Vraiment, il n’y a pas à tortiller : il y a vraiment des cadors en charge de la communication dans ce gouvernement ! Alors que la colère fiscale continue de monter inexorablement et que (il faut bien le dire), aucune espèce de bidouille hollandiste ne pourra facilement en venir à bout, les annonces et autres fanfaronnades de Bercy redoublent dans la presse.
J’avais d’ailleurs noté dans un précédent billet les déclarations effarantes de Cazeneuve, dit Bernie Les Bons Budgets, qui admonestait les gentils moutontribuables en dénonçant leur trop grande propension à râler devant la ponction juste, redistributive et très très citoyenne qu’il leur impose actuellement pour tenter d’équilibrer les finances d’un pays dont tout indique qu’il trottine à sa catastrophe. Dans une tempête de poncifs déchirants de bêtise, le ministre un peu désemparé s’en est pris aux méchants qui détruisent Les Radars Qui Sauvent Des Vies, aux vilains racistes et autres bananophiles déjantés qui, dans une méchanceté vraiment poujadiste, se liguent tous contre l’impôt, le tout en rappelant que ronchonner ainsi est fondamentalement anti-démocratique, anti-républicain, anti-vivrensemble, anti-état, donc, super-mal :
Le légitime débat sur le niveau des prélèvements obligatoires ne doit pas effacer un principe fondamental : celui du consentement à l’impôt, qui est consubstantiel à la République.
Devant ce genre de saillies, on se demande un peu quel lumineux cabinétard a bien pu pousser Bernie à prendre la parole pour sortir ce chapelets d’âneries bien-pensantes ; remuer le couteau taxatoire dans la plaie fiscale française en serinant à qui veut l’entendre que le tabassage auquel on assiste est « consubstantiel à la République », c’est assurément un fin calcul de communicant qui ne va pas du tout exciter les contribuables à l’approche de Noël.
Et le plus fort, c’est que la contre-performance communicationnelle de Bernie entre admirablement bien en collision avec les petits couinements d’aise de la porte-parlote du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem qui, pendant que le soutier du budget tance vertement le Français ronchon, se permet d’étaler une joie franchement déplacée de l’état fiscal catastrophique du pays : s’appuyant sur un rapport de l’INSEE qui semblerait découvrir une baisse des inégalités en France, l’aimable prétexte-parité nous sort ainsi :
Le consentement à l’impôt (…) se renforce chaque fois que l’impôt est juste.
Mais bien sûr. Du reste, si on remplace « impôt » par « euthanasie », ça marche admirablement bien et ce n’est pas un hasard, ça procède du même type de raisonnement. Le plus intéressant, dans les roucoulades mièvres de la ministre, n’est d’ailleurs pas son plaidoyer ridicule pour un impôt juste (s’il l’était, je crois que Cazeneuve n’aurait pas à rouspéter dans les colonnes du Monde) mais dans la façon dont elle interprète l’étude de l’INSEE. Ainsi, elle constate qu’avant la redistribution fiscale et citoyenne en 2012, le niveau de vie moyen des 20 % les plus riches était 7,6 fois supérieur à celui des 20 % les plus pauvres, alors qu’après, joie et sourire lumineux sur le visage de la porte-parole, youpi, le rapport n’est plus que de 4 ! Magie du socialisme qui transforme les riches en pauvres et les pauvres en pas riches.
Ce que la brave Najat s’empresse de ne surtout pas évoquer, c’est que les chiffres de 2011 montraient que le rapport passait de 7,4 à 3,9. Autrement dit, en 2011, les écarts entre riches et pauvres étaient plus faibles. Pauvre, pauvre Najat qui ne sait pas lire les études de l’INSEE et qui en déduit niaisement au « retour de la solidarité fiscale en France » alors que, bien tristement, cette étude montre exactement le contraire. En réalité, ce genre d’études, bricolage statistique assez peu significatif, forme comme souvent le lit des joueurs de pipeau que Najat n’est certainement pas la dernière à occuper.
Si l’on s’en tenait aux seuls borborygmes ministériels, on pourrait se dire que tout ceci s’apparente simplement aux habituels mouvements de manche des clowns qui nous gouvernent. Enlevez-les, le spectacle s’arrête et plus personne ne veauterait pour eux. Cependant, il faut comprendre un peu la dynamique dans laquelle s’inscrivent ces déclarations.
En effet, si seul le Camp du Bien actuellement au pouvoir rouspétait sur l’antipatriotisme primaire des mécontents de l’impôt, il n’y aurait guère matière à réflexion. Cependant, il ne faut pas longtemps pour découvrir que dans l’autre camp, on tient exactement le même discours ! Oui, vous avez bien lu : un type comme Luc Chatel, que certains présentaient comme libéral — rires appuyés dans toute la salle — n’a ainsi rien trouvé de mieux à déclarer que, je cite :
Il faut arrêter de taper de manière sournoise, j’allais dire bête et méchante, sur le principe même de l’impôt.
Et pourquoi donc ? Parce que l’impôt, subitement, serait devenu désirable ? Parce que le consentement à l’impôt, pour ces gens qui, justement, n’en payent pas, veut dire « Absence de couinement sous la pression », le peuple devrait « arrêter de taper sur le principe même » ? Décidément, comme on le voit, ce fameux consentement est, bien plus que l’antiracisme de synthèse au goût banane, un thème fédérateur chez tous les élus.
Mieux encore : il suffit d’écumer la presse pour découvrir que depuis quelques semaines, un petit crin-crin lancinant s’est installé à différents postes des institutions de l’État, dans les administrations, les cabinets, les ministères et l’Assemblée. Ainsi, voilà Bercy qui fanfaronne sur le nombre soi-disant conséquent de régularisations de dossiers : oyez, oyez, les brebis fiscalement égarées reviennent chez le bon pasteur qui saura s’occuper d’elles !
L’idée consiste à faire croire qu’un nombre énorme de contribuables, pris de remords ou trop anxieux de se faire attraper par des services fiscaux d’une redoutable efficacité, se rendraient pieds et poings liés devant le centre des impôts le plus proche pour y chercher rédemption et arrangement fiscal amiable avant les terribles foudres prévues dans quelques semaines. Le but est double : cela permet d’une part de montrer à tous les autres fraudeurs pas encore convaincus qu’ils ne perdent rien pour attendre, et d’autre part – et c’est encore plus important – de convaincre les créditeurs de l’État français (fort nombreux) que la capacité de Bercy à lever des impôts et les ramener dans les caisses n’est en rien amoindrie.
Et cette démarche est absolument indispensable, parce qu’en face, le peuple, lui, se laisse de moins en moins faire et ça se voit. Ça se voit dans les sondages qui découvrent que 44 % des Français ont déjà payé des services au noir, ça se voit dans les sondages qui se rendent compte qu’un quart des Français serait tenté de frauder le fisc, et surtout, que la moitié serait prêt… à fuir la France pour échapper au chômage et aux impôts.
Et lever des impôts, dans ces conditions, devient plus difficile, plus délicat. Or, si jamais le Consentement à l’impôt des Français venait à s’émousser de façon trop visible et trop durable, la crédibilité même de Bercy, et par voie de conséquence, de tous ces fiers larrons s’effondrerait avec la disparition du crédit qui va avec.
Ce à quoi l’on assiste ici, c’est le début d’affolement d’une classe politique.
La gauche, ainsi, n’a absolument aucune idée d’où elle va et n’a qu’un seul outil dans la boîte de François, une pelle qui a déjà bien trop creusé. Et la droite, qui n’a aucun projet depuis des lustres, en est réduite à tenir le même discours.
Mais ces gens qui s’étonnent de la grogne ont oublié quelque chose d’essentiel : quoi qu’il arrive, d’où qu’ils puissent parler, c’est le peuple, et certainement pas eux, qui décide quand trop c’est trop. C’est ce peuple, et pas eux, qui définit, par son usage, sa tempérance, son calme et sa docilité, les termes précis de son consentement. C’est ce peuple, et pas eux, qui décide si sont une bonne chose ou pas les radars, l’écotaxe ou les privilèges que certains s’étaient octroyés et croyaient gravés dans le marbre.
Et lorsque la démocratie est en panne, lorsque le gouvernement refuse d’entendre le désaccord qui monte, lorsqu’il n’y a plus, justement, de consentement à l’impôt, les actions violentes, au contraire des pétitions, méprisées, ou des manifestations, dispersées dans le gaz, sont finalement tout ce qui reste.
Prenez gardes, thuriféraires de l’impôt. Le consentement, c’est plus maintenant.
—-
Sur le web
Con-sentement.
Tout est dit.
Bernie, Nadja, Luc… on va littéralement les asphyxier.
Les Français, les actifs en tout cas et les gens de bien, commencent à comprendre le pouvoir phénoménal qu’ils ont collectivement.
Bernie, Nadja, Luc… n’existeraient pas sans notre argent.
Nous allons leurs couper les vivres, littéralement.
Nous ne sommes plus con-sentant. Plus cons tout court.
Bernie, Nadja, Luc… parasites qui en plus se permettent de nous faire la morale… Vous êtes finis.
La peur change de camp.
En plus du plaisir de la liberté bientôt retrouvée, s’ajoute le plaisir intense, la joie extrême de savoir que cette clique de parasites… va disparaître.
je ne sais pas ce que tout ces guignols racontent.
Parce que malgré tous les brebis fiscalement égarées qui reviennent ,
il me semble qu’il y a -(moins)10.9 milliards en moins au niveau de recettes.
C’est peut-être la cause réelle de leur affolement.
Oui, on dirait qu’il est urgent de trouver préventivement des boucs émissaires aux déroutes qui s’annoncent. Tiens, au hasard, les riches.
Mea Culpa H16.
Il m’arrive de copier vos petites phrases, mais je ne vous cite jamais.
Ce n’est pas pour le mes approprier. c’est parce que je suis entouré de gauchistes, et que je les utilise pour innoculer un peu de remède / venin / poison libéral dans leurs cerveaux malades. Sur facebook et ailleurs.
Si je vous citais, et leurs permettait de remonter a la source de ce qu’un cerveau socialiste malade considérerait comme de l’outrance quasi-pornographique (un libéral qui tape sur toutes les bien-pensances!.. Horreur!…), je les immuniserais contre mes petites injections.
Veuillez m’en excuser donc, c’est pour La Cause! (<- on dirait l'excuse d'un gros bras UMPS qui vient de peter le nez d'un opposant UMPS)
Najat, Nabilla. ça commence avec un N, comme NONO.
Il est vrai de dire que les hommes politique savent ce qui est bon pour nous. SI si, ils le savent bien.
La preuve ils prennent régulièrement le métro, paient des impôts, gagnent honnêtement leur vie. Si si.
Ils payent un loyer dans un logement HLM (les pauvres, quand même), ils ont des comptes en banque négatif, très souvent, même après plus de 20 ans de carrière (les pauvres).
Ils ont tellement d’amour et de compassion pour nous, le peuple, que j’en ais la larme à l’œil.
Non, vraiment H16, vous ne comprenez pas le consentement à l’impôt. C’est trop injuste de dire que ces hommes ne s’occupent pas bien de nous. Ne sentons nous pas tous cet amour qu’ils mettent à la tache chaque jour pour nous aider dans notre quotidien. Toutes ces nouvelles contraintes administratives, ces nouvelles lois composées avec amour, toutes ces nouvelles taxes réparties avec ingéniosités pour qu’elles soient à la fin le plus invisible possible.
Non, vous êtes un ingrat H16, vraiment c’est injuste de mordre ainsi la main de ceux qui vous nourrissent.
Allez, 3 je vous salue marie, 10 lignes de j’aime les taxes et les lois, et ça ira pour aujourd’hui.
Dernière phrase de 1984 :
« Il aimait Big Brother. »
Ils vont nous le faire aimer l’impôt quitte à nous envoyer dans des camps de redressement.
C’ est sûr, quand les gens ne se sentent plus représentés par leur classe politique, ça part en testicule, surtout quand ce sont toujours les mêmes cochons qui se servent grassement dans l’ impôt à confiture.
Pour vous dire mon sentiment, j’ ai 43 ans, je n’ ai pas connu la guerre mais j’ ai toujours connu la crise, alors impôt ou pas j’ en ai juste plein le cul de ces dégénérés qui gouvernent si mal et si malhonnêtement.
Ce qui me réjouit, et ce qu’ à dit NVB le trahit, pour mentir à ce point, c’ est que la peur a changé de camps, et qu’ ils ont le trouillomètre à zéro.
C’est une bonne idée: faisons livrer une tonne de testicules de porc devant l’Elysée !
Je pense que l’on manque d’humour, il faut se détendre un peu. Il y a une tonne (de testicules et autre) d’idées à trouver pour rendre à notre Etat la vie impossible et nous rendre le sourire en même temps.
Je proposais hier d’adopter un radar, on peut imaginer aussi de loger un(e) ministre, ou même un Président fauché (Il a un compte en banque à sec le pauvre).
Je crois qu’il faut commencer à donner beaucoup plus que de l’argent à cet Etat. Il a visiblement besoin que l’on s’occupe de lui. Il fait tout pour attirer l’attention, il veut que l’on soit apitoyé sur son sort. Et bien soit. Allons y.
On pourrait commencer par une simple paire de couilles à Présiflan, il en a besoin.
Entre lui et sa compagne, ça fait déjà une belle paire.
http://television.telerama.fr/television/les-monty-python-se-reforment,105282.php
Suite à mon déménagement en milieu d’année, et faute de coordination entre les administrations fiscales, je viens de recevoir indument deux taxes d’habitation, et toutes deux en augmentation exponentielle.
Payes d’abord et discutes ensuite, c’est la philophie des finances publiques.
D’autre part, le non consentement à l’impôt ne résulte pas tant de son augmentation et de sa multiplication que de l’usage qui en est fait et du choix restrictif de ceux qui y sont assujettis.
Je ne crois pas cependant que nous y gagnerions en refusant, même collectivement (sauf à atteindre un nombre quasi total) à ne pas le payer.
Les arguments et les moyens de l’administration en ce domaine sont imbattables.
Si , nous gagnons mais a condition d’avoir une « masse critique ».
C’est a dire localement dans les 40% (je sais que c’est sorti de nulle part ce pourcentage, mais..)
Prouvez moi que l’on a aujourd’hui encore besoin de l’Etat. (le premier consommateur et destructeur d’argent)
Je crois que sans lui cela serait moins pire….voire même carrément l’euphorie capitaliste.
Mon dieu, des Français riches et heureux. Hum, quelle odieuse idée.
….. « VIVE l’impôt » et mort au reste….
Fusion IR CSG : l’assiette va furieusement augmenter!…
Ceux qui payaient 0 IR vont se retrouver a payer… ils vont pas bien savoir exactement… mais plus probablement.
Tant qu’ils y « consenterons », ils l’auront encore plus profond!…
C bien 0, c un seul psy difficile a franchir, et puis c’est simple… apres, fusionné avec l’IR ce sera un beau magma dans lequel il sera difficile de distinguer CSG, majorations, et nouvelles joyeusetés solidaires. Ca va être encore un joyeux merdier.
Les consenteurs ne flairent pas l’entourloupe?? il devient urgent de changer de pays.
Prochaine étape, un prélèvement à la source (de quoi…):
en gros on va fourrer tous les impôts d’aujourd’hui dans un seul, bien gras.
Puis dans un second temps, comme il n’y aura plus qu’un seul impôt, on va pouvoir en créer des nouveaux….hum j’aime cette idée vicieuse, perverse et tellement prévisible.
Hollande et sa clique qui résistent aux faibles, quand ils ne les outragent pas et qui cèdent aux forts, sans se soucier ni de dignité ni de justice, une tyrannie cool quoi, c’est nouveau, ça vient de sortir !
Les politiques ont besoin de vous, car vous les payez pour qu’ils existent !
Devenez realiste et tres con : lachez le minimum a l’Etat !
Après un stage en urgence à l’Ecole Nationale du Rire, Zéro le Clown vient de proposer :
– « de remettre à plat les impôts… » (ah ?)
– « qu’il recevra dans les prochains jours l’ensemble des partenaires sociaux… » (HAHAHA)
– « pour dire quel doit être le bon niveau de la dépense publique et comment on fait pour la financer, à prélèvements obligatoires constants… » (MOUHAHAHA)
– « afin de parvenir à des règles plus justes, plus efficaces et plus lisibles. » (HAHAHAHAHA… GASP !)
Sinon, bien vu h16 d’avoir souligné le coming-out socialiste d’un autre cuistre de l’UMP ! Décidément, après NKM et tant d’autres, n’y a-t-il plus que des socialistes à l’UMP ?
Le message est limpide : pas une seule seconde, ces traîtres à la France n’envisagent de remettre en cause la spoliation étatique et l’obésité du léviathan. Gauche ou droite, il n’y a strictement rien à espérer d’eux et leur éviction définitive du pouvoir est devenue le préalable à la sortie de la crise française.
Il faut les virer !
Mais pas seulement ceux qui sont connus et qu’on voit sur les plateaux télé comme hommes politiques nationaux,
Mais également le petit politicard local qui se goinfre d’impôts locaux, et se cramponne à son siège pendant 20 ou 25 années , le temps de distribuer des subventions, des emplois bidons ou des logements HLM à ses potes et leurs familles.
Y en a marre de cette clique qui asphyxie les entrepreneurs.
J’ ai écouté….j’ ai essayé d’ écouter….je me suis forcé à écouter Michel Barnier ce matin sur France Cul. Et bien c’ était pas joli. C’ est franchement un babouin. En plus il parle précieux comme certain curé, c’ était dur.
Comment je le sens mon consentement à l’impôt ? En résumé : comme une poignée de sable.
Je ne voie malheureusement auccune porte de sortie dans le système actuel…Et connaissant la « mentalité » de ce pays cela risque de finir de manière violente….
La démocratie est en panne h16
La démocratie en France c’ est comme le football
23 paires de guiboles qui font le spectacle et 15 millions de paires d’ yeux qui les regardent ( noe ) .
A propos des régularisations, il parait qu’une partie des gens qui ont un compte en Suisse préfèrent tout donner aux bonnes œuvres plutôt qu’avoir à se taper les gens de Bercy. Comprend pas: y aurait-il deux types de SOLIDARITÉ ?
@gollum: j’aime beaucoup l’idée de adopte-un-radar.com 🙂
Vu les patrimoines déclarés de nos ministres il faudrait plutôt créer jadopte-un-ministre.fr
Virons les et vite
Dernière éjaculation ministérielle de JM Ayrault: la réforme fiscale pour 2015
Comme si le problème de la fiscalité en France se résumait à un problème qualitatif; en gros, vous payerez au moins autant d’impôts, mais rassurez vous, ce sera plus lisible: on vous prendra tout en une seule fois
Ce faisant, on évite surtout de remettre en cause le côté quantitatif de la chose; est-ce bien nécessaire de payer autant d’impôts et taxes pour si peu d’efficacité de la chose publique ?
Faut-il continuer à entretenir autant d’élus et de fonctionnaires de toute nature à grands frais alors que le privé serre tous les boulons ?
Quant au consentement à l’impôt, tout dépend pour qui et pour quoi
En tout cas pour l’AME, les syndicats, les associations multi-vivre-ensemblesque, les régimes spéciaux, les retraites dorées de la fonction publique c’est niet !
Plus que l’impôt en général, je consens de plus en plus difficilement à devoir payer pour voir leur face de craie et écouter leur sornettes à longueur de journée
ils savent une chose tout ces élus ; c’est que nous , travailleurs , entrepreneurs , actifs , n’avons pas besoin d’eux pour vivre , bosser , gagner notre argent ; en revanche , eux , sans nous , notre travail , nos revenus , ils n’auraient rien , pas un rond , pas de salaires , pas d’avantages, nada , que dalle ; alors ? qui c’est les vrais patrons ?