Transition énergétique : la facture monte encore

L’addition ne cesse de monter pour une transition énergétique dont on ne voit toujours pas l’utilité.

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Cables électriques et éoliennes (Crédits baerchen57, licence Creative Commons)

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Transition énergétique : la facture monte encore

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Publié le 6 juillet 2014
- A +

Par Thierry Levent.

Cables électriques et éoliennes (Crédits baerchen57, licence Creative Commons)L’anesthésie nationale footballistique en provenance du Brésil étant terminée, il va bien falloir retomber dans la morosité exaspérée qui caractérise notre pays.

Ainsi, la non multiplication espérée des petits pains écolo-verdâtres devant les réalités physico-politico-financières mises sous le tapis en collaboration avec les médias, risque de poser de sérieux problèmes à tous les étages et très rapidement. Le texte sur la transition énergétique présenté le 18 juin 2014 avant son parcours législatif confirme que la transitude envisagée risque de se transformer en usine à gaz, généreusement abondée sur fonds publics pour un résultat énergétique très aléatoire mais certain sur les déficits publics toujours plus stratosphériques.

Miracle ou illusion ?

Il est maintenant de notoriété publique que le modèle énergétique allemand tant vanté présente d’énormes ratés. Une stratégie idéologique éludant les questions qui fâchent ne peut que capoter. Si en plus le miracle espéré des fameux emplois verts s’effondre également, c’est un contre-modèle à ne pas suivre. L’Espagne est dans la même situation. Ceci n’empêche pas Ségolène Royal de nous vendre la création fantasmée de 10 000 emplois dans l’éolien offshore qualifié de « filière d’avenir ».

Entre deux petits fours et quelques bulles de champagne, certains salons mondains parisiens où le monde se refait, continuent à nous la jouer « cool et décontractée » sur un concept légèrement flou mais porteur médiatiquement, « l’économie positive et la transition énergétique » qui va sauver la planète1. Bizarre autant qu’étrange, aucun orateur espagnol, allemand ou britannique pour nous exposer les résultats de leur transition avancée…

Le mur de la réalité s’impose en Allemagne, le Bundestag ayant adopté le 27 juin 2014 la réforme du dispositif de subvention des énergies renouvelables. Cela s’appelle du pragmatisme, mot toujours pas à l’ordre du jour en France.

Des choix délirants mais écologiquement corrects

Que se soit l’éolien offshore, notre avenir énergétique ou la mise au placard du rapport de la Cour des Comptes sur les « renouvelables », tout est fait pour lancer notre pays et son économie dans le précipice au nom d’une fumeuse exemplarité écologique. Il y a urgence car cette dernière risque de nous coûter des dizaines de milliards d’euros par an. On se demande comment nous allons payer. La zen attitude suicidaire ayant accueilli le montant de notre dette, 2 000 milliards d’euros tout de même, a déjà été bien analysée sur ce site.

Bien entendu l’addition électorale ne sera pas oubliée d’autant plus que l’addition financière de cette transition énergétique plus idéologique que pragmatique risque d’accélérer l’effondrement de notre compétitivité face à la muraille de la dette et des recettes légèrement floues censées la réduire. Sans parler des notes que le contribuable renâcle de plus en plus à régler.

La géostratégie énergétique pourrait expliquer finalement pas mal de choses. Si ces informations étaient confirmées pour le gaz de schiste, la réponse à la question « à qui profitent nos peurs ? » serait éclairante.

En attendant, le Service central de prévention de la corruption (SCPC) met en garde les pouvoirs publics contre la multiplication des « prises illégales d’intérêts » d’élus locaux impliqués dans le développement de la filière éolienne, dans un rapport cité par Le Figaro du vendredi 4 juillet. Le SCPC, qui dépend du ministère de la Justice, évoque un « phénomène d’ampleur » dans son rapport d’activité 2013. Toujours aucune réaction des Verts pourtant à la pointe de la morale à géométrie très variable il est vrai.

Le climat se réchauffe… selon des modélisations chancelantes

Les conclusions du GIEC sont gravées dans le marbre et la pause du réchauffement global depuis 18 ans est un faux espoir selon Mickael Mann2. Ouf, sinon c’est à désespérer des modélisations sophistiquées du GIEC qui commencent néanmoins à se fissurer sévèrement sans parler de ses méthodes. Récemment, Robert Stavins, directeur du programme d’économie environnementale à Harvard et co-coordinating Lead Author du chapitre 13, working group III du AR5 du GIEC, a envoyé une lettre aux co-présidents de son groupe de travail exprimant son désappointement quant aux méthodes ayant abouti à la rédaction du « Résumé pour les décideurs ». Notamment sur le processus d’approbation du texte par les représentants des gouvernements. Science ou marchandages ?

Contrairement à la doxa médiatique française habituelle, les prévisions du GIEC ne se sont pas aggravées entre le rapport 4 de 2007 et le 5 de 2013. Mieux que cela, la fourchette basse d’augmentation de température a baissé d’un demi-degré en raison de la pause constatée et non expliquée par les modélisations. Le GIEC n’exclue pas que l’augmentation de température à la fin du siècle ne dépasse pas 1,5°C, mais les médias ne parlent évidemment que de la fourchette haute. Le célébrissime consensus à 97% des scientifiques sur l’origine anthropique du changement climatique n’est peut-être qu’une douce illusion. Remarquons au passage le glissement sémantique du réchauffement au changement, voire au dérèglement climatique (c’est donc qu’il existait un réglage qui nous aurait échappé).

Devant les limites de la science climatique, certains n’hésitent plus à se tourner vers la religion teintée de mysticisme pour tenter de conjurer la « catastrophe climatique » en militant pour le « jeûne  carbone ».

  1. Les petits déjeuners de l’économie positive, 11 juin 2014, auditorium Le Monde.
  2. Pour la Science, n° 440-juin 2014
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  • Tout cet enfumage idéologique est destiné à invalider notre compétitivité . Le tout est servi par les idiots utiles habituels suiveurs dociles de toute idéologie débile soi disant novatrice.
    Ils sont encadrés par les non moins habituels matons encartés aux méthodes mafieuses drapés dans leurs certitudes moralisatrices.
    Tout ceci est classique et consternant. Je me désole de voir tant de nos jeunes bernés par ces faux prophètes . Il y aurait bien d’autres combats à mener. Mais ces manipulateurs sont assez malins pour les en détourner.

    • En drainant toutes les ressources dédiées à l’écologie vers des projets bancales à buts uniquement cosmétiques, on peut même dire que d’une certaine façon les verts sont devenus la pire plaie que Gaïa ait connu depuis un moment.

      • @ Pale Rider
        Très très jolie façon de résumer le problème de l’escrologie, nouvelle religion à la mode!

        @ Ironbooboo
        Une des pires plaies pour nos portefeuilles, et sur le mode « ce qu’on ne voit pas » une catastrophe pour tout ce qui n’aura pas été découvert et développé d’utile avec ces milliards de milliards cramés en pure perte.

        Si l’Histoire juge un jour les responsables de cette calamité, la peine devrait être assez terrible…

        Mais heureusement, étant du « bon » bord, ils s’en sortent toujours assez bien et restent dans la place :'(

  • Le principe de précaution est formulé, dans un sens autre que scientifique, pour la première fois en 1992 .
    .
    PRINCIPE de PRECAUTION :

    dans le Principe 15 de la Déclaration de Rio : « En cas de risque de dommages graves ou irréversibles, l’absence de certitude scientifique absolue ne doit pas servir de prétexte pour remettre à plus tard l’adoption de mesures effectives visant à prévenir la dégradation de l’environnement. »

    En France, la loi Barnier de 1995 précise que « l’absence de certitudes, compte tenu des connaissances scientifiques et techniques du moment, ne doit pas retarder l’adoption de mesures effectives et proportionnées visant à prévenir un risque de dommages graves et irréversibles à l’environnement à un coût économiquement acceptable ».

    Il est temps de constater que le coût n’est pas économiquement acceptable.

  • La perte de tous repères démocratiques abouti à de telles prises de position, les élus ne sont plus que des exécutants de divers lobbys, les citoyens n’ont plus aucune influence, y compris par le vote, sur les décisions.

    La transition énergétique est pourtant un sujet enthousiasmant, hélas totalement dévoyé, qui aura accouché de projets scabreux ainsi que des dépenses publiques exorbitantes, le tout s’appuyant sur un RCA qui ne saurait être l’objectif fédérateur, loin sans faut.

    Qui ne rêve pas d’un monde meilleur ? apparemment tout le monde, sauf les écologistes…

    • La transitude énergétique, un sujet enthousiasmant ?????

      😆
      J’aurais plutôt qualifié ce « grand bon en avant » de terrifiant, d’Orwelien, de fasciste et sectaire…

      • Vous avez une vision qui s’arrête à la critique, justifiée, de la situation actuelle, vous confondez l’objectif et la manière de les atteindre.

      • Je pense que Salamanque n’est pas contre une transition de fait, au bon moment, avec les bons moyens et des couts avantageux. Bref, qui s’opère parce que ça doit se faire. Il rejette simplement la transition version dirigisme/gaspi/détérioration de la situation. Vous êtes sûrement d’accord tous les deux 🙂

        « Qui ne rêve pas d’un monde meilleur ? apparemment tout le monde, sauf les écologistes… »
        C’est vrai, sasn blague, je vais finir par croire à l’homme à la cigarette! 😀
        Soit les écolos sont vraiment débiles et aveugles, soit ils ont un plan machiavélique. Et vu que je ne pense pas qu’il soit humainement possible d’être stupide au point de voir un intérêt dans le retour du charbon pour… diminuer les émissions de CO2 (allo quoi!) il y forcément un plan foireux derrière tout ça.

        Ah mince, j’oubliais la troisième hypothèse : s’en mettre plein les fouilles sans effort ni travail, ni innovation, juste en taxant à mort le consommateur/contribuable en toute légalité! On peut se rassurer comme ça : il y en a quelques uns qui seront devenus multi millionnaires grâce à des politiques publiques. Que c’est beau la connivence :'(

    • La transition vers quoi et dans quel but. On justifie des mesures anti-nucléaires en donnant le réchauffement en prétexte. Le but reste volontairement flou, donc mal défini – ce qui ruine toute chance d’arriver à quelque-chose (puisque l’on n’a pas vraiment de but).

      En fait, les écologistes sont persuadés que l’on a besoin d’une transition : parce que la production d’énergie c’est dangereux, c’est sale, c’est immmoral. Avec les mêmes principes, ils devraient éviter le sexe et ainsi cesser de se reproduire car c’est également dangereux, sale et immoral.

      En fait, la seule transition que je vois dans tout ça est l’évolution forcenée vers plus de bêtise. Comme si on avait cédé le pouvoir à un groupe de junkies. Et les quelques rares politiques conscients du problème sont englués dans les conséquences électorales que représentent l’aveu du désastre.

      Quelque part, on est tous responsables car on est tous ou on a été tous sensibles aux problèmes de l’environnement. On n’a pas vu venir le coup. On était plutot favorable à la protection de la nature, mais on ne prenait pas les écolos au sérieux et on n’imaginais donc pas les conséquences de leur lobbying.

      Vivement que le FMI mette la France sous tutelle pour remettre un peu d’ordre dans tout ça !

      • Qu’il y a t’il de mal dans l’idée de transition énergétique ? comme le dit jipebe29, des pistes telles que la surgénération et bien d’autres ont été mises de coté.

        Par transition je place également beaucoup d’attention à la fission, quant aux EnR, je ne suis pas opposé à ces technologies, je pourrais vous parler de centrales solaires alliant diverses technologies et qui ont un rendement extraordinaire.

        Il en va de même pour l’énergie marémotrice ou les éoliennes.

        Encore une fois ne tirez pas un constat de ce qui se fait actuellement et qui est un vrai désastre économique et technologique, avec des possibles hélas gâchés car mis en œuvre sur la base de mauvais motifs en dépensant qui plus est de l’argent public à des seules fins politiques et électorales.

        Relisez bien mon premier commentaire avant de réagir, il est, me semble t’il, assez explicite, non ?

        •  » je pourrais vous parler de centrales solaires alliant diverses technologies et qui ont un rendement extraordinaire.  »

          Vous pourriez, mais vous ne le faites pas !

        • Je ne critique pas vos propos : je rebondis.

          Ce n’est pas « l’idée » de transition énergétique qui me pose problème, mais le fait qu’on lui donne un nom spécifique, un calendrier politique et une justification.

          L’évolution est naturelle dans tous les domaines et donc aussi la production d’énergie. Guider l’évolution (au lieu de la laisser librement répondre à des besoins et à la rationalité) est un non-sens. Je partage votre enthousiasme sur le plan technique, mais en revanche je m’élève contre la récupération médiatique et politique.

        • jipebe29 : ce que je dis en substance.
          pragma : nous ne nous sommes pas compris, mais nous pensons et disons la même chose.

          Améliorer notre quotidien, surtout parlant d’énergie, ce qui revient à dire parler de l’avenir de l’humanité, devrait tout d’abord commencer par une notion de coût. Le moindre prix de l’énergie devrait même être la priorité de toutes recherches, nous savons qu’il n’en est rien.
          L’état fausse le jeu en subventionnant des secteurs d’activités sans même, comme le dit jipebe29, qu’aucunes études de faisabilité et de coût n’aient été entreprises, l’avis des citoyens est totalement ignoré, y compris lorsqu’ils votent.

          • Salamanque : « qu’aucunes études de faisabilité et de coût n’aient été entreprises, l’avis des citoyens est totalement ignoré, y compris lorsqu’ils votent. »
            —————————–
            Par définition, une technologie innovante ne peut pas suivre le schéma bureaucratique voire populiste (« l’avis des citoyens », WTF ? Et comment qu’on fait pour imposer le fracking, le procédé SILEX, le thorium ou la Z-machine, on demande un référendum ???).
            Laissez les « études de marché » aux vendeurs de yaourt, ça ne marche pas pour une rupture technologique qui ne s’impose que par essai-erreur donc par les mécanismes d’innovation et de PRISE DE RISQUE propre à un marché concurrentiel, et non par un dicktat politique du genre « transition énergétique » et autre foutaisitude.

            • Qui vous dit le contraire ?

              Si vous croyez qu’un marché même concurrentiel (qui n’offre aucune garantie de rien du tout du reste) ne se projette pas un tant soit peu dans l’avenir et la faisabilité d’un projet, c’est une autre chose, je clos le débat avant même qu’il ne commence, nous sommes alors opposé sur ce sujet, chacun dans son près et nous regarderons passer nos trains respectifs, avec quelques rejet gazeux pour agrémenter le tout.

              je constate que vous employez le terme « innovation », c’est toute la problématique de notre époque, nous transformons, améliorons, innovons, mais ne laissons quasiment plus aucune place à la création.

              Concernant l’avis des citoyens : il n’est pas demandé, POUR DÉPENSER DE l’ARGENT INUTILEMENT DANS DES TECHNOLOGIES ET PROJETS FOIREUX <— comme ça c'est clair ?

              Par ailleurs, je trouve votre vision de "rupture technologique" un peu surfaite et surtout passive, nous parlons ici d'énergies et non pas des machines qui tournent derrière.
              Dites moi, trouvez vous ou avez vous trouvé les recherches et prospectives sur le nucléaire comme une affaire relevant de vendeurs de yaourt ? A propos du nucléaire (pour lequel je milite), cela a t'il été une "rupture technologique" nécessaire alors que les réserves d'énergies fossiles surabondent ?

              SVP, pas vous ! ne lancez pas de débat en supposant que je ne puisse pas avoir une vision d'ensemble à minima aussi cohérente que la votre…

              • Je crois que tout le monde est à peu près d’accord avec vous Salamanque, mais certains sont un peu nerveux du clavier et/ou allergiques à certains termes 😀

                Alors prohibez certains mots, et vous verrez, vous n’aurez que des +1000 😉

                … Sauf si un escrologiste venait à se perdre sur cette page 😀

              • Salamanque : « Par ailleurs, je trouve votre vision de « rupture technologique » un peu surfaite et surtout passive, nous parlons ici d’énergies et non pas des machines qui tournent derrière. »
                ———————-
                Dans le domaine de l’énergie, la rupture technologique peut se trouver dans une foule de procédés de fusion, la Z-machine, focus fusion, wave fusion, etc… ce n’est pas du tout un terme galvaudé justement.

                Salamanque : « Dites moi, trouvez vous ou avez vous trouvé les recherches et prospectives sur le nucléaire comme une affaire relevant de vendeurs de yaourt ?  »
                ———————————-
                Le nucléaire, tel que c’est planifié à la soviétique par lobby nucléaire français est typiquement géré comme la vente de yaourt mais par des bureaucrates des différents ministères, càd sans innovation, avec une aversion maximale du risque et une absence totale de responsabilité personnelle (les patrons du nucléaire sont nommés par l’Etat !). C’est quand même symptomatique que nos armées « d’ingénieurs CEA » ne soient même pas fichus de maîtriser le procédé SILEX (alors qu’on en parlait déjà quand je faisais mes études d’ingénieur il y a 3 décennies) qui a été verrouillé par des brevets australiens et américains ou de consacrer quelques millièmes de leur recherche au réacteur thorium liquide.

                Salamanque : « A propos du nucléaire (pour lequel je milite), cela a t’il été une « rupture technologique » nécessaire alors que les réserves d’énergies fossiles surabondent ? »
                ————————-
                Oui, sans aucun doute, dans le contexte de pénurie du premier choc pétrolier. Il faut mettre les choses en perspective par rapport à l’histoire : 1) les réserves d’énergie fossile ne sont devenus surabondants que grâce aux progrès faits depuis (la sismique 3D, l’électronique dans l’instrumentation et mesure, les technos de récupération assistées, le forage horizontal, les robots sous-marins, les plate-formes offshores hi-tech…) 2) le nucléaire était extrêmement bon marché et compétitif à l’origine (il n’y a qu’à voir la montagne de cash que les centrales des années 70 & 80 ont rapporté), avant que la sur-réglementation due à l’hystérie anti-nucléaire et l’obscurantisme ne vienne grever son coût.

        • car mis en œuvre sur la base de mauvais motifs en dépensant qui plus est de l’argent public à des seules fins politiques et électorales.

          Oui !

        • la question n’est pas la transition énergétique, car elle s’est faite se fait et se fera, la question est que des zozos veulent nous imposer leur système de ( non) production énergétique.
          Il a toujours eu transition energetique,

          C’est la très habituelle façon de pourrir les débat en faussant le sens des mots…
          tiens les denier en date c’est l’enseignement de l’égalité garçon fille, on ne sait pas ce que ça signifie mais ça a le don d’irriter les conservateurs et donc par réaction d’attirer les brebis égarrées chez melenchon et les verts….

  • Ce qui est surprenant, c’est que personne ne parle de la surgénération, alors que nous avons déjà une expérience en surgénération 238U (Phénix) et un projet de surgénération thorium 232 en cours (Astrid). Car, on peut fantasmer sur les EnR, raconter tout et n’importe quoi, ne jamais parler de leurs défauts, mais la réalité est qu’elles ne servent quasiment à rien… si ce n’est à augmenter sans cesse le prix du kWh et à dénaturer nos paysages… et à confirmer l’incompétence de nos politiques, toutes tendances confondues….

    Voir: http://dropcanvas.com/#SAn7p952RfNrCE

    • Ce qui m’énerve le plus, c’est l’idée de la réduction de la consommation énergétique.

      Avoir de meilleurs rendements et des prix plus faible, c’est le progrès, l’innovation et ça ce fait tout naturellement dans une économie libre : le consommateur a intérêt à choisir des solutions moins énergivores, les producteurs à produire l’énergie à moindre coût. (Quand ils sont en concurrence – ce qui n’est même plus le cas avec des tarifs garantis aux producteurs d’EnR)

      Mais les besoins futurs eux sont infinis avec la croissance de la population et l’augmentation du niveau de vie. L’idée de restrictions imposées et de décroissance sont stupides et suicidaires. Et pourtant elle fait clairement partie de l’agenda politique. Seule la crise économique actuelle peut donner l’impression qu’une réduction des besoins énergétiques est envisageable.

      La crise est elle la cause ou la conséquence de la pression sur les coûts dans ce cas précis ? Avec une énergie chère, on diminue la rentabilité de certaines entreprises (elles font faillite ou s’expatrient). On réduit la mobilité donc le commerce et l’emploi. On bloque les investissements : renouvellement automobile, investissements dans les procédés dépendant du coût de l’énergie …

      • Réduire la consommation; c’est énervant? En tout cas réduire la consommation d’énergie de stock n’a rien d’énervant. La physique ne permet pas la croissance perpétuelle basée sur une énergie abondante et peu chère, que ça vous plaise ou non. Ce que vous suggérez la est une chimère, c’est du bisounours. Vous supposez que le système actuel est rationnel et s’optimise naturellement alors qu’il est basé sur l’aberration physique d’une énergie illimitée. La quantité d’énergie disponible est proportionnelle au PIB; or lorsque l’énergie sera contrainte en volume, le PIB sera aussi contraint. Ainsi, ce que vous dites est complètement faux avec vos besoins énergétique infinis à satisfaire. Il y a des choix stratégique à faire, il suffit pas de laisser couler l’eau sous les ponts.

        • réduire la consommation posé en principe est énervant…
          améliorer l’efficacité rechercher de nouvelles sources comme on l’a toujours fait….
          En ce qui me concerne je veux bien écouter tous les savants prédicateurs mais je constate que les prédictions se sont toujours révélées fausses au moins sur le timing…alors agir en fonction de predictions declarées valides…
          Je suis certain de mourir et pourtant…

          • Quelles prévisions fausses? C’est flou comme réponse. D’ailleurs à demande d’énergie constante; efficacité améliorée = réduction de consommation; pourquoi vouloir consommer toujours plus? Vous ne voyez pas que c’est l’intensité énergétique qui est fondamentale.

            • Prévisions fausses?

              En 2 secondes, peak oil – jour de la terre – club de Rome – NostralGore…

              Avec un paquet de décennies de recul, on peut en déterrer des tonnes, des prévisions fausses

              • Oui justement peak oil; ou est le problème? Les prévisions actuelles sérieuses n’ont rien de farfelues.

                • Bah tous les 5 ou 10 ans depuis plus de 40 ans on nous promet que dans 5 ou 10 ans, il n’y aura plus assez de pétrole pour soutenir la consommation à l’échelle de la planète. C’est sûr que si ça arrive un jour, ils pourront dire qu’ils avaient raison. Facile et pratique.

                • C’est comme tomber sur des citations d’Al Gore datant de quelques années quand il parle de la banquise arctique, entre autres. Heureusement que les journaleux ne font pas leur travail, parce que sinon le renouvellement de la classe jacassante, on l’aurait!!!

                  • Parlons en de la banquise. Les prévisions il y a 10 ans voyaient une disparition estivale totale à l’horizon 2100. Maintenant, la prévision est plus élastique mais on parle plutot de quelques décennies; voir une demi dizaine d’année ( <1Mkm²); étant donné l'effondrement constaté coup à coup en 2007 et 2012. Pour le peak oil; les prévisions malgré leur incertitudes se révèlent correctes; la production européenne, à titre d'exemple, ne cesse de décroitre depuis 10 ans.. et la production mondiale commence à d'infléchir.

                    • On peut trouver des saillies d’Al gore qui prévoyait la fonte totale pour 2010, or on fait appel à des brise glaces nucléaires pour libérer les navires bloqués par la glace disparue… Les faits sont têtus, quoi que vous puissiez raconter.
                      pétrole: depuis les années 70, on nous promet 10 ans grand max. Faux, faux, faux (j’en ai trouvé ce matin-même à la pompe 🙂 )
                      comme je l’ai déjà dit, si on attend encore et encore, vous finirez par avoir raison. Et encore…

                    • Mais vous répondez en marge à chaque fois. C’est pas rationnel. Je vous parle de production européenne de pétrole et vous me parlez de votre station service; ou est le rapport? Voyez le rapport du Giec pour la prévision de l’étendue de la banquise estivale, à aucun moment il est mentionné qu’elle aurait disparut il y a quatre ans. Enfin, amalgame populiste, votre exemple invalide votre raisonnement; des bateaux pris par les glaces… mais même avec une disparition totale de la banquise estivale ça pourrait arriver (courant, tempête, embâcle en saison froide).

                  • D’ailleurs , il y a 35 ans, nous n’avions « que » 35 ans de pétrole, et la, 35 ans après, avec toujours et encore du pétrole pour 35 ans ? Affirmation évidemment trompeuse.

        • Avoir de meilleurs rendements et des prix plus faible, c’est le progrès, l’innovation et ça ce fait tout naturellement dans une économie libre : le consommateur a intérêt à choisir des solutions moins énergivores, les producteurs à produire l’énergie à moindre coût. (Quand ils sont en concurrence – ce qui n’est même plus le cas avec des tarifs garantis aux producteurs d’EnR)

          Il ne dit pas le contraire de ce que vous dites, sur ce qui est en gras.

          Pour le reste, la limitation se fera par les prix. Rare = cher, abondant = pas trop cher, cher donc incitation à économiser, pas cher à gaspiller.

          • Ne soyez pas manichéen. C’est fantasmagorique ce que vous dites. Le consommateur n’a pas forcément intérêt à choisir des solutions moins énergivores dans la réalité; c’es comme dire le consommateur à interêt à consommer des aliments de qualité. Certes! Mais la réalité c’est pas ça. J’ajouterais qu’il y a eu des réformes très profondes quand aux tarifs d’achat, on est plus du tout à la situation d’il y a quelques années alors cet argumentaire est de moins en moins valable.
            Je réitère, l’économie libre viole les lois de la physique. Les modèles économiques ont beau être assez sophistiqué pour être compris uniquement par ceux qui les écrivent, l’énergie n’est pas un facteur limitant. En France; la croissance c’est zéro à partir de maintenant, qu’on le veuille ou non. Le reste suivra.

            • Pikouli : « En France; la croissance c’est zéro à partir de maintenant, qu’on le veuille ou non. »
              ———————–
              « A partir de maintenant » ???
              Punaise, on a un Madame Soleil qui sait nous dire l’avenir. Tu peux prédire quoi d’autre, les chiffres du prochain Loto et du Quarté ? Parce que là, ça m’intéresse.

            • Je ne suis pas manichéen !

              La consommation des voitures a fortement diminué ces dernières années et cela continue.
              Avec le prix des carburants, vous n’allez pas utiliser un engin qui consomme 20 L au 100 ?
              Sauf à être milliardaire, mais ce n’est pas notre cas ?

              Avec un prix du KWh à 0.50 EUR, que croyez vous donc qu’il se passera ❓ Et à 1.00 EUR ❓
              Il faut avoir des consommateurs ayant les moyens, et ceux-ci ne sont infinis.

              L’électroménager consomme déjà beaucoup moins : j’utilise une plaque à induction. Cela à un fort impact sur notre consommation d’énergie. A votre avis, à 2 EUR, vous ne tenter pas l’induction en virant votre vieille plaque ?

              Si vous ne voulez pas de croissance de la production/consommation électrique, il faudra que la population se mette au garde-à-vous au ordre d’un tyran dictateur, surtout si on réduit plus la production que l’économie.

            • l’énergie n’est pas un facteur limitant. En France; la croissance c’est zéro à partir de maintenant, qu’on le veuille ou non. Le reste suivra.

              C’est contradictoire, non ?

              • Vous avez compris l’inverse. Ce n’est pas contradictoire si vous faites une meilleure citation (Selon ces mêmes modèles, l’énergie n’est pas un facteur limitant)

        • Pikouli : « La physique ne permet pas la croissance perpétuelle basée sur une énergie abondante et peu chère, que ça vous plaise ou non. »
          —————————–
          Rien n’interdit d’avoir une croissance perpétuelle, on peut même avoir une croissance perpétuelle avec une limite asymptotique, c’est les maths, niveau lycée. On établira des centaines de colonies sur Mars en 2050 et on expédiera des milliers de vaisseaux spatiaux peuplés dans l’univers (bah oui, moi aussi, je peux inventer des certitudes), alors ta « physique » alakon, tu peux la mettre à la poubelle.

          Pikouli : « or lorsque l’énergie sera contrainte en volume, le PIB sera aussi contraint.  »
          ————————
          Et tu sors ça d’où ? Ah oui, de ton chapeau. C’est légèrement con pour toi qu’en France, on consomme la même quantité de pétrole qu’en 1980 et alors le PIB presque doublé depuis.
          Mais c’est vrai que dans ton univers parallèle, nul besoin de démonstrations et de faits, il suffit de répéter assez une chose fausse pour que ça devient vrai.

          • Affligeant ces remarques; comme d’habitude. Je passe sur les remarques d’esprit. Vous jouez sur les mots avec la notion de croissance en fanfaronnant avec votre limite asymptotique (vous avez cherchez un prétexte pour placez ce type de prouesse de collégien); si vous croyez faire impression avec ça bravo. Enfin, pour le PIB qui équivaut au niveau d’énergie en volume; je réitère, le PIB est très exactement proportionnel à la quantité d’énergie en volume au niveau mondial. Vous ne pourrez pas le démentir. Vous réagissez comme le type qui est contre la pluie, ça n’a ps de sens. Et juste, le pétrole en France est juste loin d’être majoritaire dans notre mix énergétique donc c’est carrément con votre remarque pleine d’esprit.

            • Pikouli : « je réitère, le PIB est très exactement proportionnel à la quantité d’énergie en volume au niveau mondial. »
              ————————–
              Et c’est parfaitement débile comme affirmation. Il suffit de comparer l’évolution de la conso d’énergie en TWh ou Gb-équivalent et du PIB sur 20, 30, 100 ans, à l’échelle d’un pays ou mondiale pour constater que tu racontes n’importe quoi.
              Ta croyance ne tient même pas la logique élémentaire. Si le PIB est « exactement proportionnel » à l’énergie, ça voudrait dire que les rendements toujours meilleurs de nos machines (il n’y a qu’à comparer la conso d’une voiture des années 80 à celle d’une voiture récente), la meilleure productivité grâce à l’informatique, l’ergonomie, la logistique, les techno moderne de communication, une plus grande alphabétisation, une meilleure infrastructure, une diffusion plus rapide de l’information et des méthodes… ne serviraient à rien dans la manière de produire la richesse. Qui peut croire ça ???

              Tu sembles pas au courant mais « réitérer » une ânerie ne la rendra pas vraie.

              • C’est marrant l’esquisse d’esquive proposée après la mascarade précédente (le pétrole français et j’en passe ..). C’est quand même simple, dis moi quelle quantité d’énergie tu consommes je te dirais quel est ton PIB. Pourquoi ça cale à ce niveau? C’est un fait on ne peut plus non opiniâtre.
                Je vous lis « qui peut croire ça », surement pas vous; et pourtant vous avez eu l’occasion de cesser d’aggraver votre cas. Renseignez vous un peu et revenez plus tard.

              • Et en plus votre argumentation n’explique en rien la négation de ce fait réel. Vous brassez des notions. La c’est vraiment sorti du chapeau.

        • @Pikouli

          « Réduire la consommation; c’est énervant? »

          Ce qui est énervant, c’est que l’idée est foireuse !

          « La physique ne permet pas la croissance perpétuelle basée sur une énergie abondante et peu chère »

          E=mc² ! L’énergie EST abondante. Seule manque la technologie pour faire baisser les coûts. Cependant, vous avez raisons sur le fait que des croissances exponentielles de tous les facteurs (consommation, ressources, démographie, etc …) ne sont pas envisageables. Mais cela ne veut pas dire que l’on doit se limiter volontairement mais que des évênements limiteront la croissance de certains paramètres. Et l’énergie n’est pas vraiment le problème – ce sont les technologies qui deviennent obsolètes comme la traction animale a été remplacée par le charbon, seule l’énergie atomique pourra remplacer l’énergie fossile (mais pas de notre vivant) – et bien malin qui pourrait prédire avec quelle technologie et quel calendrier.

          « La quantité d’énergie disponible est proportionnelle au PIB »

          Ca n’a pas grand sens : « énergie disponible » ne veut rien dire ni sur le plan physique, ni sur le plan économique (dès lors qu’on tient compte du facteur temps). D’autre part, si le PIB et la consommation d’énergie sont liés à technologie constante, les facteurs de performances et les facteurs de besoins agissent en sens inverse. Il ne peut en aucun cas avoir de loi proportionelle.

          « Ainsi, ce que vous dites est complètement faux avec vos besoins énergétique infinis à satisfaire. »

          Je ne me positionne pas en tant que « grand plannificateur » de l’économie dirigiste. Je ne juge pas les générations actuelles et futures qui veulent ou voudront créer des iles artificielles, des villes building, voyager dans l’espace ou avoir une armée de robots individuels à leur service (avec une population croissante). Je constate que c’est l’évolution naturelle de l’humanité.

          « Il y a des choix stratégique à faire, il suffit pas de laisser couler l’eau sous les ponts. »

          NON ! Vous ne pouvez pas décider pour 7 milliards d’habitants actuels et pour les générations futures. La tendance naturelle est facile a deviner. Les tensions qui vont en résulter sont évidentes mais leur résolution beaucoup moins. Etablir une « statégie » d’évolution de l’humanité, de ses aspirations, de ses besoins, de son organisation et de sa technologie est d’une arrogance folle. (c’est du communisme à la puissance communisme : prétendre planifier le présent ET le futur). On est condamné à vivre au jour le jour en s’attachant à résoudre les problèmes immédiats ET locaux. Tout en sachant que l’on n’a aucune maîtrise sur l’évolution au dela de quelques années

          • Très révélateur comme commentaire; mais intéressant.
            Ne jouons pas sur les mots svp ça n’avance pas à grand chose, certes si on sait faire de la fusion au lieu de casser des atomes, l’énergie serait quasi illimitée, mais on en est loin. Certes, l’énergie « disponible » est assez impropre comme terme (quoique), on extrait et on transforme de l’énergie puisqu’elle ne peut se produire.

            Par contre la où je ne vous suis pas du tout c’est votre aspect politique de la chose. Vous croyez que le monde actuel est celui où personne ne décide pour la majorité? C’est pas ça la réalité. Vous voulez juste résoudre les problèmes immédiat et locaux? C’est consternant. Vous ne mesurez pas l’étendue de la bêtise de cette phrase? L’anticipation c’est pas votre fort. Vous tombez dans la dénonciation fantasmatique du communisme à la moindre occasion.

          • pib lié au volume se réfère sans doute à ce qu’à fait jancovici et exposé devant des senateurs si je me souviens bien , c’est vrai au moins dira t on dans une période assez courte sans révolution technique…

            Pour autant ce qui g^ne , n’est pas la fausseté ou la vérité des allégations c’est qu’elles ne servent qu’à rendre un modèle, choisi pour des raisons d’abord idéologiques,  » incontournable »..on doit faire comme je dis, on a pas le choix…

            • Devant des sénateurs? Peut être mais c’est un expression qu’on retrouve partout. L’idée c’est que l’énergie c’est pas une question de prix (au niveau mondial) mais de « production ». Et ça m’étonnerai qu’on assiste à une révolution technique d’ici les prochaines décennies; déjà que ça fait 60 ans qu’on a les même sources d’énergie majeures.

  • Plutôt que de parler de transition énergétique, il faudrait parler désormais de transition climatique. Tous les géophysiciens et astrophysiciens sérieux s’accordent pour dire que le Soleil, source primaire de chaleur sur la Terre, va entrer dans une phase de sommeil prolongé dès le prochain cycle d’activité portant le numéro 25 et qui culminera vers 2023. Le bouleversement climatique probable aura des conséquences incalculables et apparemment personne n’ose en dire le moindre mot. Imaginons qu’on ne puisse plus faire pousser de blé dans la plaine de Beauce, oublions tout simplement le maïs rayé de la carte, que les vignes, au nord d’une ligne Bordeaux – Valence, ne produisent plus de raisin, que la Seine, la Saône et la Loire soient prises par les glaces jusqu’au mois de mai et que les températures hivernales avoisinent les moins 30 plusieurs mois de suite, c’est tout simplement ce qui peut parfaitement arriver compte tenu des prévisions des spécialistes de la physique du Soleil.
    Mais il faudra aussi considérer les bouleversements à l’échelle planétaire de ce refroidissement qui ne sera pas brutal, certes, mais qui ne laissera que peu d’années à l’humanité pour s’adapter. Plusieurs milliards de personnes n’auront plus rien à manger, et les conséquences géopolitiques sont encore difficiles à imaginer.
    Alors discuter le bout de gras sur la transition énergétique, que ce soit en France ou ailleurs est d’un ridicule achevé …

    • « entrer dans une phase de sommeil prolongé dès le prochain cycle d’activité », ça me plait.
      J’adopte.

      • Bon alors vos panneaux ne vont plus rien donner … « désolation, consternation, lalala lalala », comme le disait la chanson.
        Il va vous falloir passer au bois, que l’on voit avec quoi vous vous chauffez ❗

        • Vous jamais comprendre ? Vous pas humour ? Vous pas trouver que phrase citée par moi est grotesque ?

          • Ach, moi bas humour bas humour /: ❓

            Vous phrase bas grotesque, niet. Vous bas gombrendre vanne.

            Maïs, BOIS du calme, sinon voyons de quel bois je me chauffe 🙁

            Vous, combrendre vanne maindenand ?

            Très sérieusement, et sincèrement, en habitat isolé, vous auriez avantage à passer au bois 🙂

            • pas de règles …des chiffres et quelques hypothèses notamment sur l’évolution du prix des différentes sources d’énergie?Un choix présente toujours un risque surtout dans un domaine où les lois nouvelles les taxes et les règlements à la noix peuvent être décidés du jour au lendemain.

              • Le bois sera moins cher à la campagne, toujours, que les autres énergies.
                Il n’a pas les frais de transport et de stockage, les siens sont dérisoires …
                Entre 30 et 40% ?, sauf si la ville s’y remet, mais la paf, on aura des paquets règlements 🙁
                Le seul problème du bois, c’est qu’il doit être bien sec, et ramoner son tubage plus que réglementairement.

            • Hélas, en habitat isolé comme vous dites, lorsqu’on passe au bois, on n’y rencontre pas les splendides (et improbables) créatures qui font le charme et l’intérêt du bois de Boulogne. Et le charme, c’est quand même le meilleur bois de chauffage qui soit.

    • Le RCA est une bêtise ,certe, mais l’apocalypse du refroidissement , à l’image de certains gourous des seventies, est également à écarter même si les cycles solaires nous incitent à anticiper plutot une baisse des températures.

      Stop au catastrophisme et tout le monde se portera mieux.

      • Justement, les prévisions de la mécanique céleste prédisent une diminution durable de l’activité solaire depuis plus de 30 ans et seul Claude Allègre a osé tirer la sonnette d’alarme.
        Quand il a déclaré que cette histoire de réchauffement était une imposture on l’a pris pour un fou …

    • Effectivement, il y a une masse d’articles récent déduisant du comportement récent du Soleil (cyles 23 et 24) soit un refroidissement limité à une trentaine d’années (une oscillation comparable à la période 1940-70) soit un véritable Petit Âge Glaciaire comme celui qui se produisit, avec des hauts et des bas, du 14° au début du 19° siècle.
      http://www.climatedepot.com/2014/06/29/scientists-and-studies-predict-imminent-global-cooling-ahead-drop-in-global-temps-almost-a-slam-dunk/

    • L’article dénonce le fait certains n’hésitent plus à se tourner vers la religion teintée de mysticisme pour tenter de conjurer la « catastrophe climatique ».
      Nous pouvons lire chez jacqueshenry « bouleversement climatique »; »conséquences incalculables »; « températures hivernales avoisinent les moins 30 plusieurs mois »; »Plusieurs milliards de personnes n’auront plus rien à manger ».
      C’est juste d’un ridicule achevé.

    • croire à cela sur la foi de quelques observations empiriques si vous voulez..en être certain, ça fait doucement rigoler.

      Je reste d’un école de pensée qui pense qu’une hypothèse doit être vérifiée et qu’ne théorie reposant sur des observations empiriques limitées est …une théorie.

      • C’est vrai que Jacqueshenry y va un peu fort! 😀

        Si on doit être humble devant quelque chose, c’est devant la Nature. Quoi de plus imprévisible que le climat? La météo se trompe déjà assez souvent sur le temps qu’il fera demain… J’ai toujours entendu dire Claude Allègre qu’au delà de 24h, on ne pouvait RIEN prévoir en l’état éctuel de nos connaissances, et que même avec des ressources technologiques illimitées, ça serait sans doute à jamais impossible. Et ça se conçoit, non? Combien de paramètres imprévisibles rentrent en ligne de compte pour la formation d’un nuage? Alors le climat dans un 30, 50 ou 100 ans, c’est comme celui de l’année prochaine : je crois qu’on n’en sait rien. Le tout, c’est de se faire à l’idée, et pour certains ça a l’air juste impossible (les écolos en premier lieu, c’est leur fond de commerce! 😀 )

        • Ce raisonnement est truffé de non sens et de généralités bannales.
          -« y va un peu fort » vous êtes plus que modeste, mais bon, il est dans votre « camp »
          -Alors le climat dans un 30, 50 ou 100 ans, c’est comme celui de l’année prochaine = complètement faux
          – La météo se trompe déjà assez souvent = non

          • non il dit qu’on en sait rien…

            quant à a météo….elle se trompe environ autant qu’on le souhaite, il suffit d’être exigeant…ou pour la méteo de prévoir large pour qu’elle ne se trompe jamais..façon de dire que les critères de météo france pour decider si une prévision est bonne ou non sont forcement arbitraires. Il faut définir des marges d’acceptation, normaliser les différentes variables etc…pouah…

          • Ah? Il y a des camps? 🙂

            vu que les climatologues ne cessent de se tromper, pourquoi auraient-ils faux sur 10, 20 ou 30 ans et juste sur 100? Question de durée d’astiquage de la boule de crystal ou de secouage de dés? 😀

            par rapport à ce qu’ils annonçaient lundi matin pour la semaine, prévisions fausses à 50%
            donc soit la météo n’est pas déterminante pour soi, soit on oublie ce qu’on a entendu, soit… Ils se trompent assez souvent.

  • « la fourchette basse d’augmentation de température a baissé » : à force de la baisser, elle finira négative. Quand il fera très froid et qu’il faudra bien se chauffer malgré le réchauffement imaginaire, les ménages seront ruinés par les montagnes de taxes imposées au nom de la transition farfelue. Quand vous serez transis de froid, l’Etat adipeux et les parasites qui en profitent seront prospères et au chaud. Conformément à leur méthode habituelle, il ne leur restera qu’à trouver des boucs émissaires mensongers pour tenter de dissimuler leur immense responsabilité et détourner la colère de la population de son objet.

  • @Pale Rider a raison on nous noie sous de nouveaux termes qui ont tous comme origine le mot Trans et on y ajoute les suivants pour mieux impressionner le simple quidam.Il suffit d’ouvrir un dictionnaire pour lire les nombreux mots débutant par ces lettres comme trans-parence par exemple,donc à Suivre dirait Hergé

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