Le non-choc fiscal et la dette qui grossissait, grossissait, grossissait…

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Le non-choc fiscal et la dette qui grossissait, grossissait, grossissait…

Publié le 5 février 2014
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Il y a quelques mois, le président Hollande et le gouvernement Ayrault, prenant la mesure du marasme dans lequel le pays s’enfonce, sont montés au créneau pour annoncer, urbi et orbi, une réforme fiscale d’importance, quelque chose qui allait enfin remettre la France sur les rails multiples de la simplification administrative et fiscale, de la croissance et de l’emploi retrouvés. Moyennant un chantier qui allait durer tout le quinquennat (et même un peu plus) et une remise à plat des taxes, ponctions et prélèvements, la réforme allait gravement envoyer du steak, on verrait ce qu’on verrait et accrochez-vous bien.

Las.

On sentait déjà, au bilan de l’année 2013, que le « choc fiscal » n’avait pas été à la hauteur des espoirs gouvernementaux : jugé peu efficace, il aurait même cassé la reprise économique française (un peu comme on casse la course d’un éléphant en lui tirant dans les pattes).

Et pour l’année 2014, on sent déjà des soucis : les meilleures intentions du monde ne sont rien si l’intendance, lourde, tatillonne et pusillanime, ne suit pas. Apparemment, à Bercy, ils se sont refilé le mot — ces gros fainéants — pour ne surtout pas permettre aux valeureux combattants de la fiscalité française d’aboutir à leurs nobles buts. On découvre, au bord du désespoir et dans un épais rapport pondu par un groupe de travail interadministratif entre la DGI, la Sécu et d’autres molochs gluants, que la fusion CSG-Impôt sur le Revenu ne sera pas possible. Rooh, c’est dommage de laisser ainsi tomber une idée pareille qui était d’ailleurs l’un des engagements de campagne du candidat Hollande (le n°14) ! On peut au passage se demander comment il lui était venu une idée pareille tant sa réalisation semblait délicate, la CSG étant considérée comme une cotisation sociale, et l’Impôt sur le revenu comme un impôt, les deux n’étant pas assis sur les mêmes assiettes, ni les mêmes modalités…

Et c’est doublement gênant parce qu’en parallèle, les finances du pays ne se portent pas exactement bien, ni même de mieux en mieux. On apprend en effet qu’un autre rapport, Haut Conseil du financement de la protection sociale et qui sera probablement aussi vite enterré que celui sur la complexité de la fusion CSG/IR, estime que les déficits accumulés pourraient dépasser 100% du produit intérieur brut de la France en 2060, dans une joie et une bonne humeur qu’on comprendra parcimonieusement mesurées pour le dire gentiment. Bon, évidemment, 2060 est une échéance fort lointaine ce qui rend l’alarmisme du rapport un tantinet déplacé, mais le message essentiel d’une dérive de plus en plus grave des comptes sociaux reste cependant clair : aux déficits publics déjà abyssaux, il va falloir ajouter des déficits sociaux toujours plus profonds.

À ce rythme, on a du mal à imaginer autre chose qu’une faillite retentissante dans un avenir plus ou moins proche.

Et cette impression ne s’évapore pas lorsqu’on voit les solutions envisagées et lentement mises en place en loucedé par un gouvernement idéologiquement à la rue : comme la fusion de la CSG avec l’impôt sur le revenu semble mal barrée, comme d’un autre côté, les déficits publics et sociaux augmentent autant que la pression fiscale, pourquoi ne pas … augmenter la pression fiscale en annulant la déductibilité de la CSG à l’impôt sur le revenu ? En effet, et grâce à l’application des mathématiques socialistes habituelles en France, payer moins d’impôts que prévu sur ses impôts, c’est un avantage fiscal qu’il va vite devenir nécessaire de corriger selon Christian Eckert dont les dernières déclarations fiscales ont dû être bien trop légères pour pouvoir lui ramener les pieds sur terre.

Le raisonnement est, comme d’habitude, simple et parfaitement stupide : une partie de la CSG, qui est un impôt payé sur le salaire brut (et donc sur une somme dont on ne touche pas la totalité), peut être déduite des revenus ce qui amoindrit l’autre impôt (sur ce revenu). Évidemment, plus on a un revenu élevé, plus on paye d’impôts, et plus on peut déduire de CSG. Pour Eckert qui aime semble-t-il terriblement prendre dans la poche des autres, le fait d’avoir moins d’impôts à payer sur ses impôts est une « injustice à corriger » car, tenez-vous bien, « seuls ceux qui paient l’impôt profitent de cet avantage fiscal. Pas les autres ! »

peekaboo facepalm

(Oui. Le fait de pouvoir diminuer ses impôts quand on en paye est un avantage sur ceux qui n’en paient pas. Le niveau de Facepalm atteint ici est ahurissant. J’en remets un autre, tiens.)

ultimate facepalm

Je note que, dans la presse, aucun journaliste n’a relevé cette saillie consternante de bêtise d’un député, payé, justement, par nos impôts. Je regrette, un peu désabusé, qu’aucun gratte-papier n’ait eu la présence d’esprit ou la toute toute petite paire de couilles d’écrire que ce raisonnement d’âne bâté méritait clairement les moqueries les plus grasses et une campagne médiatique destinée à ruiner tout espoir pour le pauvret de se faire jamais réélire. Mais baste, passons, nous sommes en France, après tout, et quoi qu’on dise ou fasse, certains voteront obstinément pour les pires saprophytes…

Le résultat, bien sûr, restera le même : les taxes augmenteront, les impôts aussi, le choc fiscal sera celui d’un uppercut correctement administré, et l’économie française continuera donc de s’effondrer. Et si je dis ça, ce n’est pas parce que je suis un incorrigible pessimiste ; enfin, si, aussi, mais pas seulement : c’est parce que la France est déjà dans le peloton de tête des pays les plus mal lotis en terme d’impôts. C’est parce que la France est maintenant en tête pour les prélèvements de tous genres, tant sur les entreprises que sur les particuliers. C’est parce que la France perd chaque année qui passe des places dans le classement de la liberté économique et que chaque place perdue se traduit mécaniquement par du chômage, de la perte de pouvoir d’achat et une extension de la misère populaire. C’est parce que le taux de marge des entreprises françaises est 10 points en dessous de la moyenne européenne. Et c’est parce que l’inculture économique crasse des Français encourage les politiciens à persister dans leurs erreurs, à taper sur le capital qui n’est que du travail différé, à taper sur l’actionnariat là où l’État est pourtant le plus gros actionnaire du pays…

Les politiciens de ce pays prennent maintenant tous les problèmes à l’envers, résonnent comme des barriques vides, ânonnent des ritournelles keynésiennes, anti-capitalistes et collectivistes qui, tous les jours, poussent un paquet supplémentaire de Français dans la misère et un autre vers l’exil. Et lorsque le peuple s’en rend compte, que fait-il ? Tout montre qu’il en réclame une deuxième couche.

Ce pays est foutu.

stats-impots-pib
(Remerciements à Ministère Propagande pour l’infographie)
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  • Heureusement qu’il reste Nicolas Doze: (et H16!)

    http://www.bfmtv.com/video/bfmtv/chronique-eco-nicolas-doze/ledito-eco-nicolas-doze-christian-eckert-propose-dimposer-csg-03-02-174428/

    A entendre les nouvelles (informations ?) à la TV on se demande si ils ne parlent pas à des débiles profonds…

    Et puis à la réflexion, on se demande:

    – Les médias s’adaptent ils à la capacité de compréhension du citoyen ?!
    Ou
    – Est ce vraiment cette désinformation permanente qui rend les gens comme ça ?!

    Le résultat est de toute façon le même. On a à la sortie un peuple qui râle, mais qui ne peut pas expliquer pourquoi. Le « peuple » n’est pas content…..il va élire un autre « Président »….et va continuer à râler.

    Ce pays est foutu, non, correction, ce peuple est foutu. (Surtout car il nourrit son ignorance avec beaucoup de courage, de constance et de conviction)

    • Le problème c’est effectivement que la télé et les médias abétissent les gens (plusieurs études ont déjà montré la corrélation entre visionnage des programmes de la tranche 20h – 22h et la baisse des performances scolaires)…

      Et l’éducation nationale nivelle par le bas ceux qui échapperaient à la dictature de la télévision…avant d’être parachevé par des politiques RH débiles (cf. diplômes obligatoires, ascension en entreprise uniquement dictée par le diplôme et l’ancienneté)…

      Pour mettre court à toute velléité socialiste, il faudrait mettre en place une matière « le socialisme et ses applications » en contrôle continu pour valider le brevet, le bac et tout diplôme universitaire…avec un twist…tous les étudiants se voient attribuer, à chaque examen la moyenne nationale…résultat, les meilleurs arrêteraient de travailler, et la moyenne chuterais…résultat 100% des personnes ne pourraient avoir leur diplôme, ce qui alimenterait bien entendu une révolte…et mettrait définitivement un terme aux idées communo-socialistes dans ce pays.

  • Eckert est une engeance, stellaire, car il n’est même pas cynique, il croit sincèrement aux éjaculats sophistes que son cerveau malade produit en rafale.

    C’est dire.

    Quant aux pseudos « pactes », et autres « plans » et autres « chocs », nous savions tous que c’était du vide enrobé de rien et saupoudré de néant.

    Ce qui est intéressant, c’est le réel. Et le réel c’est la hausse de la rapine, la baisse des recettes, la hausse des dépenses, la hausse de l’endettement.

    Le cercle infernal et vicieux.

    Quel doit être notre objectif ? Atteindre le plus rapidement possible l' »escape velocity », c’est à dire le point de non retour… la mise en faillite.

    Dès lors, j’applaudis Eckert ! Mouscovici ! Et tous les autres guignols ! A nous la CSG non déductible ! L’impôt sur l’impôt de l’impôt virtuel. A nous la hausse du chômage !

    Ils travaillent, dur, à scier la branche sur laquelle ils sont confortablement assis.

    Bref, du bonheur en barre.

    Vous aussi vous pouvez accélérer l’entropie qui conduira (c’est inévitable) à la destruction du système.

    Expatriez-vous, réduisez votre temps de travail, vos revenus, votre consommation, vos investissements.

    Nous les tenons par la gorge.

    • Oui, nous les tenons par la gorge…pour l’instant c’est de ma gorge que le sang gicle. Une grosse artère dans laquelle les charognards de l’Etat on planté une grosse aiguille.

      Au bout de cette aiguille il y a un gros tuyau transparent et un petit robinet pour augmenter le débit. Au bout du tuyau, il y a une poche transparente percée avec une gros (énorme) trou.

      Je regarde impuissant le flop, flop, de mon sang qui coule sur le sol. La tache augmente, enfle, se répand mollement au fur et à mesure que mon sang se coagule.

      Alors, ok, nous les tenons, quand mon corps sera vide, ma peau livide, alors enfin, nous les tiendrons.

  • Il faudra bien continuer à payer la dette qui ne peut qu’augmenter dans les prochains mois. J’ai trouvé des données sur ce sujet qui ne semblent pas avoir ému les journalistes http://jacqueshenry.wordpress.com/2014/02/05/et-si-tout-partait-du-portugal-ou-de-la-france/
    D’ailleurs je vous cite en fin de billet cher H16

  • La façon méprisante et immorale dont Hollande a géré publiquement, non pas sa vie amoureuse privée dont parle la presse, mais ce qu’il faut bien appeler ses plans culs, aux frais de l’Etat, a révélé brutalement à l’opinion confiante toute la perversité et l’égocentrisme inacceptable que ce très « faux gentil » s’emploie à camoufler. Pas besoin d’une mémoire d’éléphant pour se souvenir que l’unité des notables du PS s’était réalisée pour le déclarer le plus inapte à la fonction présidentielle, sans être capable d’empêcher son élection, mais pire en se déjugeant sans honte pour manger dans sa main, en déclarant qu’il avait certainement « un plan » que toujours personne n’imagine aux vu de l’absence de résultats. Ce constat indiscutable est celui de la grosse majorité des Français et fait le succès grandissant de la manif pour tous. La légende répandue largement par une certaine presse voudrait voir en lui un homme de consensus, un rassembleur habile à réaliser la synthèse des pensées plus discordantes. L’histoire récente montre qu’il est exactement l’inverse: il a compris que pour arriver au pouvoir il suffit de désorganiser tout consensus s’opérant plus ou spontanément dans son propre camp par tous les moyens: l’élimination de DSK, de Martine, et de Ségolène est une œuvre d’art qu’auront à disséquer les historiens fouille-merde. Quand on est arrivé au pouvoir cette façon de s’imposer contre les éléments de sa propre équipe qui copie l’exemple que vous lui avez donné, s’oppose radicalement à obtenir le moindre résultat, oblige à mentir en permanence et à créer des scandales à répétition pour occuper le terrain. Aujourd’hui l’opinion ne soutient plus Hollande et voit bien où sa gestion incohérente nous emmène à vitesse accélérée. L’Euro va obligatoirement être abandonné comme monnaie nationale en France, mais sera conservé comme monnaie de compte internationale. Ça va être très dur pour nous, mais c’est nécessaire car il est maintenant certain que nous sommes et seront incapables de rembourser notre dette. Le problème est savoir quand ? C’est le seul moyen d’obliger les pays comme la France à payer leur dette, en dévaluant et en ponctionnant les économies des particuliers avant de revenir à l’euro après cette nécessaire et grosse purge.

  • « Le choc », « le pacte », des mots qui claquent et qui en jettent, purs produits des agences de com gouvernementales, censés faire croire que Pépère n’est pas un bon à rien …

    •  » des mots qui claquent …  »

      comme le  » coup de faucille « ,  » stuka  » ,  » heinz le rapide  » ,  » le saillant des ardennes  » ,  » les civiles sur les routes « ,  » y a pas de réserves stratégique  » ,  » paris ville ouverte  » ,  » le gouvernement à bordeau  »

      ce pays est foutu. et probablement pour longtemp…

  • Ces socialistes ont deux obsessions pathologiques : le fric et le cul.
    Leur obsession du fric consiste à augmenter toujours les impôts, histoire de s’en remplir les poches au passage.
    Leur obsession du cul a tendance à se focaliser sur la sexualité des enfants, histoire de quoi ? Je ne sais pas trop mais je commence à avoir des soupçons.

    • « Leur obsession du cul a tendance à se focaliser sur la sexualité des enfants, »

      des preuves ? ou de la simple médisance gratuite qui vous permet de calmer votre haine ?

      • Quelle haine ?
        Qui veut casser les stéréotypes sexuels dès la maternelle ?
        Pas moi.
        La haine n ‘est pas chez moi.
        Elle est chez vous ?
        Je n’en sais rien. Alors je ne vous accuse de rien. Alors, merci de ne pas m’accuser de haine sans savoir.

      • Personnellement, je suis pour foutre la paix aux enfants. Leur apprendre à écrire, lire, compter, les cultiver, je suis pour à fond.
        Les emmerder avec les histoires sexuelles ? Non, je préfère leur foutre la paix et les laisser libres.
        Je préfère que l’Etat socialistes les laisse tranquilles avec la sexualité. Je ne comprends pas que l’Etat socialiste s’occupe , soit obsédé par la sexualité des enfants. Je considère que la sexualité des enfants les concerne et ne nous regarde pas. Je me souviens de mon enfance et je me souviens que j’aurais trouvé détestable que l’école vînt s’occuper de ma sexualité. Pas vous ?
        Je ne vois aucune haine là-dedans. Je m’interroge. Pas vous ?
        La sexualité des enfants vous obsède-t-elle ? Avez-vous une envie irrépressible de vous en mêler ?
        A quel titre viendrez-vous parler aux enfants de leur intimité ?
        A mes yeux, ce serait une atteinte à la pudeur.

        Alors, le coup de la haine, vous savez où vous pouvez vous le mettre directement.

        J’aime les enfants et je les respecte. Je ne viens pas regarder dans leur culotte. Ils sont petits mais cela ne nous donne pas le droit de venir regarder dans leur culotte car ce sont des êtres humains.
        Cela vous plairit-il qu’on vienne regarder dans vote culotte ? Non bien sûr. Eh bien nous devons le même respect aux enfants. ce n’est pas parce qu’ils sont petits et donc qu’ils ne peuvent pas se défendre que nous devons en profiter.

  • FOG aurait adoré écrire cela , sauf que lui comme toutes les ordures libérales (exception?… LOL) qui vivent de la dette des autres , il ne pourrait pas ..

    • Les libéraux sont opposés aux dette des états comme au sauvetage des banques.

      Pose tes slogans, ton petit livre rouge et allume ton cerveau.

      • Refaites le moi encore le coup du livre rouge que j’en fasses un lieu de culte récentissime .. Sérieusement au lieu de me balancer votre répondeur téléphonique usagé , le libéralisme est bien trop fragile pour être laissé entre les mains de libéraux fonctionnant au vieux trip diabolique de l’inquisition de fourgues marxisant .. ,surtout de libéraux pros se réclamant d’une relation spéciale avec la nouvelle vérité .. capito, capitaux??!!

        • On peut avoir les mots dans le bon ordre?

          • Ne cherchez pas d’ordre, il n’y en a jamais eu dans la bouillie marxiste.
            Comme tout produit issu de la fabrique à crétins de l’EdNat, notre lobotomisé du jour, tel un pipotron, aligne des phrases sans queue ni tête pour meubler le vide sidéral de sa pensée.
            L’essentiel pour lui n’est pas de dire quelque chose, mais de parler.

            • ce qui est drôle, ou grave car vous avez l’air d’y croire … c’est que tout le malheur du monde depuis la nuit des temps vient de ce que vous appelez la gauche … a moment donné vous devriez arrêter de croire à vos caricatures … a moins que cette simplification vous soit indispensable pour vous éviter de réfléchir un peu …

              d’un autre coté avec ce genre de « raisonnement » tout est tellement simple , évident, irréfutable qu’ils vous est du coup facile d’insulter la moindre personne qui commencerait à emmètre le moindre doute sur vos simplifications !!!

              enfin continuez, .. pour nous les « autres » l’avantage c’est que votre discours n’aura jamais la moindre portée …

  • Courage ! fuyons ( nos responsabilités) il semblerait que nous ayons atteint le fond…

    • Minecraft ? Le fond est bleu…et on meurt, pourquoi c’est plus de la lave ? Franchement, on y comprend plus rien. Quand à nos responsabilités…..elles sont justement très limitées….c’est la fête ! Allons y soyons fous !

  • Le probleme des trolls c’est qu’ils collent. C’est qui qui nous l’a donné celui là ?
    On se demande ce qui les attirent. La lumière, l’espoir de piquer un peu de thunes.
    Peut être une envie de comprendre pourquoi ils sont bêtes et ignorants.

    C’est vrai quoi, allo, c’est plus simple de se brancher sur le brain Washing du Jt de 20h avec claire Chazal…

  • Pour en revenir au sujet , la fusion CSG & IR aurait au moins eu le mérite d’ etre moins hypocr car la csg présentée comme une cotisation par ses créateurs Juppé mais oui et plus tard mise en route par un 1er ministre Rocard
    pour moi c’ est un impot déguisé en cotisation c’ est bientot Carnaval .

  • Je ne m’attarderai pas à commenter longuement cette article. Je suis sous le choc. Il est d’ailleurs possible que mes tentatives désespérées de facepalm sur les cloisons finissent par venir à bout du BA13 avant mon front….

    Je m’étais quelque peu mis à l’écart de l’info politique, slalomant entre les nouvelles (je suis près pour Sotchi à ce niveau). Et cette triste phrase m’avait échappé. Mais hélas, il fallut que vous mettiez votre grain de sel…. Et me voilà plus consterné que jamais.

    Plus sérieusement, je suis toujours aussi fan du style, tant reconnaissable de H16, à la plume acérée, comme toujours. Puissiez vous etre entendu!

  • « Et lorsque le peuple s’en rend compte, que fait-il ? Tout montre qu’il en réclame une deuxième couche. »

    C’est en partie vrai, mais en partie seulement.
    Les lucides parmi les français sont très nombreux, mais ils ont compris que les socialistes possèdent l’État; élire des libéraux ne fait donc que bloquer le pays, laisser passer le PS peut, en revanche, le débloquer en les obligeant à tenir compte des faits.
    C’était du moins le raisonnement.

    Mais ces gens, déjà passablement irrités de ce déni de démocratie, sont maintenant exaspérés au constat du fanatisme de Hollande et de ceux dont il a choisi de s’entourer, et constatent que, si les socialistes souffrent effectivement au contact des faits, ils restent incapables de comprendre l’économie, propagent plus que jamais leur idéologie ridicule (pactes, critique de « la finance »…), et consolident leur emprise sans aucun égard pour la partie la plus saine de la société française – celle qui permet à ce pays de tenir encore debout…

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