Le gouvernement vient d’annoncer la création prochaine d’une taxe carbone. Pourquoi ? Six questions pour mieux comprendre.
Par Nick de Cusa.
Philippe Martin, le ministre de l’Écologie, a annoncé jeudi la création d’une « contribution climat énergie », plus connue sous le nom de « taxe carbone ». Celle-ci aurait pour fonction d’encourager particuliers et entreprises à des comportements plus « verts » en taxant les consommations d’énergies dites polluantes, et, ce faisant, de prévenir le réchauffement climatique.
La « contribution climat énergie », qu’est-ce exactement ?
L’empressement désespéré des officiels pour expliquer qu’il ne s’agit pas d’une taxe carbone est révélateur. Pourquoi, dès lors, jouer sur les mots ? L’approche en douceur pour faire passer la pilule n’a rien de nouveau, la Banque Mondiale avait déjà, il y a quelques années, publié ses recommandations aux États sur la façon de faire passer une taxation écologique avec le moins de résistance possible, dans ce document :
En amorçant ou en encadrant le comportement personnel comme faisant partie d’un objectif social plus large, les secteurs public et privé peuvent inciter les gens à se comporter de façon favorable à l’environnement, en particulier quand ils agissent en groupes […] En présentant la protection de l’environnement comme un « projet social », les politiciens peuvent faire penser les individus en termes de buts sociaux et collectifs. […] Il est plus probable que les gens acceptent des augmentations de prix d’énergie s’ils les perçoivent comme nécessaires pour atteindre des buts sociaux positifs et ambitieux, que s’ils les perçoivent comme des décisions d’État allant du haut vers le bas […] Cette mise en forme rend plus probable que le public va accepter les augmentations de prix de l’électricité qui en résultent […]
Les recommandations de la Banque mondiale semblent donc consciencieusement mises en pratique.
Que constate-t-on vraiment sur le climat du monde ?
La question de savoir ce qui se produit dans le climat de la planète est devenue hautement chargée émotivement. Pourtant, au départ, il y a juste des faits, et chacun est invité, avant de céder à ses émotions, à les observer, les recouper, les vérifier, et s’informer lui-même.
Quant aux faits, donc, quels sont-ils ? Les températures actuelles sont-elles sans précédent ? Voici quelques reconstructions de températures passées, de sources scientifiques, universitaires, revues par les pairs :
http://wattsupwiththat.com/reference-pages/global-weather-climate/paleoclimate/
En ce qui concerne la période récente pour laquelle nous disposons de mesures par des thermomètres, on constate une augmentation de 0,7°C de 1880 à environ 2000. Quel degré de certitude ce chiffre revêt-il ? Sur cette question, deux commentaires s’imposent :
- premièrement, les séries de mesures ininterrompues sont rares, et se concentrent en Amérique du Nord et quelques points d’Europe, c’est-à-dire une toute petite partie des terres émergées, qui elles-mêmes ne représentent qu’un quart de la surface totale du globe ;
- deuxièmement, rappelons que les séries de données rendues publiques ne sont pas des données brutes mais des données corrigées. Le sens, l’ampleur et la justification de certaines corrections peuvent raisonnablement être considérés comme posant question.
En résumé, on sait que le réchauffement est une rélaité, et qu’il doit être de l’ordre d’1/2°C en 130 ans ; on n’en sait pas beaucoup plus.
Ni la température actuelle, ni le rythme de changement, ne sont, de façon évidente, inhabituels, ni sans précédent.
Quel est le rôle du CO2 ?
Reste évidemment la question de la substance visée par la taxe, CO2. Que sait-on de lui ? Entre autre, qu’il représente 0,04 % de notre atmosphère, que les émissions humaines de ce gaz représentent 5 % des émissions naturelles. Et que sa teneur, dans l’histoire de la Terre, a toujours suivi de 800 ans les augmentations de température du climat de la planète. De plus n’oublions pas que même Al Gore, qu’on peut sans polémiquer classer dans le camp des alarmistes en matière de changement climatique, a reconnu dans le magazine Newsweek que le rôle du CO2 dans les changements de température doit être de l’ordre de 40 %.
Les faits sont là : des changements pouvant être considérés comme normaux ou habituels, et un rôle au plus mineur du CO2, dont la part humaine est minime, dans ces changements.
Quel risque cette taxe combat-elle ?
Si tant est que l’Homme contribue significativement dans le modeste réchauffement en cours, qu’est-ce qui nous dit qu’il y a danger, et donc, qu’il faut taxer les émissions pour le combattre ? Factuellement, pas grand chose. On entend souvent qu’il y a changement climatique et qu’il entraine une augmentation des phénomènes météorologiques extrêmes. Mais en fait rien ne le démontre, au point que même le plus prestigieux des journaux scientifiques, Nature, l’a écrit.
La montée des océans est de l’ordre de 30 cm par siècle, laissant tout le temps nécessaire pour s’adapter. Contrairement à ce qu’on a si souvent lu, la banquise ne disparaît pas, et les glaciers non plus. Les ouragans et typhons n’augmentent pas.
Pourquoi le débat n’a-t-il pas lieu ?
L’état actuel des connaissances et du débat sur le climat de la planète a récemment été admirablement résumé par le livre Climat, 15 vérités qui dérangent. Tristement, l’accueil médiatique qui a été réservé à un si rigoureux et si exhaustif effort, et à un ouvrage si complet et fouillé, s’est apparenté à une chape de plomb. C’est bien dommage car sans débat, alors, quelle démocratie, réellement ?
Les institutions doivent assumer leur rôle et favoriser l’émergence d’un vrai débat sur les données, les mesures, les chiffres, bref, ce qui est réellement constatable et constaté.
Quel en sera l’effet sur les gens ?
À l’université d’été du Front de Gauche, Jean-Luc Mélenchon a condamné la taxe carbone, en expliquant qu’elle frapperait des ménages modestes dans leurs dépenses nécessaires. On ne saurait mieux dire.
Rappelons que l’augmentation déjà prévue, avant même cette nouvelle taxe carbone, des surcharges de type fiscal pesant sur les factures d’énergie est, d’ores et déjà, punitive, et que les carburants sont déjà taxés à 150 %.
Conclusion
Dans l’état actuel des choses, de la pression fiscale et de l’évolution du pouvoir d’achat, cette nouvelle taxe est incompréhensible. En termes de confiscation des revenus, on ne peut jamais deviner quelle sera la goutte d’eau qui fera déborder le vase de la colère. Mais une telle taxe, sur un bien de première nécessité, et frappant préférentiellement les pauvres, alors qu’on perçoit mal ce qui la justifie, semble une bonne candidate.
« » » »Voici quelques reconstructions de températures passées, de sources scientifiques, universitaires, revues par les pairs : » » » »
Il ne faut pas pousser, Watts n’a aucun diplôme en climatologie c’est juste un présentateur télé et quand on voit la courbe de Lamb on se rend vite compte que les libéraux n’hésitent pas à prendre quelques libertés avec la science (la vraie).
Voir sources graphiques.
Tiens, revoilà Robert sortant sa critique récurrente d’absence de diplôme en climatologie. Et Pachauri, le boss du GIEC, il est diplômé en quoi, lui ? Vous le savez bien : ingénieur, spécialisé en gestion des déplacements ferroviaires. Mais lui, il travaille pour la Cause, alors c’est bon.
C’est quoi un climatologue??
Une personne qui récolte le fruit des recherches des météorologues, des physiciens,des astrophysiciens, des historiens, des géographes, des paléontologues, des épistémologistes, des chimistes, des médecins, des biochimistes, des biologistes, etc.
Il passe tout ça au mixer et donne cette bouillie à des modélisateurs informatique.
Point barre.
Tient ! Robert s’ennuie; c’est vrai que chez Huet c’est le calme plat ; la censure qui y règne et le hiatus climatique en sont les explications ; alors Robert vient chercher les bâtons pour se battre sur CONTREPOINTS; c’est vrai que la psychologie de Robert est compliquée , celle de Huet aussi d’ailleurs : censurer des scientifiques honnêtes, respectueux des autres gens, et qui ne demandent qu’à dialoguer et nourrir son forum c’est de l’autodestruction; laisser parler Robert qui insulte les gens, qui n’a aucune base scientifique et dont l’honnêteté intellectuelle est plus que critiquable (mais parler d’intellect chez Robert est un non sens , c’est vrai), montre bien que Huet lui est parfaitement comparable ; sa culture scientifique n’est qu’un vernis qui se dissout et s’étale à chaque nouvelle publication de la science spectacle , qu’elle concerne le climat , l’astronomie ou la biodiversité où la manipulation génétique
Pauvre Robert et pauvre Sylvestre
On ne va plus avoir de pouvoir d’achat, ça fait peur!!!
Désolé de trouver une telle faute dans Contrepoints que j’adore et qui est quasiment le seul média à parler correctement du Climat et des mensonges « verts » qui l’accompagnent mais le CO2 dans l’atmosphère n’est pas de 0,4% mais de 0,04% soit DIX FOIS moins.
Ce qui en fait un gaz sous forme de traces seulement.
Mais l’Homme n’intervient que pour environ 3% à 4% (selon les auteurs) de ce 0,04%, soit donc pour 0,0012%. Donc des « peanuts » de ces traces dans l’atmosphère.
Source :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Dioxyde_de_carbone. « L’air contient aujourd’hui environ 0,04 % de CO2 »
Toxicité: « À 4 % (de CO2 dans l’atmosphère, NDLR), la fréquence respiratoire s’accélère. À 10 %, peuvent apparaître des troubles visuels, des tremblements et des sueurs… »
Donc il faut 100 à 200 fois plus de CO2 dans l’atmosphère pour que l’Homme commence à ressentir des troubles …
Ces chiffres montrent la stupidité de croire que le CO2 peut avoir un effet sur le climat de la terre.
D’autant que la terre ne se réchauffe plus depuis une vingtaine d’années (Cf. article dans Contrepoints) et refroidit même depuis 2012 et aucun de nos savants du GIEC ne sont d’accord pour expliquer pourquoi…*
On peut alors mesurer l’étendue de cette arnaque au CO2.
*http://www.thegwpf.org/global-warming-paused-scientists-admit/
« Pourquoi le réchauffement climatique fait-il une pause ? Les scientifiques admettent qu’ils ne savent pas pourquoi »
Merci de votre vigilance. Corrigé.
OPINION
May 8, 2013, 6:37 p.m. ET
Harrison H. Schmitt and William Happer: In Defense of Carbon Dioxide
The demonized chemical compound is a boon to plant life and has little correlation with global temperature.
By HARRISON H. SCHMITT AND WILLIAM HAPPER
Of all of the world’s chemical compounds, none has a worse reputation than carbon dioxide. Thanks to the single-minded demonization of this natural and essential atmospheric gas by advocates of government control of energy production, the conventional wisdom about carbon dioxide is that it is a dangerous pollutant. That’s simply not the case. Contrary to what some would have us believe, increased carbon dioxide in the atmosphere will benefit the increasing population on the planet by increasing agricultural productivity.
The cessation of observed global warming for the past decade or so has shown how exaggerated NASA’s and most other computer predictions of human-caused warming have been—and how little correlation warming has with concentrations of atmospheric carbon dioxide. As many scientists have pointed out, variations in global temperature correlate much better with solar activity and with complicated cycles of the oceans and atmosphere. There isn’t the slightest evidence that more carbon dioxide has caused more extreme weather.
The current levels of carbon dioxide in the earth’s atmosphere, approaching 400 parts per million, are low by the standards of geological and plant evolutionary history. Levels were 3,000 ppm, or more, until the Paleogene period (beginning about 65 million years ago). For most plants, and for the animals and humans that use them, more carbon dioxide, far from being a « pollutant » in need of reduction, would be a benefit. This is already widely recognized by operators of commercial greenhouses, who artificially increase the carbon dioxide levels to 1,000 ppm or more to improve the growth and quality of their plants.
Using energy from sunlight—together with the catalytic action of an ancient enzyme called rubisco, the most abundant protein on earth—plants convert carbon dioxide from the air into carbohydrates and other useful molecules. Rubisco catalyzes the attachment of a carbon-dioxide molecule to another five-carbon molecule to make two three-carbon molecules, which are subsequently converted into carbohydrates. (Since the useful product from the carbon dioxide capture consists of three-carbon molecules, plants that use this simple process are called C3 plants.) C3 plants, such as wheat, rice, soybeans, cotton and many forage crops, evolved when there was much more carbon dioxide in the atmosphere than today. So these agricultural staples are actually undernourished in carbon dioxide relative to their original design. At the current low levels of atmospheric carbon dioxide, rubisco in C3 plants can be fooled into substituting oxygen molecules for carbon-dioxide molecules. But this substitution reduces the efficiency of photosynthesis, especially at high temperatures. To get around the problem, a small number of plants have evolved a way to enrich the carbon-dioxide concentration around the rubisco enzyme, and to suppress the oxygen concentration. Called C4 plants because they utilize a molecule with four carbons, plants that use this evolutionary trick include sugar cane, corn and other tropical plants.
Although C4 plants evolved to cope with low levels of carbon dioxide, the workaround comes at a price, since it takes additional chemical energy. With high levels of carbon dioxide in the atmosphere, C4 plants are not as productive as C3 plants, which do not have the overhead costs of the carbon-dioxide enrichment system.
That’s hardly all that goes into making the case for the benefits of carbon dioxide. Right now, at our current low levels of carbon dioxide, plants are paying a heavy price in water usage. Whether plants are C3 or C4, the way they get carbon dioxide from the air is the same: The plant leaves have little holes, or stomata, through which carbon dioxide molecules can diffuse into the moist interior for use in the plant’s photosynthetic cycles.
The density of water molecules within the leaf is typically 60 times greater than the density of carbon dioxide in the air, and the diffusion rate of the water molecule is greater than that of the carbon-dioxide molecule.
So depending on the relative humidity and temperature, 100 or more water molecules diffuse out of the leaf for every molecule of carbon dioxide that diffuses in. And not every carbon-dioxide molecule that diffuses into a leaf gets incorporated into a carbohydrate. As a result, plants require many hundreds of grams of water to produce one gram of plant biomass, largely carbohydrate.
Driven by the need to conserve water, plants produce fewer stomata openings in their leaves when there is more carbon dioxide in the air. This decreases the amount of water that the plant is forced to transpire and allows the plant to withstand dry conditions better.
Crop yields in recent dry years were less affected by drought than crops of the dust-bowl droughts of the 1930s, when there was less carbon dioxide. Nowadays, in an age of rising population and scarcities of food and water in some regions, it’s a wonder that humanitarians aren’t clamoring for more atmospheric carbon dioxide. Instead, some are denouncing it.
We know that carbon dioxide has been a much larger fraction of the earth’s atmosphere than it is today, and the geological record shows that life flourished on land and in the oceans during those times. The incredible list of supposed horrors that increasing carbon dioxide will bring the world is pure belief disguised as science.
Mr. Schmitt, an adjunct professor of engineering at the University of Wisconsin-Madison, was an Apollo 17 astronaut and a former U.S. senator from New Mexico. Mr. Happer is a professor of physics at Princeton University and a former director of the office of energy research at the U.S. Department of Energy.
Réchauffement extrême de la planète moins rapide que prévu
Un réchauffement extrême de la planète est moins probable ces prochaines décennies, après le ralentissement de la hausse du mercure depuis le début de ce siècle, selon une équipe d’experts de l’Université d’Oxford. Mais une hausse supérieure à 2 degrés Celsius menace toujours.
Le phénomène du réchauffement climatique se poursuit, soulignent-ils, et les gouvernements devront prendre des mesures énergiques s’ils veulent limiter à moins de 2 degrés la hausse des températures par rapport à l’ère pré-industrielle.
« Les taux de réchauffement les plus extrêmes selon les simulations réalisées sur cinquante ou cent ans semblent moins probables », précisent les chercheurs d’Oxford dans la revue « Nature Geoscience ».
Ralentissement
Après de fortes hausses dans les années 1980 et 1990, le rythme du réchauffement mondial s’est en effet ralenti, même si les dix années les plus chaudes depuis le milieu du XIXe siècle ont toutes été constatées depuis 1998. Depuis la révolution industrielle, les températures ont augmenté d’environ 0,8°C.
Les scientifiques s’interrogent sur les raisons de ce ralentissement. Les émissions de gaz à effet de serre n’ont en effet cessé de croître ces dernières années, en raison notamment de l’essor industriel de la Chine.
En étudiant l’évolution des températures, les experts estiment qu’un doublement des concentrations de gaz carbonique dans l’atmosphère par rapport à l’ère pré-industrielle – peut-être dans le milieu de ce siècle si on se fonde sur les tendances actuelles – provoquerait une hausse des températures entre 0,9 et 2 degrés Celsius.
Estimations inférieures à celles du Giec
Ces estimations sont inférieures à celles présentées en 2007 par le Giec (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), qui tablait dans son quatrième rapport d’évaluation sur une hausse de 1 à 3 degrés Celsius.
Pour la première fois depuis le début de relevés réguliers en 1958, la teneur en dioxyde de carbone de l’atmosphère a atteint ce mois-ci la barre des 400 parties par million (ppm) dans une station d’observation de Hawaï qui fait référence. Quatre cents parties par million signifie qu’il y a 400 molécules de dioxyde de carbone pour chaque million de molécules dans l’air.
(ats / 20.05.2013 21h57)
Ils mettent de l’eau dans leur vin parce que les observations contredisent leurs modèles prédictifs. À un moment ou un autre, ils devront admettre que leurs modèles sont non fiables.
En regardant ce graphique, quand on me dit que « 97% des scientifiques » croient en la validité des courbes colorées de ce graphique, je ne peux que me poser des questions concernant ces fameux « 97% de scientifiques »
le problème avec les modèle mathématique, c’est qu’ils sont trés » tendance » depuis 20 ans, un peu comme le radium au début du 20ième siècle. un scientifique qui ne parle pas de modèlisation est mal dans ses basquettes.
dans le domaine de l’agroforesterie, par exemple, les quelques chercheurs qui travaillent sur le sujet ce sont dépèchés de créer un modèle qui doit prévoir les rendement future. or leur station d’expèrimentation est tres mal tenu, au lieu de gaspiller des fonds pour inventer des bidules qui finalement ne prevoiront rien du tout, ils aurait du déja acheter des herbicides pour que les arbres qu’ils expérimentent ne disparaissent pas étouffés sous les ronces. mais bien entendu, les écologistes qui ont le pouvoir de décision sur la station le leurs interdisent. quand à la binette, ce n’est pas trés populaire dans la france du RSA.
Le bouquin « climat 15 vérités qui dérangent » est trop cher pour un bouquin qui critique l’establishment et de plus devrait être disponible en livre électronique !
A tout hasard, demandez leur. https://www.facebook.com/15VeritesQuiDerangent
Peut-il être utile de dire que 400ppm (proportion de CO2) d’un terrain de foot font environ 4 centimètres ? Cela aiderait à comprendre à quel point le CO2 est un gaz de trace. Si un entraineur expliquait qu’il a perdu le match parce que 400ppm du terrain étaient défectueux, cela ferait rire tout le monde. Surtout s’il apportait comme « preuve » le fait qu’il l’avait gagné l’an dernier alors que seuls 300ppm étaient mauvais, et qu’en définitive ce sont les 100 ppm – 1 centimètre – qui ont été la cause de la défaite
Merci en tout cas à l’auteur pour la clarté de sa synthèse.
Quand à Monsieur Robert, le troll professionnel de service, il n’est même pas capable de voir que les graphiques que présentent Watts ne sont pas de lui, mais sont des résultats d’études publiées par d’autres. Vade retro troll Robert.
@PapyJako
Et votre calcul marche aussi avec un terrain de rugby…
C’est une c… sans nom!Mais si au moins on transférait les charges sociales sur cette « contribution » au lieux d’asfixier les travailleurs et les entrepreneurs …
Donc, si je comprends bien l’étonnante logique de ce gouvernement, avec toujours plus de taxes les citoyens auront davantage d’argent pour financer l’isolation de leur maison ou de leur appartement? Et ceux qui sont locataires ? Et ceux qui n’ont pas les moyens ? En sus, d’un côté on nous taxe abusivement avec la CSPE pour financer des EnR censées augmenter la production d’énergie électrique et avec la TIPP, et de l’autre côté, on nous taxe tout aussi abusivement avec l’espoir chimérique que cela nous incitera à réduire notre consommation d’électricité… Donc, on nous taxe pour une chose et pour son contraire… Navrant exemple de delirium politicum et de delirium carbonum….Et nos gouvernants nous prennent pour des débiles profonds, incapables de s’adapter aux augmentations de leurs factures d’énergie….
Planification centralisée contre marché…
Il serait temps que nos politiques se rendent compte que Tglobale est stable depuis 1997, que les projections des modèles numériques divergent de plus en plus de la réalité des observations, ce qui réfute, avec d’autres observations et des publications de physiciens, l’hypothèse non prouvée du rôle moteur du CO2 sur T. En outre, 2 publications confirment que l’augmentation du CO2 a pour causes essentielles des processus naturels, et non pas nos émissions anthropiques.
Il serait plus que temps que cessent cette absurde fiscalité carbone et ce développement inconsidéré des EnR, aussi onéreuses qu’inutiles, et que nos gouvernants, tout comme la commission de l’UE, retrouvent leur bon sens, égaré depuis belle lurette dans le delirium carbonum…
@jipebe29
Mais, mon cher ami, vous ignorez dans votre raisonnement une hypothèse fondamentale : nous n’avons pas à faire à des « scientifiques » à la mode ancienne, mais à des malades de « delirium carbonum », maladie à laquelle vous avez vous-même consacré quelques travaux résumés ici (http://bit.ly/Wab9zI ).
On ne guérit pas un malade en lui démontrant qu’il a tort de l’être.
Dans vos travaux suscités, vous ne faites qu’évoquer la problématique du traitement de la maladie, et le problème est donc encore ouvert.
Permettez-moi une modeste contribution : je crois pour ma part que la maldie, une fois inoculée, est incurable. Il faut donc procéder par amputation des organes profondément atteints.
Le première phase du traitement devrait être la suppression du GIEC, qui a largement démontré son inutilité. Simultanément, l’éradication de l’UNEP aurait l’avantage de couper les tuyaux par lesquels se déverse la perfusion massive de crédits internationaux qui alimentent toutes ces ONG parasitaires, principaux vecteurs du « delirium carbonum » à travers le monde.
@PapyJako
1) Non seulement le GIEC est inutile, mais il a un terrifant pouvoir de nuisance…
2) L’Unep est infesté par les khmers verts, donc son éradication est la seule solution
3) Entièrement d’accord avec votre diagnostic pour éradiquer le redoutable virus delirium carbonum, cher ami!
En parlant de « delirium carbonum », j’ai vu un beau cas : une personne, qui doit en être gravement atteinte, a fondé une société coopérative (150 EUR la part) pour ériger une (1) éolienne. Pour trouver des fonds, il organise un « festival coopératif de la pizza » (sic). Quand on lui fait remarquer que, compte tenu des frais de démantèlement qu’il doit provisionner, son unique éolienne ne sera jamais rentable, il répond que la rentabilité n’est pas le but, mais qu’il faut sauver notre « terre-mère ». Donc, pour lui, la destruction de valeur n’est, somme toute, qu’un tribut à payer à la « terre-mère » pour l’apaiser. Un peu comme, en d’autres temps ou d’autres lieux, des sacrifices de troupeau, en pure perte, pour apaiser les dieux.
« Jean-Luc Mélenchon a condamné la taxe carbone, en expliquant qu’elle frapperait des gens modestes dans leurs dépenses nécessaires. On ne saurait mieux dire. »
L’État décide qui paie les taxes, mais pas qui en est affecté.
Mélenchon ne sait pas que l’économie est faite d’échanges, que toute taxe affecte principalement le plus sensible des deux côtés de l’échange, et retombe donc inévitablement sur les pauvres.
Empêcher un riche de dépenser son argent, c’est priver un pauvre de ce revenu; l’empêcher d’épargner, c’est diminuer l’investissement, la productivité, l’emploi, donc les revenus des pauvres.
Ou peut-être le sait-il, et calcule-t-il qu’il peut obtenir le pouvoir en augmentant leur nombre tout en prétendant qu’il les défend ?
Eh oui pour pouvoir taxer les pauvres la tete haute, il faut a ce gouvernement des arguments de très haute tenue. La taxe carbone n’est elle pas destinée a nous éviter de rotir en enfer, et offrir a nos enfants un paradis auquel on aura rendu sa virginité? L’argument a de la gueule, ca va taxer sévère.
http://www.manicore.com/documentation/serre/taxe_C.html
jancovici detected.
=> poubelle.
@Nick de Cusa qui a écrit
Entre autre, qu’il représente 0,04% de notre atmosphère, que les émissions humaines de ce gaz représentent 5% des émissions naturelles
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Il ne faut pas confondre émissions et échanges ; admettons que les émissions humaines représentent 5% des échanges naturels ; ce sont ces 5% qui déséquilibrent le bilan du CO2 atmosphérique
Restons prudents, nous sommes un 1er Avril.