Par Matt Ridley.
Lennart Bengtsson est à peu près aussi émérite qu’un climatologue puisse l’être. Sa décision il y a deux semaines de rejoindre le conseil consultatif académique (dont je fais aussi partie, non rémunéré) du GWPF (Fondation pour la Politique du Réchauffement Global) de Nigel Lawson a été accueillie par une colère noire chez nombre de ses collègues climatologues. Dans un mouvement digne de McCarthy – selon son analogie – et en refusant de collaborer avec lui, ils l’ont harcelé jusqu’à sa démission du GWPF.
Le GWPF vise à assurer un débat plus équilibré sur le changement climatique. Ses membres ne sont pas des « négationnistes ». Comme l’a rappelé Lord Lawson dans un récent discours : « De ma vie, aucun autre dissident, ni moi-même, n’ont jamais connu de telles hostilités personnelles, vitupérations et diffamation extrêmes pour nos vues sur le réchauffement climatique ou sur les politiques de réchauffement global. »
La démission de M. Bengtsson montre que le prétendu « consensus » sur un dangereux réchauffement climatique implique une répression de la dissidence par de l’intimidation académique. Il souligne qu’il n’y a pas de consensus sur l’intensité ni sur la progression de l’effet de serre, sans parler de ce qui pourrait être fait pour le contrer.
La preuve de cette intimidation est apparue dans le scandale du « Climategate » de 2009, où les courriels de certains scientifiques du climat ont révélé qu’ils étaient prêts à menacer et blackbouler les collègues, journalistes et éditeurs qui exprimaient des vues sceptiques. Je parle souvent à des scientifiques qui ne sont pas convaincus, loin s’en faut, que le changement climatique est le problème écologique le plus urgent du monde, mais qui n’en mettraient pas leur tête sur le billot, de peur de ce qui pourrait s’ensuivre de leur carrière.
Que se passe-t-il dans les universités quand diaboliser et faire taire vos adversaires est devenu aussi acceptable ? Et ce n’est pas seulement sur le changement climatique. Le débat entre l’inné et l’acquis est également contrôlé par des fanatiques, mais moins que dans les années 1970, quand toute mention de gènes ou d’étude du comportement ont conduit à des accusations de fascisme.
Ou bien regardons le cas d’Ayaan Hirsi Ali, une femme qui a subi des mutilations génitales, une tentative de mariage forcé, une tentative d’assassinat et un double exil pour ses opinions. L’offre d’un diplôme honorifique de l’Université Brandeis à la date anniversaire des attentats du marathon de Boston (commis par des islamistes) lui a été retirée sous la pression du Département des Études féminines de l’université.
La persécution de M. Bengtsson montre précisément pourquoi des think-tanks (groupes de réflexion) indépendants comme le GWPF sont essentiels. En vérité, le vieil adage devient de plus en plus d’actualité : Quel est le contraire de la diversité ? L’Université.
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Sur le web. Article original publié dans The Times, le 16 mai 2014.
Traduction : Jean-Pierre Cousty pour Contrepoints.
Faits divers propre à un autre pays et une autre culture. Aucun intérêt, ici.
« Gerrraaaard j’ai été trop bon avec toi lorsque tu as lâchement abandonné tes études… »
Ben non…
@Gérard
Vous avez tout faux puisque c’est encore pire chez nous avec le jacobinisme du CNRS et de l’Institut Simon Laplace…
Ce sont toujours les mêmes : Jouzel, Le Treut, Masson-Delmotte qui nous tiennent les mêmes discours brumeux sur ce qui va advenir de nous en 2100.
Ils feraient mieux de nous dire pourquoi le terre ne se réchauffe plus depuis une vingtaines d’années alors qu’ils ne l’ont pas vu venir, que même le GIEC ne l’explique pas, que toutes leurs prédictions sont donc fausses pour le présent et on voit mal comment ils peuvent avoir encore le culot de nous dire ce qui va se passer dans 100 ans…
Les méthodes de harcèlement employées par ces gens sont les mêmes. Par exemple lorsqu’ils ont demandé à l’Académie des Sciences, rien moins, de se prononcer contre le livre d’Allègre…
Les vingt ans sans réchauffement actuels montre qu’il n’était pas si loin de la vérité. (On lui souhaite prompt rétablissement en passant)
Aux dernières nouvelles Jouzel s’est reconverti dans la musique. Il espère sûrement influencer le climat musical à venir… D’un pays étranger, c’est mieux car ici, il est grillé, mais pas par le réchauffement climatique, plutôt par le dogmatisme de ses prises de position qui avaient tout d’un alarmisme-complotisme-réchauffiste Hollywoodien, afin simplement d’augmenter ses budgets de recherche, comme tout bon scénariste de LA qui veut faire mousser son budget :
« Alarm ! Alarm ! Alarm ! Terror ! Terror ! Terror ! Peur ! Peur ! Peur ! »
Avec un peu plus d’imagination, il aurait pu nous pondre que le réchauffement était dû aux modifications solaire, car le soleil serait une centrale nucléaire contrôlée par des extra-terrestres qui en aurait perdu le contrôle… D’où l’emballement, etc, etc, etc, UN Fukushima à l’échelle stellaire ! Et oui Madame Michu ! C’est du même niveau que ses prédictions à 100 ans… Des phantasmes invérifiables qui ne tiennent que parce qu’il est encore de ce monde. Il ne verra même pas ses prévisions vérifiées de son vivant. Qu’est-ce qu’il en a à foutre ? Ah… Le million d’Euros du Prix Nobel est déjà dépensé… Eh merde ! Vite passons à autre chose, un fond ! Aboulez les cotisations :
http://www.villacompositeurs.com/membres.php
on a dema,dé au gouvernement de faire interdire les sceptiques avec des lois mémorielles.
il y a plusieures années.
heureusement c’est inconstitutionnel, car les lois mémorielles ne peuvent concerner que les choses jugées.
Ah bon ?
Aller, je pioche au hasard : c’était quoi la pétition de Masson-Delmotte selon vous ?
Nous vous écoutons.
Ils se ridiculisent seuls comme des grands.
C’est à mourir de rire.
Article très intéressant et à rapprocher du cas du professeur István Marko climato-sceptique de chimie à l’UCL et co-auteur de « Climat: 15 vérités qui dérangent » (Texquiss Essais). Une semaine avant le jour J, la DUC publie sur sa page Facebook ce très laconique : « Il apparaît que pour cet événement, l’ampleur de la polémique nous empêche de l’organiser sereinement, ne fût-ce que sur le plan matériel. »
http://www.lalibre.be/actu/planete/a-l-ucl-un-professeur-qui-derange-52f4c7b03570516ba0b644a9
Bonjour
Les réchauffistes sentent qu’ils sont en train de perdre la partie.
Ils vont devenir de plus en plus agressif.. en attendant une nouvelle lubie.
Ils n’ont pas hésité en son temps à assassiner Kravtchenko qui dénonçait les abominations des communistes.
Staline n’est toujours pas mort.
Tant qu’Obama, qui est un réchauffiste notoire sera aux manettes, l’IPCC aura de beaux jours devant lui, cette bouffonnerie coûteuse du soit-disant changement climatique et de l’effet de serre qui n’a jamais pu être prouvé formellement va se dégonfler d’elle-même aux prochaines élections américaines. Mais le mal a été fait, l’économie européenne s’affaiblit inexorablement en raison du prix de l’énergie qui, pour financer les renouvelables, ne cesse d’augmenter. C’était le but recherché par les Américains : affaiblir l’Europe. Quand les politiciens auront pris la mesure de cette fantastique mascarade, la plus grande escroquerie planétaire jamais montée de toute pièce, Merkel commence à s’en rendre compte, alors les pays européens repartiront sur des bases saines. Mais pour ce faire il faudrait interdire les ONG qui répandent la terreur climatique !
@Gillib
« Les réchauffistes sentent qu’ils sont en train de perdre la partie.
Ils vont devenir de plus en plus agressif.. en attendant une nouvelle lubie. »
Je crains malheureusement que leur agressivité renouvelée ne soit que la perspective du sommet de 2015 dans notre pays. Il semblent l’attendre comme un « grand soir » et le prépare fébrilement.
Le probleme que je vois souvent dans les commentaires sur ce site et sur ce sujet est qu’en niant les consequences (rechauffement climatique c’est du bidon, ok) vous en niez egalement les causes (donc ya aucun probleme). Pourtant la pollution existe (de l’air, demandez aux asthmatiques, de l’eau, admirez la poubelle qu’est devenue l’ocean, la derniere fois que je m’y suis baigne j’ai nage avec une capote usagee et j’ose a peine parler des dechets en profondeur). Que vous le vouliez ou non, qu’il y ait rechauffement ou non, il faudra penser une gestion intelligente de nos ressources quite a empecher parfois le gentil patron victime de la vilaine administration de detruire cette nature qui n’a pas son mot a dire pour y exploiter des ressources qui vont l’enrichir, pardon qui vont satisfaire ses actionnaires pour qu’ils soient contents et ainsi n’iront pas devaluer l’entreprise, pardon pour creer des emplois (si possible mal remunere et precaire, attend faut pas rever) parce que le patron il ne peut etre qu’un gentil et que si on pense pas comme ca et ben on est un cryptomarxiste (je troll un peu mais parfois certains commentaires sont tellement caricaturaux que je voulais m’amuser un peu). Donc n’ayons pas peur de penser aux generations futures en se demandant quelle planete allons nous leur leguer: une planete ou nous aurions pense, certes le rechauffement climatique est une erreur mais il faut une gestion efficace de nos ressources quite a parfois proteger ce qui est vital (eau,…) ou alors continuer. Certes la planete aura au final refroidi, mais nos enfants boiront une eau polluee au mercure et aux pillules du lendemain jetee dans les chiottes, ils respireront un air pollue par le charbon et le diesel, et ne sauront meme pas ce que c’est qu’une foret parce qu’on aura tout zigouille pour le bien de (quelques entreprises) tous. Merci de votre attention et je me rejouis d’avance de vos reponses que j’espere constructives et enrichissantes (et je suis sincere)
Bonjour Damien
Vous vous trompez nous ne sommes pas pro business ou pro patron.
Dans un système libéral, les individus sont responsables de leurs actes et donc de leur pollution.
Je vous rappelle que c’est dans les pays où la liberté est le plus respectée que la pollution est la plus prise en compte. Rappelez vous l’état déplorable des pays collectivistes (socialiste de l’est).
Les socialistes rêvent d’un monde idéal et le résultat n’est jamais au rendez-vous. Certes les libéraux ne proposent pas le paradis, mais seulement un monde qui respecte les individus dont leur environnement.
Cordialement
Damien +1,
gillib,
« Je vous rappelle que c’est dans les pays où la liberté est le plus respectée que la pollution est la plus prise en compte »
Ce serait plus convainquant avec des exemples précis parce que, sur ce coup là, les sceptiques, c’est nous !
Très cher citoyen
Malheureusement pour la population qui en a fait l’expérience, on a coupé en deux un pays, l’un a suivi un modèle anti libéral la RDA, l’autre un modèle libéral avec des affreux capitalistes la RFA. La pollution était à l’est et le mur avait pour but d’empêcher la population de s’enfuir du paradis socialiste.
C’est le problème avec vous si vous n’êtes pas pour la dictature du prolétariat, vous êtes donc pour la dictature des patrons bourgeois multinationales apatrides et cosmopolites (suivez mon regard).
Depuis le temps que vous traînez dans le coin vous devriez savoir que l’on est ailleurs. lol
Tjs cordialement.
La RFA ? Celle qui se ruine avec ses éoliennes par une politique dirigiste ? Franchement vous m’étonnez avec par le choix de votre exemple !
Je m’attendais à la NZ, la Suisse, Hong Kong non là je déconne… 😉 ils sont noyés sous leurs ordures.
Ah oui j’oubliais votre république populaire démocratique de corée.
Ya pas de pollution lumineuse…
Nan j’deconne.
@Citoyen
Le nouvel aéroport de Hong Kong a été en grande partie remblayée grâce… aux ordures.
Fais gaffe, Citoyen, la c.nnerie, ça fait mal.
« Citoyen, la c.nnerie, ça fait mal. »
Le manque de confiture également.
@Damien
gillib a écrit : « Vous vous trompez nous ne sommes pas pro business ou pro patron.
Dans un système libéral, les individus sont responsables de leurs actes et donc de leur pollution. »
+1
En ce qui concerne la pollution des grandes industries ou de chacun de nous (automobile), je dirais que la sécurité et la liberté sont 2 préoocupations majeures pour les libéraux. Il y a forcément débat (entre libéraux) la où il y a opposition (restreindre la liberté pour améliorer la sécurité), mais le débat doit être honnête (pas de dogmatisme écologique), réaliste, argumenté, les coûts chiffrés et les conséquences évaluées.
Quel est le rapport entre cette bouillie et le fait décrit dans cet article ?
Les libéraux ont à coeur leur plaisir, qui pour la plupart comprend de pouvoir jouir de la nature non polluée. Pourquoi ne pas faire confiance à cette inclination ? Votre souhait est-il de limiter la pollution, ou de pouvoir utiliser l’argument de mécanismes que vous ne connaissez d’ailleurs pas pour jouer au petit chef et faire faire à autrui ce qui vous arrange ? Et si ça n’est pas le vôtre personnellement, êtes-vous naïf au point de croire que ça n’est pas celui de beaucoup de nos concitoyens, et le moyen qu’ils ont utilisé pour gagner un peu de pouvoir ?
tl;dr
» la dernière foi que je m’y suis baigné , j’ai nagé avec une capote usagée … »
la liberté , c’est aussi etre responsable : votre capote , vous auriez du l’enlever avant … question d’hygiène !
Pardon je me suis mal exprime :
Je nageais et une capote usagee flottait pres de moi. Pardon pour la confusion.
Encore une fois je ne demande qu’a etre convaincu, mais vous me dites « dans un pays liberal nous sommes responsables de notre pollution ». Comment le traduisez vous concretement? Car un individu, dans un pays liberal, ne cherchera que la maximisation de son interet propre, quite a nuire a l’environement commun (bien sur pas vu pas pris). Les urbains, globalement, se moquent de la « nature » car ils ne savent meme pas ce que c’est. Ils imaginent que la nature ce sont les paradis artificiels des pays exotiques qui ont ete faconnes pour eux par les entreprises qui, apres leur avoir incluque cete image via le marketting, leur vend le reve tout artificiel. Le tout pour faire endurer une annee de travail bien difficile. Mais tout ceci se fait au detriment d’une nature oubliee et de plus en plus alteree et en penalisant meme parfois les locaux qui sont vires manu militari pour construire hotels et restaurants. Certes ca hausse le PIB et la classe moyenne mais toujours avec les memes exclus.
« Car un individu, dans un pays liberal, ne cherchera que la maximisation de son interet propre, quite a nuire a l’environement commun (bien sur pas vu pas pris) » (sic)
Et dans un pays pas libéral, c’est miraculeusement différent ? le coup de la capote usagé, c’était dans un pays où l’état gère 10% du PIB ou 57 % du PIB ? Un pays avec deux codes (un civil, un pénal) de 50 pages, ou un pays avec 1/2 millions de lois décret etc. ?
oh … wait …
Difficile a dire puisque hypothetiquement cette capote pourrait venir d’un pays liberal et, par la force et volonte des vagues, auraient vogue jusqu’a nos mers socialistes (humour).
Je vous reponds par une autre question: dans un pays liberal, comment, concretement, pas simplement par la beaute des mots sur un papier, comment concretement pouvez vous empecher cette capote de flotter a 3cm de ma face quand je nage? Comment le pays liberal arrivera concretement a faire mieux que le pays socialiste? En sachant que dans un pays liberal, vu que l’individu est plus libre, par lui meme il ne vas pas etre tout beau, mignon et responsable. Comme dans un pays socialiste il va vouloir maximiser son profit et son plaisir, quite a le faire au detriment des autres (en l’occurence moi)? Vous allez responsabiliser l’individu? Comment? Avec des lois? Les socialistes en ont deja trop. Par la police? Ils font le maximum (la plupart du moins) avec le peu de moyens et une hierarchie incoherente et partisane. Mais vous croyez qu’une police ultra presente et ultra repressive ayant plein pouvoir et moyens n’est pas… Anti liberale selon vos principes? Comment? Par l’education? Mais selon vous inculquer de force certaines valeurs c’est priver l’individu de la liberte de choisir ses valeurs et sa morale. Mais si ma morale c’est de jeter la capote dans l’eau? C’est contre la loi mais faut il encore une police efficace qui puisse agir avec les moyens adequats… Et on peut continuer pendant des heures. Comment vous faites? Si vous avez un exemple liberal je suis preneur. Merci.
Premièrement l’objection « le libéralisme ne mène pas à la perfection » est inopérante. Il ne le prétend pas.
Dans un système libéral, la plage et et l’océan est une propriété privé, et le propriétaire exploite les ressources dont le tourisme et le propriétaire veillera à ce qu’un client le rencontre pas de capote en nageant.
Est-ce que chez vous il y a des capotes usagées qui traînent? lol
Le drame de l’ocean actuellement c’est qu’il n’y a pas de propriétaire et donc personne ne veille à préserver la valeur des ressources.
@gillib
C’est quand même un peu difficile de privatiser l’océan, les fonds maris ou la statosfère. Et le propriétaire du Vésuve risque d’avoir de sacrées primes d’assurances vu sa responsabilité dommage envers ses voisins.
« Premièrement l’objection « le libéralisme ne mène pas à la perfection » est inopérante. Il ne le prétend pas. »
très bon point.
en fait le libéralisme, comme le principe de subsidiarité, ou la philosphie de Nassim nicholas taleb, est le contraire de la perfection, de l’idéal.
l’idées c’est d’admettre que l’on se trompe…
et de trouver un mécanisme qui limite la portée de ses erreurs en profitant des bonnes idées.
le problème du centralisme, comme des revues scientifiques centralisées, le communismes, c’est que quand ca se trompe (même de bonne fois, et avec de grandes compétences sincères) , il n’y a plus d’échapatoire, on est tous des lemmings qui allons dans le ravin.
le libéralisme c’est une forme de darwinismes philosphique…
il faut lutter contre le « too big to fail » , en science notamment, et donc contre le consensus.
ca n’empêche pas que les idioties sont des idioties, mais au moins une idiotie consensuelle reste une idiotie…
internet s’est aussi construit sur la base de l’acceptation du bordel.
il faut accepter la faillabilité, le bordel, y compris pour soi même, y compris pour l’état, pour la majorité démocratique… y compris pour le privé ou les minorités.
comme Taleb je défend désormais un modèle cellulaire à la suisse… de petites banques mortelles…
de petites entreprises mortelles… des petits cantons, des villes états…
on recycle les gens qui ont failli ou n’ont plus d’utilité, mais pas les entreprises ni les lois.
les cellules marchent comme ca (apoptose).
Bonjour pragma
Bonne question. A qui est le vesuve?
Son propriétaire est-il responsable des dégâts causés par les éruptions?
Je suis proprietaire d’un terrain en bord de mer, suis-je responsable des dégâts d’un tsunami?
Bonjour AlainCo (@alain_co)
« il faut accepter la faillabilité, le bordel, y compris pour soi même »
+1
@gillib
Si vous êtes victime d’un tsunami, il faut vous retourner contre le propriétaire de l’océan. Seulement si ce propriétaire est l’état ou si la propriété a été morcellée entre quelques milliards de petits propriétaires, vous êtes parti pour des procédures judiciaires un peu longues. Pourtant le propriétaire doit être solvable s’il empoche les droits de navigation et de pêche.
En y réfléchissant, le propriétaire de l’océan devrait se retourner contre le propriétaire du plancher océanique qui est l’ultime responsable. Mais je ne sais pas s’il est solvable. Je ne connais pas le cours moyen du mètre carré de plaque tectonique.
« le libéralisme ne mène pas à la perfection »
Et la perfection n’existe pas. La perfection, c’est lorsque la réalité est parfaitement conforme à l’idée qu’on en a. Or, ce n’est pas le cas.
Les systèmes collectivistes ont eu pour but de combler l’imperfection du libéralisme, mais ils ne fonctionnent pas, leur fragilité systémique impose la dictature du statu quo et finissent par se détourner de la justice.
@pragma
Vous voyez bien, le libéralisme ne règle pas le problème de l’indemnisation des victimes des tsunami, donc imposons une taxe, des règlements, des interdictions, des formulaires cerfa et tout sera réglé.
Gillib, « la plage et et l’océan est une propriété privé, et le propriétaire exploite les ressources dont le tourisme »
Aujourd’hui je me suis promené en toute liberté sur plusieurs kms le long de la côte sans croiser de capotes ni de propriétaires qui exploite le tourisme, et cela me va très bien tout comme, je pense, les centaines autres personnes qui en profitaient.
A ce propos c’eut été intéressant de leurs poser cette question :
« Savez-vous qu’il y a un projet de privatisation de toute cette côte qu’en pensez-vous ? »
Les réactions seraient certainement savoureuses !
D’ailleurs y’en a qu’on essayé en Corse 😉
reBonjour Damien
On va faire une hypothese que vous n’êtes pas pas un troll velu et je vous donne une chance. Vous voyez on n’est pas pas méchants égoïstes qui pensent à leur intéret et qui sont près à tuer père et mère.
Vous allez lire l’excellent wikiliberal et ses liens sur l’écologie et la solution aux problèmes « d’environnement », solutions qui passent par la propriété privé.
http://www.wikiberal.org/wiki/%C3%89cologie
Vous voyez, nous aussi on aime les p’tits oiziaux et la verdure qui sent bon la fête des mères.
Bonsoir,
Merci j’apprécie vos efforts (sincérement et sans sarcasmes)
« Comment le traduisez vous concretement? »
Erin Brockovich, seule contre tous, cela vous dit quelque chose. Evidemment en france les puissants passent outre la loi, ce n’est pas pour eux.
Vous connaissez le capitalisme de connivence. Nous sommes contre.
Le coup de la capote usagée, ca ma fait bien rire comme quoi..
La dernière fois que je me suis baigné, j’ai croisé une serviette hygiénique. C’était à Tarragone.
@Damien
Je ne parle pas avec ceux qui nagent avec une capote usagée.
Mettez-en une neuve, bon sang, c’est pas si cher que ça !
La capote usagée est la preuve vivante que certains ont trouvé un moyen de ne pas léguer la pollution à leurs enfants 😉
Modération : pas de termes injurieux
Vous avez raison, la nature n’a pas besoin de moi, elle sera la bien apres notre mort.
Par contre NOUS avons besoin de la nature et NOUS devons en proteger les ressources qui NOUS sont essentiels:
Une agriculture intelligente pour eviter l’appauvrissement des sols, une protection sans faille de l’eau qui est une ressource vitale et ainsi de suite. Or aujourd’hui les entreprises ne pensent que court terme et ne se foutent du fait qu’a long terme on se battra comme au moyen age pendant les famines pour avoir de l’eau et a manger. Cordialement.
Et oui, et l’Etat, lui, ne pense pas du tout du tout du tout au court terme, à la loi léonarda, au décret alsthom, à aux élections dans un ou deux ans et après moi le déluge. L’état pense à long terme, lui, c’est bien évident, c’est pour ça qu’il ne fait pas de dette, qu’il capitalise bien consciencieusement les retraites futures, qu’il indique bien proprement les zones inondables et que jamais il n’y construit lui-même, etc.
Oh. Wait.
« Une agriculture intelligente pour eviter l’appauvrissement des sols »
C’est sympa, vous prenez les agriculteurs pour des buses, c’est leur terrain, ils ne vont pas le stériliser. Les agriculteurs sont des gens comme vous et moi, ils ont un capital et ne vont pas scier la branche sur laquelle ils sont assis.
Evidemment, la plupart des écologistes sont des urbains et ne font pas la liaison entre une vache et un tetrabrick de lait UHT.
Bonsoir,
Excusez la condescendance de ma remarque. Une agriculture intelligente ou l’agriculteur peut travailler sans que l’etat ne vienne mettre son gros nez (merci pour votre correction) et sans qu’une grosse entreprise qui veuille maximiser ses profits tres tres vite ne mette son gros nez la-dedans aussi en faisant en sorte d’acheter pour ensuite speculer a tout va (j’admet je ne maitrise pas le sujet, mais concretement demandez aux fermiers Philippins ils vous expliqueront mieux que moi puisque c’est un emigre qui m’en a parle). Comment concretement le liberalisme fera mieux que le socialisme pour la gestion des ressources? En n’intervenant pas? Vous etes sur que personne n’en profitera pas pour faire du profit enorme a court terme quite a rendre les terres infertiles? Je ne suis pas convaincu.
Qui peut connaître le problème philipin pour vous répondre ? Mais croyez vous que les pays pauvres victimes de corruption endémique soient des modèles de libéralisme, de capitalisme, de socialisme ou quoi que ce soit.
Quel que soit le système politique théoriquement en place, le modèle politico-économique est la débrouille anarchique et peu efficace dans tous ces pays.
Vous devez aussi faire la différence entre un producteur (paysan ou entreprise) et un spéculateur qui achète du blé, du pétrole, des dettes titrisées de façon virtuelle. Imaginez vous qu’une grosse entreprises qui fait des investissements sur 30 ans ou plus vit de la spéculation à court terme ?
Damien : « Par contre NOUS avons besoin de la nature et NOUS devons en proteger les ressources qui NOUS sont essentiels »
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Oui donc tu confirmes, tes arguties sur la protection de la nature, c’est juste un prétexte bidon pour donner des leçons de morale à deux balles.
Alors qui me dit que ton nouveau prétexte sur la « protection des ressources » n’est pas tout aussi bidon ? Ah oui, rien, vu que tu le sors du chapeau, puisque tu n’as pas pu citer une seule ressource qui aurait décliné alors qu’au contraire, je peux te citer des dizaines de nouvelles ressources créées par l’homme et qui étaient de simples tas de cailloux il y a tout juste 50 ans (la fibre de verre, l’uranium, la fibre de carbone, les métaux rares, le lithium, le silicium semiconducteur…).
Damien : Une agriculture intelligente pour eviter l’appauvrissement des sols, une protection sans faille de l’eau qui est une ressource vitale et ainsi de suite.
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Sans blague, et l’eau mouille et le feu brûle et ainsi de suite (sic).
C’est juste très dommage pour toi qu’avec le soit-disant appauvrissement des sols, encore une autre rengaine escrologiste stupide dont tu fais le perroquet, le rendement agricole augmente chaque année. C’est con les chiffres…
Damien : « Excusez la condescendance de ma remarque. »
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Condescendance n’est pas le terme approprié car ça supposerait un minimum de savoir et de pertinence. Ignorance serait le mot exact.
http://geocarrefour.revues.org/1805?lang=en
L’Etat est evidement responsable de la situation, mais comment le liberalisme fera mieux? Si je veux continuer d’exploiter la ressource sans l’economiser ou la gerer (profit eleve tres rapide, pourquoi penserai-je long terme?)
Vos inventions sont bien belles mais jusqu’a present on ne peut pas vivre en mangeant des fibres de carbone.
Comme vous le dites, je suis un ignorant, et si dans mes messages vous n’y avez vu qu’un aspect moralisateur je m’en excuse car ce n’est pas mon intention.
Je suis juste pragmatique et veut comprendre comment, de maniere concrete, le liberalisme, dont vous vantez la superiorite absolue bien qu’elle ne soit pas parfaite, me permettra demain de vivre dans un monde ou je n’aurai pas a me battre pour acceder a l’eau ou a la nourriture? Doit on rejeter en bloc, comme vous faites, toute inquietude pour le futur et tout desir de preservation (instinct de survie) qui ne suivent pas votre courant de pensee? Doit on penser comme vous que l’homme, de part sa nature, arrivera a mieux resoudre ces problemes seuls et sans Etat? Desole d’etre sceptique et de penser que tout orchestre a besoin d’un chef d’orchestre, qui peut parfois discipliner avec autorite les passages les plus critiques de la symphonie, et offrir dans un meme temps de la liberte sur les passages les plus legers. Encore faut il qu’on ait la liberte ET le choix d’un chef d’orchestre qui soit competent.
« mais comment le liberalisme fera mieux? »
Tu te trompes dans la charge de la preuve. Ce n’est pas comment le libéralisme fera mieux que l’étatisme, mais comment l’étatisme fera mieux que le libéralisme, si l’intervention politique est préférable à la non-intervention politique.
Il est possible de prouver l’existence des chevaux mais il est impossible de prouver l’inexistence des licornes.
Si tu n’arrives pas à y répondre ni à démontrer explicitement le résultat de l’interventionnisme => libéralisme.
Ne négliges pas la valeur de la liberté. C’est quelque chose que l’on néglige beaucoup trop en politique, lorsqu’il y a un choix entre liberté et intervention… Et c’est triste de voir qu’on choisit rarement la liberté, qui est si souvent qualifiée de « vide juridique… »
Damien : « Vos inventions sont bien belles mais jusqu’a present on ne peut pas vivre en mangeant des fibres de carbone. »
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A ce compte, tu ne vis pas non plus en mangeant des arbres ou de la bonne terre, ça ne t’a jamais empêché de crier à la fin du monde en prétendant qu’il n’y a plus d’arbres ou de bonne terre. Visiblement, ce n’est pas la cohérence qui t’étouffe.
Mais là n’était pas le sujet. Alors, tu nous la cites, une ressource prétendument en déclin et dont il faut si urgemment « préserver » que ça justifierait jusqu’à la coercition et la restriction de liberté au plus grand nombre ? Et tu nous expliques aussi stp comment se fait-il que le rendement à l’hectare augmente chaque année en France (ou dans n’importe quel pays riche) avec une terre soit-disant surexploitée et appauvrie?
Mais bon, je crois qu’on peut attendre jusqu’à la St Glinglin…
Damien : « Doit on rejeter en bloc, comme vous faites, toute inquietude pour le futur et tout desir de preservation (instinct de survie) qui ne suivent pas votre courant de pensee? »
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Le libéralisme n’a jamais rejeté, et encore moins « en bloc » la prudence, la prévoyance et la modération. Au contraire, les deux piliers du libéralisme, c’est le droit de propriété et le principe de non-agression, les meilleurs garants qu’on puisse imaginer contre la prédation, le pillage et le court-termisme : tu ne vas pas saccager quelque chose qui t’appartient (droit de propriété), tu ne vas pas saccager quelque chose qui ne t’appartient pas (non-agression).
Tes procès d’intention sont donc basés sur des préjugés délirants et grotesques. Tu accuses le libéralisme de choses dont tu as AUCUNE preuve à charge. C’est le degré zéro de la pensée.
« Doit on penser comme vous que l’homme, de part sa nature, arrivera a mieux resoudre ces problemes seuls et sans Etat? Desole d’etre sceptique et de penser que tout orchestre a besoin d’un chef d’orchestre »
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Mauvaise pioche là encore. Le libéralisme ne prône pas le sans Etat. Les minarchistes par exemple n’y voient rien à redire à un état régalien fort.
Quant à ton argument du chef d’orchestre, il est risible. Tu crois quoi, que les penseurs du libéralisme, des géants de la philosophie depuis Turgot jusqu’à Hayek n’y avaient pas réfléchi et qu’on a attendu tes traits de fulgurance pour découvrir la faille béante du libéralisme ?
Jusqu’à nouvel ordre, un chef orchestre ne s’occupe que d’une poignée de gens, et pour une tâche bien spécifique. Et il le fait en tant que gagne-pain, pas par amour de l’humanité (contrairement à ce que prétendent les étatistes).
Au delà de ce nombre, le seul mécanisme qui marche et qui a fait ses preuves, c’est l’ordre spontané : http://www.wikiberal.org/wiki/Ordre_spontan%C3%A9
Une fourmi n’a pas besoin de chef. Ni une abeille, une termite ou même un biofilm de bactéries. Ca ne les empêche nullement de bâtir un super-organisme complexe et stable, il suffit de quelques règles simples.
Et c’est 100% naturel, ça devrait te plaire.
« Une agriculture intelligente pour eviter l’appauvrissement des sols, une protection sans faille de l’eau qui est une ressource vitale et ainsi de suite. »
Tiens ? Ça sort d’un tract électoral ?
http://geocarrefour.revues.org/1805?lang=en
Peut etre que c’est une etude partisane et incomplete et donc peu credible, je ne suis pas un expert pour le confirmer. En tout cas, j’espere satisfaire votre question.
« Peut etre que c’est une etude partisane et incomplete et donc peu credible »
C’est sympa de le souligner…
Maintenant, je dois dire que je n’ai pas envie de commencer à réfuter chaque argument du mille-feuille argumentatif verdâtre que tu veux soumettres et pour lesquels je n’ai en main pas les outils, ni les données, ni le contexte…
Bien sûr que la pollution de l’air existe! Qui prétend le contraire?
Demandez donc aux allemands (politique énergétique citée en exemple par Efa Cholly) avec toutes leurs centrales au charbon ce qu’ils en pensent.
Et dans un pays liberal, comment m’empecherez vous, si je suis un industriel du charbon qui rentabilise bien grace a cette source d’energie, d’exploiter les mines en devastant les forets alentours (j’envisage un scenario apocalyptique pour accentuer que la loi ne pourra pas me l’interdire) et de cramer du charbon a tout va avec mes usines? Comment m’enpecherez vous dans un pays liberal, si je suis milliardaire excentrique, d’implanter partout dans nos campagnes de superbes eollienes 100% ecolo qui ruinent le paysage mais c’est ma propriete dont j’y fais ce que je veux? (Et croyez moi y a des milliardaires assez dingues pour le faire). Je ne suis pas un socialiste, mais comment le liberalisme, concretement, pas simplement de belles phrases issuent d’ouvrages theoriques ou de belles paroles, fera mieux que le socialisme? Avez vous un exemple concret qui me clouera le bec a tout jamais? Et si vous y arrivez je tiendrai parole.
« Comment m’enpecherez vous dans un pays liberal, »
Vous êtes dans votre paradigme et vous n’en sortez pas.
Dans un pays libéral on n’empêche pas, point barre. On ne vient pas contrôler les actes des autres. Ils sont libres chez eux et sur leurs biens, et responsable de leurs actes.
Vous n’avez que cela à la bouche. La contrainte la contrainte la contrainte.
Damien : « si je suis un industriel du charbon qui rentabilise bien grace a cette source d’energie, d’exploiter les mines en devastant les forets alentours (j’envisage un scenario apocalyptique pour accentuer que la loi ne pourra pas me l’interdire) et de cramer du charbon a tout va avec mes usines? »
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C’est quand même bien débile comme argument vu que c’est justement grâce au charbon qu’on a arrêté de déforester en Europe dès le début de l’ère industrielle et que la forêt PROGRESSE dans n’importe quel pays riche : tu ne trouveras pas un seul pays avec un PIB/habitant > 5000$/an dont la forêt recule, pas un seul. C’est dans les pays pauvres où l’on coupe la forêt pour cuisiner ou se chauffer qu’il y a une déforestation catastrophique, jamais dans un pays riche. Aïe, l’ignorance, ça fait mal.
Damien : « Avez vous un exemple concret qui me clouera le bec a tout jamais? »
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Bon bah, tu peux la fermer maintenant, ce que tu aurais dû faire bien plus tôt.
http://collapseofindustrialcivilization.files.wordpress.com/2012/09/before-after-en.jpg
Prend l’exemple de la vallée de la Moselle et ses fours à chaux : un brouillard permanent y régnait !
Et largement, très largement, avant l’aventure industrielle ❗
@Damien
Je ne crois pas que cela change grand chose que le terrain de votre mine de charbon appartienne à l’état ou à un particulier :
– le charbon sera extrait dans les quantités qui peuvent être écoulées sur le marché durant les quelques dizaines d’années où le gisement produira. Ce charbon est indispensable à l’industrie : sans énergie on mourrait tous de faim.
– les forêts seront dévastées pour faciliter l’exploitation. La « nature » n’est pas une fin en soi. Elle n’a pas pour vocation d’être admirée et vénérée par des bandes des singes humains qui crèvent la faim.
– en revanche, quand la mine ne produira plus, les forêts repousseront toute seule si personne n’intervient (la végétation est plus envahissante que fragile), ou bien le propriétaire valorisera le terrain d’une façon ou une autre.
– pendant l’exploitation de la mine, le propriétaire (particulier ou état) est responsable des nuisances qu’il peut infliger à ses voisins (et plus surement un particulier qu’un état qui manipule la loi à sa guise)
Ce n’est pas le même particulier ou état qui brulera le charbon. Mais le problème est le même : une compagnie d’électricité est nécessaire (sinon vous retournez à l’age de pierre), dépend des marchés, est responsable des nuisances (quelle soit d’état ou privée). La pollution sous forme de particules finira par se résorber et les contraintes (légales) d’émissions sont un compromis entre la sécurité sanitaire et la nécessité économique. Le point important est pour moi qu’un état incapable de prendre en compte des nécessités économiques ne devrait pas légiférer sur la sécurité sanitaire, sinon on va tous crever de faim. La sécurité est à la charge de l’état régalien. Il doit prendre en compte la sécurité des personnes et des biens (police et justice) et par extension la sécurité sanitaire ET économique. Mais laissons la « nature » en dehors de ça.
« en revanche, quand la mine ne produira plus, les forêts repousseront toute seule si personne n’intervient »
Il y a bien sur des pratiques qui « abiment » les terrains à très long terme. Ce n’est pas l’intérêt d’un particulier et les cas que je connais sont plutot le fait de l’état communiste soviétique : un état est tellement riche qu’il peut se permettre de faire une mauvaise gestion des terrains qui lui appartiennent (voir toutes les propriétés de l’état qui ne sont pas exploitées : casernes, zones ferrovières, batiments, etc …)
Ben dans un pays libéral, si le proprio de la mine de charbon n’est pas aussi propriétaire de la forêt, le propriétaire de la forêt est en droit d’obtenir (pas demander, « obtenir ») réparation intégrale.
Bien entendu, dans un pays non libéral, c’est l’état qui est propriétaire des deux et qui interdit l’exploitation de la mine, ce qui sauve la forêt pour que les cadres du parti puissent s’y construire une datcha, le reste de la population n’ayant pas de toute façon les moyens d’aller en profiter, ça ne prive personne.
« ce qui sauve la forêt »
Ou pas : il faut bien couper la forêt petit à petit pour construire et chauffer la datcha !
Comment, dans un pays ultraturbolibéral, vous allez empêcher un type de me pousser sur la rame de métro lorsqu’il arrive ? Comment allez-vous gérer une attaque alien ? Et si Voldemort se met à s’attaquer aux Moldus ? Et autres suppositions complètement farfelues…
Avec des si…
Sinon, dans votre État ultrakhmervert, si celui finit par raser les forêts parce que son économie va de plus en plus mal (à cause de sa mauvaise gestion des rendements décroissants, de son absence de calcul économique, de la tragédie des communs) et que cette crise le menace de destruction systémique, le poussant donc à pressurer la production, vous faites quoi ?
La surexploitation des ressources a toujours été dans les pays socialistes, pas capitalistes.
« La surexploitation des ressources ». Le Leidmotiv des écolos !
Cela s’apparente à le peur de manquer. Normalement cela touche les gens qui ont connu la précarité dans leur enfance. Ca ne devrait pas toucher les bobos-écolos ?
Les écolos sont des réactionnaires, ayant peur du lendemain, voulant rétablir l’ordre naturel…
Cependant, ils restent toujours rouge à l’intérieur…
Sur la planète Contrepoints, ce sont les réchauffistes qui sont harcelés mais là, c’est pour la bonne cause 😉
Personne ne les oblige à venir subir ce harcèlement…
Alors c’était vrai aussi pour Lennart Bengtsson.
C’est le leitmotiv des libéraux , oui à la liberté, oui à la tolérance, mais pas chez eux et ceux qui sont pas heureux ont la liberté de partir. C’est sympa., Mais ça fait pas rêver !
mondieumondieumondieu…
Mékilékon, cépapossiiiiiibl…
Bon, ok, je reconnais que vu le bien que ça fait, chacun devrait pouvoir venir consulter Contrepoints sans être harcelé pour n’avoir pas encore accepté les idées libérales et l’esprit critique vis à vis du panurgisme climatique. Mais Contrepoints est un club privé où les membres et dirigeants font ce qu’ils veulent, et ma foi je les comprends de harceler un peu les invités qui viennent contester ce qui les rassemble dans ce club.
Citoyen : que pensez-vous d’un skinhead qui entrerait dans une synagogue en plein sabbat, tendrait le bras et hurlerait « les Juifs au four ! » et s’étonnerait de se prendre une raclée par les participants ?
à peu près la même chose est arrivé à pâque cette année avec un mahométan qui est venu dans une cathédrale dérouler son tapis de prière et qui s’est mis à invectiver et insulter l’évêque et les fidèles. curieusement, il ne s’est pas fait passer à tabac…
@Citoyen : Expliquez-vous clairement en quoi la comparaison avec Bengtsson est possible.
Je sens que ça va être intéréssant.
Hum ! Ce sont plutot les trolls qui sont harcelés. Beaucoup ici connaissent par coeur les arguments anti-RCA et sont ravis de les rabacher (poliment) à ceux qui viennent les défier avec les arguments du GIEC.
C’est pas faux, quoi que, pour le « (poliment) » de mon point de vue il n’est pas du bon coté ;-), voir ci-dessus.
Tu t’étonnes, t’as pas conscience d’être un peu chiant ❓
Tu crois au RCA, nous pas. Tu le sais. De quoi te plaint tu ❓
Tu ne veux quand même pas qu’on te balance : « le repas de son altesse avancé :(« , non ❓
Si tu viens par ici, c’est que tu ne t’ennuie pas, sinon, tu irais troller chez les écolos
Devoir répondre à des objections et des critiques n’est pas un « harcèlement »!
Le harcèlement des climato-sceptiques a une raison simple :
Pour que l’intervention étatique soit justifiée, il faut que le raisonnements et les calculs des climatologues, des différents groupes du GIEC, des économistes et politiciens de la transition énergétique soit tous sans faille, sans ambiguïté et non criticables sur des effets secondaires.
Il suffit en revanche de relever UNE SEULE incertitude, une erreur de calcul, une approximation, un non-dit pour qu’un sceptique mette par terre ce bel édifice. On comprend donc que les sceptiques soit accueillis comme des chiens au milieu d’un jeu de quilles dans tout ce qui est media, universités ou même forum, où tous sont mouillés dans les magouilles – pardon les actions pour la sauvegarde de la planête.
D’autant que les failles – pardon les points criticables – pardon les détails à améliorer dans ce bel édifice sont parfaitement connus des climatologues et qu’ils n’ont pas la réponse. La mouvance écolo s’efforce donc de discréditer les sceptiques en les accusant de lobbying, de gatisme, d’incompétence ou en les ignorant. Ca fonctionne (plus ou moins) avec le grand public qui n’a pas envie de se prendre la tête. En vérité, ceux qui n’ont pas envie de se prendre la tête confondent RCA et tri des ordures ménagères et n’ont pas conscience des conséquences économiques de la politique anti-réchauffement. Mais comme le torpillage de l’économie se traduit par du chomage avec effet retard, ça pourrait changer.
Notation des Etats : S&P évalue l’effet du changement climatique.
http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/finance-marches/actu/0203503198741-notation-des-etats-s-p-evalue-l-effet-du-changement-climatique-671685.php?xtor=RSS-2005
Oui, beaucoup de scientifiques de la physique du climat à S&P…
Un khmer vert qui cite S&P, suppôt du turbolibéralisme financier apatride assoiffé de profit, violeur de la planète et tueur d’ours polaires, pour défendre le réchauffisme, warfff.
C’est qu’ils doivent être sacrément désespérés à l’Eglise de Climatologie. Qu’est ce qu’on rigole, à les voir racler le fond de tiroir des trucs & astuces de bateleur de foire pour tenter de refourguer leur camelote devenue invendable.
Enfin, on rirait plus si cette farce climatique ne nous coûtait pas si cher.