Par Jabial
Lire le premier article : du combat héroïque des proto-féministes à l’idéologie haineuse des « gender feminists », comment la juste cause du féminisme a été pervertie.
Une tentative de désexualiser les êtres humains
L’être humain est doté d’une capacité d’apprentissage et d’adaptation tout à fait remarquable, et on peut parfaitement éduquer des enfants en contradiction avec leur nature.
C’est même souhaitable lorsque cet effort produit un bénéfice individuel pour l’enfant. Ainsi, apprendre à être propre est une des bases de l’éducation humaine, ne déplaise à certains illuminés (je n’ai pas réussi à retrouver sur le net l’histoire hallucinante de ce fils de soixante-huitards que ses parents n’ont jamais voulu « opprimer » en lui apprenant à aller aux toilettes et qui a porté des couches jusqu’à découvrir avec surprise que les autres ne faisaient pas ainsi).
Néanmoins, on ne doit jamais oublier que cette capacité a des limites, certes flexibles mais pas infinies, et qu’à chaque fois que l’on introduit une dissonance entre instinct et surmoi, on crée les conditions de futurs troubles psychiques. Ce n’est pas parce que la résilience de la psyché humaine ôte fort heureusement à cette conséquence tout caractère d’automaticité qu’il faut se comporter comme si l’être humain était une pierre brute que l’on peut façonner à sa guise. Il ne l’est pas, et si la lente évolution historique produit parfois des absurdités, c’est bien moins souvent le cas que les révolutions. L’ingénierie sociale est dangereuse, parce que si vous grandissez avec un mensonge gravé comme une évidence en travers de votre bonheur, vous serez prêt à tout croire de celui qui vous dira la vérité sur ce point.
Essayer de construire une société où les hommes ne tenteraient plus de séduire les femmes en apprenant aux garçons et aux filles que la séduction est un comportement agressif et répréhensible qui violerait le droit inaliénable qu’aurait chaque femme qu’aucun homme indésirable ne leur fasse l’insulte d’oser s’intéresser à elle est une excellente recette pour produire des hommes et des femmes malheureux. De fait, on ne peut que constater le nombre croissant de célibataires et de gens incapables de résister à un manipulateur ou à une manipulatrice. Il faut pourtant être bouché pour ne pas savoir faire la différence entre un « non » ferme, agacé ou apeuré et une minauderie. Au-delà du ton, le langage non verbal est totalement différent. Et comment ne pas faire la différence entre la désinhibition réciproque que peuvent apporter quelques verres bus ensemble et une femme incapable de marcher droit avec qui tout contact sexuel serait évidemment un viol ? Quant à aborder une inconnue marchant en pleine rue avec des écouteurs dans les oreilles… Quelqu’un a-t-il déjà obtenu ne serait-ce qu’un sourire de cette manière ? Les goujats et les féministes de genre ont le point commun de ne pas être en mesure de faire la différence entre séduction et harcèlement, et parfois même, viol. Cela a quelque chose de terrifiant.
Des peurs irrationnelles qui attisent la haine
Ce refus de voir les frontières entre un comportement normal qui ne provoque la peur que chez une personne souffrant d’un problème psychologique trop souvent consécutif à un traumatisme, un certain nombre d’impolitesses qui tiennent de la goujaterie, et un comportement délinquant voire criminel d’agression et de prédation, est terriblement malsain.
Cela participe, comme toute situation où on brouille les frontières entre innocents et coupables, à réduire la pression sur les seconds aux dépens des premiers qui n’y peuvent mais. Lorsque l’amalgame se concentre sur un groupe déterminé, les effets sont prévisibles. C’est malheureusement ainsi qu’une peur irrationnelle de l’autre qui n’est pas sans rappeler un certain nombre de préjugés racistes est en train de se développer chez l’audience habituelle des féministes de genre : des jeunes filles inexpérimentées qui se trouvent pour la première fois confrontées à l’absence d’un milieu familial protecteur et à la peur de l’inconnu, mais aussi malheureusement des victimes de violences sexuelles ou conjugales bien réelles. Comme toutes les peurs, si la réalité ne vient pas y faire obstacle, il ne faut pas beaucoup pour qu’elles se transforment en haine. Cette haine nourrit une nouvelle génération d’extrémistes qui voient les hommes comme des prédateurs qui rôdent. Elle s’illustre aussi sur les réseaux sociaux où au lendemain de l’affaire Elliot Rodger, on a pu constater un déchaînement absolument hallucinant de propos sexistes tout à fait indécents et déplacés, notamment sur Twitter.
Cette recherche de l’amalgame et de la mise en accusation de tout un sexe est typique de la démarche idéologique des féministes de genre. Derrières les dénégations de surface, la quasi-totalité des propos publiés sous le hashtag #YesAllWomen sont de nature à propager de la propagande sexiste insidieusement haineuse contre les hommes en général sous couvert de lutte contre les agressions sexuelles. Le facteur commun de cette propagande est d’utiliser des faits réels très graves et particulièrement générateurs d’émotion pour justifier des aberrations logiques qui seraient sinon transparentes. On se croirait sur Nouvelles de France (non, je ne ferai pas de lien vers ce torchon).
Plus grave : les féministes de genre répandent des mensonges sur la nature, la fréquence et l’origine des risques spécifiques subis par les femmes qui sont de nature à empêcher celles-ci de s’en protéger efficacement. Leur but : défendre des mesures de « protection » des femmes en tant que classe contre les hommes en tant que classe, comme sont « protégés » les travailleurs contre les patrons, les locataires contre les propriétaires, avec les résultats qu’on connaît. La fin de la présomption d’innocence en matière de délits et de crimes sexuels est ouvertement à leur programme.
La jalousie, le tout-m’est-dû, et la recherche d’un bouc-émissaire
D’autres types de mensonges sont également répandus en utilisant le biais de sélection.
Ainsi, les inégalités de revenus dans les tranches les plus élevées sont présentées de manière à indigner et à donner le sentiment d’une discrimination contre les femmes alors qu’en réalité les différences sont essentiellement expliquées par deux phénomènes.
Il s’agit d’une part de la moindre implication de la plupart des femmes dans leur vie professionnelle et d’autre part de l’absence de prise en compte des hommes les plus pauvres.
En ce qui concerne le premier de ces phénomènes, on peut accepter l’hypothèse qu’il soit culturel mais il conviendrait alors de s’attaquer aux causes plutôt que d’exiger un résultat indûment égal pour une participation inégale, d’autant plus que cette situation se corrige d’elle-même petit à petit.
Quant au second, au prétendu « plafond de verre » répond un « plancher de verre » dont on n’entend que rarement parler. La plupart des femmes qui ne travaillent pas le font par choix ; les femmes représentent moins de 10 % des SDF et moins de 5 % des prisonniers. Cela suit peu ou prou les courbes de QI, mesure imparfaite mais objective d’une certaine forme d’intelligence. À la moyenne, les femmes ont des capacités légèrement supérieures mais avec un écart-type moindre. Cela signifie qu’une femme moyenne sera plus proche de la moyenne qu’un homme moyen, dans un sens comme dans l’autre, ce qui s’illustre par l’observation de Camille Paglia, une des rares féministes à avoir évité l’écueil du complotisme socialiforme : « il n’y a pas de Mozart femme parce qu’il n’y a pas de Jack l’Éventreur femme ». Plus précisément, il y en a peu pour la même raison.
L’intolérance absolue
Le plus insupportable, toutefois, reste la façon dont se comportent les féministes de genre avec ceux et celles qui ne sont pas d’accord avec eux.
Leur réponse est toujours la même : tenter de faire taire l’opposition par tous les moyens. Leur incapacité à accepter une quelconque altérité dans le discours, autant qu’à ne pas prendre toute remise en question pour une agression violente destinée à justifier des horreurs et à défendre des ordures, est tout simplement consternante. Les attaques personnelles, les amalgames douteux, la culpabilité par association et même les menaces de violence, tout y passe. Et surtout, ces avatars transposés des socialistes ont trouvé leurs fascistes : les masculinistes.
Dans le masculinisme, il y a à boire et à manger, et j’avoue que je n’arrive que rarement à lire un de leurs articles sans trouver un point de profond désaccord. Quand on lit un conseil du type « ne sortez pas avec une mère isolée, elle a probablement viré son mari pour avoir le beurre et l’argent du beurre », il y a franchement de quoi désespérer de l’âme humaine, surtout quand on pense à toutes ces femmes abandonnées ou victimes de violence qui élèvent seules leur enfant. Néanmoins, je n’ai vu nulle part les diables vociférants, promoteurs du viol et de l’esclavage marital des femmes, défenseurs de la violence conjugale pourvu qu’elle soit masculine, que prétendent leurs adversaires. Surtout, j’y ai trouvé un nombre considérable de femmes, celles-là même qui sont supposées être leurs ennemies. À ce jour, je suis persuadé qu’il y a plus de femmes chez les masculinistes que d’hommes chez les féministes. Je ne parle pas de sympathisantes mais bien de militantes qui pour la plupart opèrent à visage découvert. Est-ce là ce terrible groupe de haine supposé avoir entraîné Elliot Rodger ?
En fait, ce n’est qu’un mensonge de plus. Elliot Rodger n’a jamais été de près ou de loin proche des masculinistes. Quant à l’avoir rapproché des soi-disant pick-up artists (« artistes de la drague » ou « PUA » : des gens qui n’ont rien de mieux à faire que de publier sur l’internet des méthodes de manipulation mentale à l’usage des gens incapables de séduire autrement), cela provient d’une erreur de lecture propagée sans la moindre vérification.
En effet, notre tueur fou, prétexte idéal à la haine catégorielle comme l’a été Mohammed Merah en son temps, n’était pas du tout proche de cette communauté. En fait, il sévissait dans un forum nommé PUAHate (« haine des PUA ») qui, comme son nom l’indique, n’était pas exactement rempli d’amour pour ceux-ci. Mais est-ce surprenant de la part d’un malade que la jalousie poussait à des fantasmes de massacres de masse ?
Lire la suite.
Article intéressant. Il est étonnant de voir le nombre de gens qui se laissent encore prendre à ce genre de pratiques, mais vu que beaucoup se font avoir dans le domaine de la politique, il n’est pas surprenant qu’il y soient sensibles dans le domaines des relations humaines.
Il est aussi cocasse de voir les féministes passer leurs temps à traiter tous les hommes de manipulateurs quand ils le sont (oui, ils. En Français, le genre neutre est confondu avec le masculin, n’en déplaise à ces imbéciles) eux-mêmes encore bien plus. Encore une preuve que quand on s’invente un ennemi, on à tendance à lui attribuer ces propres tares (en particulier celles qu’on ne veut pas admettre).
Qu’est ce donc que les masculinistes? Des machos?
Enfin moi j’observe que pour une femme le compliment est toujours agréable, que mon cher et tendre me dise ne t’inquiète pas je m’occupe de tout, qu’il m’offre des cadeaux et qu’il m’entretienne ne me poserait aucun problème. j’y comprends rien du tout au féminisme pourtant j’aime bien être une femme indépendante, paradoxal…
Chéri, tu préfères une femme belle ou une femme intelligente ?
Mais ma chérie, tu sais bien que je n’aime que toi !
Oh nan, Homo Orcus, personne ici n’a besoin d’être au courant, et puis tu sais bien que je suis un cas à part, belle et intelligente, la question ne se pose même pas…;)
Les masculinistes défendent les droits des hommes. Par exemple, combien d’hommes vont en prison pour de fausses accusations de la part de femmes, de fausses accusations de viol?
On l’a vu quand une vidéo est devenue virale, dans cette vidéo cette fille faisait des choses pas très protestantes… ben la fille a crié au viol car ça compromettait sa réputation.
Hors, le jeune homme ne l’avait contrainte d’aucune façon.
Des hommes vont en prison ou perdent leurs enfants à cause d’accusations mensongères de leur ex.
Des hommes qui n’ont rien fait, vont en prison car ils doivent payer des pensions alimentaires trop élevées… pour des enfants dont on a prouvé qu’ils n’étaient pas le leurs… et le tribunal ordonne quand-même de payer…
Enfin, plein de choses comme ça.
Mais c’est horrible, enfin les violences faites aux femmes aussi vous me direz.
Quand aux PUA, jamais entendu parler, mais ça m’intéresse, c’est quoi leurs techniques de séductions?? j’ai toujours pensé que nous pouvions apprendre à draguer mais pas à séduire.
En même temps, ça ne me questionne pas ce genre de chose, pas plus que le point G ou comment le garder ni comment être in et indépendante, en plus je ne regarde que Vogue.
PS: un homme qui a de bonnes intentions et qui n’a pas de succès avec les femmes, hummm, il peut y avoir pleins de raisons mais chercher à comprendre ce qui attire une femme, ce n’est pas une solution : moi j’aime ce qui est beau, je ne crois pas que cela va être d’un grand secour!
Mathilde, le Point G ou comment le garder, c’était pour donner des exemples. Mais ce sont des couv de magazines féminins en général.
Sinon Oui, les hommes ont besoin d’apprendre à séduire. Connaissez-vous des hommes à qui on a déjà dit « je t’aime comme un ami » ou comme un frère? ou « ne change pas, tu vas finir par trouver… »
Ce sont des conseils bidons qui ne marchent pas. J’en sais quelque chose, puisque j’ai testé sur moi-même 🙂
On demande aux hommes d’être gentils, mais ce n’est pas ce qui marche, sinon il n’y aurait pas autant de filles qui diraient « ce sont tous des connards ». Je ne dis pas qu’il faut devenir un connard pour avoir du succès, mais juste qu’il y a des types d’hommes qui intéressent les femmes, d’autres pas.
Si vous êtes curieuse, je vous conseille le très bon livre « Casé en une semaine »
Je pense que la séduction est un art, une manière d’être, de regarder, un mouvement particulier, un effleurement, une caresse, une danse… Bref je n’arrive pas à penser qu’on puisse l’apprendre tellement cela dépend de l’individu, de sa nature, de sa réceptivité aux sensations.
Moi cela ne me dérange pas de devoir séduire Monsieur et je ne demande pas aux hommes d’être gentils. Je pense que la séduction, pour un homme, est un exercice difficile qui nécessite confiance en soi et de prendre un risque.
Quel serait un type d’homme qui attirerait les femmes pour vous?
Je pense qu’on peut apprendre à draguer, ça oui, homme ou femme d’ailleurs mais j’irais jeter un Å“il à votre référence!
Je pense que la séduction est un art, une manière d’être, de regarder, un mouvement particulier, un effleurement, une caresse, une danse…
Sur cette part, je suis entièrement d’accord.
Et là , je vous répète que ce que vous croyez est différent de la réalité, puisque je suis passé de toujours meilleur ami à séducteur avec du succès.
Je suis passé de ce qui ne marchait pas à ce qui marche.
Vous ne demandez pas aux hommes d’être gentils, mais vous êtes UNE seule femme! Pas les autres.
Pour la confiance en soi et la prise de risque, oui, il faut de la prise de risque, même si on n’a pas confiance en soi! Ca se développe, comme les muscles ou le courage!
Quel type d’homme attire les femmes?
Regardez autour de vous, vos collègues, amies, soeurs, mères, voisines:
Notez les caractéristiques qui reviennent chez leurs conquêtes, vous verrez bien le même genre de préférences qui reviennent sur la taille, le physique, l’âge/ la différence d’âge, le métier/ la condition sociale, le caractère, la réputation 🙂
C’est vrai, vous avez réussi à passer de l’ami à mec potentiel? Elles sont toutes tombées dans vos bras?
Parce que pour moi, un mec qui séduit c’est un mec d’un soir, en même temps si c’est ce que vous voulait alors tant mieux! Je ne suis pas un bon exemple.
Le profit je dirais mec stable, travail stable, grand, pas trop gros ni trop maigre, de l’argent, qui sait où il va, qu’il ait du temps, gentil, drôle, pas trop idiot, je dirais le mec normal, qui nous montre qui s’intéresse à nous, qui veut se marier et des enfants.
Mais moi j’aime tous les hommes, alors y a pas de règle, mais j’aime les jeux de séduction et j’ai jamais pensé qu’un homme pouvait être un ami. Parce que si les filles vous considère comme un ami c’est que vous les manipulez, pour quelles raisons? Vous ne voulez pas vous laisser séduire?
« Le profit je dirais mec stable, travail stable, grand, pas trop gros ni trop maigre, de l’argent, qui sait où il va, qu’il ait du temps, gentil, drôle, pas trop idiot, je dirais le mec normal, qui nous montre qui s’intéresse à nous, qui veut se marier et des enfants. »
Et ben ça en fait des prérequis. En gros sécurité, sécurité, sécurité… Du coup, la question qui s’impose, vos mecs ressemblent-ils à cette description? Dans les faits, est-ce vraiment ça qui vous attire?
« Parce que si les filles vous considère comme un ami c’est que vous les manipulez, pour quelles raisons? Vous ne voulez pas vous laisser séduire? »
Quelques fois, il peut arriver qu’un homme est déjà une copine et soit fidèle, ou qu’une femme ne l’attire pas.
D’autre part, tout acte de communication est aussi, en tout cas en partie, un acte de manipulation. Le problème étant surtout de savoir si un acte de manipulation est nocif ou non.
« Parce que pour moi, un mec qui séduit c’est un mec d’un soir, en même temps si c’est ce que vous voulait alors tant mieux! Je ne suis pas un bon exemple. »
Une personne ne recherche pas forcément la même chose tout le temps. Vous avouez à demi-mot que vous n’êtes pas contre une aventure d’un soir, dans le même temps vous le lui reprochez.
Si on croise ça avec sécurité, sécurité, sécurité (voir plus haut) (et peut-être si on est un peu tordu), ça laisse penser que le mec qui séduit vous attire (c’est pour ça que c’est un mec d’un soir), mais vous fait peur (c’est pour ça que c’est seulement un mec d’un soir). Peut-être parce qu’un mec qui séduit facilement vous est moins accroché, puisqu’il lui est plus facile de trouver une nouvelle compagne en cas de problème, et parce qu’ayant a priori plus l’habitude des relations avec les femmes, il est moins aisé de le contrôler.
@ NIckel:
Vos réponses me donnent l’impression que vous n’êtes pas étranger à cet histoire de PUA.
« Et là , je vous répète que ce que vous croyez est différent de la réalité, puisque je suis passé de toujours meilleur ami à séducteur avec du succès.
Je suis passé de ce qui ne marchait pas à ce qui marche. »
Qu’avez-vous appris, au juste? De quelle manière êtes-vous passé de l’un à l’autre? Jabial nous explique que vous avez dût apprendre de techniques très pointues, sensées permettre de rentrer dans la tête des gens et de les faire agir comme on veut, mais qui en fait ne marchent pas très bien. Le problème étant que sur ce genre de sujet les gens racontent toujours beaucoup de conneries (pour tout un tas de raison), du coup, j’aimerais savoir un peu mieux ce qu’il en ait.
J’ai dit que j’essayais de me mettre dans la tête des autres femmes…
Moi, je suis attirée par les gens comme moi. Et j’attire des mecs qui sont des petits bouts qui ensemble forment un truc sympa. Enfin je pense que je séduis bcp alors ça ne veut pas dire grand chose!
Je dis que la séduction c’est l’immédiat, l’instant, je me suis mal exprimée, » le coup d’un soir »: non je ne reproche pas cet état d’esprit.
Mais une fille qui n’est pas attirante est nulle en séduction, ou que vous n’y êtes pas attentif, pour moi c’est improbable.
De « si à …contrôler » oui vous n’avez pas tord.
Moi aussi Nickel, cela m’intéresse, si vous voulez partager votre expérience! Je peux vous donnez des petits conseils, sinon 😉
« Je dis que la séduction c’est l’immédiat, l’instant, je me suis mal exprimée, » le coup d’un soir »: non je ne reproche pas cet état d’esprit. »
On pourrait y penser de manière séquentiel, plutôt qu’en opposition. D’abord la séduction à court terme, puis quelque chose de plus durable.
« Mais une fille qui n’est pas attirante est nulle en séduction, ou que vous n’y êtes pas attentif, pour moi c’est improbable. »
Le gens sont tous différents, ils ne sont pas forcément tous attirés par la même chose.
« De « si à …contrôler » oui vous n’avez pas tord. »
Oui, les relations humaines sont loin d’être aussi angéliques que certains voudraient nous le faire croire. Du coup les laïus sur la manipulation, j’ai tendance à les prendre avec des pincettes, sachant très bien à quel point la manipulation est rependue (en fait permanente et universelle). Je ne crois pas que se soit un concept utile dans une acceptation aussi large.
Je suis d’accord avec vous Moi. C’est vrai que les gens sont différents. Je comprends enfin je crois, je vais essayer de ne pas rester centrer sur ma conception pour lire vos explications et celles de Nickel concernant l’attirance.
Cher Moi, en effet, je ne suis point estranger aux histoires de PUA.
@ Moi: Non, je ne fais pas une Belmondo, je réponds à « Moi »
Jabial a le droit de penser que ça ne marche pas très bien, je n’essaie pas de convaincre les gens… Il faut simplement trouver les personnes intéressées, c’est comme pour tout.
Dyson, -l’inventeur de l’aspirateur- a proposé plus de 5000 fois son aspirateur sans sacs, mais il le proposait à des entreprises qui n’étaient pas intéressées, sans succès…
Il a persévéré pendant 5 ans, et plus de 5000 prototypes aussi… pour devenir l’homme dont on connaît le nom!
Au lieu d’essayer de convaincre des gens pas intéressés, il vaut mieux répéter la même chose, avec des personnes qui correspondent à nos critères et démontrent de l’intérêt à être avec nous.
Bonne chance pour convaincre Adriana de sortir avec toi si elle aime les grands blancs dodus alors que tu es petit , asiatique et maigre.
Il ne s’agit pas de techniques très pointues, juste un [bon sens commun] à ceux qui savent séduire, PUA ou non.
Souvent, les jeunes hommes qui ne se trouvent pas attirants ont tendance à se négliger au niveau de la forme et de l’apparence physiques, des vêtements, et parfois de l’hygiène.
Prendre soin de son APPARENCE, permet de gagner des points, ou au moins de ne pas en perdre.
Etre en meilleure forme physique en faisant du sport, en portant des vêtements à sa taille, à la mode et en bon état… ça permet de prendre confiance en soi, et de ne pas être perçu comme négligé. Négligé=REPOUSSANT.
Ensuite, la PERSONNALITE: développer du courage pour les plus timides, aller parler à des inconnu(e)s, se faire de nouveaux amis, sortir de sa zone de confort. Si on est très peu entouré, il faut varier les activités qui permettent de SOCIALISER.
La personnalité, la conversation, l’humour, comprendre l’autre sexe quand on est en couple, l’attraction, le leadership, l’estime de soi…donner du plaisir quand on fait l’amour, ça se développe, comme… apprendre à danser ou à jouer au foot, il y a un temps d’adaptation.
Il y a des livres sur le sujet, donc, j’entrerai pas dans les détails.
Beaucoup de rencontres/ couples se forment dans les cercles. Amis, travail, sport, danse, associations, voisinage, rando-rollers… cours de cuisine… permettent de varier les rencontres.
Il existe aussi les rencontres en ligne, pour une génération connectée…
Peu importe que ce soit au travail, à la salle de sport, en boîte, ou à une crémaillère, une des choses les plus importantes, c’est de ne pas être attentiste, mais de prendre des initiatives.
Rester en contact, suggérer de se revoir, se joindre à un groupe déjà « dynamique »…
En multipliant les contacts sociaux, vous multipliez simplement vos chances de rencontres, et c’est vachement sympa d’être invité de partout.
Peu importe la situation, en personne, sur internet, en soirée ou au travail, l’homme devra par des critères d’attitude et visuels paraître attirant, intéressant, etc. (ça s’apprend aussi)
Après, lors du rdv, l’intéresser, l’écouter, la divertir, lui donner envie de rester plus longtemps avec vous, lui donner envie d’être raccompagnée… ça s’acquiert avec le temps… et surtout, en piquant quelques idées à ceux qui ont déjà les qualités qu’on envie.
Certains PUAs publient leurs journaux, et ils expliquent chaque étape. Je l’ai rencontrée, appelée, emmenée faire telle sortie, divertie, je l’ai ramenée/ pas ramenée, je me suis gouré là / j’ai réussi ça…
Sinon, moi, en fait, on apprend surtout à se débarrasser de ses croyantes limitantes: « personne ne voudra de moi » « elle va me rejeter », « je ne vais pas lui plaire » « je ne sais pas quoi lui dire »
Ce sont des problèmes que les hommes rencontrent vraiment. Pour faire dans le moins technique que ma réponse précédente, je vous recommande le film « Hitch » avec Will Smith! Film marrant et sympa, d’un homme qui veut une relation avec une fille qui lui plaît.
How I met Your Mother, il s’agit d’un PUA , Barney Stinson… qui joue de ruses pour duper le plus possible de filles, et ça marche aussi.
Il y a mon préféré, Mon Oncle Charlie/Two and Half men, où un homme enchaîne les conquêtes ou les histoires d’amour ratées, mais toujours avec des astuces, des techniques, de l’humour, et beaucoup d’audace 🙂
Les conseils sont simples mais bien et de bon sens. C’est un peu pareil pour les femmes d’ailleurs 😉
Je connais les 2 séries dont vous parlez 🙂
Pour moi cela s’apparente plus à des techniques de drague mai si au fond vous atteignez votre objectif, alors je ne vais pas jouer sur les mots!
« C’est vrai, vous avez réussi à passer de l’ami à mec potentiel? »
J’y ai donné une réponse précédemment, je déteste me répéter, j’ai l’impression de ne pas être écouté, que la personne en face ne tient pas compte de mon point de vue.
Je vous cite Mathilde:
« j’aime les jeux de séduction »
« mec stable, travail stable, argent, grand, gentil »
Le « travail stable » explique le succès des hommes en uniforme auprès de la gente qui est votre 🙂
Le mec à qui vous plaisez physiquement, mais qui ne rentre pas dans ces critères là a moins de probabilités de vous séduire, s’il est intérimaire et grand que s’il est policier et grand.
Mais vous lui plaisez vraiment, parce que vous êtes très séduisante à ses yeux. Il décide de devenir policier. Là , vous le trouvez plus intéressant.
Le médecin par exemple correspond aussi à la stabilité, à l’argent, mais peu au temps libre par contre.
Je vous cite encore « je dirais le mec normal, qui nous montre qui s’intéresse à nous »
Vous avez une fille ou un garçon? 🙂
Et, comment voulez-vous qu’il vous montre qu’il s’intéresse à vous? S’il ne sait pas séduire? Certaines personnes sont douées naturellement dans certains domaines. Peinture, musique.
D’autres, seront douées en communication.
Le fait de savoir séduire ne change pas la nature d’une personne, pas plus que l’argent. Intègre un jour, intègre toujours. Menteur un jour, menteur toujours.
Je vous cite Mathilde « Parce que pour moi, un mec qui séduit c’est un mec d’un soir »
D’après une définition disponible sur une bibliothèque en ligne, du nom de Wikipedia (oui ^^ ) la séduction désigne, en science sociale, un procédé visant à susciter délibérément une admiration, attirance, voire l’AMOUR d’un ou de plusieurs individus.
Donc, on peut séduire pour l’amour, pas pour un soir uniquement. Ca ne confirme pas votre point de vue.
Je vous cite « Parce que si les filles vous considère comme un ami c’est que vous les manipulez, pour quelles raisons? Vous ne voulez pas vous laisser séduire? »
Les plus petits esprits ont les plus gros préjugés. V. Hugo
Je me cite « je suis attirée par les gens comme moi », vous m’avez demandé ce que pensaient les femmes en général, pas moi, alors je vous dis des banalités.
Si vous saviez le nombre de garçons à qui je plais « physiquement » qui ne rentrent pas dans les critères que mon astrologue a définit pour moi… ! Récemment: la fête de l’huma, j’ai failli tomber de ma chaise.
Je ne demande à personne de me séduire, ça ne change en rien la personne. On me reproche de ne pas argumenter, de séduire plutôt que convaincre (pour faire simple) pourtant je suis plutôt intelligente, ben j’ai essayé de convaincre, manipuler les concepts, j’y arrive mais ça ne change pas qui je suis. C’est pareil, enfin en plus moi je pense.
S’il ne sait pas séduire, ben il se débrouille pour me dire ce qu’il veut, je suis plutôt attentive mais si je comprends parfois de travers…
On peut séduire par amour ou pour un soir, oui, c’est peut être un préjugé de ma part que de penser qu’un homme qui séduit le fasse pour un soir.
La fin, j’ai pas compris…, merci pour Hugo, enfin ça va, si vous en parlez, c’est que vous êtes détaché de ce sujet donc je vous soupçonne de ne pas avoir besoin de cours pour séduire et que vous le faites sans vous en rendre compte, très bien.
Être un beau parleur pour moi, suffit, Casanova n’est pas loin 😉
Les PUA sont des mecs qui apprennent à séduire les femmes. La séduction ne change pas la nature d’une personne. C’est comme l’argent. Une personne est ce qu’elle est. Un homme qui a de bonnes intentions mais qui n’a pas de succès avec les femmes peut apprendre à comprendre ce qui attire les femmes, un peu de la même façon qu’il existe des tas de magazines qui apprennent aux femmes à « le rendre complètement fou au lit » « le garder » « trouver leur point G » « Etre in et indépendante »… ‘fin, du genre Cosmo ou Marie-Claire, mais pour les hommes ^^ (et avec moins de pub que GQ, mais ça, c’est un autre débat…)
Quelques remarques :
1. Je ne sais pas d’où vous sortez que certains féministes voudraient apprendre « aux garçons et aux filles que la séduction est un comportement agressif et répréhensible », j’ai l’impression que cela relève plutôt de votre invention ou d’une très mauvaise interprétation du discours féministe. Pour le coup, je pense que c’est vous qui êtes victime d’indistinction entre aller aborder une femme et s’incruster malgré son inintérêt manifeste pour finir par lui dire « toi j’ai envie de te faire l’amour » (témoignage véridique). D’autre part, je pense que « la minauderie dont vous parlez » relève davantage de la pensée masculiniste qui cherche à tout prix à voir dans un « non » un « oui » pour son propre intérêt. C’est pourtant évident, lorsqu’on femme vous montre ostensiblement ou vous dit « non », il n’y a pas à chercher pour essayer de justifier de continuer sa drague. J’ajouterai que la première personne à pouvoir la distinction entre séduction, harcèlement et viol, c’est la personne elle-même ! Si une femme estime être victime de harcèlement ou dit être victime d’un viol, a priori, il n’y a aucune raison d’en douter, puisque c’est quand même elle qui le sait le mieux.
2. Vous dites : « les féministes de genre répandent des mensonges sur la nature, la fréquence et l’origine des risques spécifiques subis par les femmes qui sont de nature à empêcher celles-ci de s’en protéger efficacement. » Pourriez-vous expliciter ?
3. Concernant les inégalités de revenus. (a) Prétendre que les femmes sont, en général, moins impliquées dans leur vie professionnelle que les hommes relève à mon sens de la supposition. Pourriez-vous étayer ? Bien entendu nous savons qu’en général les tâches domestiques et ménagères incombent bien plus aux femmes (notamment les enfants), mais comme cela est dit, ce sont des tâches domestiques ! Ensuite, votre proposition repose sur l’hypothèse que les salariés seraient payés en fonction de leur travail, de leur implication professionnelle, ce serait un échange de marchandise comme un autre. C’est une vision très libertarienne mais assez peu en phase avec la réalité. Le salaire est le résultat d’un rapport de force entre employeurs et salariés, ce n’est pas pour rien que dans une entreprise avec un fort syndicat vous avez des conditions de travail et de rémunération meilleures. Je vous accorde que depuis quelques décennies nous assistons à une plus forte individualisation du salaire, mais cette individualisation fait justement partie du résultat du rapport employeurs/salariés. Je ne m’étends pas là -dessus, cela mériterait une discussion à part et ce n’est pas le sujet central ici. Tout ça pour dire que l’hypothèse étant sinon fausse du moins pas vraiment vraie, la conclusion n’est pas valide. (b) Vous dites les femmes qui ne travaillent pas le font par choix. C’est une assertion assez rapide. Qu’entendez-vous par choix ? Lorsqu’on vit dans un milieu resté très traditionnel où on estime que le rôle de la femme est de rester à la maison pour s’occuper des enfants et des tâches domestiques quand le rôle du mari est d’aller travailler, peut-on parler réellement de choix ? On retrouve là , le biais culturel dont vous parliez pourtant un peu plus haut. Concernant les SDF et les prisonniers (les mettre ensemble me paraît curieux peut-être un lapsus ?), et notamment sur le point 1. cela mérite de s’y intéresser. Concernant les prisonniers, je pense (mais c’est juste mon avis) que là aussi un facteur culturel joue un rôle : nous vivons encore dans une société genrée où on associe traditionnellement, l’agressivité, la violence aux hommes. Cela peut donc jouer à la fois dans le nombre de délinquants mais également dans la perception qu’on a des actes délictueux et criminels voire même dans les jugements. Cela montre bien qu’opposer hommes et femmes n’a aucun sens car les préjugés et stéréotypes de genre nuisent aussi bien aux hommes qu’aux femmes. Peut-être les féministes ne le disent pas assez, j’en conviens. Maintenant si on regarde le taux de pauvreté, il est plus important chez les femmes que chez les hommes.
Torchon.
Constructif.
Quand les féministes américaines ont démarré leur mouvement revendicateur, j’ai immédiatement récusé celui-ci. Il était sectaire et n’avait plus rien à voir avec les exigences légitimes et élémentaires de leurs aînées. En outre, la toute jeune fille que j’étais songea que demander l’égalité est asinien puisque nous sommes tellement supérieures aux hommes dans tant de domaines. Pourquoi déchoir? Le respect de l’égalité exige aussi de reconnaître leur supériorité dans certains autres, notamment ceux dont nous ne voulons pas. 😉
Merci,
Le non qui ne veut pas dire non ni oui est compris que par celle qui le dit ou montre, une faille ds son amour propre, un manque de confiance enfin un mal être. Autant s’abstenir, c’est vous qui le dites moi j’en sais rien.
Sur le reste je suis d’accord et merci pour les précisions!!
Je viens de penser, le non qui ne veut pas dire non, peut vouloir signifier faisons durer le plaisir enfin ça devient tordu là …
Vous prenez l’exemple des femmes violées ou agressées, le non, à ma avis, veut dire non, il vaut mieux passer son chemin. Du coup je comprends pas très bien ce que vous voulez dire.
D’une part, les êtres humains en général sont « tordus », au sens où le non-verbal peut être aussi et plus important que le verbal. D’autre part, le cas des femmes victimes de violences sexuelles n’est pas un exemple, c’est un contre-exemple. Ceci dit, il est illusoire de croire que les violeurs sont des gens qui ne comprennent pas que leur victime ne veut pas. Les violeurs sont des pervers qui savent très bien ce qu’ils font et qui utilisent le sexe comme outil de domination. On ne réduira pas plus les viols en « apprenant aux hommes à ne pas violer » qu’on réduira les meurtres en « apprenant aux gens à ne pas tuer ». La perspective de provoquer non pas du plaisir mais de la souffrance chez une femme n’excite pas un homme normal, elle le dégoûte. Les violeurs ne sont pas des hommes normaux, et c’est pour ça que la plupart des campagnes contre le viol sont de l’argent jeté par la fenêtre.
Une mesure efficace contre le viol, c’est un flingue pour chaque femme (pour les hommes aussi, bien entendu, pas de sexisme dans mon propos, mais les plus faibles physiquement en tirent un plus grand bénéfice). Partout où le port caché des armes à feu a été facilité, les crimes sexuels ont été fortement réduits (lire notamment Lott à ce sujet).
D’accord. Encore que le port d’arme ne règlera pas le problème si la femme ne sait pas s’en servir. Se faire violer ça ne doit pas être très drôle mais ce faire violer après que l’agresseur nous a pris notre arme et coller sur la tempe, ça doit être encore pire.
[si la femme ne sait pas s’en servir…] et vous voulez gérer des entreprises, bordel?
La réponse à – si on ne sait pas s’en servir- me paraît tellement évidente que je suis atterré que vous la posiez, Léa!
Vous voulez que l’état finance des cours aux femmes pour apprendre à s’en servir peut-être?
Il est écrit port d’arme, pas qu’elle sache s’en servir, faut aller jusqu’au bout de l’idée. Ça peut être désastreux une loi comme celle-ci!
La réponse à votre première question est: oui j’aimerais bien, mais commencer petit.
La réponse à la deuxième question est: et pourquoi pas, si l’état décidait de légaliser le port d’arme, grâce à votre bonne idée, il faut bien qu’il responsabilise tout ce beau petit monde, quoi de mieux que des cours pour cela, l’inclure dans les programmes scolaires??
Je suis d’accord pour que les gens apprennent à se servir des armes, que les gens doivent avoir un permis. Je suis contre le fait que l’état paye, puisque je suis libertarien, et que je veux moins d’état. Je veux que les gens utilisent leur responsabilité individuelle. (et leur argent!)
Je ne sais plus qui a dit « L’état, c’est tout le monde qui essaye de vivre au crochet de tout le monde » et ça, je suis contre.
Je suis d’accord avec vous, sauf que si vous mettez des armes dans les mains des gens, aujourd’hui je ne suis pas sûre que la majorité irait apprendre à s’en servir!
Je suis contre payer pour les autres. Vous achetez une voiture, vous devez le permis pour vous en servir. Vous devez vous le payer. Une arme, passez un permis, ou alors que le vendeur inclue une vidéo explicative des gestes dangereux à éviter, des gestes de sécurité.
Il y a aussi les clubs de tir. Dans tous les cas, faire payer d’autres, c’est non!
Avec retard, mais quand même…
C’est Frédéric Bastiat qui a écrit dans son essai « l’Etat » (http://bastiat.org/fr/l_Etat.html)
« L’État, c’est la grande fiction à travers laquelle tout le monde s’efforce de vivre aux dépens de tout le monde »