L’une des caractéristiques du socialisme et de l’interventionnisme est l’échec. Le Venezuela en est la preuve patente, après avoir passé le dernier demi-siècle à s’enfoncer dans la pauvreté. En effet, dans les années 1950, il était l’un des pays les plus développés de l’Amérique latine. Cette époque est révolue. Maintenant, c’est un cas désespéré : un État défaillant sombrant dans le chaos.
Comment cela se fait-il ? Après tout, les réserves additionnées de pétrole et de gaz du Venezuela ne sont dépassées que par celles de l’Iran. Eh bien, il pourrait avoir des réserves, mais grâce à la politique malavisée du président Hugo Chavez, le Venezuela est le seul producteur majeur d’énergie qui a vu sa production chuter durant les vingt-cinq dernières années. Le graphique suivant nous raconte cette triste histoire.
Source : Cato Institute, traduction : NN/Contrepoints.
Lire aussi : le dossier de Contrepoints Venezuela : l’échec du chavisme
Vous avez pensé à envoyer votre article à Mélenchon?
Et au Venezuela, vous auriez pu associer aussi la politique des socialistes français qui mène au même résultat.
La preuve que les écolos avaient raison: c’est le peak-oil !
Depuis 2010, on peut constater que 1/le Vénézuela produit moins de pétrole, 2/ le Japon a arrêté ses centrales nucléaires, 3/ la Libye n’exporte plus, 4/ l’Iran est toujours sous embargo, et on n’a toujours pas cette explosion du prix du pétrole tant annoncé !
En fait, c’est plus simple que ça: les pays pétrolifères ajustent leur production les uns par rapport aux autres afin de tirer un certains nombre de baril maximum par jour et le vendre ainsi à un prix minimum (80$ le baril je crois). Du coup, ils ont en fait largement les moyens de produire plus mais préfèrent rationner pour tirer un max de bénef.
Eh oui la logique de cartel…
J’aurais le monopole des bonbons haribo, je ferais la même chose (avec les bonbons haribo)
Le gouvernement Chaviste applique les recettes du socialisme : Partager les profits.
Un tiers pour acheter la soumission du peuple, un tiers pour sa clique et grossir l’appareil répressif et le derniers tiers pour les copains du régime « anti-impérialiste » tels que Cuba ou l’Iran. Bon il reste plus rien pour investir mais ça c’est un fonctionnement capitaliste qui ne l’intéresse pas. Et si la production de pétrole diminue, on dira que c’est la faute au complot. Il y a toujours des gogos disposés à le croire.
Depuis qu’Aquilino n’est plus aux affaires dur dur la maison d’Amérique (sauf le pape ,il faut en convenir)