Bricorama, Séphora, etc : entreprise par entreprise, les syndicats créent courageusement du chômage

Grâce à l’intervention vigoureuse de la CGT, plein de salariés vont découvrir les joies du chômage.

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CGT syndicalisme violence

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Bricorama, Séphora, etc : entreprise par entreprise, les syndicats créent courageusement du chômage

Publié le 25 septembre 2013
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Encore un ravage du libéralisme et de la doctrine ultra-capitaliste qui mange des chatons au petit déjeuner : Séphora, bien que bénéficiaire, va devoir se séparer de plusieurs dizaines d’employés. Heureusement, les syndicats sont sur le pont et vont batailler pour sauver de l’emploi ! Oh… Wait…

Oui, attendez un peu. Il semblerait que les choses ne soient pas aussi simples.

Normalement, dans un monde standard, une entreprise multinationale est un repaire évident de capitalistes en haut-de-forme et gros cigare vissé sur un rictus malfaisant ; cette entité, sans freins ni lois, imposera toujours le maximum à ses employés, piétaille taillable et corvéable à merci si ce n’était cet enquiquinant Code du travail qui impose de verser, malgré tout, un salaire. Et lorsque les abus sont trop forts et trop nombreux, les syndicats — qui aident la veuve, l’orphelin et le politicien de gauche à voter comme il faut — interviennent en cognant bien comme il faut le patronat apatride grignoteur d’enfants communistes. Ensuite, les salariés obtiennent gain de cause au tribunal (qui est, aussi, très sensible aux plaintes et malheurs de la classe ouvrière), le patronat est condamné, et tout le monde rentre chez soi ravi d’avoir reçu son dû.

En France, les choses étant ce qu’elles sont (la dérive collectiviste étant maintenant bien avancée), on arrive à des situations où un syndicat qui n’a rien à voir avec l’entreprise attaque le patronat au détriment des salariés, écrase le premier et bafoue les seconds, remporte aisément la victoire auprès des tribunaux toujours aussi gentiment acquis à leur cause et part en croisade, dans la foulée, contre tous les autres commerces coupables des mêmes faits, parce que, parce que bon.

syndicate = mafia

C’est, en quelques lignes, l’histoire de Bricorama qui n’a pas eu le droit de travailler le dimanche. Une fois faite l’analyse détaillée du cas en question, on se rend compte qu’il s’agit essentiellement d’une nouvelle affaire mafieuse de syndicalistes qui cherchent surtout un moyen simple, efficace et légalement imbattable pour récupérer une forte somme d’argent. Eh oui, le nerf de la guerre ne change pas, surtout que, il faut le rappeler, ce ne sont pas les sommes récupérées auprès des adhérents d’un syndicat qui vont pouvoir le faire vivre ; après tout, ces syndicats représentent péniblement 5 % des salariés et si leur existence n’était pas gravée dans le marbre de la loi, si leur financement n’avait pas l’opacité légale nécessaire à camoufler tous leurs trafics, ces repaires d’aigrefins auraient déjà disparu du paysage politico-économique français au plus grand bénéfice du pays.

Et si l’on regarde l’actualité, on découvre une autre facette de ces opérations syndicales : après l’extorsion de fonds par jugement interposé, on découvre la bonne grosse intimidation pour des raisons politiques avec la récente condamnation de Séphora. En substance, les syndicalistes de la CGT reprochent au magasin de rester ouvert trop longtemps et d’imposer des horaires de folie aux gentils salariés. Dépôt de plainte, jugement, condamnation évidente : Séphora devra fermer plus tôt, et se départir d’une partie de ses salariés qui avaient la bêtise de croire qu’on leur laisserait, en France, l’opportunité de travailler quand ils le désirent.

Parce qu’il faut bien comprendre que ces salariés sont des enfants ou des idiots : tout le monde sait qu’ils sont, en réalité, manipulés par le Grand Kapital qui les pressure tant et plus. Ils ne peuvent pas réellement vouloir un plus gros salaire. Ce n’est pas vrai qu’ils préfèrent travailler plutôt le soir. C’est une illusion d’imaginer qu’ils veulent des horaires décalés. Foutaises que tout cela : le syndicat (et l’État) sait mieux qu’eux ce qui est bon pour eux, et c’est bien normal puisque ce sont des enfants ou des idiots. (Oui, c’est un raisonnement circulaire, mais ce n’est pas moi qui ai commencé.)

D’ailleurs, le fier trou du cul syndicaliste qui a mené la judicieuse bataille contre Séphora, un certain Karl Marx Ghazi, l’explique très bien lorsqu’on lui tend un gros micro mou sous sa truffe humide de joie : en réalité, il lutte et « met ses menaces à exécution » pour un monde meilleur de gens qui ne travaillent pas le dimanche et pas la nuit (comme dans les hôpitaux, les boulangeries, les cinémas, les restos, etc.) parce que lorsqu’il dort, le Karl, il veut que tout le monde dorme aussi.

Alors, finies les préoccupations petites bourgeoises de Hunjun, âgée d’une vingtaine d’années, qui avait réussi à trouver un job lui permettant de payer ses frais de scolarité et de suivre sa formation : t’es en France, ma poulette, et Karl ne te laissera pas choper un cancer du sein en travaillant trop tard, ou détruire la famille que tu n’as pas parce que tu es étudiante. Terminés, les revenus complémentaires de Touty, salement corrompue par cet évident appât du gain et du lucre capitaliste facile, qui avait cru trouver avec ce job du soir une méthode simple pour pouvoir s’occuper de ses enfants en journée. Le gentil Karl a pensé à toi, et sait que tes enfants te préfèreront pauvre mais plus présente : au moins, vous aurez le ventre qui gargouille tous ensemble. C’est plus festif.

Allons, Diane, ne pleure pas : tu étais exploitée (mais si, tais-toi) et Karl est arrivé, avec son grand nez chapeau et son beau syndicat, et il t’a sauvée des — mais si et arrête de chouiner je te dis — il t’a sauvée des griffes du Grand Capital Qui Te Spolie et c’est tout. Alors maintenant tu rentres chez toi toucher des aides et on n’en parle plus. Et tu dis merci à Karl.

Et croyez bien que cette vague de vengeance d’actions courageuses et utiles ne s’arrêtera pas là ! Karl et ses copains des syndicats l’ont parfaitement compris et entendent bien étendre leur combat à tous ces petits cancrelats qui osent défier les Horaires Officiels du Village France (du lundi au vendredi, de 9:00 à 12:00 et de 14:00 à 17:30, avec matinée le samedi de 9:30 à 12:00 et nocturne le troisième jeudi du mois jusqu’à 19:00) ; Séphora ne fut qu’une étape dans l’écrasement méthodique des renégats, après Apple et Uniqlo. D’autres suivront, qui vont morfler :

Nous allons attaquer toutes les enseignes qui ferment leurs portes après 21 heures. Marionnaud n’échappera pas à cette règle comme la vingtaine d’enseignes des Champs-Élysées dans ce cas.

la cgt

Ouais. Marionnaud, on a ton nom, on sait où tu crèches, numérote tes abattis !

En réalité, après le cas Bricorama, où il s’agissait essentiellement d’une histoire de gros sous, nous avons l’histoire de la CGT Commerce de Paris où il s’agit très clairement d’une histoire de politique et de rapport de force. Dans le cas qui nous occupe, à l’évidence, il s’agit de bien claquer le museau de ces salariés qui ont eu l’impudence de négocier directement avec la direction pour leurs horaires et leurs salaires, en passant outre les syndicats. Ce genre de cascade osée décrédibilise complètement les inutiles encartés dont l’essentiel de la justification se résume à, normalement, représenter les salariés ; et là, les salariés ont frôlé l’épiphanie et failli se rendre compte que ces parasites syndicalistes ne servent absolument à rien. Il fallait agir et cogner un grand coup.

Du reste, il ne faut pas s’étonner de la violence de ces syndicalistes prêts à la politique de la terre brûlée, préférant largement infliger le malheur autour d’eux, se ridiculiser aux yeux de tous et produire un peu plus de chômage dans un pays qui n’en peut mais, plutôt que représenter vraiment l’intérêt des salariés : le constat de leur inutilité leur serait bien plus préjudiciable que ces enquiquinements passagers qu’un peu de spin-media pourra effacer promptement.

Et par extension, ce cas-là illustre très bien ce qui va se passer lorsque les Français vont se rendre compte qu’on peut fort bien se passer des parasites politiciens et de toute leur clique de cancrelats accrochés aux tétons publics : eux aussi préfèreront tout brûler plutôt que voir le peuple s’arranger directement avec lui-même, sans eux.
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  • Et comme l’État doit donner l’exemple du respect de ses lois, il fermera le métro à 17h30, les salariés rentrerons tous à pied, les urgences des hôpitaux seront ouvertes de 9h00 à 17h00 sur rdv etc..
    D’accord il faut des lois pour protéger les salariés, mais du bon sens ne serait pas inutile. Revoyons ces lois en urgence avant que le chômage …

  • Pour faire bonne mesure, les syndiques devraient exiger le black-out sur les chaînes radio et télé de 21h à 6h30 .

  • Oui, comme le disais Philippe Bouchat « Rendons l´Etat inutile ». http://www.contrepoints.org/2013/09/23/139961-rendons-letat-inutile

  • il y a tout de même une difficulté : la réalité du volontariat des salariés pour ces horaires « décalés ». Vu le taux de chômage, la direction peut facilement les inciter à être volontaires ; ont-ils toujours réellement le choix ?

    De même que le dimanche a aussi un rôle de lien social(structurant), qui semble déjà très fragilisé.

    Pour ce qui est des syndicats « représentatifs », c’est un vrai problème français.

    • Et les témoignages (en vidéo, sur papier) que le billet fournit, c’est du flan ? Ces gens sont-ils manipulés ? Obligé ?

      Allons.

      • il n’y a pas que ce cas-là.

        Autre exemple : ouverture les dimanches avant Noël, difficile pour un salarié qui ne veut pas de ne pas être « volontaire ».

        Bref, pour être vraiment volontaire, encore faut-il avoir le choix (de quitter l’entreprise pour trouver du boulot ailleurs, mais comme il n’y en a plus…).

        • OK. Peut-être les gens qui travaillent tard le soir, ou le dimanche, ou autre ne sont pas totalement-vraiment volontaires. Peut-être y a-t-il eu pression/manipulation.
          Bon, et les gens qui ont voté pour les lois restreignant les horaires de travail, ils étaient pleinement informés, ils n’ont pas été soumis à des pressions par les média, les politiques, etc. Et ceux qui ont voté pour ces syndicalistes qui viennent « au secours » de gens qui ne leur ont rien demandé, ils savaient exactement ce qu’ils allaient faire ?

          Non ? Bon ben c’est pareil, personne n’est jamais pleinement libre de ses choix, si je vous comprends bien. Et donc pas la peine d’en rajouter une couche, je pense. D’ailleurs le patron qui ouvre son magasin le soir, il a vraiment le choix, il a sciemment décidé de le faire rien que pour pourrir la vie des employés ? Ou ne sont-ce pas plutôt les clients (vous, moi, les syndicalistes et les politiciens) qui apprécient de pouvoir acheter des choses quand ils ne sont pas au travail ?

          Remarquez, si on empêche les horaires décalés dans le commerce, faut pas revenir se plaindre de voir le commerce « brick & mortar » supplanté par l’internet. Là, on peut commander/faire ses courses même à 11H du soir le dimanche.

    • Et le boulot d’un vrai syndicat aurait justement été d’aider les éventuels personnes qui travailleraient contre le gré le soir…

    • Ils n’auraient pas le choix parce que d’autres seraient prêts à prendre leur place s’ils n’en voulaient pas ? Ils ne peuvent pas forcément imposer leur choix, en effet, mais là il est clair qu’on les oblige à renoncer à leur choix.

    • Si une personne ne correspond pas aux besoins d’une entreprise (en l’occurrence le besoin d’avoir des salariés le soirs) qu’y a-t-il de mal à ce qu’elle ne soit pas embauchée ?

    • L’argument du dimanche pour justifier ces actions me fait toujours rire aux larmes.
      Quid du lien social créé dans les commerces le dimanche avec ces milliers de personnes qui se croisent et se recroisent alors qu’avec la fin de la messe il y a justement une perte de lien social, heureusement revisité à travers le shopping de masse.
      Vous souhaiteriez donc qu’ils restent chez eux à regarder la télé abrutissante ? Il faudrait pour contrer ce vice imposer un quota de visualisation des chaînes publiques et de visites de musées.
      Le bon peuple ne sait vraiment pas ce qui est bon pour lui.

    • Sauf qu’avec un salaire doublé, ils sont demandeurs en réalité.

    • C’est vrai que ces gens veulent « structurer » tout ça, ils l’on bien montré en étant pour le mariage homo qui est aussi une façon de structurer.

      Blague à part, quand t’es en panne de voiture le dimanche, tu te fiches bien du rôle « social » tu veux un dépanneur, quand tu te fais un restaurant le dimanche ben le role « social » c’est itout poubelle ….

      Tu veux savoir ce que cela apporte ton rôle social ? ben du chômage tout simplement.

      Pour l’anecdote, un grand magasin non loin de chez moi avait besoin de changer ses escalators, mais ne souhaitait pas fermer pour faire faire les travaux. Ils ont été obligés de faire venir des ouvriers étrangers. Accrochez vous bien, pas des gars sous payés de l’Est, une boite spécialisé d’un pays du Nord de l’Europe et le tarif était à plus que le quadruple d’une entreprise Française.
      Cela tout simplement parce que les gars travaillaient de nuit et le WE.

    • Mouai…d’un cote on a un gouvernement qui n’hesite pas a faire passer une lois qui a quand meme mis le foutoir dans la filiation (M p T) , donc in-fine dans la facon dont la famille peut se construire et de l’autre on n’hesite pas a « defendre » la famille en tapant sur des employes? Mais de qui se moque-t-on??

  • Belle fin…avec du feu, des larmes et du sang. Je crois à cette version, et non à la version molle. C’est comme ça à chaque révolution avec le Français. Il dort, et puis il casse tout….comme ce singe, le dormeur, très agressif en réalité….

  • Quand j’habitais en France, je n’y suis plus depuis 5 ans, j’avais des horaires décalés et croyez-moi que j’étais content de les avoir, pourquoi?
    C’est très simple, prenez le métro aux heures de pointe tous les jours puis prenez-le à des heures creuses, vous comprendrez très vite ce que je veux dire.

    Sur le travail le dimanche, je suis toujours amusé de constater à quel point les syndicats français sont capables de défendre la famille, pourtant un truc de vieux réacs voire de fachos. Grace à la CGT, on peut aller à la messe le dimanche matin puis s’enfiler un gigot aux flageolets avec mamie.

  • // »Ils ont une idéologie », dénonce-t-elle. « Ils parlent de confort de vie, mais quelle vie ? Votre concept de vie ! Mais moi le mien n’est pas comme le vôtre, chacun vit sa vie à sa manière. Moi ça m’énerve qu’on décide à ma place. »//

    Tout est dit.

    http://www.rtl.fr/actualites/info/article/sephora-contraint-de-fermer-a-21h-a-m-enerve-qu-on-decide-a-ma-place-dit-une-salariee-7764768552

  • Les charbonnages la sidérurgie les ports La ou la CGT passe le boulot trépasse Ce pays devient de plus en plus fou

  • lol, toujours aussi tordant ! Le passage du « mais si, tais toi » est carrément dangereux pour le bureau si vous êtes en train de boire du café qui tache.
    M’enfin, on rirait plus si la situation était moins tragique…

  • je pose ouvertement la question:le gouvernement n’est-il pas en train de faire de la comm envers bruxelles et autres investisseurs et s’amuse (et continue à financer,à nos frais)de la mise en place du collectivisme dans ce pays??

  • Incroyables de connerie ces syndicaca

  • Quand un pays en est la, peut-on encore esperer le sauver? Ne faut-il pas prendre ses jambes a son cou et preferer l’emigration (malgre tout ce que ca comporte de difficultes et de renoncements)…quand un si petit nombre d’individus a un pouvoir aussi grand, ce n’est plus du collectivisme mais de l’autoritarisme…

    Je me souviens d’une photo/caricature que j’ai vu il n’y a pas longtemps. Elle representait une file de soldats de l’empire (cf Star wars) qui marchaient au milieu de la foule. Le titre: « Totalitarism: Do you think it will be so obvious? »

    Quand je lis ca, je me dis que les 2 solutions sont la resistance armee ou l’exile….et devant le trop petit nombre de gens prets a s’armer, j’ai choisi l’exil…

  • J’ai autrefois travaillé dans un business où le jour de congé hebdomadaire était le lundi. Cela me satisfaisait pleinement: possibilité de visiter des sites touristiques ou de faire mes courses sans cohue, etc. Bien entendu, mon fils étant maintenant scolarisé, je préfère désormais ne pas travailler le dimanche. Mais la notion de dimanche férié me paraît obsolète et liberticide.

    • Quand je faisais ma thèse, avec pratiquement aucune contrainte d’horaires 9 jours sur 10, je travaillais essentiellement de 15h à 6-7h du matin. Bénef : je ne prenais le métro ou le RER qu’à des moments où peu de gens y sont, je bossais surtout quand tout le monde dort et donc avec plus de calme et de possibilités de me concentrer.
      L’inconvénient de la vie sociale ? Ben ma pause de « mi journée » vers 20h-23h correspondait au moment ou les gens sortent, donc en fait je pouvais facilement voir du monde. Bon, si j’avais eu des enfants ça n’aurait sans doute pas été bien pratique. Mais dans mon cas, sans la contrainte de personne (sinon celle que je m’imposais d’avancer dans mes recherches à bon rythme), c’est le genre d’horaires qui ME convenaient le mieux.
      Quiconque essayera de prétendre le contraire est un sot prétentieux.

      Qu’on laisse chacun trouver les horaires qui lui vont. Et bientôt comme à NY on pourra se faire un resto à 3h du mat ou déjeuner à 8h du matin, et des boutiques seront ouvertes 24h/24. Pour le plus grand choix de tous, et donc leur bonheur.

  • Bonjour, il existe une pétition lancée par le Collectif des Bricoleurs du Dimanche demandant l’assouplissement des règles sur le travail dominical. J’ai pensé que cette pétition vous intéresserait.
    http://www.mesopinions.com/petition/social/laissez-travailler/10703

  • Il y a longtemps que la France souffre de ses syndicats……voir le port de Marseille réduit a la portion congrue à la suite des grèves incessantes des dockers…..alors que des grands ports étrangers prosperent

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