Les incertitudes intrinsèques du changement climatique

Comment se fait-il que les scientifiques puissent jurer, la main sur le cœur, que les émissions humaines de dioxyde de carbone détruisent la planète ?

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Les incertitudes intrinsèques du changement climatique

Publié le 14 février 2014
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Pratiquement tous les scientifiques qui sont directement impliqués dans les prédictions climatiques sont conscients des énormes incertitudes qui pèsent sur leurs travaux. Comment se fait-il alors qu’ils puissent jurer, la main sur le cœur, que les émissions humaines de dioxyde de carbone détruisent la planète ?

Par Garth Paltridge [*]
Un article de Skyfall.fr

global climate warmingL’Organisation Météorologique Mondiale des Nations Unies a mis en place les premiers jalons pour l’établissement du Programme Mondial sur le Climat au début des années 1970. Entre autres activités, elle a tenu une conférence à Stockholm pour définir les principaux problèmes scientifiques qu’il faudrait résoudre avant que des prévisions climatiques fiables deviennent possibles. La conférence en a défini un grand nombre mais elle ne s’est focalisée que sur seulement deux d’entre eux.

Le premier concernait notre incapacité à simuler les caractéristiques de la couverture nuageuse et son extension dans l’atmosphère. Les nuages sont importants parce qu’ils déterminent l’équilibre entre le réchauffement dû au soleil et le refroidissement par émission d’infra rouges de la planète et, de ce fait, ils constituent un élément qui contrôle la température de la Terre. Le second concernait notre incapacité à prévoir le comportement des océans. Les océans sont importants parce qu’ils constituent un des principaux réservoirs de chaleur du système climatique. Ils présentent des fluctuations internes, plus ou moins au hasard, sur toutes sortes d’échelles de temps qui vont de quelques années jusqu’à des siècles. Ces fluctuations induisent des variations des températures de la surface des océans qui, à leur tour, affectent la totalité du climat de la Terre.

La situation n’a pas beaucoup évolué depuis les dernières décennies. Beaucoup des problèmes rencontrés dans la simulation du comportement des nuages et des océans sont encore bien présents (à côté d’autres problèmes de moindre importance) et pour des raisons qui n’ont pas changé. Peut-être le plus important est que les modèles du climat doivent effectuer leurs calculs en chaque point d’une grille imaginaire étalée autour de la planète toute entière, à différentes altitudes dans l’atmosphère et à des profondeurs variables dans les océans. Les calculs sont effectués pour des pas d’une heure et c’est de cette manière que les modèles progressent vers un futur hypothétique. Des difficultés surviennent parce que des contraintes pratiques liées à la taille des calculateurs font que la distance horizontale entre chaque point des grilles est aussi grande qu’un degré ou deux de longitude et latitude, ce qui représente une distance de plusieurs dizaines de kilomètres.

Ces distances sont beaucoup plus grandes que la taille d’un amas nuageux typique. Il en résulte que la simulation des nuages exige une bonne dose de suppositions quant à ce que pourrait être une moyenne convenable de ce qui se passe entre les points de la grille du modèle. Même si les observations expérimentales suggèrent que les modèles obtiennent des moyennes grossièrement satisfaisantes pour des prédictions à court terme, il n’y a aucune garantie que les prédictions seront correctes pour des conditions atmosphériques qui régneront dans un futur éloigné de plusieurs décennies. Parmi d’autres problèmes, les petites erreurs dans la modélisation numérique des processus complexes ont la désagréable habitude de s’accumuler à mesure que le temps passe.

Toujours au sujet de cette affaire de points de la grille, les fluctuations océaniques et les turbulences plus petites que la distance entre les points de la grille d’un modèle sont invisibles pour ce modèle. Ceci ne constituerait pas un problème sauf que les tourbillons dans les fluides turbulents peuvent devenir de plus en plus grands. Un petit tourbillon apparu au hasard dans un océan réel peut grossir et apparaître sorti de nulle part du moins pour ce qui concerne le modèle prévisionnel et il peut mettre le bazar dans la prévision à partir de là et pour le futur.

Tout ce qui précède se trouve en arrière-plan d’un des plus grands mystères de la question du changement climatique. En pratique tous les scientifiques directement concernés par les prédictions climatiques sont au courant des énormes problèmes et des incertitudes qui sont encore inhérentes aux résultats de leurs travaux. Alors comment se fait-il que ceux d’entre eux qui ont été impliqués dans le dernier rapport du GIEC puissent jurer, la main sur le cœur, en nous certifiant qu’il y a une probabilité de 95% que les émissions humaines de dioxyde de carbone ont provoqué l’essentiel du réchauffement climatique qui s’est produit durant les dernières décennies ?

Gardez à l’esprit que la représentation des nuages dans les modèles climatiques (et celle de la vapeur d’eau qui est intimement impliquée dans la formation des nuages) est de nature à amplifier le réchauffement prévu pour une augmentation de la teneur atmosphérique en dioxyde de carbone – et ceci en moyenne pour la plupart des modèles – d’un facteur d’environ trois. En d’autres termes, les deux tiers de la prévision de la hausse de la température, proviennent de ces caractéristiques des modèles. En dépit de ce que les modèles nous disent – et peut-être parce que ce sont les modèles qui nous le disent – aucun scientifique proche de ces questions qui aurait toute sa raison et s’il était interrogé à ce sujet, ne vous dirait qu’il est sûr à 95% que les nuages amplifient plutôt que réduisent le réchauffement climatique dû à l’augmentation du dioxyde de carbone. S’il n’est pas certain que les nuages amplifient le réchauffement climatique, il ne peut pas être sûr que la plus grande partie du réchauffement climatique résulte de l’augmentation du dioxyde de carbone.

Gardez aussi à l’esprit qu’aucun scientifique proche de ces questions qui aurait toute sa raison et s’il était interrogé spécifiquement sur ce sujet, ne vous dirait qu’il y a seulement une très petite possibilité (c’est-à-dire plus petite que 5%) que le comportement interne des océans pourrait être une cause majeure du réchauffement de la dernière moitié du siècle passé. Il serait particulièrement attentif à ne pas faire une telle déclaration maintenant alors qu’il n’y a pas eu de réchauffement significatif depuis les quinze dernières années environ. Dans la course folle à la recherche de ce qui pourrait expliquer la pause et pour trouver les raisons des échecs évidents des modèles incapables de la simuler, nous avons soudainement entendu dire que, peut-être, la chaleur du réchauffement climatique se serait « cachée » dans les profondeurs des océans. En d’autres termes, on nous explique qu’une quelconque fluctuation interne des océans pourrait avoir limité la tendance à la hausse de la température du globe.

De fait, il est plus qu’un peu étrange que nous n’entendions pas dire, venant du GIEC (ou, en tout cas, pas à voix haute) qu’une quelconque fluctuation naturelle interne du système a pu aussi provoquer la plus grande partie de la hausse précédente.

Au vu de tout ceci, nous devons, au moins, considérer la possibilité que l’establishment scientifique qui se trouve derrière la question du réchauffement climatique, a été attiré dans un piège qui consiste à surévaluer grandement le problème du climat – ou, ce qui est essentiellement la même chose, à sous-estimer sérieusement les incertitudes inhérentes au problème climatique – dans son effort pour promouvoir la cause. Il s’agit d’un piège particulièrement pernicieux dans le contexte de la science parce qu’il risque de détruire, peut-être pour les siècles à venir, la réputation exceptionnelle et chèrement conquise, de l’honnêteté qui est à la base du respect de la société vis-à-vis de l’œuvre scientifique. Jouer avec le capital réputation pour des objectifs politiques à court terme n’est pas la manière la plus intelligente de traiter ces affaires.

Le piège a été tendu vers la fin des années 1970 ou aux alentours de l’époque où le mouvement environnemental a commencé à réaliser que la prise en compte du réchauffement climatique cadrerait avec un grand nombre de ses objectifs sociétaux. C’est exactement à cette époque qu’il fut considéré comme une évidence, dans les corridors du pouvoir, que les scientifiques financés par le gouvernement (c’est-à-dire, la plupart des scientifiques) devraient se procurer une fraction importante de leur financement et de leurs salaires à partir de sources externes – dans tous les cas, externes à leur organisme de tutelle.

Du fait qu’ils ne sont pas naturellement liés à une industrie privée spécifique, les scientifiques qui travaillent dans les laboratoires de recherche environnementale ont été forcés de rechercher des fonds dans d’autres départements gouvernementaux. En retour, ceci les a contraints à accepter les exigences du militantisme et de la manipulation de l’opinion publique. Pour ce type d’activité, une association qui se tient à distance respectable du mouvement environnemental constituerait un mariage paradisiaque. Entre autres avantages, il fournirait un moyen pour que les scientifiques puissent être suffisamment distanciés de la responsabilité découlant de n’importe quelle exagération, présentée au public, au sujet de la signification de la problématique de leur recherche.

Le piège a été partiellement tendu pour la recherche climatique lorsqu’un certain nombre de scientifiques de la discipline ont commencé à se délecter du travail de militant. Leur satisfaction découlait d’un accroissement considérable de leur financement ainsi que de l’opportunité de recruter. Cette augmentation ne concernait pas vraiment l’aspect de la science dure mais plutôt l’émergence d’institutions périphériques et d’organisations engagées, du moins en partie, dans la promotion du message de la catastrophe climatique. C’est alors qu’a émergé un nouveau et lucratif mode de vie de la recherche duquel a découlé la possibilité de donner son avis à tous les types et tous les niveaux du gouvernement, à dispenser sur les ondes des affirmations non contestables au public et à une justification immédiate pour assister des conférences internationales – ces dernières dans un certain luxe comparativement aux standards habituels des scientifiques. Cela avec une périodicité jamais vue jusque là.

Quelque part au cours du processus, on en arriva à faire croire à beaucoup dans le public et, de fait, à de nombreux scientifiques eux-mêmes que les climatologues étaient l’équivalent de chevaliers montés sur des étalons blancs qui menaient une grande bataille contre les forces du mal – c’est-à-dire le mal sous la forme de « Big Oil » et de ses ressources financières supposées illimitées. Le fantasme était plus qu’un peu séduisant.

Le piège fut définitivement armé quand beaucoup des principales académies des sciences de la planète (telles que la Royal Society au Royaume Uni, l’Académie des sciences des USA, l’Académie australienne des sciences) se convainquirent de produire des rapports qui venaient étayer les conclusions du GIEC. Ces rapports furent proclamés comme des analyses nationales supposées indépendantes du GIEC et les unes des autres alors que, par nécessité, elles étaient compilées avec l’aide et, dans certains cas, suivant les injonctions de nombreux scientifiques impliqués dans les machinations internationales du GIEC. Et de fait, les académies qui sont les plus prestigieuses des institutions de la science, ont formellement hissé leurs drapeaux sur le mât du politiquement correct.

Depuis cette époque, jusqu’il y a trois ou quatre ans, il ne restait aucune possibilité acceptable, offerte à la communauté scientifique, d’évoquer le spectre de sérieuses incertitudes quant aux prédictions du désastre climatique. Il devient impossible d’utiliser le mouvement environnemental comme bouc émissaire s’il advenait que la menace du réchauffement climatique n’avait aucune substance véritable. Il est désormais impossible d’échapper à sa responsabilité première s’il arrive, à la fin, que prendre des mesures au prétexte de la réduction du réchauffement climatique s’avère être l’erreur scientifique la plus coûteuse jamais infligée à l’humanité. Le détournement de la richesse mondiale au nom du changement climatique est de l’ordre d’un milliard de dollar par jour. Et, pour le futur, on peut reprendre une citation du sénateur US Everett Dirksen : « Un milliard par-ci, un milliard par-là, et bien vite on commence à parler de vrai argent. »

Au même moment, l’homme de la rue, fort de son bon sens et qui, dès à présent, peut sentir à des lieues à la ronde, l’odeur des exagérations d’une campagne environnementaliste, commence à subodorer que c’est la politique, et non la science, qui pilote cette affaire.

Les scientifiques – enfin, disons, la plupart des scientifiques – peuvent être un peu naïfs mais ils ne sont en général ni méchants, ni idiots, ni facilement subornés aussi bien par l’argent que par le politiquement correct. Alors, quelles que soient les satisfactions que l’on peut éprouver en soutenant la version officielle de la connaissance et quelles que soient les contraintes exercées par le pouvoir scientifique en place, il est quand même surprenant que le récent rapport du GIEC ait pu être publié sans pratiquement aucun murmure de mécontentement de la part des étages inférieurs de l’establishment scientifique. Qu’est-il advenu du scepticisme qui, dit-on, est le sang nourricier de la recherche scientifique ?

La réponse se trouve probablement dans le fait que tout cela est incertain. La probabilité que l’on prouve que le changement climatique durant le siècle prochain sera suffisamment important pour conduire au désastre est virtuellement nulle. Pour la même raison, la probabilité qu’un climato-sceptique ou qui que ce soit d’autre pour cette affaire, prouve que la théorie du désastre est totalement exagérée est aussi virtuellement nulle. De ce fait, le terrain d’affrontement pour les deux partenaires du débat est sur un plan d’égalité. Le problème est que la recherche climatique exige d’énormes ressources et qu’il s’agit d’un jeu entre les institutions et les organisations. Le scepticisme est une affaire d’individus. Les choses étant ce qu’elles sont dans le domaine du changement climatique, le scepticisme exercé par un individu peut s’avérer être un facteur sévèrement limitant pour la poursuite d’une carrière. Quoi qu’il en soit, la plupart des scientifiques, pris individuellement, ont une conscience et ils sont réticents à dresser leur tête au-dessus du parapet pour promouvoir un point de vue sur des choses qu’il est intrinsèquement impossible de prouver.

En bref, il y a plus d’incertitudes qu’il n’en faut pour permettre aux êtres humains d’être, au moins, raisonnablement optimistes sur le fait que le réchauffement climatique ne sera pas, et de loin, aussi mauvais qu’on le proclame. Les climatologues et, en fait, tous les scientifiques ne sont pas aussi chanceux. Ils ont beaucoup à perdre si l’avenir prouve qu’ils se sont trompés.


[*] Garth Paltridge est actuellement professeur émérite de l’Université de Tasmanie et membre de l’Académie des Sciences australienne. Il a été Directeur de Recherche au sein de la Division de la Recherche sur l’Atmosphère du CSIRO (NdT : Commonwealth Scientific and Industrial Research Organization qui est, à peu près, l’équivalent du CNRS français).

Source – Traduction PU pour Skyfall.fr

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  • Très bonne analyse, qui rejoint la mienne en termes d’économie te sociologie de la science : http://www.contrepoints.org/2010/09/23/1758-dou-vient-le-consensus-sur-le-rechauffement-climatique (je me permets !).

  • Oui, bon article ! Le prochain sera intitulé : « D’où vient le lapin qui sort du chapeau du prestidigitateur ? ».

  • Un seul point de comparaison ridiculise les thèses et constatations du GIEC, celles du taux de particules dans l’air :
    – Jurassique : 3000 ppm
    – 2013 : 400 ppm

    Y avait-il des hommes, leurs industries et leurs voitures à cette époque ?

    Par contre les fougères étaient arborescentes (3,5 mètres de haut), le règne animal et végétal était florissant. Laissons le soin au GIEC d’organiser ses laboratoires bunkerisés afin de sauver les espèces de l’extinction, surtout la leur, celle des rats de laboratoires, celle des crétins idéologues qui modifient les résultats de leurs recherches en vue des objectifs à obtenir, avec l’appui de mauvais communicants. Tiens, bonne question ? Combien de subventions sont déversées par ces gens dans la communication à outrance plutôt que dans les bennes à ordures terrestres, aériennes et maritimes.

    Des faits, des actes, stop à a parlote !

  • Je fais partie des quelques blogueurs forcenés et politiquement incorrect qui soutient à longueur de billet que le soit-disant réchauffement climatique est basé sur des théories (ou hypothèses) fausses et en violation directe et flagrante avec les lois fondamentales de la thermodynamique. Il y a la théorie de l’effet de serre qui viole la loi de Stefan-Boltzmann puis la théorie de l’effet du CO2 et du forçage radiatif qui est en violation directe du deuxième principe de thermodynamique. S’il y a un gaz dans l’atmosphère contribuant à piéger une infime partie du rayonnement infra-rouge en provenance du soleil ce ne peut être que la vapeur d’eau dont la capacité à vibrer aux longueurs d’onde IR est environ dix mille fois supérieure à celle du CO2, rapport de 10000 identique à toute la chaleur sous forme d’entropie créée par l’activité humaine sur la planète et l’énergie incidente du soleil.
    Cet article néglige le fait que le cycle d’activité solaire dit « moderne » qui débuta au début du XXe siècle après le petit âge glaciaire vient de prendre fin et que ce n’est que le soleil et seulement le soleil (entrainant naturellement et de manière encore largement inexpliquée les oscillation décadales et multidécadales des océans) qui a un effet sur le climat hormis les éruptions volcaniques cataclysmiques naturellement.
    J’ai laissé il y a deux jours à peine un billet dans ce sens sur mon blog :
    http://jacqueshenry.wordpress.com/2014/02/12/encore-un-morceau-de-bravoure-des-experts-en-climatologie-de-lipcc/

    • Entre celui qui se permet de nous rappeler ce que respirait les dinosaures et celui qui nie, rien que ça, l’effet de serre (une preuve serait bienvenue); c’est la litanie du ridicule ici.

      • Je discutais récemment avec la prof de physique de mon gamin qui vient de rentrer au collège et à qui elle bourre activement le mou avec les foutaises réchauffistes (visiblement, elle se croit en mission de protéger le climat et elle y tient !).
        Question naïve : pourquoi il n’y a pas d’intervalle d’incertitude sur la température mondiale ?
        Réponse de la prof : les données sont très précises, on la connaît au 1/100 °C près !
        Rolfmao. M’enfin, on rirait plus si c’était pas aussi dramatique jusqu’où le réchauffisme a massacré la science.

        • Les profs de Sciences et de Maths ! Ils me donnent parfois l’impression que ce sont des scientifiques ayant raté leurs vocations ^_^

        • De toute façon, la dualité de la contrainte énergie/climat fait que les dés sont jetés. Inutile de s’énerver sur la contrainte climat, puisque rien ne sera fait. On ne va pas interdire à la Pologne ou à la Chine de taper dans leur réserves de charbon, c’est l’idée. En revanche, la contrainte énergie existe, ce n’est pas une hypothèse ou une prédiction hasardeuse, c’est un fait. C’est cette dernière qui décidera du sort de la contrainte climat. C’est la contrainte en volume qui sera déterminante, qui est d’ailleurs imminente.

          • Tout à fait, et ce sont « les lobbys pétroliers qui ont altéré les mathématiques pour faire de la désinformation »

            • Hé oui. Il y a des gars de Shell derrière ma porte et ils viennent changer tous mes résultats avant publication. Ils ont également bidouillé matlab qui donne désormais des résultats faussés délibérément qui, appliqué là où il faut cachent automatiquement la réalité du terrible réchauffement de 0.67°c (intervalle de confiance à 95% de plus de 1°c) sur le siècle dernier. Réchauffement évidemment causé par l’homme (je ne blague pas, les capteurs sont désormais de plus en plus en zones urbaines alors qu’avant ils étaient isolés).

            • Donc en clair, on a enfin trouvé la vraie cause du réchauffement : elle se trouve dans les ordinateurs des climastrologues.

          • « C’est la contrainte en volume qui sera déterminante, qui est d’ailleurs imminente. »
            Étayer, là. Pénurie imminente de pétrole ? de gaz ?

            • De toute façon, et cela va beaucoup plaire aux ecolos, si on ne peux plus exraire de carburants, on les synthétisera comme cela a été fait par les allemands en 1940 ou les sud-africains plus récemment. Et on utilisera de grosses centrales nucléaires pour fournir l’énergie de base nécessaire pour fournir le CO et H2 et l’énergie nécessaire au processus.

              La seule chose qu’on ne sait pas faire c’est assurer la survie de milliards d’êtres humains avec des « renouvelables » et du bio.

            • Contrainte en pétrole, premièrement. Depuis les années 80, les découvertes sont inférieures à la production, et les prévisions montrent la poursuite de la chute des découvertes de pétrole, alors que la consommation explose. Le pic est prévu pour les prochaines décennies. En revanche, pour le charbon, il y a encore beaucoup de temps, mais la contrainte sera bien la.

            • L’avenir énergétique c’est le charbon et le nucléaire.

            • le fameux « peak oil » arrivera bien un jour car la planète ne peut pas contenir une quantité infinie d’hydrocarbures, c’est sur… Mais quand ? Ça fait quand même depuis le tout début du XXè siècle qu’on nous annonce que c’est « pour très bientôt ».

              Ce qui en soit est assez inintéressant. La beauté du système de prix dans un marché libre c’est que moins il y en aura, moins on en consommera du fait des prix, et plus les alternatives réellement viables apparaitront. Ça ne sert pas plus de chercher à les trouver maintenant que ce n’était malin de chercher des alternatives à la construction de flottes de guerre en bois au XVII siècle… On pensait qu’il n’y aurait bientôt plus assez de forêts pour construire tous ces bateaux. Alors Colbert à planter plein de chênaies… Super, quand elles sont arrivées à maturité, on faisait la guerre avec des avions en aluminium !

            • Merci Franz mais vos exemples sont nullement pertinent. Je ne parlerai pas de votre allusion des forêt qui n’a rien à voir puisqu’il s’agit d’un stock renouvelable. En revanche, ce n’est pas parce qu’on prédit un pic pétrolier depuis un siècle qu’il faut se dire que l’histoire se répétera. Je ne vais pas vous rappeler qu’aujourd’hui la consommation explose, que les outils d’aujourd’hui pour connaitre la ressource sont infiniment meilleures qu’il y a un siècle. Bref, si vous voulez vous voilez la face, faites le, mais vous n’êtes en aucun cas convainquant. En fait, vous préférez ne pas penser à ce qui vous déplais.

            • Qu’est-ce que le procédé Fischer-Tropsch ?

              Inventé en 1922 par les chimistes allemands Hans Fischer et Franz Tropsch, ce procédé permet d’obtenir des carburants liquides (hydrocarbures) à partir d’un gaz de synthèse (CO+H2). Il a été employé initialement par des pays privés d’accès au pétrole pour des raisons politiques : l’Allemagne pendant la seconde guerre mondiale et l’Afrique du Sud durant l’Apartheid ont produit des carburants routiers à partir de gaz de synthèse obtenu par gazéification du charbon.

            • Merci pragma je connais ce procédé.

            • Relou : « Depuis les années 80, les découvertes sont inférieures à la production »
              ——————————–
              Ce que tu « oublies » de dire, petit camelot, c’est que les réserves prouvées de pétrole ont augmenté de 50% depuis 20 ans et que les réserves ultimes ont doublé. C’est con les chiffres, surtout ceux que tu balaies sous le tapis.
              Allez, va refourguer ta camelote ailleurs.

            • Hé, Relou, quand on ne sait pas lire, on évite de dire que les autres ne pensent pas… Ça permet d’éviter au moins d’avoir l’air idiot (désolé je n’ai pas de recettes qui permettrait de cesser d’être idiot).

            • Merci Franz pour votre subtilité. Merci minitax, vous aimeriez bien violer la physique avec vos pirouettes chiffrées.

            • Relou : « vous aimeriez bien violer la physique avec vos pirouettes chiffrées. »
              ——————————
              C’est pas de la physique, c’est de la logique de base, gros naze !
              Quand tu oses affirmer que « les découvertes de pétrole sont inférieures à la production » alors même que les réserves prouvées de pétrole augmente (ça, tu vas le nier peut-être ???), il n’y a PAS besoin de physique pour savoir que tu mens. CQFD. Et tes effets de manche à deux balles n’y changent rien.

            • @relou

              Pour discuter du peak-oil, une bonne base serait plutot :

              http://www.contrepoints.org/2011/02/24/14796-la-securite-energetique-est-un-faux-pretexte

              Le sujet est régulièrement ramené dans les commentaires sous forme de troll. La question est légitime, mais son utilisation pour minimiser l’arnaque climatique ou justifier une écologie basée sur des « renouvelables » ne l’est absolument pas.

              En effet, la question du RCA est avant tout une question scientifique et une question de société : comment la science est instrumentalisée pour des raisons politiques.

              La question du peak-oil est d’abord économique avec de nombreuses dépendances technologiques et geopolitiques, donc encore plus complexe. C’est un vrai problême ou plutot une vraie question (qu’il y ait un problême urgent reste à démontrer), mais noyer le poisson de la question climatique dans le peak-oil est une pure manipulation.

            • Je mens? Depuis 1980 les découvertes annuelles sont plus faibles que la production. Les ré-évaluations des réserves connues et rentables, qui sont les seules réserves déclarées par les pétroliers et accessibles aux journalistes, expliquent pourquoi depuis 40 ans on nous dit qu’il n’y a que 40 ans de pétrole devant nous. Ces ré-évaluations ont fait artificiellement croître les réserves connues des journalistes. Dans le même temps, la consommation a aussi cru d’un même facteur, de sorte que la division des réserves par la consommation a donné environ 40 ans pendant tout ce temps. Cette histoire de « 40 ans de pétrole » est donc un bel effet d’annonce journalistique qui biaise la réalité et a malheureusement profondément ancré dans l’esprit des gens qu’il y aurait toujours du pétrole autant qu’on veut. Cependant, la réalité est que la part restante à exploiter à bel et bien diminué, et que la fin du pétrole approche. Allez me prouver le contraire vieux radoteur.

            • Relou : « Je mens? Depuis 1980 les découvertes annuelles sont plus faibles que la production. »
              —————————————–
              Bah oui, tu mens et tu es un ignare. Tes histoires de « découvertes annuelles plus faibles que la production », c’est une débilité sans nom vu que les découvertes ne sont qu’une partie des additions, l’amélioration des rendements comme l’extraction assistée par le CO2, des techniques de forage comme le forage horizontal, de l’analyse sismique qui permet d’avoir une cartographie beaucoup plus fine, la réévaluation de gisements existants qui étaient fortement sous-évalués (si on en croit les estimations de réserves de Ghawar des années 1980, il n’y aurait plus aucune goutte en 2013 !) entraînent une énorme hausse des réserves prouvées, et c’est cela qui compte, pas la bouillie que tu fais passer pour de la « loi de la physique » ou on ne sait quoi. Tu choisis de ne raconter que la moitié de l’histoire, comme si tu discutais automobile en ne parlant que des voitures à essence en taisant tout ce qui roule au diesel, c’est non seulement mensonger, c’est stupide.

              Quant à insinuer que les réserves prouvées sont des chiffres manipulées l’attention seule des journalistes, comme si tous les instituts géologiques de tous les pays du monde, toutes les agences internationales comme la World bank ou l’IEA, toutes les institutions financières publiques et privées chargées de contrôler les actifs des compagnies pétrolières côtées en bourses, tous les journalistes eux-même… seraient bernés par on ne sait quelle conspiration mondiale sans réagir, c’est bien sûr une autre des croyances grotesques des pichuileux, croyance que tu reprends comme un couillon sans réfléchir. Visiblement, la bonne vieille méthode de propagande « plus c’est gros, mieux ça passe » fonctionne toujours.

              Et non, l’histoire « des 40 ans de pétrole » n’a rien d’une annonce journalistique faite par on ne sait quelle conspiration intergalactique (qu’évidement tu n’indiques pas puisque ta seule source d’info, c’est des rumeurs), c’est bien plus simple que ça. C’est tout simplement parce qu’aucune compagnie décemment gérée ne peut se permettre de faire plus de 40 ans de stock. Ce qui veut dire que les pétroliers se contentent d’explorer juste la quantité nécessaire pour satisfaire leurs actionnaires au lieu de gaspiller de l’argent à aller chercher encore plus alors qu’ils pourraient le faire pour 10x moins cher dans le futur grâce à l’amélioration des connaissances et des techniques (il n’y a qu’à voir le progrès dans la sismique 3D sur 30 ans).
              Ca, quiconque avec un minimum de culture économique peut le comprendre sans peine, mais visiblement, c’est toujours pas rentré ta petite tête, tu préfères évoquer une vaste conspiration par on ne sait qui. Si c’est pas une superstition, il faut m’expliquer ce que ça s’appelle.

              Relou : « que la fin du pétrole approche. Allez me prouver le contraire vieux radoteur. »
              ————————————————-
              Le contraire, l’histoire l’a prouvé des centaines de fois. Tandis que toi, tu as quoi pour prouver que la fin du pétrole approche ??? Ah oui, tu as que dalle, à part ta grande gueule de clown.

              « Je veux affirmer avec force que l’utilisation effrénée du pétrole qui caractérise les 20 dernières années et probablement les 10 ou 20 prochaines années est cependant non seulement géologiquement mais aussi historiquement un phénomène temporaire et en voie de disparition. » Prof. J.P. Lesley, State Geologist de Pennsylvanie, USA, 1886.

              « Nos stocks de minerais de fer, d’huile minérale et de gaz naturels s’épuisent rapidement et beaucoup de grands champs sont déjà épuisés » (Our supplies of iron ore, mineral oil, and natural gas are being rapidly depleted, and many of the great fields are already exhausted) Gifford Pinchot, “The Fight for Conservation,” 1906

              Le pic de production [aux USA] va bientôt être atteint, probablement d’ici 3 ans
              David White, géologiste en chef de l’USGS, en… 1919

              « Le monde ne peut plus compter sur la hausse de la production du pétrole pour satisfaire à ses besoins en énergie »
              CIA, Août 1979, « The World Oil Market in the Years Ahead », page 3

              L’année 2008 est celle du pic de production mondiale de pétrole, laquelle va décliner par la suite. Il ne faut donc nourrir aucune sorte d’espoir dans une augmentation de l’offre de pétrole dans les années qui viennent.
              Yves Cochet 2008, devant l’Assemblée Nationale.

            • RDV en 2050 alors..il n’y a rien à ajouter.

            • Qu’est que vous voulez conclure de tout ça? Il y a désaccord, inutile d’aller plus loin.

          • Relou : « On ne va pas interdire à la Pologne ou à la Chine de taper dans leur réserves de charbon, c’est l’idée. En revanche, la contrainte énergie existe, ce n’est pas une hypothèse ou une prédiction hasardeuse, c’est un fait. »
            ——————————–
            Donc si je comprends bien, la contrainte énergie existe (bravo à notre Sherlock qui nous rappelle ce que Jevons, Malthus & co avaient rabâché il y a plus d’un siècle) et nous on s’interdit de taper dans nos réserves de charbon et de gaz de schiste.
            Cherchez l’erreur…

        • Encore certainement dans l’un des liens que j’ai postés ci-dessus, des scientifiques ont fait remarqué qu’à certaines dates, on ne possédait qu’UNE température dans UN point isolé au milieu d’UN océan 😉 Difficile de déduire quoi que ce soit de la température de cet océan à une période donnée ^_^

      • Ce que vous appelez l’effet de serre devrait s’appeler effet d’atmosphère Môssieur. Son mécanisme basé sur la compression adiabatique d’une colonne de gaz n’a rien à voir avec celui d’une serre.

        • Encore cette même remarque, on parle d’effet de serre même si les mécanismes en jeu ne sont pas ceux d’une serre. Et il nie l’effet de serre et non votre compression adiabatique.

          • Ben oui, on appelle ça effet de serre, mais ça ne ressemble en rien à une serre, ni d’un point de vu statique, ni d’un point de vue dynamique. D’ailleurs ça permet parfois des effets à l’opposé de ce qu’on constate dans une serre.
            C’est bien pour ça que l’on a choisi ce nom : noyer le poisson et faire peur aux gens qui savent bien que dans une serre il fait chaud. Et puis donner aux cuistres l’occasion de se ridiculiser.

          • Relou : « Encore cette même remarque, on parle d’effet de serre même si les mécanismes en jeu ne sont pas ceux d’une serre. »
            —————————
            Ca donne une idée du sérieux scientifique de « l’effet de serre »-qui-n’est-pas-un-vrai-effet-de-serre et dont l’effet est aux abonnés absents la moitié du temps depuis qu’on dispose de mesures par thermomètres.
            Mais hé, c’est la « science » climagique.

            • Le phénomène était connu depuis déjâ très longtemps avant que des « vulgarisateurs » n’appellent effet de serre. Ca donne une idée du sérieux scientifique des commentaire que l’on lit ici..

            • Relou : « Le phénomène était connu depuis déjâ très longtemps avant que des « vulgarisateurs » n’appellent effet de serre. »
              ————————
              La phlogistique, la génération spontanée, la psychanalyse freudienne étaient aussi connues « depuis déjà très longtemps », ça n’empêche pas ces théories d’être à la rue. Et depuis quand « vulgarisation » serait synonyme de mensonge, abus de langage, et exagération ? Ah oui, depuis le réchauffisme.
              Bref, comme dab, ton argument (totalement gratuit, vu que l’effet de serre-qui-n’est-pas-un-effet-de-serre est une théorie non prouvée qui a ZERO base expérimentale et n’a jamais été observée par PERSONNE) ne vaut même pas un clou.

              Soit dit en passant, histoire que tu t’informes un minimum et que tu cesses de répéter comme un perroquet des fadaises et des banalités (espoir espoir), l’effet de serre a été mis aux oubliettes pendant 80 ans avant d’être ressuscité par la réchauffolosphère avec la complicité active des escrolos à la fin des années 70, vu que même un de ses premiers promoteurs, Chamberlin, avait fini par le renier publiquement (eh oui, encore une vérité dérangeante que la FARCE balaie sous le tapis). D’ailleurs, un de ses plus actifs propagandiste, Bert Bolin, un obscur chimiste, en a été promu premier président du… GIEC, illustration on ne peut pas être plus évidente de la nature politicienne de cette pseudo-science grotesque.
              Alors ton « phénomène connu depuis longtemps », rolfmao. Mais merci quand même pour la tentative d’enfumage.

            • Toujours les mêmes radotage à ce que je lis. C’est du niveau blague carambar. Bref, je répète que le phénomène (existant ou non, je ne parle pas de ça) est discuté depuis plus d’un siècle, mais que le terme « effet de serre » est beaucoup plus récent. C’est simple, inutile de d’haranguer interminablement.

            • Relou : « je répète que le phénomène (existant ou non, je ne parle pas de ça) est discuté depuis plus d’un siècle »
              ————————-
              Oui donc en résumé, tu es passé à un phénomène dont les mécanismes seraient connus à un « phénomène connu » (quoi que ça puisse vouloir dire) à une « phénomène (existant ou non) discuté depuis plus d’un siècle ». Bientôt, ce sera le phénomène qui fait la une de Closer depuis des siècles.
              C’est du sérieux scientifique à la mode réchauffiste, ma bonne dame !
              Et radotage, quel radotage ? Tout ce que je dis est factuel, vrai et facilement vérifiable, contrairement aux fadaises sorties de ton chapeau.
              La prochaine fois quand tu viens prétendre tenir une conversation, faut venir avec des biscuits, clown.

            • Je passe de phénomène connu à phénomène discuté pour ne pas que minitax cale dessus et qu’il ne s’égare pas à discuter des mots utilisés. Visiblement, mon message n’est toujours pas passé. De toute façon c’est comme parler à un poisson rouge.

            • Votre message est parfaitement passé, et il est rejeté ici parce qu’il est ridicule. Tout simplement.

            • Mais bien sur, va m’expliquer que c’est faux…

            • Pour éviter de perdre davantage de temps avec les arguties sans intérêt de Minitax, un simple lien vers une dissection de ses techniques de trollage :
              http://www.energieclimat.net/article-commentaire-de-texte-83037776.html

              Intervenant nul et non avenu, au suivant.

      • L’effet se serre n’a jamais été démontré scientifiquement.

    • Sans doute dans l’un des liens que j’ai postés plus haut, des scientifiques ont remarqué que notre système solaire est en train de sortir d’un des bras de notre galaxie, l’exposant à des radiations beaucoup plus intenses, ce qui pourrait expliquer le réchauffement planétaire.

      • On trouve vraiment tous les arguments ici. Ici c’est le soleil, la bas c’est la galaxie etc.. Vous cherchez toutes les possibilités pour exclure l’hypothèse d’un réchauffement du aux activités humaine. Vous mettez en lumière votre véritable source de subjectivité.

        • Bonjour relou
          On n’exclut pas l’hypothèse de RCA, on est septique.
          C’est le GIEC qui ne doute pas ce qui n’est pas une attitude très scientifique (surtout au vu de l’évolution réelle de la température lol ).

          • Le GIEC ne doute pas parce qu’il ne peux pas douter et remplir sa mission en même temps : l’attribution du réchauffement par méthode statistique (les modèles) suppose d’avoir une hypothèse nulle (ce qui serait possible sans CO2). L’hypothèse nulle suppose de nier toute possible influence due au soleil ou au courrants marins par exemple. Sinon la démonstration est nulle et leur rapport bon pour la poubelle.

            Cela devient ubuesque quand les courrants marins qui ne sont pas sencés intervenir sont supposés entrainer le réchauffement au fond des océans. Pour ça, il méritent la porte et la suppression de leur retraites. Et ceux qui dissimulent ces contradictions … No comment !

        • On dit simplement qu’il y a diverses possibilités. Possibilités que le GIEC n’a jamais envisagé de prendre en compte, ce qui montre leur incompétence, LEUR subjectivité et leur démarche anti-scientifique.

        • Très cher relou,

          Où avez vous trouvé des arguments ici ? De la grosse déconne à plein tube épicétou.

        • relou: « Vous mettez en lumière votre véritable source de subjectivité. »

          Bah non, sur ce graphique on voit les 73 modèles élaborés pour prédire le réchauffement, 40 ans après on constate qu’ils se sont TOUS plantés. Pas UN n’a passé le test de la vérification par les FAITS.
          http://www.drroyspencer.com/wp-content/uploads/CMIP5-73-models-vs-obs-20N-20S-MT-5-yr-means1.png

          relou: « pour exclure l’hypothèse d’un réchauffement du aux activités humaine. »

          Euh, encore faudrait il qu’il y aie encore réchauffement qui soit significatif parce que même Rajendra Pachaudri le BOSS du GIEC a reconnu dans un souffle qu’il y avait un problème depuis 17 ans avec les températures qui ne grimpaient quasiment plus. Pendant ce temps le CO2 tutoyait des records d’émission.

          En bref, Il n’y a guère que les gens qui ne sont absolument pas informés ou les trolls qui continuent à défendre la théorie du RCA tel qu’émise par le GIEC.

      • C’est exactement ce que Svensmark a démontré depuis longtemps, le modulateur étant le Soleil en l’occurrence, ce qui met en rage les thuriféraires du GIEC qui ne veulent voir que l’infime variation de l’irradiance solaire. Et il semble bien, après les expériences Sky (Danish Institute of Astrophysics) et Cloud (CERN), que les rayons cosmiques soient un des éléments essentiels à la formation des noyaux de condensation, et donc des nuages.

      • Non car de la même manière que notre atmosphère nous protège du rayonnement solaire, notre Soleil et ceux dans notre voisinage nous protègent des autres rayonnements cosmiques. En sortant d’un bras de la Voie Lactée, on se retrouve donc + exposés à ces rayonnements. Voir l’un des liens que j’ai postés ci-dessus ( sauf erreur de ma part )

    • Dire que l’effet de serre viole la loi de Stefan-Bolztman dénote une belle ignorance de la physique. En effet, l’effet de serre est le résultat d’une propriété de la matière: le verre est transparent dans le visible et opaque dans l’infrarouge lointain. L’énergie provenant du soleil traverse le verre sans problème (une partie est réfélchie), réchauffe la terre de la serre. cette dernière rayonne une énergie dite du corps noir (loi susdite) proprotionnelle à sigmaxTexp4. Mais, à cette longueur d’onde qui se trouve dans l’infrarouge lointain, le verre est opaque et donc réfléchit l’énergie. Il en résulte un réchauffement à l’intérieur de la serre.
      Dans l’atmosphère, la vapeur d’eau joue le même rôle que le verre, quoique dans une bien moindre mesure.

      • Pas de quoi faire pousser des tomates en Hollandie !

        Extrait de wikipedia « effet de serre » :

        « En 1909, Robert Williams Wood montre que contrairement à une idée reçue le blocage du rayonnement infrarouge par le verre n’est pas le principal mécanisme qui explique le fonctionnement d’une serre[4]. Par conséquent le terme scientifique, adopté par le GIEC, utilisé pour décrire l’influence des composants de l’atmosphère bloquant le rayonnement infrarouge sur le bilan thermique de la Terre est forçage radiatif et non effet de serre. »

        Le problême est que le terme « effet de serre » est utilisé au fin de propagande par des gens comme Jean-Marc Jancovici et Hervé Le Treut parce qu’il peut sembler une évidence à chacun. Dès lors qu’on arrive à convaincre quelqu’un qu’une idée est la sienne, on peut lui faire avaler n’importe qu’elle conclusion. Je connais d’excellents casse-tête basés sur ce principe.

        La réalité est que le calcul physique de l’effet de réchauffement par forçage radiatif est beaucoup plus compliqué et contesté. Comme il ne peut être vérifié de façon expérimentale, on peut discuter à l’infini sinon de son existence, du moins de son ampleur. En physique on a vite fait d’appliquer une loi de façon incorrecte et d’obtenir un résultat faux.

        • « Pas de quoi faire pousser des tomates en Hollandie ! »
          ————————-
          En effet, cette superstition du « verre qui bloque et réfléchit les IR lointains » est d’autant plus idiote qu’on a de nos jours de millions d’ha de serre de plastique, qui ne bloque absolument pas les IR lointain et qui chauffe tout aussi bien que les serres en verre. Mais bon, c’est du gerldam quoi…
          Eh oui, pour le croyant réchauffiste, aucun mensonge, aucune absurdité, aucune pseudo-science n’est assez grotesque pour ne pas être utilisé. Puisque c’est pour la bonne cause !

  • La climatologie moderne, c’est un peu comme si au bout de 100 pages de calculs, on arrivait au résultat :

    9=10

    Comment gérer ce petit problême ?

    – les climatologues officiels, ceux qui ont pignon sur rue et font la pluie et le beau temps nous disent : « on n’en n’est pas si loin, on ne s’est pas trompé de beaucoup ! »
    – les climatologues divergeants ou à la retraite sont pris de remords et nous disent : « vous comprenez, c’est compliqué, le maillage est insuffisant, on est soumis à des pressions et il n’est pas totalement exclu qu’on se soit un peu mis le doigt dans l’oeuil jusqu’au coude en voulant bien faire »
    – les scientifiques dissidents cherchent l’erreur : « à la page 15 vous faites un pré-supposé douteux quand vous dites « 1=2″ et à la page 27, on aurait pu ajouter au lieu de retrancher, ce qui donne des résultats différents : 11=10 et non pas 9=10 »
    – les activistes escrologistes nient tout en bloc dans la plus complête incohérence : « il n’y a pas d’erreur, c’est un effet d’optique du au fait que le calcul est intrinsèquement complètement faux, et de toute façon ce sont les lobbys pétroliers qui ont altéré les mathématiques pour faire de la désinformation »
    – les politiques font comme si de rien n’était : « 9=10, je ne vois pas le problême puis qu’il y a consensus pour affirmer que 9=10′
    – l’homme de la rue s’en fiche : « que 9=10 ou 9=11 ne change rien (pense-t’il) à sa vie de tous les jours »

    Et si vous remontez un peu dans l’histoire des sciences ou l’histoire tout court, vous constaterez qu’il en a toujours été ainsi. Donc finalement peut-être bien que 9 est égal à 10.

    • Il fut une époque où les scientifiques disaient que les trains seraient mortels car en dépassant la vitesse limite de 35 km/h, les humains devaient mourir 😉 Et pourtant, aujourd’hui on a des TGV ^_^
      J’ai pas vérifié les calculs suivants mais il est clair que d’après ces fameux scientifiques de cette époque, on devrait tous être morts :
      – la rotation de la Terre sur elle-même à 1135 km/h à la latitude de Paris, 1233 km/h à la latitude de Toulouse (de 0 km/h aux pôles à 1670 km/h à l’équateur),
      – la rotation de la Terre autour du Soleil à 29,8 km/seconde ( 107.280 km/h),
      – la rotation du système solaire autour de la galaxie à environ 230 km/s (828.000 km/h)
      – le mouvement de la galaxie et du groupe local à environ 600 km/s (2.160.000 km/h), mais dans le sens opposé au déplacement du système solaire autour de la galaxie, donc les deux vitesses ne se cumulent pas mais se soustraient. Lorsque nous aurons fait un demi tour de galaxie, dans 120 millions d’années, les deux vitesses s’ajouteront.

      • Je me demande sur quoi ça se basait, sachant qu’un humain en forme peu atteindre 35 kph à la course à pied 😀

        • Oui, ben sacrément en forme, hein… C’est la vitesse moyenne d’un sprinteur olympique sur 100m, quand même.

          • Ouais foutrement en forme en effet, mais a moins que l’effet se pose exactement a partir de 35 sans aucune progression, on peut suposer que l’hypothèse était facile à vérifier. Un cheval peut atteindre 30 miles/h il me semble 😀

          • Franz : « C’est la vitesse moyenne d’un sprinteur olympique sur 100m, quand même. »
            ——————————-
            Donc finalement, affirmer qu’on peut mourir en allant à 35 km/h n’est pas si anti-scientifique, après tout 😉
            Ca vaut bien le « aucune machine plus lourde que l’air ne peut voler » du scientifique de renom Lord Kelvin.

        • Ca allait encore plus loin car ces mêmes ‘scientifiques’ disaient que dans un tunnel, les gens seraient asphyxiés à cause des fumées qui pourraient pas être évacuées à temps.

    • Et celui qui ose advancer 10=10 se voit répondre, dans quel journal visé par les pairs avez-vous publié ça ? Et qui vous finance ?

  • ah ben ca alors moi qui croyait les temperatures diminuaient…

    • Ben oui, en hiver il fait plus froid qu’en été.

      Mais méfiez vous, à partir de mi-avril en général le GIEC a raison jusqu’à mi août : les températures montent, et ça peut même se voir à l’oeil nu.

      • Faux: elle montent jusqu’au du 15 janvier au 5 aout en moyenne.

        • Pas de compétences scientifiques, pas de compréhension du monde… et pas d’humour. Ça doit pas être facile tous les jours d’être Relou…

          • C’est le principe d’être Relou ( je vous retourne le compliment sur l’humour). Par contre ne vous permettez pas de parler de science et de compréhension. Vous êtes tout sauf scientifique.

            • C’est le principe de la liberté d’expression, mon petit. Ca permet aux tonneaux vides comme toi de faire du bruit pour que tout le monde puisse s’en rendre compte.

            • Ben non, je ne suis pas scientifique, je suis mathématicien (appliqué), c’est nettement mieux. Au moins je ne m’encombre pas de théories « vraies jusqu’à ce qu’on les montre fausses », dans mon métier ce que je dis EST vrai: Si…, alors. C’est mieux. Ça évite les escroqueries, les effets de modes, les revirements, les organes gouvernementaux..

              Cela dit, officiellement je suis docteur en science. Et vous me faites bien rire (de vous surtout, mais ce n’est pas grave, je m’amuse tout autant).

            • Voila donc l’explication, voila pourquoi vous vous permettez de juger les autres (« Pas de compétences scientifiques, pas de compréhension du monde »). Vous êtes un cas très représentatif, banal quoi. Cela contraste avec votre idée que vous êtes au dessus du débat par votre sainteté des mathématiques; l’objectivité face à la subjectivité, son implacable justesse face au effets de modes..La grosse tête quoi, l’effet prépaman.

            • Relou : ‘La grosse tête quoi, l’effet prépaman.’
              ——————————————
              Warff, venant du mec qui connaît que dalle du sujet, qui ressasse les sempiternelles âneries néo-malthusienes qu’on entend ad nauseam en les faisant passer pour des scoops et qui se permet des piques sur « le sérieux scientifique des commentaires qu’on lit ici » et de qualifier son interlocuteur de « radoteur » et de « tout sauf scientifique », délire !
              Hé, pense à te faire offrir un miroir et à te soigner du syndrome de Dunning-Kruger.

            • Je répond comme on me parle c’est tout. Ce n’est pas moi qui commence. Relisez vous minitax, avouez que c’est clownesque drôle votre façon de parler « sempiternelles âneries néo-malthusienes qu’on entend ad nauseam ». C’est de la phrase toute faite sortie du chapeau et réchauffé pour l’occasion.

            • oui, oui, c’est pas moi qui a commencé, c’est l’autre. C’est pas ma faute, c’est l’autre…
              Typique de la rengaine du parfait gauchiste puéril et jamais responsable de ses paroles et actes.

            • Gauchiste maintenant haha.. vous ne savez pas ce que vous dites

            • Relou: « Gauchiste maintenant haha.. vous ne savez pas ce que vous dites »

              Le défaut de Mini-Tax c’est de n’avoir aucune patience ni pédagogie mais il a une solide culture scientifique bien documentée qu’il a prouvé à maint reprises.

              De votre coté j’espère que vous êtes plus aimable que lui parce que coté culture scientifique… ouch.

            • Vous ne pouvez en aucun cas juger une culture scientifique puisque celle ci dépend selon vous uniquement du fait qu’on soit réchauffiste ou sceptique. Si quelqu’un ne pense pas exactement comme vous, alors il est étiquetté ignare. C ‘est simple.

            • Et vous avez franchement tendance à avoir la grosse tête ici, docteur en math, ingénieur ou je ne sais quoi d’autre.. vous vous gardez bien de ne pas le dire.

            • Relou: « puisque celle ci dépend selon vous uniquement du fait qu’on soit réchauffiste ou sceptique. »

              Indépendamment des opinions, la démarche, le vocabulaire, l’argumentation trahissent la formation scientifique ou son absence avec certitude. Tu n’es même pas un amateur éclairé, tu ignores visiblement tout des fondamentaux scientifique.

              Avec une trompette qui fait « pouet » et des arguments « vu à la télé » ça va être difficile de faire croire que tu es un virtuose.

              ça, c’est une théorie réfutée:
              http://www.drroyspencer.com/wp-content/uploads/CMIP5-73-models-vs-obs-20N-20S-MT-5-yr-means1.png

            • « Tu n’es même pas un amateur éclairé, tu ignores visiblement tout des fondamentaux scientifique »
              Quelle insolence. Montre moi en quoi j’ignore tout des fondamentaux scientifiques? Allez montre!

            • Ilmryn : « Le défaut de Mini-Tax c’est de n’avoir aucune patience ni pédagogie mais il a une solide culture scientifique bien documentée qu’il a prouvé à maint reprises. »

              MiniTax (27/01/2014 à 16H00) :
              « Un alternateur d’éolienne de 1 MW dépasse facilement 20 tonnes. J’ai un cousin qui travaille chez Siemens en transfontalier en Alsace, ça se fabrique à la main, avec des maillets pour monter barres de cuivres et isolants et les chalumeaux pour souder. C’est littéralement du cousu-main.
              Un alternateur de 550 t doit faire moins de 30 MW, c’est donc relativement « petit », ça doit aller dans une petite centrale au gaz. »
              C’est ça la solide culture scientifique de miniTax (j’ai un cousin qui..) ?

              Pour info :
              Un alternateur (generator) pour une éolienne de 3MW, c’est environ 7 tonnes. Pour une éolienne de 0,85 MW, moins de 2 tonnes (et pas 20 tonnes). Quand à l’alternateur de 550 tonnes ça ne fait pas moins de 30MW, mais plusieurs centaines de MW.

            • Hahaha.. voila qui met bien en lumière cet amas de femmes savantes…

            • Ilmryn: « Le défaut de Mini-Tax c’est de n’avoir aucune patience ni pédagogie »
              ————————————
              « aucune patience ni pédagogie » avec les imbéciles, nuance !

            • Dans ce cas il perd patience de lui même.

            • Relou: « Quelle insolence. Montre moi en quoi j’ignore tout des fondamentaux scientifiques? Allez montre! »

              C’est évident, tu trolls comme un gamin pris le doigt dans le nez et tu n’as rien de pertinent à dire sur le fond qui ne semble pas t’intéresser beaucoup d’ailleurs. Ton truc c’est le trolling, pas la science…

              Donc troisième fois, ça, ça veux dire qu’ils se sont planté et que leurs théories sont invalide:
              http://www.drroyspencer.com/wp-content/uploads/CMIP5-73-models-vs-obs-20N-20S-MT-5-yr-means1.png

            • J’ai posté mon point de vue précédemment, mais vous ne répondez pas de manière constructive, vous insultez, donc que voulez vous? Etre en désaccord c’est troller pour votre secte, donc oui je troll. D’ailleurs, vous n’avez absolument pas répondu à ma question, troller n’est pas un argument.

            • Éclatante démonstration, je te fourni pour la troisième fois tous les modèles du GIEC mais tu n’en a rien à battre, le fait scientifique ne t’intéresses absolument pas CQFD. Probablement que tu ne comprend même pas le graphique d’ailleurs.

              Troll’n Roll !

              Quatrième et dernière fois juste pour le plaisir: :mrgreen:
              http://www.drroyspencer.com/wp-content/uploads/CMIP5-73-models-vs-obs-20N-20S-MT-5-yr-means1.png

            • Mais je m’en fous de ton lien! Pourquoi tu me montres ces 73 modèles?? De quoi on parle? J’ai jamais parlé de réchauffement. C’est totalement HS. Je t’ai demandé de me montrer que je ‘ai aucune culture/compétence scientifique à partir des éléments qu’il y a sur ces commentaires. J’ai l’impression de parler à quelqu’un de ivre tant la réponse est HS.

            • D’ailleurs, cette « pause » climatique a quelques explications. Je rapporte ce que se dit, pas ce que je pense puisque je n’ai aucune légitimité, comme vous.
              1) la hausse de la T° des 10 dernières années a été sous estimé selon une étude mettant en lumière le manque de données notamment dans les régions les plus septentrionales
              2) les modèles, contrairement à ce que vous dites et ce que vous cherchez à montrer, explique ce genre de phénomène. Chaque modèle prévoit des périodes de ralentissement, voir de refroidissement, durant mais ils sont incapables de prédire quand.
              3) Un certain nombre de facteur naturel favorisent la limitation de l’élévation

              Restez calme en lisant ceci, ne sombrez pas dans le syndrome femmes savantes

            • Relou: « Pourquoi tu me montres ces 73 modèles?? De quoi on parle? J’ai jamais parlé de réchauffement. »

              Dans un fil de commentaire qui parle de réchauffement en dessous d’un article consacré au RCA fallait l’oser celle-là !

              « Les troll ça ose tout… » :mrgreen:

              Relou: « J’ai l’impression de parler à quelqu’un de ivre tant la réponse est HS. »

              lol

            • Oui lol, tu me ponds ce graphe mille fois connu comme ça, et en quel honneur? M’aurait on classé réchauffiste parce que j’ai parlé de pic du pétrole en haut?

            • Auteur : Relou
              Commentaire :
              D’ailleurs, cette « pause » climatique a quelques explications. Je rapporte ce que se dit, pas ce que je pense puisque je n’ai aucune légitimité, comme vous.
              1) la hausse de la T° des 10 dernières années a été sous estimé selon une étude mettant en lumière le manque de données notamment dans les régions les plus septentrionales

              C’est nouveau ça ! Même le GIEC était d’accord pour dire que depuis 10 ans, la température n’a pas augmenté 😉 Maintenant, ils essaient de bidouiller pour expliquer cela ^_^ Ca pue le bricolage foireux…

            • Oui c’est nouveau. Allez donc vous renseigner un peu.

  • Les scientifiques ne font pas de prédictions mais des prévisions. Les prédictions, c’est dans les boules de cristal !

    • Il m’avais pourtant semblé qu’ils préfèraient le terme de « projection » encore plus flou. Mais si on réfléchi au sens des mots, prévoir est imaginer le futur, prédire est communiquer ce que l’on a vu.

      Et question communication, on ne peut pas dire qu’ils sont particulièrement discret. Alors on peut toujours noyer le poisson mais quand on communique sur une vision d’avenir donnée par des projections, on fait quand même bien une prédiction.

      Et si ce terme a une connotation quelque peu négative, c’est que la sagesse et l’expérience nous apprend que les prédictions quelles qu’elles soient sont généralement fumeuses.

  • Le plus relou est de relire L’Histoire du climat depuis l’an mil d’Emmanuel Le Roy Ladurie. Il parle par exemple du petit âge glaciaire (fin du moyen-êge-1800) et, comme par hasard, cette « énorme » fluctuation du climat intervient alors que la population mondiale était incroyablement basse. Rappelons que la population mondiale commence à augmenter à partir de Jenner et la découverte de la vaccine (et les vaccins). Quand mon père est né en 1925, la population mondiale était de 2 milliards d’individus. Le GIEC insiste sur ce détail démographique (et l’augmentation des gaz à effets de serre biologiques (le pets). Il oublie de parler des fluctuations de températures énormes constatées depuis les millénaires passés (et des ères géologiques antédiluviennes où le sommet est atteint par l’explosion constatée de 350% de CO2 supplémentaire par rapport à aujourd’hui il y a quelques centaines de millions d’années. De même, il y 20.000 ans la Terre était très froide après la glaciation de Wurmz et tout d’un coup, elle se réchauffe, et le niveau des mers remonte de 125 mètres (on pouvait passer le Channel à pied ferme, la Seine et la Tamise se jetaient dans un estuaire commun ou séparé entre les Ouessant et Scilly actuels. Le GHIEC ne parle jamais de ces détails protohistoriques… Pourquoi oublier tous ces détails gênants, quand il s’agit de prévoir une augmentation fantaisiste de 10 cms du niveau des océans pour 2100 (non vérifiables) alors que tous ces rapports comme ceux qui les ont pondus seront morts et enterrés ? Ah, c’est vrai, le GIEC est de gauche et la gauche doit réécrire l’histoire, c’est sa vocation.

  • C’est un bon article mais qui n’est pas nouveau sur le fond.

    En gros mais d’ou tirez vous vos certitudes??? vos 90% ou 95%..
    On peut ressortir ce qu’on diqsait il y a dix ans…rien n’a changé.

    • Si j’ai bien compris la méthodologie du GIEC, il sont sur que si le réchauffement n’est pas causé par autre chose, alors il y a 95% de chance qu’il soit du à l’homme.

      C’est comme le loto où 100% des gagnants ont tenté leur chance (moins leur 5% de commision)

      • justement ce n’est pas une méthodologique , c’est une conviction, un croyance forte, ces pourcentages à la noix ne révèlent que cela.

        Je suis certain à 90% ne veut rien dire…et c’est infalsifiable, pardon ce n’est pas réfutable, donc non conforme à la logique scientifique.

        • C’est la méthodologie qui est censée fournir une certitude à 95%. Mais :

          – les abus de cette méthodologie et sa validité ont été dénoncés comme un biais dans les méthodes d’attribution d’une façon générale dans la science moderne
          – les conclusions qui s’imposent est que l’attribution est en échec puisque les températures mesurées sortent des zones à 95% de validité de presque tous les modèles. Le fait de rechercher un réchauffement perdu dans le fond des océans est un aveu de l’échec.
          – toute la méthodologie repose sur la supposition qu’il n’existerait pas de causes de variation du climat autres que le CO2 et les aérosols. Bref sur l’affirmation arrogante qu’on aurait tout compris du climat.

          Affirmer que l’on est sur de la responsabilité humaine en brandissant ce 95% de certitude dans le rapport pour décideurs est donc une triple arnaque. Que les académies des sciences cautionnent ce rapport et le GIEC est un vrai scandale.

          • C’est un problème qui n’est pas nouveau dans les sciences, ce qu’on ne connait pas ou ne comprend pas n’a pas d’impact.

            Il n’y a pas si longtemps, on nous disait qu la majeur partie de l’ADN était résiduel (le fameux ADN poubelle), jusqu’à ce qu’on découvre à quoi il servait en étudiant des tumeurs, me semble-t’il.

            Le giec est victime des mêmes biais avec l’activité solaire ou la magnétosphère.

            Apparemment, que le phénomène soit connu ne suffit pas à nous en protéger.

          • La méthodologie du GIEC est tellement fiable qu’ils sont bien emmerdés de ne pas pouvoir expliquer la stagnation de la température depuis 10 ans ^_^

  • L’interaction ONU-Scientifiques s’est révélé une catastrophe et une honte.

    • Les dommage pour la science sont potentiellement énorme en perte de crédibilité pour qui ne sait pas comment elle marche. Contrairement aux religions et aux dogme elle évacue bien les mythes et hypothèses fausse mais ça peut prendre une génération.

      • En termes de sciences et de connaissances, il y a encore beaucoup à faire :
        Un quart des Américains ignorent que la Terre tourne autour du soleil et plus de la moitié ne savent pas que l’homme descend du singe, révèle une enquête aux résultats édifiants menée par la Fondation Nationale des Sciences, publiée vendredi.
        http://jack35.wordpress.com/2014/02/15/la-terre-tourne-autour-du-soleil-ah-bon/

        • L’homme ne descend pas du singe, il est un singe, et partage des ancêtres communs avec tous les singes actuels.

          Le sondage eut été plus juste s’ils avaient demandé si l’homme est un primate. Et je crois que là, les résultats auraient été encore plus lamentables.

          Ceci dit, j’ai souvenir qu’un candidat à une émission de télé avait répondu à Jean-Pièrre Foucaut (me semble-t’il, ou bien était-ce Naguy?) que la terre tournait autour de la lune. Comme quoi, il n’y a pas besoin d’aller jusqu’aux aux Etats-Unis. Il m’est même arrivé d’avoir l’impression de parler en Chinois, en prononçant les mots « nanotubes de carbone » ou « inflation ». Du coup en France, je suis pas sûr qu’on fasse mieux.

          Ce qui n’empêche bizarrement pas l’opinion publique de se moquer des Américains.

        • Sans comparaison avec d’autres pays ça vaut rien.
          Tiens, rigoler un peu : http://www.youtube.com/watch?v=S4cu47kFC4A

    • Le coup des 1 000 meilleurs scientifiques de la planète qui ont signé leur déclaration du début ! Déjà ça pue la désinformation et la manipulation car :
      1 : Sur quelles bases se sont-ils appuyés pour dire qui étaient les meilleurs ?
      2 : Bcp de scientifiques ont signé pour les soutenir ou parce qu’ils se sentaient flattés d’être classés parmi les 1 000 meilleurs scientifiques de la planète. Certains ont ensuite réfléchi un peu trop tard et ont compris qu’ils avaient signé un peu trop vite… Car faut pas oublier que bcp de ces scientifiques travaillent dans des domaines qui n’ont aucun lien avec l’évolution du temps sur la planète… Donc, pourquoi les mettre sur cette fameuse liste ??? Et donc certains ont demandé à ce que leur nom soit retiré de cette liste, réponse du GIEC : « Non ! C’est trop tard ! Vous avez signé ! »

  • Il y a une chose que j’aimerais comprendre, les scénarios du GIEC se sont tous plantés. Il ne sont même pas un peu près d’avoir prédit les dernières années, on dirait que la planète à décider de les troller.
    Alors pourquoi est-ce que tant de scientifique croit encore au réchauffement ? Ils peuvent pas tous être idiot.

    • Il y a une explication : Comme la mode est au réchauffement climatique, quand les chercheurs demandent des fonds pour leurs recherches, s’il ne s’agit pas de recherches liées au réchauffement climatique, les chances d’obtenir ces fonds se réduisent… Donc, pour obtenir ces fonds, ils essaient de tourner le but de leurs recherches au profit de celle sur le réchauffement climatique. C’est le serpent qui se mord la queue, une boucle sans fin…

    • Faut bien voir que quand on a fondé sa réputation, et donc sa carrière sur un certains nombres de papiers autour d’une théorie donnée (surtout si elle était attrayante car 1° intuitivement parlante, 2° donnait une grande importance à la discipline où on bosse, 3° permettait de lever des fonds, attirer des doctorants, etc.) il est très difficile de dire « euh, ben, OK, je me suis gouré, on reprend à zéro ? » Donc même ceux qui y ont cru de bonne foi et qui réalisent aujourd’hui que leur modèles/théories étaient bidon vont défendre bec et ongles un truc foireux.
      C’est pour ça que « la science » à en général besoin d’une génération (académique) pour tourner la page sur les théories erronées. Là ça risque d’être plus dur parce qu’il y a eu une sorte de ferveur mystique, beaucoup de pognon, et une discipline qui comptaient à peine quelque milliers de chercheurs au niveau mondial a explosé et est devenu « un gros truc ».

      • Franz: « Faut bien voir que quand on a fondé sa réputation, et donc sa carrière sur un certains nombres de papiers autour d’une théorie donnée »

        Tellement vrai que pour bon nombre de controverses scientifique il a fallu attendre la mort des contradicteurs les plus acharnés pour que la théorie vérifiée soit pleinement acceptée.

        Les controverses sont aussi ancienne que la science, celle du RCA est inédite par son impact financier et ses implications politique et économique.

    • Je peux comprendre l’attrait du pognon, mais même parmis ceux qui ne recherchent pas spécifiquement pour le climat ont retrouve des fervant défenseur du réchauffement. Suffit de voir la rubrique science de reddit, des étude non peer review ou déjà détruites passe free la modération alors que les plus sérieuse qui emmettent des doutes disparaîssent.

      Plusieurs des modérateur ont des titres certifiés, pourtant le réchauffisme semble dominant de façon écrasante. C’est peut-être un effet d’éviction, les croyants étant plus agressif par nature font fuir les plus sceptiques (pur théorie de ma part).

      Enfin, le fait que les modèles se soit tant planté devrait logiquement agir comme un électro-choc, mais pourtant ça ne semble pas le cas.

      Si ça prend une génération on est mal barré, on pourrait très bien en arriver à des éco-génocide fiasant passer celui des DDT pour de l’amusement.

      • Il y a pas mal de mystères dans les Sciences et parfois il faut plusieurs générations de scientifiques pour se rendre compte qu’ils étaient dans l’erreur…. Je serais pas surpris qu’il faille plus qu’une cinquantaine d’année pour que les yeux commencent à s’ouvrir….

  • Entre autres inepties : « De fait, il est plus qu’un peu étrange que nous n’entendions pas dire, venant du GIEC (ou, en tout cas, pas à voix haute) qu’une quelconque fluctuation naturelle interne du système a pu aussi provoquer la plus grande partie de la hausse [de la moyenne globale des températures au XXe siècle] »

    L’auteur ignore visiblement tout des études d’attribution reprises dans la synthèse du GIEC. Elles partent précisément de l’hypothèse « le réchauffement observé est cohérent avec la variabilité naturelle ». Mais il se trouve qu’elles concluent sur la base de tests statistiques que cette hypothèse est très probablement fausse (les fameux 95%).

    L’auteur saura-t-il saisir la différence entre « je montre que l’hypothèse est fausse » et « je ne considère pas cette hypothèse » ?

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