Le fascisme rose en plein délire, je suis obligé de revenir sur la problématique de la fameuse quenelle qu’il ne faut pas faire mais dont tout le monde parle pour dire qu’il ne faut pas la faire, photos et vidéos à l’appui.
Avant toute décision de justice, le Sinistre de l’Intérieur lance des ukases à ses préfets pour faire interdire un spectacle qu’aucune action en justice n’a (encore ?) condamné, et dont tous les juristes interrogés sur les plateaux se sont accordés à dire que ce serait difficile. Alors on invoque le “trouble à l’ordre public”, et, pour être sûr qu’il y en aura, des appels se multiplient pour aller “protester” devant les salles accueillant le délinquant, le criminel M’Bala-M’Bala. On fait donc carrément l’appel aux nervis pour aller jouer les casseurs.
Si d’aucuns, même libéraux, peuvent prendre un air attristé en hochant du chef pour soupirer que le Franc-Britto-Africain exagère et que, finalement, c’est pour sauver la démocratie, tout ça, je rappellerai que le même Sinistre a accusé en son temps les factieux-ligueurs de La Manif Pour Tous, les Veilleurs et, récemment les Bonnets rouges bretons. Et que les médias bobos se sont scandalisés lorsque des Cathos priaient devant les salles de spectacles où l’on jouait des blasphèmes subventionnés, n’est-ce pas, Ribes ?
Enfin, si la quenelle est le salut nazi-olympique détourné, que dirait-on d’utiliser le poing levé socialo-communiste façon quenelle ? Serait-ce aussi scandaleux, en pensant aux dizaines de millions de mort de cette idéologie toujours présente dans notre Parlement, nos médias (subventionnés), nos campagnes politiques télévisées, de Poupou à Mélenchon en passant par le clone d’Arlette ?
Bravo, excellent.
” tient ! voila d’la quenelle, voila d’la quenelle, voila d’la quenelle
pour les alsaciens les suisses et les lorrains… “
“Enfin, si la quenelle est le salut nazi-olympique détourné, que dirait-on d’utiliser le poing levé socialo-communiste façon quenelle ?”
L’existence des cons n’autorise personne à se laisser aller à être plus con qu’il n’est déjà.
Monsieur Le Honzec,
Une simple remarque – en passant… par la Lorrai-ai-ne (air connu) pourquoi pas ?
Votre dessin, qui nous montre des hommes glabres, ne manquerait-il pas d’un peu de rigueur historique ? 🙄
En effet, n’a-t-on pas coutume d’appeler les soldats de la Grande Guerre… les Poilus ? 😉
P.S. : Merci pour votre humour inspiré que j’apprécie !
Sauf qu’on ne les appelait pas “poilus” en raison de leur barbe fournie façon tablier de sapeur-légionnaire.
Une barbe pareille est un nid à vermine et à poux, dans l’hygiène aussi aléatoire que celle des tranchées, sans parler de la difficulté, en cas d’attaque au gaz, d’enfiler un masque à gaz avec toute la rapidité requise, ou de l’étanchéité du masque, mise à mal, voire carrément annulée par la barbe en question.
On les appelait “poilus” pour dire qu’ils étaient courageux, braves.