Les écologistes sont tombés bien bas. Après avoir cru à des mensonges et nié les faits, ils dissimulent la vérité et veulent plus que jamais forcer les autres à adhérer à leur religion. Quitte à nuire à l’environnement.
Par Baptiste Créteur.
Beaucoup de Français affirment régulièrement leur refus de se voir dicter leur conduite par les préceptes d’une religion quelconque ; plus particulièrement, ils refusent qu’on rogne sur leur liberté d’expression ou réduise la variété de leur régime alimentaire.
Pourtant, il existe en France et ailleurs dans le monde une religion qui a des millions d’adeptes et impose à tous de changer leurs comportements ; cela va jusqu’à des impôts religieux que chacun doit payer sur sa consommation, son logement, ses transports. Elle est enseignée dans les salles de classe, considérée comme indéniable par toute personne sensée, portée comme cause principale ou secondaire par une large majorité de la classe politique et abondamment propagée dans les médias. Cette religion, c’est l’environnementalisme.
Les faits sont là. La planète ne se réchauffe plus, alors que les prétendues causes anthropiques du réchauffement sont toujours là et se font de plus en plus intenses. La banquise ne fond plus, elle grandit, et les ours polaires qu’on voyait régulièrement dériver sur de solitaires glaçons dans des reportages ô combien similaires se portent bien. J’ai moi-même eu longtemps du mal à y croire, et les dénonciateurs du complot réchauffiste ont longtemps été pour moi une bande de rednecks capables de la pire mauvaise foi ; mais les faits sont là. Même l’ONU l’admet, malgré elle, tout en mettant en garde : il ne faudrait pas donner d’arguments à ceux qui affirment (à raison) que le réchauffement climatique anthropique est, a minima, sujet à caution.
Je ne voudrais pas qu’on se méprenne sur mes intentions ou mon discours. Je ne dis pas que, sorti de la caverne, je peux maintenant illuminer de ma vérité les sceptiques du scepticisme ; mais le consensus autour du climat se brise, ses plus engagés partisans sont poursuivis pour mensonge et manipulation, et tout cela commence réellement à ressembler à une vaste supercherie, et j’invite indifférents, sceptiques et sceptiques des sceptiques à s’intéresser aux faits.
Je ne dis pas non plus que les préoccupations environnementales sont du plus stupide. Une fois de plus, il faut s’intéresser aux faits ; certaines pollutions sont réellement dangereuses ou désagréables, certains produits sont réellement toxiques, certains aliments sont réellement à éviter. Je ne suis pas pour un air irrespirable, un sol radioactif et une eau contaminée ; une fois de plus, les faits comptent.
Mais comptent aussi les réponses : je ne suis pas prêt à tout sacrifier pour revenir à un âge où l’homme, n’ayant pas découvert le feu, se contentait de chasse et de cueillette mais vivait plus en accord avec le mythe environnementaliste d’une planète à l’équilibre. La planète n’est pas et ne sera jamais à l’équilibre ; les températures montent et descendent, les continents se déplacent, des espèces disparaissent. Cela ne veut pas dire, une fois de plus, qu’on peut consciencieusement éliminer toutes les espèces, ou qu’il ne faut aucunement prendre en compte les conséquences de l’action humaine sur les écosystèmes.
Mais certains débats sont ridicules, comme de savoir s’il faut sauver une espèce de manchot menacée ou l’espèce de phoque qui est son plus grand prédateur, elle aussi menacée. Et l’homme fait partie des écosystèmes, qu’on le veuille ou non. Il est maître et possesseur de la nature, à lui d’en faire bon usage.
Fort heureusement, ce bon usage est loin d’être incompatible avec le respect de l’environnement. Le droit de propriété assure que chacun veillera à la pérennité des écosystèmes, à l’utilisation durable des ressources naturelles. On fait fructifier ce qui nous appartient, on ne le détruit pas ; ce qui appartient à tout le monde ou à personne est rarement aussi bien entretenu que le reste.
Ce n’est pas en tentant d’interférer avec les principes de l’action humaine qu’on résout les conséquences qu’elle peut avoir, mais en laissant les individus ajuster leurs comportements. Le développement de la production au fil du temps a d’abord détruit l’environnement ; mais on ne déverse plus, en Europe, de produits polluants dans les fleuves pour teindre les tissus. Au fur et à mesure de leur développement, les hommes découvrent des alternatives plus efficientes pour produire la même chose ; considérer l’environnement comme une ressource ferait bondir les écologistes, mais c’est la meilleure réponse à leurs préoccupations.
Malheureusement, les environnementalistes n’abordent pas la réalité avec raison, mais avec émotion. Leur religion est trop forte, il n’est pas permis d’en douter ; et c’est ainsi qu’on les trouve prêts à prendre des mesures liberticides, à adhérer à des sophismes grotesques depuis longtemps démontés.
On trouve donc des tribunes d’élus pour qui taxer est la solution, pour qui consensus vaut vérité.
Un consensus se dégageait : oui , il est possible de sortir en même temps de la crise sociale et des crises écologiques, car les activités pour faire reculer ces dernières créent plus d’emplois que le modèle en crise. Et oui, il est possible de financer ces activités, en reportant la fiscalité du travail sur la taxation des pollutions.
La démocratie n’est pas le système idéal ; ce n’est pas parce qu’on est les plus nombreux qu’on a raison, s’agisse-t-il d’un consensus. En l’occurrence, les environnementalistes sont prompts à dégainer du consensus ; s’ils ne rencontrent que des gens d’accord avec eux, c’est que tous le sont.
Cette même absence de rigueur se retrouve dans les modèles fallacieux des climatologues plus idéologues que scientifiques. Après avoir tenté de démontrer que les températures augmentaient et augmenteraient de plus en plus vite, ils tentent de démontrer qu’elles augmentent mais qu’on ne le voit pas, qu’elles marquent une pause de mauvaise augure ou diminuent et que c’est mauvais signe ; quels que soient les faits, ils prouveront toujours la même chose, et c’est la marque de la pseudo-science.
Taxer les pollutions plutôt que le travail, après tout, pourquoi pas ; cela suppose que taxer dissuade, et on se demande alors pourquoi taxer le travail en premier lieu ; et que taxer soit le meilleur moyen de dissuader. En l’occurrence, la taxation vient compenser un défaut de propriété ; les algues vertes bretonnes polluent des plages n’appartenant à personne.
Et cela suppose aussi de faire le choix de la dissuasion. Si les activités polluantes sont créatrices de valeur, il faudra choisir entre richesse et environnement. Ce choix n’existe pas, et l’histoire de l’humanité montre que plus on crée de richesse, plus on apprend à la créer efficacement, quelle que soit la ressource employée. Le marché résout efficacement les problèmes de rareté.
L’ennui dans la démarche proposée ici – créer des emplois avec de l’argent public pour réaliser une transition énergétique – c’est qu’elle ne fonctionne pas. Seul le marché, la combinaison des initiatives individuelles et des choix de chacun, peut créer des emplois réellement productifs. La transition énergétique augmente le prix de l’énergie et ne crée pas – de loin – autant d’emplois qu’elle en détruit en mobilisant une partie de la richesse pour financer les investissements et l’énergie chère.
La tribune continue, exhortant à plus d’État pour répondre aux problèmes qui ont jusque là été confiés à l’État et qu’il n’a pas su résoudre. Si les environnementalistes sont vraiment soucieux de l’environnement et que le vert n’est pas seulement le nouveau rouge, ils auraient tout intérêt à s’intéresser, et de près, à des innovations dont on parle peu et des solutions qu’ils combattent aujourd’hui.
Merci pour ce superbe article, une bouffée d’air frais après tout ce que l’on vient d’entendre de nauséeux de Hollande, Ayrault, Hulot et consort ces derniers jours…
Tout d’abord, la base de tous ces discours et de cette taxation est la réduction drastique de nos dépenses en énergie… 50% de moins en 2050 (le12 sept. 2012, FH avait dit 60% en 2040, ça s’améliore…) est absurde puisqu’elle conduira à une régression d’autant de notre richesse (PIB ), au vu la linéarité du rapport énergie/PIB, et nous conduira au niveau de l’Iran ou du Pakistan actuel.
Mais surtout, personne ne se pose la question : pourquoi réduire notre énergie consommée, (ce qui semble aller de soi pour tous) ?
En effet le monde n’a jamais disposé d’autant de réserves prouvées en énergie fossile. C’est démontré tous les mois par de nouvelles de gigantesques découvertes comme le champ du « léviatan » en mer israëlienne il y a peu. [Voir aussi The Times du 9 fev. qui annonce que l’Angleterre a pour 1500 ans de gaz de schiste (hou, le vilain mot) sous les pieds]*
Dans les journaux spécialisés on parle surtout de surcapacité avec de l’inquiétude qui s’installe à l’OPEP et des USA qui annoncent être indépendant en énergie en 2017 (le prix du gaz y est 4 fois moindre que chez nous)…
Pourquoi personne ne nous parle de la révolution australienne de la semaine dernière qui annule tout (ministères, taxes…) ce qui touche au soi-disant « réchauffement climatique (RC) » et au CO2 ?
« Le RC est une merde absolue (absolute crap) » dit T. Abbott le nouveau 1er ministre.
Ce qui devrait conduire à la mort définitive du protocole de Kyoto après la défection du Japon, de la Russie et du Canada.
Pourquoi personne ne commente les chiffres donnés par Hollande sur la montée des océans et la température en fin de siècle qui sont près du double de ceux du dernier rapport du GIEC (et seront encore moindre dans le rapport qui va sortir la semaine prochaine, selon les fuites orchestrées… Ils (GIEC) osent encore prédire quelque chose après le fiasco du non-réchauffement de la terre depuis plus de 20 ans sans qu’il l’ait vu venir ni prédit) ?
Merci à B. Créteur d’avoir enluminé mon dimanche, continuez on en a besoin…
*http://www.thetimes.co.uk/tto/business/industries/naturalresources/article3683377.ece
C’est clair que l’idéologie verte, ne prend pas en compte le monde tel qu’il est mais il ideallise et prend son gros spray anti-instecte pour nous prouver que nous sommes nuisible (enfin autant qu’eux d’ailleurs).
Ensuite l’éconnomie de 50% d’économie d’énergie d’ici 2050, c’est dire que d’ici là il faudra que les transports roulent à l’énergie spirituelle. C’est pas gagné. On a peut être déjà trouvé le con qui va pousser le bus.
« On trouve donc des tribunes d’élus pour qui taxer est la solution, pour qui consensus vaut vérité. »
Je suis d’accord avec Michel Rocard – bientiens, qui au soir de sa vie fait des interviews assis sur son canapé, quand il dit : Je suis en désaccord avec la notion de taxe affectée (cf dont le produit est affecté a un poste particulier de dépense).
C’est en général une fumisterie : On a pas forcément adéquation entre la collecte et la dépense, et dans les faits, si on a besoin de cet argent pour combler une autre lubie, le produit de la taxe affectée sera affecté… ailleurs.
Par contre on a besoin de la notion de taxe affectée pour « vendre », en bon commercial de la bonne conscience, cette taxe a celui qui devra l’acquitter, une fois qu’on l’aura convenablement culpabilisé jusqu’a ce qu’il en admette le principe.
Donc il y a fort a parier que tout cela ne soit qu’une manière de créer un nouvel impot, dont le produit ne servira qu’a élargir le périmetre d’action et de rétributions de l’état; et pour l’environnement? On créera une autre taxe…
J’avais écrit ça sur mon blog le 10 septembre :
http://jacqueshenry.wordpress.com/2013/09/10/leglise-de-la-planete-brulante-giec/
Reste à savoir si les écolos reconnaîtront leurs mensonges, c’est une toute autre histoire …
Les écolos reconnaître leurs erreurs? Vous plaisantez, je pense. Ces gens sont bien trop imbus de leurs personnes pour reconnaître quoi que ce soit! 🙂
Vous avez raison, mieux vaut ne rien faire.
http://www2.cnrs.fr/presse/communique/3221.htm
c’était pour confirmer les propos d’Eole juste au dessus ?
lol
http://www.pik-potsdam.de/news/press-releases/delaying-climate-policy-would-triple-short-term-mitigation-costs
http://iopscience.iop.org/1748-9326/8/3/034033/pdf/1748-9326_8_3_034033.pdf
L’ennui c’est qu’après ce coup de désinformation magnifiquement réussi (sur une période de plus de trente ans) on en est à continuer de prendre des mesures dites environnementales qui vont à l’encontre du bon sens et qui prennent le pas sur des priorités autrement plus importantes pour le mieux-être des gens.
@ Loki
Le Postdam institut, laissez-nous rire. Vous n’avez pas mieux que ce repaire de réchauffistes psychopathes ? Max Planck doit tourner à toute vitesse dans son cercueil rien qu’à l’évocation de cette fabrique de fausse science climatique.
Outre le caractère religieux anti-écologique de cet article, on peut noter une aberration que personne ne pourra démentir. Le fait de dénoncer la soit disant pseudo-science réchauffiste est risible lorsque l’on prétend que « la banquise augmente »; je n’ai même pas besoin d’en dire plus pour que l’on réalise tout le grotesque de la phrase.
vous vous comprend peut-être, mais vu de chez moi, ce qui est grotesque c’est ce commentaire alambiqué au point d’en être incompréhensible.
http://www.google.fr/url?q=http://www.contrepoints.org/2013/08/07/133788-nouveau-record-absolu-pour-la-banquise-antarctique&sa=U&ei=XW0_UqeSJKme0QXfjIGQDg&ved=0CBcQFjAF&sig2=PQb6nQABIEnDFyIqIgQ_oA&usg=AFQjCNHIQWcloCfxOOBUkolnYXpmBCyG7A
Effectivement, il y une augmentation modérée et très récente de la banquise antarctique, qui a d’ailleurs une explication en lien avec le changement climatique selon certaines études. En revanche, l’intensité du phénomène est très faible comparée à la baisse drastique de la surface de la banquise arctique depuis 15 ans, bien que 2013 est loin de battre le record de 2012.
L’explication donnée est que le changement climatique peut avoir des conséquences imprévisibles. Explication qui justifierait aussi la « pause » du réchauffement, ce dernier se transmettant aux océans. Personne ne l’avait prévu, mais ça devient évident pour tout les environnementalistes une fois la mesure parue.
Quoi qu’il en soit, je maintiens mes propos : à l’heure actuelle, le réchauffement climatique anthropique est pseudo-scientifique, on ne peut pas l’infirmer. Températures en hausse ou en baisse, banquise en expansion ou en contraction, pluies rares ou abondantes : tout démontre le changement climatique anthropique.
Si les environnementalistes étaient capables, par exemple, de produire un modèle des évolutions du climat qui pourrait être confirmé ou infirmé par les faits, ils entreraient réellement dans le domaine de la science. Mais aujourd’hui, tous leurs modèles se trompent, et on trouve à ces mauvais calculs des explications a posteriori.
Vous remarquerez les similitudes avec les modèles keynésiens du FMI par exemple. Le tout venant, à chaque fois, justifier qu’on accorde un pouvoir croissant aux États.
Que les modèles soient inexactes ou ne prennent pas en compte tout les facteurs qui devraient l’être c’est une chose; mais cela ne fait pas que ces scientifiques qualifiés en climatologie, océanographie ou en science de l’atmosphère soient des environnementalistes pseudo-scientifique qui tentent de retomber sur leur pattes.
C’est sur ce point que je ne suis pas d’accord. Pour le reste, je prend note des éléments que vous donnez.
Pikoulidu93: « mais cela ne fait pas que ces scientifiques qualifiés en climatologie, océanographie ou en science de l’atmosphère soient des environnementalistes pseudo-scientifique »
Les 73 modèles climatique se sont plantés:
http://www.drroyspencer.com/wp-content/uploads/CMIP5-73-models-vs-obs-20N-20S-MT-5-yr-means1.png
La Science c’est: Théorie->Vérification->Validation théorie
Actuellement toutes les allégations de catastrophe ci ou mi, taxes, mesures (principalement anti co2) relèvent de la pseudo science puisque la vérification infirme la théorie.
On ne sait pas actuellement et il est impossible dans cette incertitude de dire si il faut faire quelque chose et quoi exactement. Ceux qui disent le contraire sont dans le domaine de la croyance ou de la religion.
Je ne dis pas que leur domaine ne peut pas relever de la science. Mais pour cela, il faut qu’ils adoptent la démarche scientifique, notamment qu’ils acceptent que leurs modèles soient réfutables.
En clair, prendre une hypothèse (par exemple, un modèle), et comparer les résultats attendus aux résultats obtenus. Mais on ne peut pas simplement expliquer le décalage entre prévisions et réalité en ajoutant une hypothèse a posteriori ; il faut la vérifier, elle aussi.
Par exemple, que la pause du réchauffement soit explicable par la hausse des températures des océans est une hypothèse, et rien de plus, tant qu’elle n’est pas comparée aux faits. Ajouter cette hypothèse pour que les autres deviennent vraies ne change rien à l’affaire : tant qu’elle n’est pas vérifiée, les autres non plus.
Il est aujourd’hui avéré que non seulement le GIEC a cherché à faire passer pour un consensus scientifique ce qui n’était qu’un point de vue parmi d’autres mais pas unique, mais aussi que ce point de vue était erroné.
Que des singes fassent mieux que la plupart des traders (voir « A random walk down Wall Street ») montre que beaucoup de traders utilisent des modèles erronés, mais pas qu’il est impossible pour un trader d’utiliser un bon modèle. Et il existe de bons modèles.
De la même façon, que la plupart des modèles climatiques soient aujourd’hui infirmés par les faits ne veut pas dire qu’il est impossible d’élaborer un modèle fiable. Je n’en connais pas, mais cela ne veut pas dire qu’il n’y en a pas.
« Que les modèles soient inexactes ou ne prennent pas en compte tout les facteurs qui devraient l’être c’est une chose; mais cela ne fait pas que ces scientifiques qualifiés en climatologie, océanographie ou en science de l’atmosphère soient des environnementalistes pseudo-scientifique qui tentent de retomber sur leur pattes. »
Donc, ils sont seulement incompétents, ou il faut bien qu’ils gagnent leur vie, ou bien ils se contentent d’approximations, ou encore la science climatique est comparable à l’astrologie (après tout, tous les journaux ont une rubrique quotidienne astrologique qui prétend prédire l’avenir des lecteurs suivant leur signe).
A ce point de la discussion, il faut, Pikoulidu, que vous nous donniez des arguments qui sauvent « ces scientifiques » que nous disqualifions pour les raisons expliquées ci-dessus.
Toutes disciplines scientifiques se heurtent à des difficultés. Le domaine de la climatologie est récent et nécessite encore de temps. Ce n’est pas parce que les résultats ne sont pas exacts que la discipline relève de l’astrologie. Il est nécessaire que des professionnels qualifiés travaillent dans cette branche et fasse progresser les connaissances. Voyez comme la météorologie s’est améliorée depuis 30 ans.
En outre, votre jugement est bien trop sévère puisque vous ne vous focalisez que sur cette simulation particulière. L’immense quantité de travail réalisée et les résultats qui en ressortent sont bien présents.
Oui, la climatologie pourrait un jour aboutir à des résultats fiables. Mais ce n’est pas le cas à l’heure actuelle, et il est dangereux de fonder ses décisions sur des résultats erronés et des prévisions fausses.
Êtes-vous d’accord ?
Si j’ai bien compris le discours du Premier Ministre, il veut protéger la biodiversité et également développer l’éolien. Il y a là à l’évidence un grave conflit d’intérêt: comment peut-on protéger les rapaces, chauves-souris, migrateurs, grand tétras, … alors qu’ils sont tous massacrés par les pales des éoliennes, dont la vitesse en bout de pale est de 200 à 300 km/h?
Il faut choisir, M. le Premier Ministre: la biodiversité OU l’éolien.
Je vous conseille très vivement la biodiversité Je vous conseille très vivement la biodiversité. Car elle ne défigure pas nos paysages, elle n’augmente pas le prix du kWh, elle ne nécessite pas de centrales gaz pour pallier à son intermittence aléatoire, elle n’a pas d’effets sur la santé publique (pas d’infra-sons)….
« A l’heure actuelle, le réchauffement climatique anthropique est pseudo-scientifique, on ne peut pas l’infirmer… »
Et s’il était possible d’infirmer cette théorie, elle serait peut-être alors scientifique, mais elle serait, par conséquent, en même temps fausse. Question : quels sont la valeur et l’intérêt d’une théorie scientifique qui ne peut être telle que si elle s’avère fausse ?
On notera toutefois qu’il est toujours possible d’adjoindre de nouvelles hypothèses à une théorie scientifique pour rendre compte de nouveaux « faits ». Il ne suffit donc pas d’exhiber un de ses nouveaux « faits » pour croire l’avoir « falsifiée ».
Je n’ai peut-être pas été clair. En confirmant ou infirmant l’hypothèse ou la théorie, on peut parvenir à la connaissance. Si on ne peut pas l’infirmer, une hypothèse ou une théorie sont sans valeur et n’apportent rien à nos connaissances, n’aident en rien à prendre des décisions.
Aujourd’hui, des décisions sont prises sur la base de théories qui se veulent scientifiques mais n’en ont pas la démarche.
qu’il fait bon lire un articles super réchauffant .En effet au nom de la nature que d’erreurs commises à bon escient par des arnaqueurs en tous genres.II suffit de voir l’histoire des fouines super protégées et qui en surnombre maintenant causent moults dégâts aux véhicules tandis que des dauphins devenus joujous pour vacanciers voient ces derniers punissables d’amendes s’ils s’approchent trop près d’eux ,même chose pour d’autres Cétacés et en effet c’est assez de gaudrioleries au nom de l’environnement .Les citoyens sensés en ont marre de l’angélisme