit lui-même, quel est l’impact des nouvelles technologies…

    C’est de la folie. Non. Pire. C’est de l’arnaque. Du sophisme, du scientisme, de la blague Carambar.

    • Ah ben non, Mettre plusieurs « <" ça brise le système de commentaire, smartphone ou pas. J'en prend note et j'ai la flemme d'écrire une troisième fois 🙁

  • toujours aussi fan de ton style H16, super article, clair et drôle. Bon il y a en a qui comprennent toujours pas, je doute qu’ils y arrivent un jour.

  • Ces tarés ont bien choisi leur logo FOOTPRINT : notre intellect se place au niveau des orteils …
    Parmi les 15 à 20.000 (!) ONG de tout acabit s’agitant de par le monde, celles « rémunérées » indument par l’ONU et ses filiales sont particulièrement nombreuses. Normal qu’elles doivent alarmer le monde afin de récolter leurs subsides imbéciles !
    Leurs couplets se rattachent au dogme de l’épuisement des ressources naturelles et ce refus de tout progrès scientifique et technologique. Ont-ils ainsi noté que l’usage intensif des terres rares pour les moulins-éoliens et leurs panneaux solaires sont aussi cause d’épuisement et de pollution chimique ? Non, motus !

    Reste de tout cela une ressource naturelle de caractère inépuisable : la bêtise humaine, densément présente chez eux et dans la population qui les idolâtre, donc par extension dans les dogmes verdâtres, chez nos médias-à-la-con et les politiciens de tous niveaux incompétents qui suivent leurs diktats… Rappelons-nous le fumeux Club de Rome des ’70s ?

  • Ces sont deux hommes de la préhistoire discutant, revenant de la chasse au mammouth :
    – Le sorcier dit que dans vingt-cinq siècles nous serons plus de 6 milliards d’hommes sur terre
    – 6 milliards ! mais y’aura jamais assez de mammouths pour tous !

  • ben oui..mais il faut aussi savoir que la terre a accumulé d’énormes quantité d’éco planètes avant l’apparition de l’homme , ce que dans notre jargon nous appelons le capital planétaire, et ma foi on puise dedans pour finir l’année. ça marche aussi en pensant àl’ Epoque ou le pauvre homme ne boulottait pas tout…

    Bah, il y a quelques années on aurait simplement dit , tiens on rase les forêts ou le poisson disparaît étant sur-pêché…
    maintenant on ne comprend même pas ce qu’ils racontent sauf que ç fout les jetons…

    • C’est le but.

      Le monde est fait de gaz, de matière, de gravité et d’énergie.
      Une planète est l’agrégation de tout cela non sans avoir « avaler » son espace autour d’elle. L’écosystème c’est tout autre chose et autant que je sache on ne peut pas affirmer que toutes les ressources exploitables ont été découvertes. S’il y a bien un espace fini sur cette planète cela n’entraîne pas que toutes les ressources soient limitées ou insuffisantes pour le restant des jours à venir.

    • « maintenant on ne comprend même pas ce qu’ils racontent sauf que ç fout les jetons.. »

      Les journaleux eux-même n’en ont pas la moindre idée. Mais c’est pas grave, l’important est la « narration ».

  • jusqu’à présent et avant de partir pour des vacances méritées nous consommions/travaillions uniquement pour l’état d’après une autre étude scientifique , nous avons donc une solution pour remédier au problème de la terre a crédit et sauver les ours polaires ou les fourmis électriques: supprimer l’état .

  • Ce n’est pas ce qu’à dit la presse.

    Elle a simplement rapporté que, selon l’ONG en question, à partir du 20 août, nous allons vivre à crédit au plan écologique, c’est dire à dire que nous aurons consommé plus de ressources naturelles que la terre peut en renouveler en un an.

    Je pense que vous êtes d’accord avec le principe suivant lequel on ne peut pas dépenser plus que l’on gagne, sauf à être ruiné au bout d’un moment.
    Perso, cela me fait penser au film et du livre de Jean d’Ormesson « Au plaisir de Dieu ». Il met en scène sa famille, richissime au début du 20ème siècle, avec, à sa tête un Duc fort sympathique, marqué par toutes les valeurs de la noblesse du XIXème siècle, mais pas celles de la gestion.

    Soixante dix ans plus tard, la propriété est vendue. Il ne reste plus rien aux héritiers.

    Le film montre très bien la gestion du Duc. Besoin d’argent ? Pas grave. On procède à une coupe dans la forêt. La forêt est immense (au moins 500 ha, puisqu’on y chasse à courre). A la fin du film, elle est devenue un taillis. Pourquoi ? Parce que le Duc a très mal géré sa forêt, en coupant plus d’arbres qu’il n’aurait dû. Chacun sait « qu’on ne commande à la nature qu’en lui obéissant ». Dans le cas de la forêt, si on veut laisser un patrimoine intact à ses enfants, les coupes doivent être judicieuses et couplées en permanence avec la régénération de la forêt.

    Le message que veut véhiculer l’ONG en question (sans doute maladroitement) qui fait l’objet de vos quolibets, n’est rien d’autre que celui-là.
    J’ai personnellement du mal à penser ce que ce message est stupide dans son principe même.

    • « vivre à crédit au plan écologique, c’est dire à dire que nous aurons consommé plus de ressources naturelles que la terre peut en renouveler en un an.

      Je pense que vous êtes d’accord avec le principe suivant lequel on ne peut pas dépenser plus que l’on gagne, sauf à être ruiné au bout d’un moment. »

      En soi, c’est ridicule. On n’est plus à l’époque des chasseurs cueilleurs et l’homme produit ce qu’il consomme et non ce que la terre lui offre. En quoi les cultures industrielles ont encore besoin de ce renouvellement des ressources ?
      Quant à estimer ce que la terre peut renouveler, c’est déjà une donnée qui n’a pas de valeur scientifique.
      De toutes façons, si les ressources se font trop rares, elles seront plus difficilement accessibles, plus chères et donc ne seront plus consommées : on appelle cela la main invisible.
      Si le poisson se fait plus rare, le pécher sera trop couteux et il repeuplera, comme c’est le cas avec le thon rouge dont la population a fortement crû récemment.

      « Perso, cela me fait penser au film et du livre de Jean d’Ormesson »

      Comparer un macrosystème en faisant une analogie avec une gestion microsystémique microsystémique, c’est juste sans intérêt. C’est comme comparer le marchand de pommes avec le marché de l’agroalimentaire. Sans compter que cette analogie est fictionnelle et hypothétique.

      « Le message que veut véhiculer l’ONG en question »

      On appelle cela de la propagande.

      « J’ai personnellement du mal à penser ce que ce message est stupide dans son principe même. »

      Les messages de la plupart des idéologies et des utopies ne sont pas stupides dans leur principe même.
      Un message peut être de bon sens, il reste qu’il doit respecter le principe de réalité.

    • Votre démo ne tient pas, la richesse de la famille dont vous parlez n’a pas disparu; elle a simplement été transférée à quelqu’un d’autre.
      Il se passe exactement le contraire que ce que prétend cette ONG : plus d’hommes > plus d’idées > plus de travail > plus de richesses. Et absolument rien n’empêchera l’espèce humaine d’aller chercher des ressources sur la Lune et plus loin encore.
      Maintenant, si vous avez si peur, rien ne vous empêche de vous restreindre. Seulement ne demandez pas aux autres de faire de même.

      • Dans cet exemple, l’humanité représente bien sûr la famille, et la forêt représente notre maison commune : la terre. Sinon, effectivement, ma démonstration n’a pas de sens.

        • Sauf que dans votre maison commune, il n’y a que des consommateurs et aucun producteur, pas d’ingénieur et pas d’inventeur/découvreur.
          Cela ne correspond pas à la réalité telle que nous la connaissons.

    • « c’est à dire que nous aurons consommé plus de ressources naturelles que la terre peut en renouveler en un an. »

      depuis l’invention du moteur à explosion, nous consommons allègrement chaque année beaucoup plus de pétrole ( ressource naturelle ) que la terre ne peut (en principe) régénérer, ce qui ne posait de problème à personne jusqu’à ce qu’on s’aperçoive que la recherche et l’extraction devenaient de plus en plus difficiles et coûteuses. D’où la recherche de sources d’énergie nouvelles ( adaptation en prévision de la pénurie potentielle). Cette ONG tient seulement un discours destiné à flanquer la pétoche aux gens, sans doute avec des arrières pensées pas très avouables?

    • C’est FAUX. On a AUCUNE idée de la sustainabilité de la planète, ces ONG sont des charlatans! Déjà sur le plan agricole les surfaces cultivables sont loin d’être toutes exploitées, et celles qui le sont de produire leur maximum. Donc premier mensonge!

    • Votre raisonnement est juste, mais ce n’est absolument pas le cas sur Terre. Cela ne concerne que les minéraux qui ne sont pas renouvelables, et on finira bien par manquer de pétrole un jour. Mais pas pour la forêt, laquelle diminue dans les pays pauvres, où les gens déboisent pour manger. Par contre elle augmente dans les pays riches où elle a doublée, à cause de l’abandon des surfaces cultivées. Les écolos feraient mieux de se préoccuper des vrais problèmes que sont la pollution des mers par le plastique et leur dépeuplement. Les peuples vivant de la pêche se plaignent de la rareté actuelle des poissons!

  • Au moins les ressources en conneries sont inépuisables, la preuve par Le Monde.

  • Glosez glosez braves gens, ergotez sur les mots et faites semblant de ne pas comprendre, cherchez la petite faille ou même grosse faille argumentaire décrédibilisant tout l’édifice…

    Toujours est il que la simulation « business as usual » de l’équipe Meadows colle assez bien à la réalité et ce depuis 40 ans.
    http://img4.hostingpics.net/pics/26708720120408210916FuturismGotCorngraph631thumb.jpg
    L’idée de tout ça est de prendre conscience qu’on ne peut taper indéfiniment dans un stock fini.
    Après, nous restons libre de faire ce que bon nous semble en rêvant qu’un miracle se produira, où qu’on a pas la bonne donnée, pas la bonne méthode d’analyse etc…
    Et puis le miracle s’est toujours produit jusque là… sauf que la situation n’a jamais eu d’équivalent.

    Chacun reste libre.
    http://img4.hostingpics.net/pics/224419citationghandi.jpg

    Tant que ça n’empiète pas sur ma liberté d’être vivant, tout me va.

    • Oui oui, on va tous mourir, etc…
      Il faut vraiment être un ignare en science pour donner de la valeur à des simulations prédictives qui extrapolent des courbes, surtout dans des domaines aussi chaotiques…

      • comme tu n’as pas l’air de l’avoir remarqué, il s’agit d’une simulation vs données réelles et en rien une extrapolation.

        • Lol… Je connais cette théorie…

          Bien sur, vos graphiques n’incluent aucune donnée réelle dépassant les inversions prédites des courbes, permettant de donner du poids aux extrapolations…
          Bref, cela n’a aucune valeur, pastèkamarade

    • Ah lehamster en roue libre…
      Vous devriez vous renseigner sur la nature de l’étude Meadows avant de dire n’importe quoi.
      Ca n’a jamais été une prédiction. Son but était uniquement de montrer comment une croissance exponentielle pourrait interagir avec des ressources que l’on considérerait comme finies, rien de plus.

      Votre graphique en lien ne montre rien en fait. On savait déjà en 1972 quelle allait être la population en 2000. Ce n’est d’ailleurs qu’au dela de 30 ans que l’on a des incertitudes et c’est pourquoi on nous balance toujours le peak oil dans 30 ans. Vous remarquerez d’ailleurs que l’absence d’échelle et de division est bien pratique mais pour ma part elle ne m’a pas empêché de voir qu’il prévoyait un doublement de la population entre 1970 et 2030 alors que ce doublement est déjà effectif en 2015 et nous sommes au dela du palier de 2030…. Le reste est à l’avenant.

      Comme l’ont relevé beaucoup de critiques cette étude avait juste oublié entre autres l’impact de la technologie.

    • Un stock dont on consomme la moitié chaque année peut durer une éternité, lehamstersanssaroue…
      S/2, S/4, S/8, je vous laisse écrire la suite 🙂 Dans mille ans vous y serez encore…

      • Vous avez raison c’est un peu ce qui va se passer naturellement une fois le plateau du « pic » pétrolier passé.
        Pas par choix mais par contrainte.
        La production va suivre votre suite mathématique tandis que la demande, elle, fera …ce qu’elle peut.
        vivre sous la contrainte énergétique on n’a jamais vraiment fait, ça promet d’être une période intéressant.

        https://www.manicore.com/documentation/petrole/40_ans.html

        • « vivre sous la contrainte énergétique on n’a jamais vraiment fait, ça promet d’être une période intéressant. »

          Ca ne vous vient pas à l’idée que les escrologistes n’existaient pas auparavant ?
          Où avez vous vu une contrainte à part celle qu’on vous raconte ?
          Un litre d’eau minérale HT rendu coûte plus cher qu’un litre de pétrole HT rendu.

          • Que les écologistes existent ou pas, ça ne change rien au fait qu’il existe un pic sur chaque matière première, pétrole compris.
            Le pétrole à bas prix ne va pas durer, lorsque la demande mondiale en pétrole excédera la capacité de production.
            pays émergeant qui accroissent leur demande, pays producteurs dont la capacité de production ne peut que décliner au fil du temps.
            il y a forcement un moment où ça va être tendu!

            il suffit de voir le prix en 2008 lorsque la machine Economique Chinoise tournait à plein régime, la demande était très proche de la capacité de production max.
            https://www.les-crises.fr/images/2000-petrole/2000-meteo-petroliere/01-petrole-prix-baril-moyen.jpg
            certains s’autorisent même à dire que c’est la cause de la crise de 2008.

            Le pétrole est irremplaçable rapidement dans les transports, cela créera forcement des désagréments pour s’adapter.

            • il suffit de voir le prix en 2008 lorsque la machine Economique Chinoise tournait à plein régime, la demande était très proche de la capacité de production max.

              Ah bon et par quelle magie on en extrait en 2014 7% de plus qu’en 2008 et qu’il coûte 3 fois moins cher ?

              La production mondiale de pétrole en 2014 : 88673000 barils par jour
              La production mondiale de pétrole en 2013 : 88679000 barils par jour
              La production mondiale de pétrole en 2012 : 86150000 barils par jour
              La production mondiale de pétrole en 2011 : 83980000 barils par jour
              La production mondiale de pétrole en 2010 : 83190000 barils par jour
              La production mondiale de pétrole en 2009 : 81149000 barils par jour
              La production mondiale de pétrole en 2008 : 82847000 barils par jour
              La production mondiale de pétrole en 2007 : 82220000 barils par jour
              (.planetoscope.com)

              • votre remarque est intéressante, je ne me l’explique pas ! 🙂
                sur cette courbe prix vs volume on voit que le prix fait un peu n’importe quoi. Les lois du marché me sont impénétrables…
                https://www.manicore.com/documentation/articles/petrole_elastique_graph1.jpg
                « Ce graphique représente, pour chaque année entre 1921 et 2014, la consommation mondiale de pétrole en millions de tonnes (axe horizontal) et le prix du barril en dollars constants (axe vertical).

                Il est facile de constater qu’aucune loi simple ne relie le volume de pétrole consommé au prix du baril, ni même la variation de la consomation à la variation du prix du baril : de 1921 à 1973 la quantité de pétrole consommée a été multipliée par plus de 20 avec un prix qui reste stable, puis de 1973 à 1986 le volume consommé reste à peu près identique avec un prix qui fait n’importe quoi, puis de 1986 à 2000 c’est à nouveau un régime avec un prix assez stable et un volume qui augmente fortement, et enfin de 2000 à 2014 le volume est à peu près constant avec un prix qui varie fortement.

                Ce graphique suggère donc que quand bien même nous avons la prévision d’un volume futur de manière assez précise, cela ne permet pas d’en déduire un prix.

                Compilation de l’auteur sur sources primaires BP statistical review, 2015 (prix du pétrole et consommation après 1965), et Shilling et al (consommation avant 1965). »
                tiré de https://www.manicore.com/documentation/articles/echos_nov2014_petrole_elastique.html

                Toujours est il que je serais très étonné que lorsque la demande dépassera la production max, que le prix du pétrole baisse.

                Une des difficulté à prédire est que les pays arabes réévaluent leurs réserves à la hausse chaque année de la valeur produite l’année passée, ce qui fait que leur réserve reste a niveau constant malgré une production chaque année.info ou intox ?
                la raison de cet agissement est que la quantité de production autorisée est fonction des réserves déclarées.
                bref on n’ a pas une certitude absolue sur les réserves mondiales vu que l’Arabie saoudite est un producteur majeur.

                • « Les lois du marché me sont impénétrables… ». On avait remarqué. Il faudrait juste que vous adaptiez votre discours à cette modestie affichée : puisque vous n’y comprenez rien, ne faites donc pas de prédictions, ni a fortiori ne donnez pas de conseil pour survivre aux conséquences de la situation prédite.
                  Une des clefs du « mystère » est simplement la disponibilité croissante du gaz, ce truc qui avant était le plus souvent un encombrant et nuisible sous-produit qu’on brulait en torchère, et que maintenant on essaie de valoriser.

                  Plus fondamentalement, il y a trois choses à ne jamais oublier.
                  la première est que le pétrole ne vaut rien, zip, nada. rien de plus et rien de moins que l’air, le vent, l’eau ou n’importe quoi de naturel. Ce qu’on paye, c’est le transport et la transformation en un produit utile accessible près de chez nous, et aussi le bon vouloir du maitre du robinet (quand il peut imposer sa loi … ce qui n’est pas toujours évident). L’expression « prix du pétrole » est un raccourci trompeur.
                  La deuxième chose, que le pétrole est l’énergie la plus commode, mais ça reste une énergie parmi d’autres, dont la place relative dépend des autres énergies, charbon et gaz principalement. Son prix, ou plutôt sa place éminente, n’est pas un fait incontournable, c’est un produit de conditions techniques et politiques du moment, et en ce moment, c’est le gaz qui prend le dessus.
                  Enfin la dernière, c’est que la notion de prix est relative, et que l’énergie étant LA composante essentielle à la base de toute l’économie, elle a plus sa place comme étalon de mesure que n’importe quoi d’autre, à commencer par ce truc bizarre qu’est le dollar. Ce qui veut dire que le plus juste c’est de considérer que le prix du pétrole est en permanence égal à 1, et que c’est le reste qui varie autour. Par exemple, ce n’est pas le prix du pétrole qui varie entre 30 et 100 dollar le baril, c’est le dollar qui varie entre 1/30 et 1/100 de baril. Et tout le reste suit, évidemment. Vu comme ça, tout n’est pas encore limpide, mais il y a quand même pas mal de choses qui cessent d’être un mystère.

                  • C’est amusant ce besoin de juger les autres, en partant de votre manque d’intelligence à comprendre les autres.
                    Sans doute du mal à vous comprendre vous-même.
                    On se demande quel plaisir malsain vous apporte cette activité.

                    Si tout le monde qui s’exprime ici devait avoir tout compris, personne ne s’exprimerait, vous le premier.
                    Votre attitude est purement castratrice.

                    Sur je sujet, seul point qui nous intéresse, j’ajouterais :
                    Si les spéculations boursières sur les matières premières vous disent quelque chose…

                    • Ce qui m’amuse est que vous ne faites pas plus d’effort pour comprendre ce que disent les autres, puisque vous vous obstinez à répéter votre point de vu. Alors n’insultez pas les autres en prétendant qu’ils manquent d’intelligence!
                      Quand au pétrole, lorsqu’il n’y en aura plus nous roulerons à l’hydrogène. C’est le progrès qui permet d’employer d’autres ressources lorsqu’une s’épuise!

            • il y a forcement un moment où ça va être tendu!

              Cela a déjà commencé, mais vous ne l’avez pas remarqué, vu que les prix sont redescendus. Attendez juste, cela va se reproduire à coup sur, la pâte lève tranquillement…

        • lehamster ,

          «  »vivre sous la contrainte énergétique on n’a jamais vraiment fait, ça promet d’être une période intéressant. » »

          Mais si , on l’a fait , en Europe , jusque dans les années 1960 , quand il n’y avait que le bois et le charbon ( en gros ) pour se chauffer et cuire ses aliments et comme cela se fait tjrs dans beaucoup de pays du monde …

          Pour mémoire , dans ma propre famille , dans l’Est du pays , on ne chauffait que la cuisine et la salle à manger en hiver , les chambres n’étant pas chauffées , ( donc , couvertures , édredon , brique dans le lit ) ni la salle de bain , qui n’existait pas …

          Il m’était arrivé de me réveiller , le matin , en hiver , avec du givre sur la glace de ma chambre et de retrouver une pomme dans cette même chambre , gelée…

          La chat peut très vite se remordre la queue…

          • Désolé je suis sans doute un peu plus jeune que vous, j’ai toujours connu le luxe du chauffage central et maintenant je suis même passé au nucléaire ! 🙂
            Je ne suis pas trop inquiet pour le chauffage en France: Nucléaire et Gaz feront l’affaire un temps.

            • lehamster,

              En quelques années , une situation économique ( énergie et chauffage à gogo et pas trop cher ) peut disparaître et faire sa petite révolution …et votre chauffage central n’être rapidement qu’un souvenir heureux et lointain ….Bref , si un jour vous devez vous chauffer au bois et que vous devez abattre votre bois ( à la hache et pas à la tronçonneuse ) , le faire sècher , le transporter , le couper …le brûler , vous pourrez tjrs vous souvenir de votre optimisme sur le nucléaire et le gaz…

              • j’ai l’air de rigoler comme ça mais je m’y prépare sérieusement.
                Je me suis déjà chauffé tout au bois et oui le bois c’est du boulot… sans jeu de mot. 🙂 et encore ce n’est même pas moi qui le coupait…
                Le plus intéressant sur le long terme est de réduire ses besoins:isolation.

                • lehamster ,

                  «  »Le plus intéressant sur le long terme est de réduire ses besoins:isolation » » Certes , vous avez peut-être raison , quoique le rendement d’un investissement en isolation ( suppression du chauffage d’origine fossile ou carbonée ( bois) dépasse à mon avis les trente ans …

                  • Je ne raisonne pas en terme d’amortissement avec les données du moment.
                    Personnellement je pense qu’il va y avoir des tensions sur l’énergie, que les prix vont monter, voire qu’il peut y avoir des ruptures d’approvisionnements ponctuels dans le futur.
                    En conséquence, j’augmente ma résilience, je garde un chauffage nucléaire (pratique et pas trop cher si bien isolé), un chauffage au bois avec stockage qui peut prendre le relais en cas de rupture ou prix exorbitant et fait une isolation renforcée en essayent de m’approcher des standards actuels. Pas facile avec de l’ancien et ses ponts thermiques…
                    Ça me permet de faire un peu d’économies dans le présent grâce à l’isolation.
                    Dans le futur, si les prix restent en l’état pas sur que se soit intéressent financièrement de faire tous ces travaux d’isolation (que j’étale dans la durée).
                    Je parie donc sur un futur assez proche, 10 ans environ, moins glorieux qu’aujourd’hui et où le coût de l’énergie sera bien supérieur.
                    Si une découverte majeure arrive dans le domaine de l’énergie d’ici là , bah j’aurais anticipé pour rien.
                    je préfère anticiper avec le connu et agir, que parier sur quelque chose qui n’existe pas encore et ne rien faire.

                    • Perso je consomme 30 stères par an (mon installation est ancienne et la maison plutot grande..)
                      Isoler ca me coûterait un prix tellement affolant, que j’ose même pas y penser.
                      Pour moi par exemple c’est fortement plus viable d’investir dans une chaudière moderne avec un bon rendement, ca va me couter strict minimum 5 fois moins cher que d’isoler.
                      C’est très variable selon les cas….

    • Faux! Prévoir l’augmentation de la population et de la production n’est pas difficile, mais ils prévoient une crise économique en 2030. Ils ont vu ça dans une boule de cristal? C’est exactement ce qu’avait fait Malthus au XVIIIe siècle! Ils ne tiennent nul compte du progrès scientifique et technique, fabuleux de nos jours, qui change complètement les perspectives d’avenir. On est sur le point de manipuler les atomes. Vous comprenez ce que cela veut dire?

    • L’idée de stock fini n’a pas de sens. L’homme est sans doute passé à côté de pétrole pendant des siècles sans l’utiliser (ça ne se mangeait pas) et il n’y avait pas de voiture, sans parler de l’uranium dans le même ordre d’idée.
      Les miracles sont des trucs de religion, pour ceux qui croient au Père Noël ou au type barbu au-dessus des nuages.
      Les phrases sentencieuses comme  » la situation n’a jamais eu d’équivalent » impressionnent peut-être votre petite amie, mais pas au-delà. La forêt allemande a failli entièrement disparaître au XIXe siècle avant qu’on ne découvre l’existence de mines de charbon. Des pénuries ont existé depuis l’aube de l’humanité. Les dinosaures, des créatures qui consommaient bien plus que l’homme ont vécu durant des millions d’années.
      Bref, vous devriez vous inquiétez de ceux qui prônent des idées de limitation pour votre liberté, parce qu’il n’est pas dit que vous ferez partie de la nomenclatura en étant d’accord avec eux. Les gens avec une capacité à réellement réfléchir vous ferons la nique dans n’importe quel système.

    • Cessez de nous sortir le rapport Meadows qui n’est qu’une resucée des prédictions de Malthus. Il ne tient aucun compte des progrès scientifiques et techniques, qui changent complètement l’utilisation des ressources!

  • Plus je lis (enfin survole) la presse, et plus je me dis que la bienpensance à remplacé les classiques marronniers. Entre les journalistes qui ne croient pas un mot de ce qu’ils écrivent et les « idiots utiles » qui ont un certain public, la presse subventionnée emploie des dizaines de gratte-papier pour tenter de perpétuer un modèle économique à bout de souffle et qui a peu de rapport avec l’information.

    • C’est surtout l’ignorance crasse et la fainéantise des journalistes en général qui sont en cause.
      Un journaliste digne de ce nom peut donner l’information de la publication de cette ONG, c’est un fait. Mais il y a zéro analyse. Parce que les journalistes n’ont pas le temps ni les compétences pour la plupart pour livrer une quelconque analyse.
      En revanche, on peut lire des choses intéressantes sur le dernier match du PSG parce que la culture du foot est assez répandu dans toute la population.
      Dès que les nouvelles requièrent connaissances scientifiques et bon sens, vous pouvez directement passer au sudoku.

  • la dette écologique est illégitime…..ben faut être cohérent quoi….

  • l’article. démontre l’absurdité du dette alors on doit puisse dans le capital WAIT, la terre aurait accumulé un capital, la terre serait capitaliste ?

  • et ce qui est le plus trophorrible c’est que la libération fiscale n’étant intervenue que fin juillet nous n’avons que moins d’un mois pour profiter de nos revenus écologiquementcompatiblement, non ??? 🙂

  • Cela justifie entièrement la phrase d’Einstein sur la bêtise humaine, dont les journalistes et les écolos sont les dignes représentants. On savait Le Monde de gauche, maintenant il est complètement con!

  • Le meilleur moyen pour ne plus avoir à lire les fadaises des ONG est de leur couper les vivres une bonne fois pour toutes.

    Diffuser de la propagande et jouer les « Nostradamus » avec l’argent des autres, ne sert en rien leur crédibilité.

    Enfin les sciences dont ils se réclament ne sont pas des sciences exacts, donc…

  • C’est le syndrome de l’influence des mauvaises nouvelles.
    La diffusion d’informations sélectionne en priorité les mauvaises nouvelles, parce qu’elles génèrent les émotions. Et les émotions incitent à l’achat de ces nouvelles.
    Le sensationnalisme catastrophiste se substitue aux faits….
    Produire des mauvaises nouvelle est plus vendeur et moins compliqué que produire du factuel.

    • Sauf qu’à berner leurs lecteurs ceux-ci abandonnent les media, tous en déclin, pour internet. Même Le Figaro, qui était le plus sérieux il y a quelques années, verse maintenant dans le sensationnalisme frauduleux. On a eu droit à l’ours mourant de faim à cause du réchauffement! Il faut sauver les ours, on se demande comment ils ont fait pour survivre aux nombreux réchauffements passés de la planète, puisqu’ils sont toujours là.

  • Que le fisc nous rende 155 des 210 jours qu’ils nous a piqués, et il n’y aura plus de problème pour aller jusqu’à la fin de l’année.

  • La terre ne devrait pas être endettée… Alors que le pays lui le pourrait à raison de 100% du PIB…
    Allez comprendre ❗

  • @ John lasser je serais curieux d’avoir votre point de vue concernant le sujet de l’article. Bien évidemment, ce qu’avance cette ONG est conpletement erroné et ne prends pas en compte les professionnels scientifiques. Les ressources naturelles sont infinies !! Ça choque les écolos de dire ca , mais je dis bien infinies, puisque la qualification d’une substance ou de matière en ressource naturelle ne dépend finalement que du génie humain. Qui aurait pu prédire il y a 20 000 ans que le pétrole serait une ressource naturelle ?

  • Voici une démonstration facile à comprendre même par les écologistes et les malthusiens.
    Personne ne s’inquiètent de savoir quelles sont les inconvénients des énergies dites « renouvelables ».
    Le photovoltaïque : les panneaux solaires captent directement l’énergie venant su soleil. Malheureusement, ces panneaux sont faits de telle façon qu’ils renvoient la moitié de l’énergie directement vers l’espace, leur albédo est très puissante quand la Terre et les océans captent plus de chaleur. La surface de panneaux solaires est égale à la surface de Terre qui ne reçoit plus du tout de rayons solaires. Total de l’opération, l’énergie solaire captée par les panneaux prend directement au budget énergétique (venant du soleil) de la Terre, d’où un refroidissement de cette dernière. Le « gain » en énergie est particulièrement mauvais.
    L’éolien : les éoliennes captent la force du vent qui est fabriqué par un différentiel de température (énergie solaire) et d’énergie cinétique fabriquée par le couple Terre-Lune. Total de l’opération, l’énergie solaire captée par les éoliennes est prise directement au budget énergétique de la Terre et au budget énergie cinétique du couple Terre-Lune, d’où un refroidissement de la Terre et un ralentissement du couple Terre-Lune.
    Les ordres de grandeurs aujourd’hui sont négligeables au vu des installations en place. Nous sommes dans la situation des années 1920 pour les énergies fossiles : pétrole, gaz et charbon. Pas de problème avec le climat, pas d’alarmisme, pas d’ONG farfelu.
    Mais si on remplace toutes les énergies fossiles dites « sales » par des « renouvelables », « propres » et « durables », on se caillera assez vite les miches sur Terre et il faudra réviser nos montres. Cela veut dire qu’il n’existe pas de solutions miracles.

    • « Total de l’opération, l’énergie solaire captée par les panneaux prend directement au budget énergétique (venant du soleil) de la Terre, d’où un refroidissement de cette dernière »
      Voilà donc un bon moyen de lutter contre le réchauffement climatique…
      Ah mais pas si vite, car ce que l’on commence à apprehender, c’est que la lutte contre la pollution – et les ENR y participent – a tendance, en faisant disparaître cet « écran » de particules, à rechauffer la planète…
      Bref, on n’est pas sorti de l’auberge !

  • Voici une notion de déficit en ressources de production:

    Chez la vache, la gestation dure généralement entre 280 et 284 jours.
    Dans l’élevage, le déficit survient quand on abat les bêtes plus vite qu’elles ne naissent. Il faut aussi tenir compte du vieillissement et du besoin de renouvellement de la population.
    En principe, on est à l’équilibre quand il naît suffisamment de bêtes pour remplacer les vieilles.
    Sans avoir lu les études de cette ONG, je présume que c’est la notion de « déficit » dont ils parlent. Ça doit faire référence à la diminution des populations.

    Maintenant, Est-ce que cette diminution est systématiquement la faute de l’humain. Faut voir.

    • Votre comparaison avec le troupeau n’est pas valable, car le progrès scientifique et technique vient bouleverser les prévisions. Et l’histoire a démontré que toutes les prévisions passées se sont révélées ineptes. Marx avait prédit la chute du capitalisme qui se ruinerait en appauvrissant les travailleurs, et c’est le contraire qui est advenu! Nous sommes à un stade où la science est si avancée qu’elle progresse à une allure démente, et donc il est impossible de prévoir les découvertes de demain. Nous en sommes à la manipulation génétique grâce à CRISPR-Cas9 et à celle des atomes qui s’annonce pour bientôt.

  • H16
    Vous êtes intelligent et là est le problème en l’occurrence. Evidemment l’auteur de cet article (que je n’ai pas lu) ne voulait pas dire que, passée une certaine date, nous consommions des ressources que nous n’avons pas.
    Et vous le savez très bien.
    Ce qui est dit, c’est que le flux de consommation de l’humanité dépasse le flux de reconstitution de ses réserves par la nature.

    Je ne sais pas trop quel crédit apporter à ce genre d’étude, mais je ne comprends pas vos interventions réitérées contre toute sensibilisation aux questions environnementales au seul motif que ceux qui les portent en France sont des gauchistes.

    J’observe, comme vous, le monde et mes contemporains.
    Leurs comportements en matière environnementale correspondent au niveau moyen que l’on peut atteindre après 40 ans de lobotomisation opérée à grande échelle par l’usine socialisante à décérébrer (EN).

    N’en rajoutez pas svp.
    Au-delà de ce désaccord, j’apprécie sincèrement beaucoup vos idées

    • « le flux de consommation de l’humanité dépasse le flux de reconstitution de ses réserves par la nature »

      1/ c’est faux, tout simplement. La nature n’a aucune réserve de ressources d’abord parce que la vie en général dépend de cycles et non de stocks et ensuite parce que toutes les ressources humaines sont au moins en partie artificielles (non strictement naturelles). Ces ressources ne le deviennent que suite au travail humain inlassablement répété et amélioré au fil du temps. Un exemple : le pétrole. On consomme le pétrole fossile suite à transformation et transport parce qu’il est économiquement intéressant de l’exploiter. Le jour où ce ne sera plus le cas, on passera au pétrole artificiel produit dans des usines ou à autre chose d’équivalent. Au terme de son exploitation, la majeure partie du pétrole fossile non encore extrait restera sous terre jusqu’à la fin des temps. Autre exemple : l’eau. L’eau pure et buvable n’existe qu’en de très rares lieux. L’eau devient pure et elle est transportée jusqu’à son lieu de consommation uniquement grâce au travail humain. L’eau qu’on consomme n’est pas un produit naturel à strictement parler, pas plus que le pétrole. Vous pouvez consommer de l’eau trouvée dans la nature au hasard de vos pérégrinations mais vous mourrez dans la plupart des cas. Un conseil : suivez les fleuves ou alors faites confiance au travail humain.

      L’âge de pierre ne s’est pas terminé des suites d’une malencontreuse pénurie de pierres. A l’époque, on aurait pu tenir le même discours en affirmant que le stock de pierre était fini (vrai) et que la croissance de l’âge de pierre ne pouvait donc être infinie (faux). Cet exemple démontre qu’on parvient à une conclusion erronée parce que les informations utilisées, si elles sont vraies, ne décrivent qu’une infime partie de la réalité. Ces informations sont non seulement partielles mais elle sont surtout partiales. L’erreur volontaire vient de l’oubli opportun des autres paramètres d’une équation générale trop complexe pour être analysée valablement par une ONG idéologisée ou par n’importe quel autre écologiste bas du front.

      2/ Les termes employés font référence à des stocks mystérieusement gardés au secret et prêtés par on ne sait qui. Même si vous parvenez à contester le premier point, au moins devez-vous reconnaître que la terminologie employée, qui a un sens précis dans une démarche scientifique, est détournée de son usage normal. Typiquement, l’ONG joue sur la confusion entre stock et flux et ignore superbement l’impact pourtant essentiel du travail humain sur la multiplication des flux utiles au développement de l’humanité. Cette ONG n’a rien de scientifique. Elle diffuse seulement ses mensonges idéologiques. En aucune manière elle ne permet d’avoir une réflexion saine. Elle ne permet même pas un début de vulgarisation incitant à mieux connaître la réalité qui pousserait les néophytes à développer une démarche factuelle et logique, et à prendre des décisions intelligentes dans un cadre démocratique. Cette ONG fait de l’anti-éducation et, ce faisant, elle œuvre contre la démocratie, autant d’agissements délictueux qui justifieraient de longs séjours au gnouf pour ses membres.

      • Pour être franc, je comprends mal votre démonstration.
        Prendre l’exemple du pétrole pour expliquer que la nature n’a aucune réserve de ressources me semble assez surprenant. Par ailleurs, pour appuyer votre propos, vous expliquez que quand le pétrole aura disparu (le stock donc), l’humanité inventera autre chose ?
        Quel est le rapport avec la problématique des stocks et des flux ? Ne démontrez-vous pas l’inverse de ce que vous souhaitez faire ?
        Concernant l’eau (que j’ai encore l’habitude de consommer dans les ruisseaux en montagne, pas pour longtemps), je pense que vous plaisantez. Votre propos manque singulièrement de profondeur historique. L’homme s’est abreuvé d’eau, trouvée dans la nature, sur environ 99 % du temps de son histoire. Vos parents ou grands-parents n’avaient-ils pas un puits au fond de leur jardin ?
        Quand l’homme s’est empoisonné avec de l’eau, la plupart du temps, ce fut le résultat d’un mauvais stockage, d’une mauvaise gestion, ou, plus récemment dans l’histoire, de pollutions dont il est responsable.
        Si, bien entendu, le Monde que nous connaissons est constitué de stocks et de flux. Ces derniers ne pouvant exister qu’en provenance d’une source (un stock donc) quelle que soit sa forme. C’est une loi élémentaire de physique.
        Mais, peu importe, ce qui me surprend, c’est cette croyance surréaliste qui ferait que les hommes échapperaient aux lois de la nature et de la physique pour perdurer à travers tous les temps, quelles que soient les conditions qu’ils pourraient trouver ou créer. L’homme omnipotent et éternel en quelques sorte.
        D’autres évoqueraient la question – acceptant de prendre pour postulat la capacité de l’homme à trouver une solution à tout – du monde dans lequel on souhaite vivre et que l’on veut transmettre à nos descendants. C’est une question légitime et responsable que je refuse de laisser au seul débat des gauchistes.
        A moins de dire « advienne que pourra, mes descendants hominidés trouveront forcément la solution »
        Pour ma part, il y a quelque fois ou j’en veux à la génération qui m’a précédé pour la France qu’elle a dévoyée et asservie.

        • Le pétrole en soi n’est pas une ressource économique. C’est le pétrole raffiné puis distribué qui est la ressource. Tant que l’extraction du pétrole fossile sera rentable, on continuera à l’exploiter. Mais dès que ce ne sera plus le cas, on produira le pétrole en usine en soumettant le cycle du carbone à nos besoins. La question de la finitude du stock fossile qui obsède tant les néo-malthusiens est un faux problème, révélateur d’un raisonnement limité, partiel et partial.

          Idem pour l’eau. L’eau sous terre n’est pas une ressource tant qu’elle est inaccessible. Vous pouvez mourir de soif avec de l’eau à quelques mètres sous vos pieds. C’est le fait de creuser le puits qui transforme l’eau en ressource utile. De même, l’eau naturellement potable accessible est rare et les lieux où elle se trouve sont les lieux de peuplement les plus anciens de l’humanité, peu nombreux. Désormais nous pouvons vivre à peu près partout sur Terre, notamment parce qu’on rend l’eau potable et qu’on la transforme et la transporte loin en quantités suffisantes pour faire vivre des populations importantes à grande distance des sources. Là encore, nous soumettons par notre travail un cycle naturel à nos besoins.

          Le travail humain permet de dépasser les limites des contraintes élémentaires de la nature. Bien sûr qu’on n’y échappe pas mais ce n’est pas le problème. Surtout, rien n’est plus naturel que l’intelligence humaine qui transforme son environnement pour le soumettre à ses besoins. Nous soumettons la nature dans les limites de nos capacités et en fonction de nos besoins, et c’est très bien ainsi. Ca ne veut pas dire que nous pouvons faire n’importe quoi. Mais ça ne veut pas dire non plus que nous devons renoncer au progrès en fonction de théories catastrophistes délirantes, comme le RCA imaginaire par exemple, alors que ces théories sont le fruit d’une vision partielle et partiale de la complexité de la réalité.

          L’intelligence et le travail sont les véritables ressources de l’humanité et ces ressources sont littéralement infinies. En reflet, la croissance est elle aussi infinie.

          Le monde que nous laisserons à nos enfants dépend essentiellement de notre capacité à soumettre toujours plus une nature passablement hostile. Si nous renonçons aujourd’hui au prétexte de quelques théories écologistes farfelues à la mode, nous contraindrons les prochaines générations à vivre dans un monde délabré et dangereux, revenu en partie à l’état anarchique naturel initial. Ce serait gâcher l’héritage de nos ancêtres qui se sont efforcés de nous sortir de la misère.

          L’écologisme idéologique malthusien est une double trahison, une trahison du passé comme une trahison du futur.

          • Je n’arrive pas à vous suivre dans cette vision dichotomique, cette séparation consubstantielle de l’homme et de son milieu qui rendrait celui-là indépendant de celui-ci.
            Un Homme qui flotterait dans l’éther, sans paternité, sans relation, sans dépendance. Omnipotent, éternel. Un Dieu en quelque sorte.

            Vous nous ramenez au XIX siècle où certains positivistes soutenaient de telles croyances.

            Même si l’homme utilise, transforme, destine la matière. Encore faut-il que celle-ci existe. Envoyez l’homme sur la lune et s’il y développe la vie et la civilisation, je vous donnerai raison.
            Non, la nature n’est pas a priori hostile. Mais pourquoi posez-vous la question de façon aussi binaire, tout ou rien ? Progrès ou retour à l’âge de pierre. Pourquoi discréditer a priori tout questionnement, y/c scientifique sur le sujet ? Vous devez savoir que des publications scientifiques de premier plan sortent régulièrement sur ces questions, notamment chez les Anglo-saxons.

            Non, l’avenir de l’homme ne dépend pas de la soumission de qui, ni de quoi que ce soit. Cet avenir ne dépend, bien au contraire, comme aussi probablement son bonheur, que de sa capacité à prendre conscience de sa place dans son environnement, de sa capacité à prendre conscience de son interdépendance avec celui-ci.
            Il doit dépasser une vision anthropocentrique archaïque.

            Le libéralisme ne pourra émerger que s’il est capable d’appréhender, sans idéologie, sans volonté de contraindre autrui à ses principes, sous l’étendard de la liberté et du libre arbitre, des dimensions collectives dont la nécessité est évidente, dès lors qu’il nous faut vivre ensemble et dans un milieu dont nous dépendons.
            Il y a évidemment et heureusement des choses dont les hommes doivent décider en commun pour vivre et prospérer ensemble grâce à leur ingéniosité et à la générosité de leur milieu.

            Je reviens de vacances en Bretagne où j’ai emprunté à pied le sentier côtier une semaine durant. Je me suis félicité de l’existence de la loi sur le littoral. Je me suis aussi félicité de la décision des habitants de Bréhat de vivre leur île sans voiture.
            Je combats tous les jours l’empire du Bien.

            • « Pourquoi discréditer a priori tout questionnement »

              Le principe du questionnement est louable. En revanche, les conclusions erronées fondées sur une analyse partielle (incompétence ou falsification de la réalité) et partiale (idéologisée et mensongère) du sujet et aboutissant à des contraintes politiciennes insanes (les taxes pour financer des moulins à vent par exemple).

              Les « choses dont les hommes doivent décider en commun pour vivre et prospérer ensemble » sont à prendre en compte pour leur part notoirement limitée. Le débat porte évidemment sur le degré d’envahissement du collectif dans le champ qui relève normalement de l’individu, provoquant la succession de catastrophes bien connues du collectivisme.

              L’invention du RCA imaginaire pour contraindre les individus à un excès de collectif, poursuite de l’illusion socialiste des siècles passés, n’est pas le moindre des mensonges de notre époque.

              • Ne jetez pas le bébé avec l’eau du bain.
                Quant à la nature des études et conclusions publiées, vous faites une généralisation qui, permettez-moi de vous le dire, est hasardeuse.
                Quoi qu’il en soit, je vous remercie pour ce débat dont j’ai apprécié le recul.
                Vous aurez eu l’occasion de converser un peu avec une personne acquise aux thèses de la liberté et, pour autant, soucieuse de son prochain et de son environnement (ce qui me semble aller de pair). Eh oui, cela existe.

                Bonne soirée. Cordialement,

                • Une ressource c’est quelque chose qui est inventé/découvert, de par nature elles sont infinies, ce sont les matières premières qui sont finies d’un point vu absolu.
                  encore qu’on puisse aussi mettre à mal cette partie la, parce-que quand on brûle des energies fossiles, nous ne faisons que les transformer, les atomes de carbone et d’hydrogènes sont encore la et utilisables pour des générations futures)

    • « sensibilisation aux questions environnementales »
      Chacun est responsable, et personne ne détruit son environnement par fantaisie malfaisante, c’est du moins ce que j’ai pu observer à peu près partout. Vouloir sensibiliser les gens me semble une manière élégante (?) de dire vouloir leur imposer des choix qu’ils auraient eu de bonnes raisons de ne pas faire eux-mêmes s’ils avaient écouté leur cerveau et leur sens commun. Si vous tenez à influencer les gens, développez leur cerveau et leur sens commun, et laissez-les s’en servir seuls ensuite. Ne faites pas comme si vous aviez un excès de ces qualités et eux une pénurie.

      • Nous ne devons pas vivre dans le même monde.

        Celui que je vois tous les jours, il suinte la bêtise, l’ignorance et l’irresponsabilité (fruit de 40 ans de socialisme). Que ce soit en matière politique, économique, sociétal ou environnemental.
        Je sais gré à mes parents et grands-parents de m’avoir transmis le respect des autres et de tout ce qui est en commun avec les autres (et ceux qui suivront). J’essaie, difficilement, de transmettre à mon tour de telles valeurs. Et aussi, le plaisir indicible de la communion avec les éléments, la nature.
        Eh oui, je suis pourtant de droite. Libéral quoi. Mais les hommes libéraux n’ont-ils d’autres questionnements sur le monde que le chiffre d’affaires, le ROE et l’ebitda?
        J’ai plaisir à lire H16. C’est une personne intelligente. Je ne comprends pas son dénigrement systématique de tout questionnement un peu transcendant sur notre relation avec le monde dans lequel nous vivons.

        • Je ne vois pas en quoi nous ne vivrions pas dans le même monde. Le libéralisme, pour moi, c’est que l’individu est en charge de sa relation avec le monde, et dans une immense majorité des cas, il dispose des facultés qui lui permettent de s’en dépatouiller. Il est très rarement bête, ignorant ou irresponsable, mais il est paresseux, et quand l’état (ou l’idéologie écologiste) lui propose d’être intelligent, savant, ou responsable à sa place, il se laisse trop facilement faire. Pourtant, quand le loup invite la biche à dîner, doit-elle se réjouir de ne pas avoir à faire elle-même la cuisine et ne ferait-elle pas mieux de s’inquiéter de la nature du rôti qui sera au menu ?

          • Un individu qui serait né en disposant a priori des facultés qui lui permettent de se dépatouiller de sa relation avec le monde. Ah oui ! Faites-le-moi connaitre SVP.
            Non, la civilisation est passée par là. Une lente accumulation de savoirs et de connaissances. Une lente accumulation de règles de comportement, d’usages et de principes. Une lente régulation des libertés entre elles.
            Malheureusement, il arrive que le socialisme passe par là. Dans ce cas, c’est retour à la case départ. Comme nous le vivons actuellement.
            Question, que faites-vous avec vos enfants ? Ne cherchez-vous pas à leur transmettre, sans orienter, dans le respect de leur personne et de leur libre arbitre, quelques valeurs et principes, y/c en matière environnementale ?

            • Prioritairement par l’exemplarité (pour poursuivre ma dernière phrase)

            • Ben oui, soit l’individu apprend à réfléchir, agir, et choisir ses amis, soit l’état le fait à sa place. Qu’il soit sain qu’il puisse le faire de son propre chef n’empêche pas son entourage de le lui enseigner quand il est enfant. Que personne n’ait la science infuse ne doit pas conduire à penser qu’une collectivité de personnes disposant de l’autorité étatique en disposerait. Et nous n’avons ni à nous priver par esprit de pénitence, ni à gaspiller ce dont nous disposons.

  • au coeur de ces idioties il y a aussi la démonstration éclatante de l’importance vitale des energies fossiles…

    en caricaturant il y a le postulat de considérer que on ne devrait pas émettre de CO2 donc on compte ça en négatif ..
    eh ben oui..dans ces cas là on est dans les déjections…

    grâce au petrole c’est comme si k on avait 2 planètes…

  • On consomme ce que l’on produit la terre n’est qu’un substrat ,meme le poisson est d’elevage…et ca fait des siecles que c’est comme ca…mais pourquoi donner de l’audience a ces gugus ecolos ,y a plus de peoples a espionner ?

  • Pourquoi se priverait-on de gonfler la dette ? Les taux d’intérêt sont négatifs, là aussi…

  • je suggère à R Le Honzec de modifier le logo : tourner le pied et mettre des ondes de mouvement de manière à l’envoyer au cul de l’ONG

  • Je suis allé au jardin ce matin. J’ai ramassé les œufs, les haricots verts, des tomates, des concombres, et j’ai tué un lapin. Je n’ai pas le sentiment que cette récolte soit due à l’an prochain… mon bois pour l’hiver, coupé l’an dernier, est toujours là…

  • Allez on en remet une couche sur la fin du monde avec toujours d’ailleurs les mêmes journalistes spécialisés dans l’apocalypse écologique. Par contre, qui sont les gens derrière cette ONG Global Footprint Network? Quelles sont leurs sources de financement?
    Pour avoir jadis travaillé sur une de ces ONG qui militait alors activement pour la destruction des armes nucléaires occidentales (cette ONG bien connue existe toujours et s’est reconvertie dans la « protection de la nature ») et avoir découvert que le financement était entièrement d’origine soviétique, j’avoue mon scepticisme sur le désinteressement de ces « organisations non gouvernementales », en fait toujours financées et téléguidées par certains gouvernements. Il est très curieux que la presse dans son immense majorité retransmet les conclusions des ONG sans jamais analyser qui ils sont, d’où ils viennent, qui les finance….

    • Al Gore dirige un fond d’investissement spécialisé dans les énergies renouvelables, et ceux qui ont le plus d’intérêt sont les Chinois qui fabriquent les panneaux solaires et les éoliennes!

  • Encore un magnifique « pipeau écologique », mais les mots ne sont pas innocents: on nous parle de dette écologique pour l’opposer à la dette financière qui devient monstrueuse mais qu’on devrait encore amplifier et multiplier pour financer des projets loufoques (mais probablement très lucratifs pour certains).encore une fois, il faut impérativement nous flanquer une telle frousse que nous en perdrons notre sens commun et notre capacité de réflexion.
    Un journaliste dont je ne me rappelle plus le nom disait: un dogme (et on est en plein dedans), c’est quelqu’un d’autre qui pense à votre place…

  • ça me rappelle les curés de mon enfance: « faites pénitence, sinon vous irez tous en enfer ».
    Finalement, c’est toujours la même chanson

  • GFT comme WWF d’ailleurs, sont des organismes qui diffusent des informations plus ou moins chiffrées, dont on ne connaît pas l’origine exacte. On aimerai avoir les détails plus précis sur la méthodologie de recherche.
    WWF à l’instar du GIEC ne fait pas dans la rigueur scientifique
    De la théorie à l’état pur, pour encore aller plus en avant dans l’affolement des foules, et faire accepter des contraintes et des taxes, en culpabilisant le citoyen. Ces gens-là me rappellent les inquisiteurs du moyen âge au service du catholicisme.

    • C’est exactement ce qu’ils sont. Morano a proposé de ficher les sceptiques (comme le furent les juifs avant guerre) et on remarque qu’ils sont bannis des universités… bientôt traduit devant les tribunaux?

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