Conseil stratégique de la dépense publique

Le regard de René Le Honzec.

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Conseil stratégique de la dépense publique (Crédits : René Le Honzec/Contrepoints.org, licence Creative Commons)

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Conseil stratégique de la dépense publique

Publié le 8 février 2014
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img contrepoints029 Conseil stratégique de la dépense publique

Les socialistes et leur monarque Hollande Ier (et dernier, il fait tout pour, c’est son côté sympa) ont décidé de renflouer la France et, paf, d’économiser 50 milliards de dollars (ou d’euros, aucune importance pour la suite). Comme ils n’y avaient pas pensé avant (des tas d’autres l’ont fait, mais ils ne lisent pas sauf le Nouvel Obs ou Libé, c’est dire), ils ont eu une idée jamais vue : créer un comité pour comprendre comment-qu’on-fait pour économiser 50 milliards de livres (même remarque). Et ils ont nommés ceux-là même qui font les dépenses qu’ils faut supprimer, mais non, parce que j’en ai besoin de ce fric (pour payer mes pensions alimentaire, mais je m’égare peut-être, là).

C’est du Coluche : « C’est l’histoire d’un gars, normal (on ne dit plus blanc), corrézien, et alors y se dit qu’y va trouver 50 milliards de pesos vite fait, alors heu y demande à ses potes, et qu’eux, y lui disent : t’as quoi pour faire avancer le schmilblik ? »

On en est là pour l’instant au « CONSEIL STRATÉGIQUE DE LA DÉPENSE PUBLIQUE » qui s’est réuni samedi, pour rien. Parce que, économiser sur la dépense publique, les socialistes ne savent pas faire. C’est pas de leur faute, c’est pas dans leur ADN. Comme on disait dans le temps, quand il y a eu la distribution de l’intelligence, ils étaient en grève.

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  • Cette histoire de « Conseil de la dépense publique » me fait immédiatement penser aux bagarres des rats dans l’expérience des « rats plongeurs » dont on peut facilement trouver la vidéo sur Internet.

    Dans cette expérience, la ressource en nourriture devient difficile à atteindre. Des rats se spécialisent, par leur violence envers les autres pour voler le travail des autres.

    On arrive au point fatal où les hommes de l’Etat vont devoir se battre contre nous pour maintenir leur domination.

  • Rassurez-vous: ce sont des bons à rien et des mauvais partout !
    Rien à craindre , le petit François saura bien ce qu’il faut ne pas faire pour rien faire, à moins que ce ne soit l’inverse ?

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