Publié le 16 février 2014
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La faible part des cotisations dans le financement des syndicats, une des causes des travers du syndicalisme français, plus idéologique et moins réformiste que dans les autres pays selon un point de vue de Pierre Cahuc et Jean-Christophe Sciberras à lire dans Les Échos
cela n’empêchera pas le copinage de certains délégués et secrétaires nationaux avec les chefs d’entreprise .
déjà que les syndicats nationaux sont en chute libre , les financer par les seuls adhérents , c’est à coup sûr détruire totalement ce qui en reste .