Comment expliquer que depuis 15 ans le réchauffement climatique annoncé n’ait pas eu lieu ? Branle-bas de combat chez les scientifiques du climat pour tenter de justifier a posteriori les erreurs des modèles.
Par Antony Watts.
Gavin Schmidt (de la NASA et de « realclimate », NDLR) et al. ont publié un nouvel article qui arrive en numéro 10 dans la liste – en croissance – des explications de la pause d’au moins 15 ans du réchauffement climatique. Maintenant que nous avons un Top 10, examinons le :
1. Une nouvelle étude avance qu’une activité solaire basse a causé « la pause » dans les températures planétaires, mais que le réchauffement climatique anthropique va revenir !
2. Les océans ont mangé notre réchauffement climatique ! Trenberth et Falluso, 2013. Mais la chaleur va revenir quand vous vous y attendrez le moins.
3. Le charbon chinois a causé la pause, publié dans les Proceedings of the National Academy of Science des États-Unis. L’étude fait peser la responsabilité du manque de réchauffement climatique sur le charbon chinois. Les gens qui soutiennent la thèse du réchauffement climatique affirment essentiellement que l’utilisation du charbon nous sauve du danger du réchauffement climatique. Kaufman et al, 2011.
4. Le protocole de Montréal a causé la pause, avec la réduction des CFCs, mais le réchauffement va revenir bientôt. Estrada 2013.
5. Les stations antarctiques sous-représentées de Cowtan et Way, 2013, se voient ajustées pour règler les chiffres, afin que la « pause » n’ait jamais existé, mais pas si vite. Tout n’est pas au point, semble-t-il. Le Dr Judith Curry n’en pense pas que du bien parait-il.
6. Les aérosols volcaniques, et non la pollution humaine, ont amoindri le réchauffement récent de la Terre, dit une étude de l’Université du Colorado, Neely et al, mars 2013. Une équipe menée par l’Université du Colorado à Boulder, cherchant des indices sur les raisons qui expliquent que la Terre ne se réchauffe pas comme les scientifiques s’y attendaient entre 2000 et 2010, pense maintenant que les coupables se cachent au grand jour, des douzaines de volcans qui crachent du dioxyde de soufre.
7. Contribution de la vapeur d’eau stratosphérique aux changements décennaux dans le taux de réchauffement planétaire, Solomon et al, 2010, Science Magazine. Les concentrations de vapeur d’eau stratosphériques ont diminué d’environ 10% après l’an 2000. « Nous montrons ici que ceci a eu pour effet de ralentir le taux d’augmentation des températures de surface planétaire entre 2000 et 2009 d’environ 25% par rapport à ce qui se serait produit du fait des seuls dioxyde de carbone et autres gaz à effet de serre. »
8. Des alizés pacifiques plus forts ont causé la pause, England et al 2014. Un article publié cette semaine dans Nature Climate Change ajoute la huitième excuse pour la pause dans le réchauffement de la planète : des alizés Pacifique renforcés n’étaient « pas [simulés] par les modèles climatiques ». Sur la base de ces mêmes modèles hautement imparfaits, les auteurs prédisent qu’un réchauffement climatique rapide va reprendre dans à peu près une décennie, quand ces alizés se calmeront. Mais en 2006, on nous avait dit le contraire.
9. Les « olas » ou vagues espagnoles, Wyatt et Curry 2013. Les « olas » ou vagues espagnoles comme on en voit dans les stades, pourraient expliquer l’accalmie du réchauffement planétaire. Ça pourrait être plausible.
10. Une coïncidence, qui conspire à amortir les tendances au réchauffement, Schmidt et al, 2014. Gavin Schmidt, de la NASA, et al, nous disent : « Nous avançons ici l’argument qu’une combinaison de facteurs, par coïncidence, conspirent à amortir les tendances au réchauffement dans le monde réel après environ 1992. Les simulations du modèle CMIP5 étaient basées sur des estimations historiques d’influences externes sur le climat seulement jusqu’à 2000 ou 2005, et utilisaient des scénarios (Chemins de Concentration Représentatifs) pour la suite. »
Revenons sur l’explication numéro 10, avec le commentaire d’Andrew Montford dans « L’ahurissante hypothèse de la coïncidence » :
Schmidt et ses collègues regardent le hiatus dans les augmentations de températures de surface, et envisagent pourquoi le groupe de modèles CMIP5 s’est collectivement tant trompé. Dans leurs articles, ils expliquent que la raison de ceci n’est pas – comme les lecteurs aux yeux écarquillés pourraient le penser – que les modèles informatiques climatiques sont bancals. En fait, ça vient d’une coïncidence incroyable. Incroyable.
Ici, nous avançons l’hypothèse qu’une combinaison de facteurs, par coïncidence, a conspiré à amortir les tendances au réchauffement dans le monde réel après environ 1992. Les simulations du modèle CMIP5 étaient basées sur des estimations historiques d’influences externes sur le climat seulement jusqu’à 2000 ou 2005, et utilisaient des scénarios (Chemins de Concentration Représentatifs) pour la suite. Toutes les améliorations récentes dans ces estimations ou mises à jour jusqu’à aujourd’hui n’ont pas été prises en compte dans ces simulations. Spécifiquement, l’influence des éruptions volcaniques, des aérosols dans l’atmosphère, et de l’activité solaire a, dans tous ces cas, pris un tournant inattendu pendant les années 2000. Les modèles de simulations du climat, de fait, ont été utilisés avec la supposition que les conditions allaient largement continuer à suivre les trajectoires établies.
Apparemment, si vous retournez en arrière et que vous retravaillez tous les forçages, en prenant en compte les nouvelles estimations (ajoutez une demi bouteille de chiffres a posteriori) et les « ré-analyses » de vieilles données (ajoutez une cuillère à soupe de simulation informatique), vous pouvez franchir le fossé et expliquer d’un coup la pause.
Nous concluons que l’utilisation des dernières informations sur les influences extérieures sur le système climatique et l’ajustement pour la variabilité interne associée à l’oscillation méridionale El Nino, peut presqu’entièrement réconcilier les tendances en températures planétaires moyennes entre les modèles CMIP5 et les observations. Néanmoins, attribuer des tendances climatiques sur des périodes relativement courtes, comme 10 ou 15 ans, sera toujours problématique, et il est, de façon inhérente, insatisfaisant de trouver des accords données-modèles seulement avec le recul.
Donc, avec le recul, les modeleurs de climat peuvent faire rentrer leurs plots carrés dans des trous ronds. Ce n’est pas que les modèles surchauffaient, c’est que la nature en voulait aux modèles.
Vous pouvez lire Schmidt et al, « Réconcilier les tendances au réchauffement », ici.
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Sur le web. Traduction : Contrepoints.
Bonjour
En fait ils en savent rien, ils sont dans le brouillard, dans le smog.
au vu la difficulté de la tache avec notamment le nombre de parametres en entrée et de retroactions en sortie, c’est pas étonnant qu’ils n’aient pas encore trouvé.. vu que le niveau de la mer monte toujours la pause ne devrait etre que temporaire…
Chacun de ces « oracles » y allant de thèses non clairement démontrées, toujours hautement spéculatives,
leur explication tiendrait ainsi « au tout et à son contraire » ? Cette multitude des thèses et affirmations en présence nous confirment un flou gigantesque qui continue d’entourer la « science du climat ». Haro sur la prétendue exhaustivité de modèles multi-variables indépendantes GIECiens à -la-JP-van-Ypersele & Al …
La meilleure hypothèse prêtant à rire réside dans ce charbon chinois -anthropique- ramenant le froid !
Blessures d’orgueil et mensonges combinés, la plupart de ces flambeurs s’entourent de flous afin de ne pas devoir affronter un discrédit public et la perte de leur « fond de commerce » pseudo-scientifique !
A l’opposé, mu par le bon sens des évidences, le grand public s’écarte lui de leurs fadaises … tout en devant supporter des conséquences socio-économiques dramatiques… enrichissant quelques-uns !!
Quand on voit les études qui disent qu’il n’y a pas de pause, comme par exemple la 5 et celles qui cherchent à l’expliquer, c’est assez cocasse…
Bien sur, ce sont toujours des études au conditionnel qui touchent un paquet de subsides, et qui sortent au bon moment…
Ce n’est pas ce genre de choses qui va redorer le blason des sciences vertes et des peer reviewers…
Pour moi, la meilleure étant « la Nature conspire… » ! 🙂
Elle conspire, main dans la main avec les lobbies ultranéolibertarYen. 😉
Watts a oublié ceci
http://www.bbc.com/news/science-environment-26340038
Smell of forest pine can limit climate change – researchers
Mais je pense que tellement de scientifiques se penchent sur le problème de la pause et publient tellement de torchons que tous les jours on trouvent de nouvelles CAUSES à la PAUSES
En ce qui me concerne , je préfère encore et de loin l’odeur des forêts de pins quand le soleil tape dessus à la puanteur des papiers pourris des « scientifiques du climat »
@The fritz
« Watts a oublié ceci … »
C’est-à -dire que, quand on fait un « top 10 », il est difficile d’en glisser un 11ème 🙂
@the fritz
Sinon, bien que moins gênante que l’odeur de pourri des papiers climatiques, « l’odeur des forêts de pins »n’est peut-être pas si innocente que cela …
 » … La forêt landaise aurait aussi une lourde responsabilité dans la constitution de ce nuage d’ozone qui recouvre la ville. Les pins de la forêt landaise émettent beaucoup de terpènes, ces hydrocarbures naturellement produits par la végétation … »
http://bit.ly/1dQk8Jm
Une autre explication, l’explosion du nombre de végétariens a permis une baisse du cheptel mondial de bÅ“ufs et donc une baisse mécanique du nombre de leurs flatulences si dangereuses pour le climat.
Ne me remerciez pas, c’est gratuit!
J’ai une solution. On reprend tous le charbon pour se chauffer et on sauve la planète!
J’ai laissé de nombreux billets sur mon blog à propos de cette mascarade climatique, je ne laisserai aux aimables lecteurs de Contrepoints que le dernier en date :
http://jacqueshenry.wordpress.com/2014/02/28/je-suis-negationniste-et-le-resterai-climat/
Il est clair que les « experts » de l’IPCC ne savent plus trop où trouver des arguments pour tenter in extremis de retomber sur leurs pieds. Mais la chute de tout cet édifice scandaleusement mensonger s’écroulera un jour ou l’autre, c’est certain !
les experts du climat sont des fonctionnaires bons à rien, a si a faire peur aux masses ignorantes socialistes et communistes ..
Je suis bien d’accord avec vous , mais le terme de négationniste me gêne
Le terme de « pause » (au lieu de « arrêt ») suppose que celui qui l’emploie sait que ça va repartir et quand, ce qui n’est absolument pas le cas.
C’est un abus de langage typique du jargon pseudo-scientifique du charlatanisme climatique, où le sens des mots et la précision scientifique sont remplacés par des insinuations et de la prétention à la certitude.
C’est qui compte pour la FARCE (la fraternité des alarmistes du RC exagéré), ce n’est pas la vérité, c’est le message politique. Il faut décoder sa propagande à la manière des gens du bloc de l’Est à l’époque de la Pravda : la réalité est systématiquement l’inverse de ce qui est dit.
Il ne savent pas d’où cela vient ni expliquer clairement leurs hypothèses mais ils en déduisent que c’est temporaire. Cherchez l’erreur !
Soit ce sont des c. soit ce sont des escrocs.
Vous y mettez vraiment de la mauvaise volonté, vous leur accordez pas l’ombre d’un doute sur leur véracité !
Et dire qu’il y en a qui osent dire que sur Contrepoints les préoccupations environnementales sont systématiquement tournées en dérision !
A ce niveau, ce n’est plus la véracité mais carrément l’honnêteté qu’on met en doute. Et c’est bien plus grave …
Vous opposez à leur certitudes de scientifiques peut-être un peu trop prétentieux vos certitudes un peu trop idéologiques.
Je n’ai pas de certitudes. Je ne sais pas si le RCA existe ou pas. Je pense que s’il existe, il est exagéré.
Mais quand on essaye de m’entuber, je tape d’abord et j’écoute ensuite.
Jusqu’à l’AR5, j’avais un gros doute sur la réalité du RCA. Mais les mensonges sur les certitudes (95% !?!) sont inadmissibles et suffisantes pour discréditer l’ensemble. Je ne crois simplement pas les menteurs par principe. Et ceux qui les écoutent doivent être écartés du pouvoir car ce sont de dangereux imbéciles.
A part ça, prétentieux ou pas, et quelles que soient les idéologies, les « scientifiques » (s’il leur reste une part de l’honnêteté indispensable pour être qualifiés ainsi) doivent revoir leur copie car on a besoin de savoir.
@PapyJako,
On ne peut conseiller qu’une chose aux Toulousains , c’est de rester dans leur ville en condition anti cyclonique en été ; on sera tellement mieux tout seul dans nos forêts de pins landaises
Pour avoir vécu à côté de la forêt de Rambouillet une vingtaine d’années je peux affirmer que les jours de vigilance orange pollution par ozone , c’était les Yvelines et Rambouillet le coin le plus pollué; pourtant il n’y a que des chênes dans la forêt de Rambouillet; mais tous les amateurs de vol à voile ( je n’en fais pas partie ) comprennent cela
Citoyen: « vos certitudes un peu trop idéologiques. »
La certitude qu’on n’a pas de certitudes ? Lolilol !
Sacré Antony Watts… Toujours plus dans la politique et la communication que dans la science. Et même lui ne conteste pas (voir son blog et/ou sa fiche Wikipedia) le réchauffement climatique! Simplement il dit que ce n’est pas dû à l’homme (b’en voyons!…) et que c’est plus lent que ce qui est mesuré par les stations officielles. Il a d’ailleurs voulu mettre en place son propre réseau de mesure.
Bref, quelle « pause » ? Il n’y a aucune pause, la planète continue de se réchauffer, les glaciers de fondre, la végétation et les animaux de migrer ou de disparaître. Et Contrepoint de délirer.
Et on va tous mourir dans une poële à frire, c’est terrible, terrible.
Dans une poêle à frire? Non.
C’est plutôt comme la grenouille qui meurt dans une casserole d’eau que l’on chauffe tout doucement dixième de degré par dixième de degré.
Elle arrête pas de se dire : mais ce n’est rien, il n’y a pas de réchauffement. Et elle meurt, sans n’avoir rien fait pour se sauver.
Xenos: « C’est plutôt comme la grenouille qui meurt dans une casserole d’eau que l’on chauffe tout doucement dixième de degré par dixième de degré. »
Il y a aussi la marmotte qui emballe le chocolat ou les catastrophistes qui prédisent depuis des siècles la fin du monde.
Mais la poÄ“le à frire, c’est de Michel Rocard : mettriez-vous en doute ses compétences ? Lui qui a été nommé pour défendre pingouins et manchots, pour son expertise bien connue en matière de trou dans la couche d’ozone.
Ce sera plus une poele a rire je sens.
De toute façon, vu ce que les americains nous cachent à Roswell, il est probable qu’on meurt avant dans l’invasion de notre planète par les extra-terrestre.
Enfin cela dit, j’attends l’avis d’Elizabeth Teissier sur la question avant de me prononcer définitivement.
http://data.giss.nasa.gov/gistemp/graphs_v3/Fig.C.gif
Trouvez moi un seul labo qui toucherait des financements s’il contredisait la thèse du réchauffement.
De facto, il faut prouver, que le réchauffement continuant, des facteurs non prévus, mais passagers, atténuent son effet.
Maintenant laissez courir votre imagination, toutes les hypothèses, même l’intervention des martiens, sont acceptées.
Tous les « labos » qui contredisent le réchauffement climatique, ou a tout le moins qui « prouvent » qu’il n’est pas d’origine humaine, ont la plus grande sympathie financière des grands groupes industriels, pétroliers en particulier.
Quand ceux-ci ne montent pas, à grands frais, leurs propres opérations d’intox.
Comme du temps du tabac, comme du temps du « débat » sur la ceinture de sécurité.
‘Tous les « labos » qui contredisent le réchauffement climatique, ou a tout le moins qui « prouvent » qu’il n’est pas d’origine humaine … ‘
Avez vous la moindre idée de ce que signifie « prouver » pour un scientifique ?
Si vous connaissez un labo qui « prouve » quoi que ce soit et en particulier que le RCA n’existe pas, citez le au lieu de faire des insinuations grotesques qui montrent que vous ne comprenez rien à rien : il est impossible de prouver que les licornes, la pierre phylosophale ou le monstre du Loch Ness n’existent pas.
En revanche, il est aisé de prouver que des études ne sont pas fiables, ou ne permettent pas de conclure au RCA. Ou encore que le résumé de l’AR5 est du pipeau caractérisé qui justifierai le licenciement de ses signataires. Et pas besoin de labo ou de subvention pour cela, il suffit de lire les documents.
Après, il y a probablement des lobbys qui interviennent pour mediatiser les positions des sceptiques comme il y a des lobbys pour véhiculer des craintes dans l’opinion qui ne sont même pas suggérées par le GIEC. Mais à lire la presse, les lobbys catastrophistes sont plus puissants et nombreux que les lobbys qui tentent d’appeler à la raison pour sauver l’économie de la destruction plannifiée des écologistes fanatiques.
Xenos: « ont la plus grande sympathie financière des grands groupes industriels, pétroliers en particulier. »
Tu as oublié « à la botte du grrand capital »
Il faut être précis dans les termes sinon tu ne pourra pas enrôler d’autres pays dans la même spirale vertueuse de sauvegarde-de-la-planète que l’Allemagne: énergie trois fois plus cher et plus gros pollueurs d’Europe.
Alors que les scientifiques gentils qui disent que ça se réchauffe ne sont pas du tout financés par les gentils gouvernements qui nous taxent généreusement sous prétexte de lutter contre le dit réchauffement.
Non non!
Et si on parlait plutôt de dérèglement climatique plutôt que de réchauffement ? Certes, la moyenne des températures augmente mais ce qui me marque surtout, c’est les catastrophes qui ont lieu de plus en plus fréquemment ou le rapprochement de cycles.
Il y a manifestement un dérèglement du réchauffement climatique …
On pourrait attribuer cela à un nouveau cycle (sauf que ces cycles longs n’existent pas pour les climatologues mainstream co2dépendants). Pourtant, on connait certains de ces cycles (el nino, la nina, ENSO, etc …) et on sait qu’ils ont des effets très importants sur les conditions climatiques locales.
Alors pourquoi personne n’essaye-t’il d’analyser l’influence de ces cycles sur les « catastrophes » ou plutot évênements climatiques. Et tant qu’à faire d’établir des corrélations avec ce qui a pu arriver il y a 60 ans quand on s’est peut-être trouvé dans une situation identique …
Quelles catastrophes ont lieu plus fréquemment ? Sources ? Liens ? Documents ?
Et que pensez-vous de ce graphique :
http://h16free.com/wp-content/uploads/2013/10/carbon-emission-vs-death.png
?
Stéphane B: « Et si on parlait plutôt de dérèglement climatique plutôt que de réchauffement »
Ce bon vieux climat qui l’est tout déréglé à l’ère moderne ? Le problème c’est que l’homme l’a toujours trouvé cinglé le climat. La collisions de phénomène chaotique lent avec la cognition rapide et la courte vie des humains fait des ravages.
« la température se vicie rapidement; les excès climatériques deviennent habituels, les régions voient disparaître leurs cultures ancestrales; les saisons s’inversent; l’hiver surgit au printemps, le printemps arrive en hiver; la disparition des saisons intermédiaires; la fin des forets; le tarissement des sources; le déclenchement de ouragans ».
Fourier dans Le Nouveau Monde industriel – 1830
“Geologists Think the World May be Frozen Up Again. Macmillan Reports Signs Of New Ice Age »
New York Time – 1924
« U.S. Scientist Sees New Ice Age Coming, »
James Hansen – Washington Post, 1971
Comment vendre à ses investisseurs l’idée que le « business plan » n’est plus valable?
Par exemple en espérant que ça marche quand même un peu plus tard, en montrant que ça va repartir, que ça n’est qu’une pause passagère. C’est ce que le GIEC a du mettre en scène avec son 5ème rapport.
Et pourtant les modèles (qui n’en sont d’ailleurs pas) n’ont pas prévu le plateau de température qui dure depuis plus de 15 ans et ne sont même pas en mesure de le reconstruire à postériori.
Mais cela couterait trop d’arrêter ce train en marche. Mais trop de gens sont impliqués pour faire marche arrière.
Les clés qui verrouillent le cadenas sont ces dizaines de milliers d’ « experts climatiques » de tous poils qui depuis maintenant plus de trente ans ne vivent que de la catastrophe annoncée.
Cette corporation n’est pas seulement faite de lobbies écolos mais il y a aussi des agences gouvernementales (dont le GIEC), des instituts de recherche entiers, des centres de calcul, des assurances, des développeurs subventionnés de technologie dites alternatives, même les entreprises (surtout les grandes multinationales) sans lien direct avec le problème s’engagent dans la minimisation de leur « carbon footprint » en espérant en retirer un retour sur investissement. Dans les périodes totalitaires de l’Allemagne et du monde soviétique il n’était pas pas bon de ne pas être politiquement correct. Aujourd’hui non plus.
Alors comme le Titanic il faut aller de l’avant. Sauf qu’on ne sait même pas s’il existe un iceberg pour se mettre en travers de la route. Espérons 1) qu’il y ait un et 2) que ça ne fasse pas trop mal à ceux qui n’en peuvent mais.
Voir ce graphique invalidant les modèles:
http://www.drroyspencer.com/wp-content/uploads/CMIP5-90-models-global-Tsfc-vs-obs-thru-2013.png
Quelle FARCE ….
Les modèles se plantent … car ils ont été incapables de prévoir les variations naturelles du phénomènes…
Et on corrige les modèles a postériori « à la louche » pour les faire correspondre à la réalité…
Et on vient pavoiser en disant « les modèles sont justes » !!!
Daniel: « Et on vient pavoiser en disant « les modèles sont justes » !!! »
Et on ajoute « donnez, donneeeeez » !!!
Finalement le réchauffisme à toutes les caractéristiques de la religion: croyance dans l’apocalypse engendrée par les « péchés » humain, vente de petits figurines et sauvegarde possible à coup d’indulgences.
Y a pas, mais à lire tout ce galimatias, il semblerait que tous les scientifiques et chercheurs du GIEC soient des nuls voire des pitres (pour parler poliment)…
Heureusement qu’il se trouve des génies méconnus dans la nature pour nous démontrer que tout va bien dans le meilleur des mondes et qu’on peut continuer à gaspiller les ressources terrestres tout en proliférant comme des lapins. C’est bien connu la terre est n’est pas illimitée et elle s’adaptera à notre croissance exponentielle…