Cet impôt invisible que les pauvres paient si cher

Si le contribuable ressent bien la pression fiscale des myriades d’impôts visibles, il lui échappe parfois celle des ponctions invisibles, permanentes et extrêmement douloureuses.

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Cet impôt invisible que les pauvres paient si cher

Publié le 25 octobre 2013
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Les politiciens, tordant leurs petits doigts potelés par des années de bonne nourriture payée sur le dos de contribuables toujours plus maigres, ne comprennent pas pourquoi le ras-le bol fiscal est si grand. Après tout, les impôts ne sont pas si haut ! En réalité, ils ont oublié la cohorte d’impôts invisibles qu’ils ont déjà fait pleuvoir.

Le constat est, en effet, sans ambiguïté. Déjà, l’État impose tous azimuts: difficile d’échapper à la pluie diluvienne de ponctions tant le gouvernement aura fait preuve d’inventivité. Même les Américains sont surpris du rythme et des domaines d’application de cette fiscalité délirante.

Évidemment, cette taxation frénétique s’explique par des dépenses publiques gargantuesques. La France a récemment battu un record dans le domaine : la croissance est bien de retour, sauf qu’il s’agit de celle des dépenses publiques. Ceux qui les payent se seraient probablement passés d’une telle performance.

Et en plus, l’État dépense sans compter. Littéralement même, puisque lorsque la Cour des Comptes tente de faire les totaux, elle se retrouve confrontée au marigot putride des milliers de commissions, d’agences et d’institutions qui tètent aux mamelles publiques sans qu’il soit réellement possible de savoir exactement combien ; elle constate par exemple qu’il devient difficile pour ne pas dire impossible de connaître le nombre précis de salariés dépendant directement des finances publiques. Le nombre précis de fonctionnaires est ainsi le sujet d’âpres débats tant son imprécision est grande ; et je n’évoquerai pas le personnel de l’Éducation Nationale dont les estimations sont toujours données à 10.000 près, ce qui permet de fixer les ordres de grandeur du foutage de gueule que sont devenus les comptes publics.

Les Français ont donc bien intégré que cette rocambolesque obstination à augmenter toujours la sphère de l’État provoquait un besoin irréfragable de pognon par larges brouettées.

Petit-à-petit, lorsque le débat public n’est pas occulté par les indispensables prises de positions des uns et des autres sur le sort d’une présumée-lycéenne présumée-kosovare, le peuple s’interroge sur la douloureuse question du curseur fiscal : un peu mieux, ou un peu moins, ou un peu plus ? Certes, c’est une amélioration puisque si on est encore loin d’une remise en cause de la taille de l’État à proprement parler, au moins certains, sans voir son obésité, se rendent compte de son appétit dévastateur.

austérité : "tu dois apprendre à vivre avec moins"

Malheureusement, peu voient que le bougre éléphantesque, par ses fringales continuelles, provoque par contagion des effets dévastateurs, formant une espèce de cercle vicieux que les uns ignorent ou que les autres mettent sur le dos du capitalisme libéral apatride mangeur d’enfant ou sur la malchance, ajoutant parfois la dissonance cognitive au déni de réalité pour faire un tableau clinique bien copieux.

Ainsi et par exemple, les salariés sont confusément au courant que la moitié de leur salaire part dans des cotisations sociales. Plus personne en France de normalement constitué ne prend le temps d’éplucher la vingtaine de lignes absconses qui décorent un bulletin de salaire pour comprendre à quel point le salarié n’est plus qu’un robinet, plus ou moins gros, d’argent gratuit pour des entités dont les performances et les services échappent à tout contrôle et tout reproche. Leur qualité diminue. Leurs prestations s’évaporent. Leurs temps de traitement augmentent. Leurs coûts montent en flèche. Leurs déficits s’accumulent. Les couinements des payeurs sont à peu près inaudibles.

Ainsi, et c’est encore moins visible, la multiplication des lois, décrets et autres règlements dans tous les domaines aura provoqué, en 40 ans, une situation intenable où tout joue contre des populations de plus en plus pauvres. Car oui, ce sont bien les plus pauvres qui paient le plus lourd tribut aux règlementations délirantes que les politiciens mettent en place au prétexte de venir en aide, justement, aux populations précaires.

tonyglandilEt c’est là, entre la gencive de la population et la dent de la production de richesse que les bactéries des impôts invisibles attaquent.

Le principe de précaution aura, par exemple, définitivement écarté toute création de richesse en France dans le domaine des OGM, du nucléaire alternatif, des gaz de schistes et de tant d’autres domaines liés aux nouvelles technologies. On peut ergoter pendant des heures sur les risques (parfaitement hypothétiques) de ces technologies pour justifier l’absence de tout développement correspondant, mais à l’évidence, des dizaines de milliers d’emplois ne seront pas créés pour coller à un principe que, rappelons-le, aucun autre pays ne s’est collé à la patte avant de trotter. À l’évidence, la France a décidé n’avoir pas besoin de ces emplois, des taxes et cotisations afférentes, et des richesses produites.

Et l’absence de ces créations constitue bel et bien un impôt puisque la richesse qui n’aura pas pu être créée entraînera non pas un manque à gagner (qui serait, en tout état de cause, parfaitement hypothétique), mais un coût, bien réel celui-là : puisqu’on ne veut pas de ces technologies, on devra se rabattre sur des solutions plus coûteuses. On devra payer les produits directs ou dérivés plus chers. Tout comme l’absence de tracteur rendrait l’agriculture prohibitive de nos jours en France, l’absence de ces technologies, que ces interdictions ont empêchées, ont un coût, direct, pour tout le monde. Et je n’évoque même pas les disparitions d’emplois provoquées par la mise en place des normes lorsque les entreprises concernées les prennent de plein fouet : les chômeurs résultant représentent là encore un coût direct et bien réel qu’on ne mettra jamais au débit de ces réglementations pléthoriques.

Il y a pire encore : la dégringolade permanente de lois, règlements, de normes et de contraintes imposées par l’État provoque une atmosphère de défiance et entame le moral des citoyens. Combien d’entre eux, qui se seraient lancés dans l’aventure entrepreneuriale, abandonnent avant d’avoir créé ? Combien d’opportunités manquées ? Combien partiront et créeront de l’emploi ailleurs, faisant bénéficier d’autres pays de la manne de taxes et de cotisations qu’ils créeront avec leurs idées qui furent découragées ici ? Quel est le coût, réel, bien palpable, de cet impôt sur le moral, puisque ces citoyens, formés ici, profiteront à d’autres ?

Mais le pire de tous ces impôts, et celui qui touche de plein fouet et sans la moindre pitié les classes les plus pauvres, c’est l’impôt sur le temps.

Cet impôt temporel est visible dans les paperasseries administratives, les démarches à la con, les obtentions de permis divers et variés dont tant n’ont qu’une pure fonction de collecte de taxe. Cet impôt temporel est visible dans la multiplicité des interlocuteurs, dans l’incurie consommée et méticuleuse de tel service administratif public à propos de tel autre.

Cet impôt temporel, vous le payez lorsque vous devez vous lever très tôt pour aller faire une queue épuisante à la préfecture… En pure perte parce qu’il vous manque ce p*$£n de formulaire ou de papier qui n’était pas demandé lorsque vous avez téléphoné. Cet impôt temporel, vous le payez lorsque vous devez arriver des heures avant un vol pour passer des contrôles de sécurité parfaitement inutiles. Vous le payez aussi lorsque vous devez contester des amendes, des majorations ou des prunes diverses et variées alors qu’elles ne sont pas dues, pas adressées à la bonne personne ou simplement pas règlementaires.

Mais l’impôt temporel le moins visible, mais le plus coûteux, est celui qu’on paye tous les jours lorsqu’on doit s’imposer des tâches ou des déplacements qui ne sont motivés exclusivement que parce qu’au départ, l’État est massivement intervenu et a provoqué une situation à laquelle on ne peut pas échapper. Cet impôt, bien qu’invisible, est immense, ses dégâts monstrueux, et son assiette d’autant plus inique qu’elle est presqu’exclusivement basée sur les populations les plus pauvres.

Car ce sont ces populations précaires qui, par exemple, passent le plus de temps dans leurs voitures, dans les transports en commun.

Ce temps passé à ne rien faire d’autre que voyager est un temps qui ne sera pas passé à instruire et éduquer ses enfants. Ce temps ne sera pas utilisé pour améliorer ses conditions de vie, ne pourra pas servir à accroître sa formation, son savoir, sa propre éducation, et, par voie de conséquence, son futur. Le temps passé dans les voitures se traduit mécaniquement par des dépenses supplémentaires en essence, dépenses qui s’additionnent à la maintenance d’un véhicule de plus en plus complexe à mesure que les lois punissent les automobiles éco-crassouses.

Ce temps passé parce qu’on habite loin de son lieu de travail est la conséquence directe de l’intervention de l’État dans la gestion des infrastructures, dans le marché de l’immobilier, dans le marché de l’emploi.

Ce temps passé à rapiécer, à bricoler, à récupérer, à trouver des méthodes pour dépenser moins, autrement, mieux, ce temps là est une conséquence directe de la présence de l’État dans chaque interstice de votre vie.

Ce temps passé dans les transports, à attendre qu’un train ou un bus daigne arriver, qu’une motrice soit remplacée, qu’un caténaire soit réparé, qu’une certaine catégorie de personnel renonce à continuer sa grève, ce temps là, jamais rattrapé, est très majoritairement une conséquence directe de l’intervention de l’État dans votre vie.

Ce temps passé à lutter contre les administrations, à se déplacer d’un lieu inutilement éloigné d’un autre, à accumuler des frustrations, à batailler pour simplement joindre les deux bouts est un temps qui, en plus, finit par attaquer votre santé. C’est un temps qui signifie vite fatigue, stress, éloignement des proches et perte du fameux lien social dont on nous rebat les oreilles cyniquement. L’impôt sur le temps, bien qu’invisible, est le plus cher, le plus douloureux et le plus directement lié aux exactions de l’État.

Lutter contre l’obésité de l’État, c’est d’abord diminuer cet impôt, c’est rendre le bien le plus précieux qu’il soit à l’homme libre : du temps.

time
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  • Non, pas d’accord du tout!
    Sauf en voiture où une certaine attention est demandée, dans les autres moyens de transport il est toujours possible de s’occuper. Lecture, ordinateurs, accès réseaux en tout genre, avec tout ça, si quelqu’un arrive encore à perdre du temps entre deux actions, c’est qu’il le cherche.
    Quant au stress, il suffit de prendre le temps tel qu’il vient et éviter de se préoccuper de se qui viendra ou pas plus tard.
    Et puis perdre ou prendre son temps, c’est juste une question de point de vue, c’est toujours bon. Et c’est comme tout le reste, faut pas en abuser. Mais on a tout ce qu’il faut.

    • « Quant au stress, il suffit de prendre le temps »

      Autrement dit, vous n’avez absolument rien compris au billet.

      • Non seulement, il n’a rien compris, mais en plus, il se moque du monde : il y a toujours moyen de s’occuper dans un train, dit-il. Il ne doit pas prendre le mēme RER (bondé) que moi, dans lequel arriver à tenir debout durant le trajet est déjà une performance. Alors, s’occuper…

    • On voit que vous n’avez pas souvent pris les transports en commun en Ile de France. Il faut déjà parvenir à monter, alors être assis, lire, étendre les bras.. pourquoi pas faire du yoga ouaf!ouaf! vous devez vivre dans une petite ville de province et rentrer chez vous pour déjeuner et hop! à 4h30 à l’école pour prendre les enfants. Oui ça existe mais ça ne connaît rien des joies des transports. 1h30 en moyenne en RER ou en voiture et croyez moi, c’est parfois un combat! ou alors vous ètes un provocateur…ou un comique..

  • Vous enlevez votre passage sur la sécurité dans les aéroports ? (si vous aviez la gentillesse d’expliquer), tout le reste est terriblement vrai.

    L’état a détruit, lentement, insidieusement, mais consciencieusement, tout espoir, celui d’entreprendre, de créer, de s’enrichir (espérer le faire !), de vivre mieux.

    Nous subissons l’effet d’une sur-socialisation qui assure à la fois un revenu constant (rente) à une élite autoproclamée tout en créant une dépendance à un système d’aide, le fameux état providence, le tout au détriment des couches sociales les plus pauvres, elles sont majoritaires, et le nombre va croissant.

    Dans ce monde global, ce que n’ont pas perçu nos dirigeants, c’est que nous avons maintenant le choix, de vivre ailleurs notamment.
    Cet effet de concurrence échappe à l’esprit « socialiste » (droite/gauche), bien évidemment cela ne concerne qu’une minorité de la population, mais le dommageable pour le système tel qu’il est conçu, c’est que ce sont justement ceux qui assuraient le fonds de roulement qui ont ce choix, douloureux mais salvateur, de tenter l’aventure sous d’autres cieux, et les effets commence à se faire sentir.

    • Le passage sur la sécurité des aéroports est totalement justifié. Cette « sécurité » a permis l’arrestation de 0 terroristes. 0.

      « Mes petits drapeaux font fuir les girafes.
      _Mais il n’y a aucune girafes ici, enfin voyons !
      _C’est que mes petits drapeaux marchent ! »

      • Bah… mais il n’y a pas division sur le fond, loin s’en faut.
        Merci.

      • C’est sûr que voir des flics donne envie de se faire arrêter…

        • @H16

          « Ainsi et par exemple, les salariés sont confusément au courant que la moitié de leur salaire part dans des cotisations sociales »

          Toujours dans l’exagération.

          1- d’abord c’est pas la moitié du salaire, loin s’en faut.
          2- ce qui « part » (selon vos termes) n’est pas volé au salarié; mais sert à payer son hôpital, ses médicaments (savez vous que si votre rétine commence à se dégénérer: DMLA, le seul médicament injectable qui actuellement arrête le phénomène est le Lucentis qui coute 870 euros la boite et que la Securité Sociale rembourse à 100%)

          3. ça sert aussi à payer ses allocations-logement (la plupart des pauvres en location les perçoivent mais pas les riches proprios ; donc inutile de faire de la démagogie vers les pauvres).
          4. ça servira à verser des rentes à vie à partir de 65 ans à tous (et ne dites pas que ce n’est pas vrai qu’il n’y aura plus d’argent et autre prédictions catastrophistes pour faire peur aux gens)

          • * Pour moi, c’est la moitié du salaire, c’est facile à vérifier, (brut + charges patronales) / (salaire net – impôt sur le revenu ) est-il ou non supérieur à 2 ? Je trouve 2.57… Même sans compter l’IR, j’ai encore 2.07.
            * Ce qui part est employé à tort et à travers. Amariz rembourse à ma connaissance à 100%, et avec la seule cotisation patronale, sans CSG, je peux prendre le forfait Gold pour 4 personnes (et le foyer moyen français ne fait pas 4 personnes…).
            * Les allocations logement bénéficient essentiellement aux offices d’HLM, nullement aux pauvres. Il s’agit d’un moyen d’augmenter artificiellement la valeur de l’immobilier et de s’assurer d’un certain clientélisme. En leur absence, les loyers s’ajustent à la baisse.
            * Il faudrait nous expliquer comment l’argent qui est dépensé et réparti aujourd’hui, et complété par de la dette, servira à verser des rentes.

          • @ MichelO

            Quand vous dites pour moi c’est 2.07 je suis sûr que vous y incluez des tas de lignes du bulletin de salaire, sur lesquelles vous n’avez aucun droit.
            Par exemple, vous demandez je suppose à ce que votre patron vous reverse la cotisation d’assurance accident du travail que paye l’entreprise. Hein pas vrai ?
            Arrêtez de rêver Michel O , les cotisations patronales ne sont pas pour vous, aucun salarié n’y a droit.
            Elles n’iront jamais sur votre compte bancaire. Si un gouvernement veut relancer l’entreprise en 2017, en baissant les charges patronales, elles iront aux actionnaires et aux clients mais jamais au salarié.

          • @a-gauche-toute
            je vous l’ai déjà dit, à force d’être à gauche toute, vous finissez par tourner en rond.

            Vous avez raison, les prélèvements ne sont pas de 50% mais de plus de 70% car, le tout est de toute façon payé par l’entreprise, on a beau distinguer les charges patronales et salariales, mais elles sont prélevées sur la richesse de l’entreprise.

            Votre idée de monde « grand tout collectif » est semble t-elle tellement ancrée en vous avec tellement de certitudes que je me refuse à débattre.

            Par contre, avez vous un jour créé et dirigé une entreprise, créé des emplois, vous êtes vous retrouvé devant les prudhommes, avez vous passé de longues journées à débattre avec un contrôleur suspicieux, vous êtes vous entendu dire, alors que vous ne vouliez que toucher vos droits à une couverture sociale, après avoir vendu vos sociétés, en fin de carrière « Monsieur, vous n’avez rien à faire ici, avec vos revenus vous devriez avoir honte » (alors que pour avoir le bénéfice de la sécu, votre chère sécu, il faut lorsque vous avez cédé votre entreprise dans laquelle vous étiez PDG, vous inscrire aux Assedic, pas le choix, c’est l’état qui l’impose, et devant le dégout provoqué, vous faites le choix de rester (illégitimement) sans couverture sociale, mais ce n’est pas grave, vous avez de l’argent…).

            Des dinosaures dans mon genre il y en a bientôt plus, ils ont cassé le moule, maintenant les plus jeunes s’organisent, vous verrez que dans quelques petites années, de votre belle idée sociale ne restera que la contrainte et la force, car vous n’aurez plus d’autres alternatives pour leur prendre leur argent, la, peut être, vous percevrez que tout ceci est du vol.

            Tartuffe.

          • « ce qui « part » (selon vos termes) n’est pas volé au salarié; mais sert à payer son hôpital, ses médicaments » : parfaite synthèse du mensonge des socialauds !

            Ce qui part est effectivement volé car cela ne sert pas à payer SON hôpital mais l’hôpital d’un autre, généralement un parasite qui n’aura jamais rien payé lui-même (les politiciens ou un quelconque de leurs affidés). C’est même la double peine pour le fameux salarié : non seulement il paye les soins des autres qui ne contribuent aucunement au financement de leurs propres soins, mais quand le salarié aura besoin de se soigner à son tour, il se verra opposer la pénurie organisée par la SS et aura des soins au rabais ou peu remboursés. Désolé, cher salarié, non seulement il n’y a plus d’argent pour vous mais en plus, vous allez devoir rembourser les dettes publlques.

          • @patronus
             » il faut lorsque vous avez cédé votre entreprise dans laquelle vous étiez PDG, vous inscrire aux Assedic, pas le choix, c’est l’état qui l’impose, et devant le dégout provoqué…..  »

            oui et alors ? c’est la règle : pas d’emploi (ni être au statut de demandeur d’emploi) pas de sécu.
            Moi ça ne me gène pas.
            En plus ce que vous dites est faux.
            Car même si vous refusez d’etre inscrit aux Assedic (pour ne pas côtoyer du prolétaire miséreux) , et choisissez d’être rentier,vous pouvez être assuré volontaire à la sécu (il suffit de s’inscrire et de payer)

          • @turnover
            Je ne demande pas que mon patron me reverse la cotisation d’assurance accident du travail, je demande que nous décidions ensemble auprès de qui (à priori du moins-disant) nous souscrirons une assurance (dont le principe peut très bien être obligatoire) pour couvrir le risque d’accident du travail.
            Quant à dire qu’aucun salarié n’y a droit, il me semble que les syndicats touchent les retours de cette gabegie, que le parlement a encore voté mercredi pour leur donner la haute main sur le choix des mutuelles au mépris de l’intérêt des autres salariés, et que ces pratiques sont inqualifiables.
            Enfin, prétendre que les baisses des charges patronales bénéficient aux actionnaires et aux clients, mais pas aux salariés (en supposant que ces derniers ne sont ni l’un ni l’autre, ce qui est un choix idiot de leur part pour le premier et difficile à croire pour le second), c’est quand même paradoxal dans un pays qui conjugue d’une part les plus fortes charges patronales, les plus faibles marges, et d’autre part les plus grandes difficultés à faire face à ses concurrents, à embaucher, et à rémunérer correctement les salariés.
            Les pays qui y ont vu un lien de causalité ont amélioré leur situation en y portant remède. Vous pourriez au moins vous interroger…

          • @a-gauche-toute
            j’ai bien saisi que cela ne vous gênait pas ! et pour cause, tant que des gens comme moi et combien d’autres obscurs anonymes payent pour que vous profitiez de ce que nous créons, effectivement, pourquoi vous en priveriez vous ?

            Tout comme le fait que vous trouviez normal que je sois insulté.

            Il est évident que vous ne lâcherez rien, je n’ai pas le moindre doute à ce sujet, mais relisez moi bien, la fête est finie, il n’y aura pas de révolution ni de grand chamboulement, cela va être sournois, ça l’est déjà, vous allez perdre vos « avantages » ceux que vous tétez aux mamelles de l’état qui, nous l’avons bien compris est pour vous une réelle providence.

            H16 a raison, ce pays est foutu, ce sont des gens comme vous qui trouvent échos, il n’y a qu’à lire la presse ou parcourir un forum, nos dernières élections (celles des 40 dernières années en fait…) en disent long sur l’état d’esprit des Français.

            Tartuffe, vraiment.

          • @MichelO
            Si tout le monde avait votre réflexion.

            Les mesures brutales n’ont jamais donné de résultats, pas plus le fait qu’il faille s’inscrire dans la destruction de la sécurité sociale, il faut simplement que cet organisme accepte d’être en concurrence, dès lors, et pourquoi pas, ils en deviendraient performant ?

            Il faut par contre sortir de l’idée que l’entreprise soit légitimée dans le fait d’assurer une couverture sociale à ses salariés, c’est un non sens.

            Considérant tout cela, il est urgent d’établir un plan de quelques années (c’est long mais court quelques années…) afin que la libre concurrence se mette en place sainement.
            Ainsi il est possible de considérer que :
            1) un salarié arrive avec une proposition de couverture sociale autre que la sécu, l’entreprise paye son salaire à l’employé et l’augmente en fonction de sa « cotisation ».
            2) le salarié ne désire pas quitter la sécu, auquel cas l’entreprise se voit imposer pendant encore quelques temps ce régime mais elle pourra proposer un régime autre au salarié, ce dernier ne pourra pas le refuser à terme si tant est que les conditions de couvertures soient égales, après tout il est légitime qu’une entreprise maîtrise ses coûts, je sais pas l’état (!).

            La condition sine qua non étant qu’à terme, l’entreprise n’ait plus à s’occuper d’autre chose que de la rémunération de ses salariés, autrement dit le versement d’un salaire net sans aucune retenue.

            Je rêvais d’un autre monde…

          • Turnover:  » les cotisations patronales ne sont pas pour vous, aucun salarié n’y a droit. Elles n’iront jamais sur votre compte bancaire »

            Tu comprends rien toi hein ?
            Le salaire complet à tout à voir avec la gestion des couts cachés par le salarié et strictement rien avec « j’empoche le fric ».

          • Je suis menuisier. Je passe du temps à dégauchir du bois. Vous savez ce que cela veut dire, dégauchir? Enlever le gauche, enlever la partie tordue du bois. Alors votre  » à gauche toute » vous vous la gardez. Allez vivre au pôle sud ou sur la lune et foutez nous la paix avec votre gauche, on en crève de votre gauche de merde.

          • Le collectivisme, ça ne marche pas, il n’y a pas un seul pays qui a pu faire la preuve que la redistribution fonctionnait.
            Vos belles idées sur la solidarité ne sont belles qu’en théorie, en pratique, l’argent collecté est toujours détourné (en grande partie), et surtout très mal redistribué.
            Ce système ne sert qu’à créer des assistés et des fonctionnaires, ça c’est prouvé.

            Le collectivisme ne peut plus faire illusion aujourd’hui, dans tous les pays qui l’appliquent, les finances sont en bernes et les dettes explosent, y compris les USA qui sont aussi mal barrés sur ce chemin.

            Alors vos belles théories de sécu, de retraites, vous pouvez encore en parler parce qu’il y a des investisseurs pour financer la gabegie, mais ça sera terminé dans pas longtemps, et vous verrez ou seront vos belles paroles.

            LE SOCIALISME NE MARCHE PAS.
            C’est aussi simple que ça.

            Il n’y a aucune preuve d’un pays socialiste qui ne soit pas lourdement déficitaire.

      • Les petits drapeaux, j’adore. Je vais peut-etre en mettre dans mon bureau.

        Le pire avec cette histoire de temps perdu, c’est qu’il n’est gagne pour personne : c’est un peu comme se faire voler son autoradio tout pourri, on se demande bien ce qu’ils pourront en faire et le pire, c’est de devoir remplacer la vitre de la voiture en urgence (en me relisant sur ce point, je trouve la comparaison douteuse mais elle reste pertinente dans d’autres situations, donc je la laisse)…

  • «  » »les disparitions d’emplois provoquées par la mise en place des normes lorsque les entreprises concernées les prennent de plein fouet «  » »

    «  » »l’obligation pour les stations de se soumettre à des normes environnementales avant le 31 décembre 2013. Selon la Fnaa, cette mesure pourrait conduire 1600 points de vente à mettre la clé sous la porte, faute d’avoir les moyens de financer ces travaux. » » »

    http://www.lefigaro.fr/societes/2013/05/28/20005-20130528ARTFIG00410-les-pompistes-alertent-sur-la-fermeture-des-stations-services-en-france.php

  • Le premier impôt temporel est l’école. Un écolier français, c’est un peu l’enfant du cimetière. Pourquoi faire de longues études, si ce n’est pour retarder l’entrée au chômage ? Ce pays est mort, il faut vite passer à autre chose.

    • +1
      Les bacheliers d’aujourd’hui on le niveau du certificat d’études d’il y a 50 ans.
      On leur fait donc perdre 5 à 8 ans pour rien.

      • En plus la lenteur en elle même génère des décrochages scolaires.

        La preuve : commencez une conférence de 2 h en racontant des évidences, des banalités que tout le monde connait, pendant 1 h. Ensuite, sur le même ton vous vous mettez à dire des choses intelligentes, intéressante. La plupart des gens n’en retiendront qu’une petite partie (ou rien du tout), parce qu’ils auront mis en cerveau en veille.

        Pour l’école c’est le même principe, mais sur des gosses appliqués pendant des mois au lieu d’heures.

        Au bout d’un certain temps, les plus vifs sont brisés.

  • « En fait le temps perdu qu’on ne rattrape plus! »(Trust,antisocial,de Berni Bonvoisin :-))
    Et a propos de préfecture et du temps qui y est perdu,je me souviens y aller pour carte grise,un vendredi,en Meuse je suis,et on me dit ce jour là « désolé monsieur,chaque vendredis de fin de mois le service carte grise est férmé »…ce jour là je fus « débécté »,autrement dit,ecoeuré au plus haut point!

    • Cher Dom
      Vous faites partie encore des gens qui font la queue pendant des heures en préfecture, pour obtenir une carte grise ?.
      Ne vous êtes vous pas posé la question de savoir pourquoi dans ces files d’attente, on ne trouve pratiquement que des immigrés ou des traine-misères illétrés ?
      Que les cartes grises s’obtiennent, sans faire la queue, par internet ou en payant une commission à une agence qui s’en chargera pour vous.
      Même les réparateurs autos comme Norauto, si vous achetez les plaques chez eux, ira vous chercher votre carte grise.

  • A Cavaignac : et qu’est-ce que tu fous de ceux qui ne pourraient pas cotiser en travaillant? Les malades mentaux, les handicapés physiques et mentaux, t’en fais quoi? Quand on parle de parasite, autant assumer ses pensées fachos et arrêter de jouer la fillette hypocrite.

    • Ceux qui sont handicapés dépendent de la charité publique et de celle de leurs proches. La charité est très différente de la solidarité, elle est bien plus répandue chez les libéraux que chez les socialistes, ET ELLE NE SE FAIT PAS AVEC L’ARGENT DES AUTRES.

      • Voilà le retour des bisounours! Les libéraux sont tellement niaisous qu’ils ne savent même pas le fondement de leur propre théorie. L’intérêt personnel, tu connais? Les parasites handicapés qui collent aux basques des honnêtes gens qui bossent, ça rapporte que dalle, c’est pas dans mon intérêt, donc à la décharge! Et hop, la moitié de la populace mal née crève en silence. Mais pour un esprit imbibé de catéchisme à la petite semaine, merci à dieu et gloire au dieu argent!

        • Je connais parfaitement le fondement de la théorie libérale, qui est de choisir ce que l’on fait de son argent. Je connais aussi les statistiques, qui montrent que les libéraux se montrent bien plus humanistes que les malotrus qui prétendent exprimer leurs idées à leur place pour mieux les déformer. Mais je reconnais que j’ai le plus grand mépris pour ceux qui insultent ceux qui ne suivraient pas leurs consignes de partage, et presque autant pour ceux qui font « le bien » parce qu’on leur a dit de le faire plutôt que par choix personnel.

          • Et toi, qu’est-ce que tu fais à longueur de journée si ce n’est prêcher la bonne parole libérale? Cette hypocrisie est à gerber. Et qu’est-ce que tu fais des apolitiques? Yen a pas? ta vision du monde se résume à socialistes versus libéraux, t’as la vue un peu courte non? Et d’où tu peux sortir un « humanisme » à partir de statistiques? Tu comptes à chaque fois que tu fais une bonne action? Tu tiens un livre de comptes qui répertorie toutes les fois où t’as offert un bon pourvoir à une belle prostituée qui ne demandait que ça?

          • rituelamounu: « Tu comptes à chaque fois que tu fais une bonne action? »

            T’as plutôt intérêt sinon tu fini sur la paille et deviens un assisté comme les autres. Ta maman t’as rien appris ? Ah mais non, évidemment, toi tu t’en fou totalement, ta « générosité » ne te coute pas un radis.

            Se payer une bonne conscience avec les biens des autres, quel belle idée humaniste (que ne reniait pas les esclavagistes.)

    • La fillette hypocrite, c’est la pourriture qui se sert des « malades mentaux, handicapés physiques et mentaux » comme bouclier humains. Cette population ne touchent pratiquement rien, en réalité. Les hopitaux psy sont misérables, l’assistance pblique aux trisomiques, autistes ou autres est quasi nulle et ce sont des structures privées qui assurent l’essentiel du travail ( en faisant appel à la charité publique)

      Alors assume tes pensées fachos, parasite mussolinien.

      • Dixit celui qui approuve la destruction de l’Etat! T’es un sacré comique mon gars! Dis, qui vocifère tous les 4 matins comme un putois contre le grand méchant Etat et ses dépenses sociales scandaleuses? Les malades riches auront la chance de se faire soigner dans les hôpitaux de luxe, les autres crèveront la gueule ouverte faute d’avoir du fric.
        Et la charité publique en ce domaine n’existe pas, c’est du business, du « charity business », un placement juteux pour les pourris qui essayent de s’acheter une conscience avant de crever tranquillement dans leur lit de soie avec leur pépette.

        • rituelamounu: « et ses dépenses sociales scandaleuses? »

          Genre les palais des élus, leurs rémunérations, les 600’000 élus (record mondial) casés sur le dos de la population, et toutes les merdes (60 milliards au moins de gaspillés selon l’ifrap sans absolument RIEN de social) payée par « les autres ? »

          Tu as bien appris les leçons de l’aristocratie corporatiste, il sont content de toi.

    • La seule chose qui ait du sens dans l’éructation haineuse du facho rituelamounu, c’est que les socialistes totalitaires au pouvoir, du PC au FN en passant par le PS, les verts et l’UMP, sont effectivement des handicapés mentaux. Incapables de produire la moindre richesse par eux-mêmes, on comprend que ces parasites ne peuvent pas espérer survivre sans notre argent volé par l’Etat obèse, qui n’est providentiel que pour eux. On comprend également pourquoi les éructations sont de plus en plus haineuses, au fur et à mesure que cette évidence apparaît à la lumière, en même temps que le répression fiscale des criminels socialistes se fait brutale et violente.

      • Dis, ton panorama, ça fait du monde non? Tu crois que t’auras assez de cartouches pour tous les buter? C’est rassurant de se voir confirmer la puanteur de la vraie pensée libérale qui s’incarne. Alors comme ça, les malades mentaux sont des parasites? Tu veux liquider les malades mentaux au pouvoir? C’est tellement simple, il suffit de trouver un bouc-émissaire et d’un coup, tout baigne. C’est cool car c’est exactement ça un facho. Pourquoi tu ne crées pas ta propre milice, tu n’en as pas le courage?

        • Kel troll te nom, rotuelamounu.

        • @rituelamounu :

          Tu es comme tous les socialistes dans ton discours : idéologie 100%, faits 0%. Quel pays a vu ses pauvres s’enrichir grâce à ta doctrine: l’URSS, Cuba, la RDA,l’Argentine, l’Angleterre où a débarqué le FMI en 72 après 15 ans de « travaillisme »? l’Europe en faillite de Paris à Athènes de 2013?

          TOUS les pays gérés par le socialisme ce sont effondrés. Cette doctrine basée sur la culpabilisation des gens pour en faire d’obéissant moutons, brise tout élan de vie, d’initiative, et se fonde sur extrême un centralisme de la décision incapable de rejoindre la moindre parcelle de réalité, et tourne tôt ou tard à l’autoritarisme .

          Retourne sur, à peu, près l’ensemble des autres médias subventionnés par les citoyens et en particulier -proportionnellement- les pauvres de ce pays. Curieusement ces médias étatistes ne reversent rien de leur budgets à ceux dont ils profitent….le vrai visage de ta pseudo solidarité.

          Continue les invectives, ce sont les arguments de ceux qui n’en ont pas.

          • AlpineGG: « Quel pays a vu ses pauvres s’enrichir grâce à ta doctrine: »

            … »Il n’y a plus d’abonné au numéro que vous avez demandé »… 🙂

    • @rituelamounu
      Ce n’est pas possible, même en étant provoquant, vous ne pouvez pas débiter de telles âneries ? « pensées fachos », au delà de l’insulte, s’en est pathétique car je sens, hélas, que vous êtes persuadé par ce que vous dites.

      • On peut comprendre la nostalgie de rituelamounu. Contrôler les autres, arracher leurs biens, forcer, plier, emprisonner, voler, c’est dans ses gênes.

        Musssolini: « Tout dans l’État, rien contre l’État, rien hors de l’État »
        Hitler: national SOCIALISTE
        Staline: Communiste.

        • Oui, mais là, pour faire avaler ça à quelqu’ un, il faut le nettoyer du bourrage de mou scolaire, journalistique, et de sa propre paresse intellectuelle. Franchir le cap ça demande d’ aimer la vie, celle qui échappe encore à tout contrôle humain.

  • Le dessin qui tue !

    Cette année, j’ai des problèmes avec l’assurance maladie.

    Sans que je sache pourquoi ni comment, je me suis retrouvée dans leurs fichiers, sans médecin traitant, alors que j’en ai un en bonne et due forme. Comme par hasard, ce fut cette année où j’ai eu des problèmes de santé. Problèmes sérieux mais sans plus. Donc des consultations chez des spécialistes, des examens et un traitement ( à vie …). Je ne vais pas vous raconter ma vie. Mais là où ça concerne tout le monde, c’est que tous ces examens et consultations que j’avais faits dans les règles de l’art ont subi un bon coup de rabot du fait de mon éviction totalement injustifiée du parcours de santé ( médecin traitant). J’ai eu un mal fou à faire valoir mes droits. En définitive, il paraîtrait qu’il s’agirait d’un bug informatique. D’après mon médecin traitant que j’ai dû faire intervenir, c’est courant. Des cas comme le mien, il y en a à la pelle.

    Etant donné que ce problème a pris du temps à être réglé ( 4 mois), j’ai consulté mon compte ameli régulièrement. Pour surveiller. Et là, d’un coup, mon fils, lycéen de terminale, a disparu des écrans radar. Messages électroniques, coups de téléphones, rien n’y faisait. Ils avaient décidé que mon fils était étudiant et dépendait de la Smerep ou de la Lmde. Merdalors. Ils savent mieux que moi ce que mon fils fait. Copie du message, fautes de français non corrigées :

    Bonjour,

    Suite à votre demande du 27.06.2013, je vous confirme la réponse qui
    vous a déjà été apportée, en effet le régime de sécurité sociale
    étudiant a pris en gestion le dossier de votre fils ( surement du a
    l’inscription a son école pour l’année prochainne )

    Suite à votre mail courant, apès vérification de votre dossier, je
    tiens à vous informer que votre fils FFFFF doit être en étude
    supérieur au bac donc il doit avoir un régime spécial étudiant ( LMDE ou
    SMEREP).
    je vous fais part de son numéro de sécurité social qui est le
    1XXXXXXXX en vous demandant que vous rapprocher de son régime
    spécial.
    Je demeure cependant à votre service pour de plus amples renseignements.

    Avec toute notre attention,

    Au téléphone, on m’a raccroché au nez, au sens propre, en me disant que mon fils avait été transféré « dans le 75 « . Clac, même pas au revoir. Pas de « va te faire foutre connasse » mais on sentait que l’intention y était. Il est vrai que c’était un vendredi aux alentours de 15h30.

    Cela a été épique !

    Ils se disent débordés mais ils sont débordés pour traiter toutes leurs conneries. S’ils n’avaient pas radié mon fils arbitrairement, s’ils n’avaient pas viré tout aussi arbitrairement mon médecin traitant, je n’aurais pas passé des heures sur leur site internet, au téléphone, chez mon médecin, à l’imprimante, à la poste.

    Je les hais.

  • Personne n »ose parler de fraternité la cohérence de la nation est , depuis environ 40ans ébranée par le comunautarisme , c’est le mot solidarité qui est utilisé mais ça ne trompe que les crédules , LA solidarité n »est pas une comme certains tente de faire gober , elle est multiple , à géométrie variable , quand j’avais payé 100% de frais d’hosto ET payé la csg j’ ai pigé que LA solidarité parfois c’est pas comme les ascenceurs ! ça ne marche bien que dans 1 sens .
    Et puis voyez mon post d’hier sur édito : 4 morts 150 jours de bracelet elles sont ou vos valeurs humaines socialistes , elle est ou votre solidarité avec LES victimes ?

  • http://www.institutmolinari.org/fardeau-social-et-fiscal-de-l,1638.html
    Attention, ça fâche !
    Je me demande s’ils ont pris en compte les CSG – RDS etc; et les locaux ?

  • SERVICE PUBLIC : Impôt temps + incompétence.

    Permettez-moi de vous raconter une petite anecdote.
    Attention pas quelque chose que l’on m’aurait raconté, mais du vécu personnel :
    Du temps où j’avais la bêtise d’avoir ma petite entreprise, mon épouse appelle l’Urssaf pour obtenir qu’il envoie un document obligatoire (après de nombreux mails et appels).
    La réponse du fonctionnaire, lui coupant la parole :  » Nous n’avons pas reçu votre mail »
    Mon épouse très surprise de rencontrer un télépathe : « Comment pouvez-vous savoir que vous n’avez pas reçu de mail, car je ne vous ai pas encore dit le nom de l’entreprise ou le Numéro de SIRET.
    Le brave suceur de sang bafouilla une bouillie de mot, consenti à tapoter sur son ordinateur et admit que nous avons bien envoyé plusieurs mails.

    Voilà ce qui arrive lorsque des gens peuvent vivre à vie sur le dos des autres sans être sanctionné.

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