Par Anton Suwalki.
Le 19 septembre 2012, un célèbre quotidien vespéral rendait ainsi compte de l’étude de Séralini sur les rats nourris au maïs NK603 à paraître dans la revue Food and Chemical Toxicology :
« Tumeurs mammaires chez les femelles, troubles hépatiques et rénaux chez les mâles, espérance de vie réduite sur les animaux des deux sexes… L’étude conduite par le biologiste Gilles-Eric Séralini (université de Caen) et à paraître dans la prochaine édition de la revue Food and Chemical Toxicology fait grand bruit : elle est la première à suggérer des effets délétères, sur le rat, de la consommation d’un maïs génétiquement modifié – dit NK603, commercialisé par la firme Monsanto – associé ou non au Round-Up, l’herbicide auquel il est rendu tolérant.
Les auteurs ont mis en place un protocole expérimental particulièrement ambitieux. Ils ont testé – sur un total de plus de 200 rats, et pendant deux ans – les effets d’un régime alimentaire composé de trois doses différentes du maïs transgénique (11 %, 22 % et 33 %), cultivé ou non avec son herbicide-compagnon. (sic) »
Un texte écrit par Stéphane Foucart, responsable de la rubrique Planète dans Le Monde. On notera des erreurs factuelles. L’étude en question n’était pas la première à suggérer un effet délétère d’un maïs génétiquement modifié. Un certain Foucart Stéphane ne titrait-il pas déjà en 2007 : « Forts soupçons de toxicité sur un maïs OGM » ?
L’étude en question, totalement discréditée, étant du même Séralini, cet oubli de la part de Stéphane Foucart peut surprendre, mais pourrait expliquer son absence totale de méfiance vis-à -vis de cette nouvelle étude, qualifiant son protocole de « particulièrement ambitieux ». Ne cherchez pas un quelconque second degré dans cette appréciation…
Autre « approximation » du journaliste du Monde : « Or jusqu’à présent, de nombreuses études de toxicologie ont été menées sur différents OGM et sur différentes espèces animales, sans montrer de différences biologiquement significatives entre les animaux témoins et ceux nourris avec les végétaux modifiés. Cependant, la plupart de ces travaux, rassemblés dans une récente revue de littérature conduite par Chelsea Snell (université de Nottingham, Royaume-Uni) et publiée en janvier dans Food and Chemical Toxicology, ont été menés sur des durées très inférieures à deux ans, et avec un plus faible nombre de paramètres biologiques contrôlés chez les animaux. De plus, tous ou presque ont été financés ou directement menés par les firmes agrochimiques elles-mêmes. »
À l’évidence, Foucart n’a pas lu cette étude1, mais… en a entendu parler… La méta analyse de Snell et al. reposait en effet essentiellement sur des études de plus de trois mois à deux ans, ou multigénérationnelles, menées explicitement pour la plupart d’entre elles dans le cadre de la recherche publique.
Dans son article de septembre 2012, Foucart n’avait pas entrevu la moindre faille concernant le « plan expérimental » de Séralini et al. Voilà qui est bien excusable. Après tout, on ne peut sans doute pas, en tant que journaliste scientifique, être au taquet dans tous les domaines.
Ce qui est plus surprenant, c’est l’absence de réaction face à l’extraordinaire mise en scène qui avait entouré la parution de cette étude, et en particulier la clause de confidentialité décrite de façon très neutre : « [De] manière inhabituelle, Le Monde n’a pu prendre connaissance de l’étude sous embargo qu’après la signature d’un accord de confidentialité expirant mercredi 19 septembre dans l’après-midi. Le Monde n’a donc pas pu soumettre pour avis à d’autres scientifiques l’étude de M. Séralini. Demander leur opinion à des spécialistes est généralement l’usage, notamment lorsque les conclusions d’une étude vont à rebours des travaux précédemment publiés sur le sujet. » Les questions déontologiques ne semblaient pas alors tarauder Stéphane Foucart.
Foucart se range tardivement, et mollement, à l’avis des experts
Un an après, les choses ont un peu changé. Stéphane Foucart fait un court bilan de l’affaire Séralini dans un article du Monde paru le 17 Octobre : « OGM : que reste-t-il de « l’affaire des rats » de Séralini » ? »
Depuis son premier article, Foucart a dû se rendre à l’évidence : « Que l’on soit favorable ou non aux biotechnologies végétales, il faut le reconnaître : les travaux en question n’ont rien démontré et n’ont pas fait avancer la connaissance. Ils ont répandu une crainte largement disproportionnée, non seulement au vu de la qualité de l’étude elle-même. » Dont acte.
On se demande tout de même pourquoi le journaliste estime nécessaire de préciser « que l’on soit favorable ou non aux biotechnologies végétales ». Mais passons.
Foucart liste donc, a minima, les défauts de l’étude « au protocole particulièrement ambitieux ».
« Protocole inadéquat, puissance statistique trop faible, entorses à la déontologie dans le traitement des animaux de laboratoire, stratégie de communication contestable, etc. »
Le protocole « ambitieux » est devenu inadéquat, la puissance statistique est qualifiée de « trop faible ». On progresse, quoique tout doucement !
Toutefois, Foucart tarde encore à appeler un chat un chat : la stratégie de communication de l’équipe de Séralini est simplement… « contestable ». La volonté manifeste de minimiser les fautes déontologiques se vérifie lorsque l’auteur de cet article en profite pour dénoncer… celles des six académies scientifiques et technologiques françaises !
« Mais les choses sont un peu plus compliquées. D’abord, une part des critiques adressées au biologiste français et à son équipe n’ont rien à voir avec l’esprit de la science ni le souci de santé publique. Parmi les premiers à avoir réagi avec virulence pour contrer les travaux de M. Séralini, les six académies scientifiques (science, médecine, agriculture, etc.) n’ont pas attendu la contre-expertise de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) : elles ont condamné l’étude ab initio, sans argumentaire scientifique étayé, par voie de communiqué. »
Rendez-vous compte : les six académies ont publié un avis sans attendre la contre-expertise de l’ANSES, voire pire, sans l’autorisation de Stéphane Foucart ! Du coup, on comprend que l’offensé n’ait pas daigné lire l’avis des académies : celui-ci, quoique plus succinct que les avis de l’ANSES et du HCB, émet en effet des critiques tout-à -fait analogues à celle des différentes agences d’expertise françaises ou internationales. Le fait qu’elle ait en outre discuté des aspects éthiques de l’affaire expliquerait-il l’attaque totalement gratuite de Foucart ?
Risquons une autre explication : « C’est d’autant plus choquant que les mêmes académies sont généralement promptes à conserver un silence prudent et confraternel lorsque des dénigrements de la science autrement plus graves sont perpétrés du sein même de leurs rangs. De l’amiante au changement climatique, des exemples plus ou moins récents ne sont pas exactement à la gloire de l’establishment scientifique français. »
Nous y voilà . Foucart semble ici régler ses comptes à l’Académie des sciences pour le rapport qu’elle avait rendu sur le changement climatique, à la demande de Valérie Pécresse, et donc, une fois de plus, sans l’autorisation expresse de Foucart. Ses conclusions étaient pourtant largement conformes à celles du GIEC. Pas assez militantes et prescriptives peut-être aux yeux du journaliste ? Valérie Pécresse, n’aurait-elle finalement pas dû s’en remettre à M. Foucart ?
Du coup, cette « faute de goût » rédhibitoire de l’Académie des sciences déteint sur les cinq autres académies, peu importe le sujet, le contexte, peu importe ce qu’elles ont vraiment dit…
« Pas de fraude »
« Quant aux accusations de fraude, écrit le journaliste, elles ont fait chou blanc : « En dépit de pressions énormes, rappelle l’eurodéputée Corinne Lepage (Cap 21), présidente du Comité de recherche et d’information indépendantes sur le génie génétique (Criigen), l’étude n’a pas été retirée par la revue. » » Placé juste après la charge contre les académies, ce « quant aux accusations de fraude… » laisse penser que celles-ci émanent de ces académies. Or si l’avis des académies s’intéresse aux atteintes à l’éthique de l’équipe de Séralini, nulle part il n’y est question de fraude concernant l’étude elle-même. Mais cette diversion de Foucart est aussi l’occasion de donner le dernier mot à Corinne Lepage, c’est-à -dire une des principales organisatrices de la mascarade médiatique ! Très fort.
La loi de Gresham s’appliquerait-elle à la toxicologie ?
La loi dite de Gresham décrit un système économique où coexistent deux monnaies, l’or et l’argent, et où dans un régime de changes fixes, la « bonne monnaie » (l’or) est thésaurisée tandis que tous les paiements sont effectués avec la « mauvaise monnaie » (l’argent). « La mauvaise monnaie chasse la bonne ». Se pourrait-il qu’existe en science une loi inverse à celle de Gresham, selon laquelle la mauvaise science amènerait la bonne ? C’est un peu le raisonnement de Foucart (il n’est malheureusement pas le seul).
« Un travail scientifique de piètre qualité peut [donc] en lui-même ne pas faire avancer la connaissance, mais créer les conditions d’une augmentation du savoir. La cocasserie de tout cela est qu’en publiant son étude, M. Séralini a en réalité brisé une sorte de paix armée entre opposants et partisans des OGM. Jusqu’à présent, chaque partie pouvait mobiliser une ignorance suffisante pour affirmer ce que bon lui semblait. »
Ainsi la mauvaise science ne chasserait pas la bonne, mais créerait les conditions de l’apparition de celle-ci. Subtile dialectique ! Imaginons un instant de remplacer dans le texte Séralini par un climatosceptique, et le GIEC dans le rôle de la bonne science : Foucart expliquerait-il que les premiers créent les conditions d’une augmentation du savoir produit par le GIEC ? La « fabrique du doute » dénoncée par le journaliste fonctionnerait-elle différemment selon les disciplines ? Délétère dans certains cas, vertueuse dans d’autres ?
Quant à l’ « ignorance suffisante », c’est un peu l’affaire de la paille et de la poutre. De la poutre dans l’œil de M. Foucart.
Foucart croit pouvoir mobiliser l’ANSES : « (..) à la différence des académies, par exemple – elle soulignait le laxisme surprenant des tests réglementaires et les lacunes de la connaissance. L’Anses reconnaissait « l’absence de travaux étudiant les effets potentiels à long terme de l’exposition à différentes formulations de préparations à base de glyphosate et le nombre limité de ceux portant sur les effets à long terme d’une consommation d’OGM ». Autant de lacunes difficilement justifiables que les plus virulents critiques de M. Séralini n’ont jamais cru bon de pointer au nom de la « bonne science ». »
Si ces travaux n’existent pas de manière systématique, il ne faut pas chercher plus loin, et notamment sur leur faisabilité, concernant le test d’un aliment entier, leur pertinence, leur plus-value réelle par rapport à une étude de toxicologie subchronique etc. Non, pour Foucart, les choses sont simples : c’est du laxisme. Faut-il d’ailleurs préciser que l’appréciation de « laxisme surprenant » est celle du journaliste, et non pas de l’ANSES ? Marc Mortureux, actuel directeur général de l’Anses est également appelé à la barre par Foucart : « Le bilan de cette affaire n’est pas inintéressant ». Tel est effectivement le point de vue d’un haut fonctionnaire à un poste éminemment politique, voire occupant un siège éjectable. Les concessions faites à la suite de la prise en otage de l’opinion publique suite à la stratégie de communication « discutable » du CRIIGEN, ne servent pas l’avancée de la connaissance scientifique, contrairement à ce que feint de croire Foucart. Soulignons que dans le cas de l’appel d’offre française Risk’Ogm, parrainée par le ministère de l’environnement et mentionnée par Foucart, on ne sait pas trop ce qu’on va chercher ni comment. Peu importe, des fois qu’on trouverait quelque chose, de nature à relancer la polémique et à brandir le « principe de précaution ». Une démarche finalement assez séralinienne ! Quand dans un tel appel d’offre, on lit qu’ « un des objectifs du projet pourrait être d’apporter des éléments sur le caractère prédictif des études à 90 jours », on se dit que les bureaucrates qui se sont chargés de l’élaborer n’ont même pas pris la peine de se renseigner sur l’état de la connaissance à ce sujet.
À l’instar de la loi de Gresham sur la monnaie, et quoi qu’en dise Foucart, la mauvaise science aurait plutôt tendance à chasser la bonne. Sans compter les dégâts qu’elle produit sur le discernement des journalistes, fussent-ils des journalistes scientifiques.
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Sur le web.
Lire aussi : Le dossier de Contrepoints consacré à l’ « affaire Séralini ».
- « Assessment of the health impact of GM plant diets in long-term and multigenerational animal feeding trials: a literature review. », Food Chem Toxicol. 2012 Mar;50(3-4):1134-48. ↩
Personnellement, l’étude bidon de Séralini m’a furieusement envie de me lancer dans une carrière de chercheur.
Je pensais auparavant que la recherche impliquait des protocoles complexes, des analyses fines, une quête de la vérité. Je pensais auparavant qu’un chercheur se devait d’être sérieux pour préserver une réputation sans tache, que les comités de relecture avaient un sens et que les revues publiaient des articles de qualité, quitte à ce que les conclusions soient sujettes à débat.
Avec l’étude de Séralini, toutes mes belles certitudes sont tombées à l’eau.
Un gougnafier manipulateur et paranoïaque avait droit à tous les honneurs, l’attention médiatique et les crédits sur plusieurs années pour produire des résultats confus et en tirer des conclusions grossièrement fausses, lesquelles ont été malgré tout publiées dans un article qui confine au grotesque. Et sa carrière n’est même pas terminée!
Ce type fait honte à sa profession. Il devrait vendre des Paninis au marché de Meudon.. Sa place n’est pas dans un labo (sans agressivité aucune envers les vendeurs de Paninis du marché de Meudon, qui font un bien meilleur travail que lui et contribuent bien plus que lui à l’essor de l’humanité.)
Si Séralini est considéré comme un chercheur, alors absolument tout le monde peut être un chercheur. Si les productions de Séralini sont considérées comme de la recherche valable, alors pratiquement n’importe quoi est défendable comme « recherche ».
D’où mon désir de devenir chercheur. A voir les travaux de Séralini, je n’aurai aucun mal à relever le niveau et à apporter un peu de sérieux dans le domaine. Et sans forcer avec ça.
Certes, Seralini est un charlatan. Il en existe dans tous les domaines et toutes les professions.
Mais, il y a plus grave. Cette affaire a révélé une terrible réalité, il semble que dans le domaine de l’information et en particulier dans la profession journalistique, le charlatanisme soit la norme. Foucart n’est qu’un porte étendard de la désinformation nationale. Rappelez-vous, le tohu bohu médiatique de l’année dernière, y avait-il beaucoup de monde (pas de Monde) pour prendre des précautions dans l’exposition de l’étude frauduleuse de Seralini ?
Contrepoints, vous êtes bien les rois du bidonnage.
Vous n’avez toujours pas compris que les OGM ne sont pas un problème de sciences, mais un problème de portefeuille 8
Je dirais aussi une question de logique de lutte des classes et de luttes contre des moulins à vents juifs.
Ok rien de bidon du coté de seralini et de l’emballage médiatique….vous avez des oeillères?
Moi ce qui m’ennuie c’est que l’opération médiatique de seralini a marché…
Aussi, il faudrait un mea culpa mediatique de meme poids que le battage du départ…
L’auteur se définit lui-même comme défenseur « de la science et du matérialisme scientifique contre tous les charlatanismes et les impostures intellectuelles. »
N’est-ce pas une imposture intellectuelle de ne pas préciser que S. Foucart a participé à un débat avec Séralini dans lequel il n’a pas particulièrement été un soutien au scientifique ?
N’est-ce pas une imposture intellectuelle de faire du « cherry-picking » ? Le seul article de S. Foucart que vous mentionnez est l’article initial, qui se veut factuel. Pourquoi ne pas mentionner d’autres articles du même S. Foucart ? http://www.lemonde.fr/planete/chat/2012/10/22/affaire-seralini-peut-on-faire-confiance-aux-toxicologues_1778861_3244.html ou http://www.lemonde.fr/planete/article/2012/09/25/ogm-les-vrais-et-faux-arguments-du-professeur-seralini_1765303_3244.html ou http://www.lemonde.fr/planete/article/2012/11/28/ogm-l-agence-europeenne-de-securite-alimentaire-rejette-l-etude-seralini_1797231_3244.html ou encore http://www.lemonde.fr/planete/article/2012/10/05/l-etude-sur-les-ogm-de-m-seralini-rejetee-par-les-experts-europeens_1770590_3244.html
N’est-ce pas une imposture intellectuelle d’utiliser le procès d’intention ?
« Nous y voilà . Foucart semble ici régler ses comptes à l’Académie des sciences pour le rapport qu’elle avait rendu sur le changement climatique […]
Du coup, cette « faute de goût » rédhibitoire de l’Académie des sciences déteint sur les cinq autres académies, peu importe le sujet, le contexte, peu importe ce qu’elles ont vraiment dit… »
Peut-être faisait-il référence à un autre épisode ? http://www.lexpress.fr/actualite/societe/environnement/pas-de-consensus-sur-le-rechauffement-climatique-a-l-academie-des-sciences_831437.html
De plus il ne citait pas que le réchauffement climatique, et (par exemple) sur l’amiante, la position de l’académie de médecine était visée.
N’est-ce pas une imposture intellectuelle d’utiliser le procédé de l’homme de paille ? À plusieurs reprises l’auteur dit que S. Foucart est contrarié parce qu’on ne lui a pas demandé son avis avant la publication de rapport. Il n’a jamais prétendu cela. Vous lui faîtes un reproche totalement infondé, visant à le ridiculiser. Honnêteté intellectuelle ?
Qui parlait de la paille et de la poutre déjà ?
Ah ah ah
J’ai lu les autres articles de Foucard, c’est du même acabit. Mais c’était bien essayé. Citons l’homme une seule fois. Il nous parle de certains articles scientifiques qui passent la revue par les pairs et dont la qualité est douteuse. Que cite-t’il ? Lisons le : « On peut ainsi trouver dans la littérature scientifique quelques rares articles de recherche qui mettent en doute l’origine humaine du changement climatique »
Merci pour ce moment de rigolade.
Seralini est un militant ecolo, et ses travaux sont financés par Greenpeace.
Et alors ??
Et alors il est *très* mal placé pour parler d’indépendance des chercheurs!
cherry picking et très mediocre travail journalistique, de manière générale sur ce sujet et pour cet article en particulier.
Il n’y a que deux camps favorables aux ogms: les ignorants et ceux qui ont des intérêts liés à ce lobby de la mort.
Personne ne peut démontrer les bienfaits de cette horreur. Nombreux sont ceux qui en dénoncent les dangers (tous?)
Les normes de la FDA aux USA ont été édictées par M. taylor, devenu VP de monsanto. La théorie de l’équivalence substantielle est du flan. L’OMS est financée par monsanto, via bill gates, gavi etc. Aucune étude épidémiologique. Taux de cancers dans le monde au plus haut, année après année depuis plus de 10ans.
Vous êtes des imbéciles ou des corrompus, dans les deux cas je cesse la lecture de ce blog.
Dans quelques mois/années vous pourrez toujours invoquer l’ignorance, seulement c’est aujourd’hui une part minoritaire de la population (mondiale), tous les autres savent. Il suffit de chercher………..Voir le rapport publié par l’AP sur l’argentine, aux US, il y a tant d’exemples…
Allez travailler un peu si vous vous prétendez journalistes, vous êtes encore loin, très, très loin…
Et suivez les conseils que vous prodiguez: mangez des ogms! rendez-vous dans 15 ans 😉
@attention
« je cesse la lecture de ce blog », et bien salut !
Et je vais vous dire : vous êtes un borné comme on en rencontre, malheureusement, dès que « votre » idéologie stérile est mise en doute…
Au plaisir de na pas vous relire !!!