Un scandale au GIEC ? C’est « Sauvons le climat » qui l’affirme…

L’association « Sauvons le climat » s’est enfin rendu compte que le GIEC pouvait produire des rapports et des résumés pour décideurs altérés par de mauvaises influences.

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giec perdu dans la science

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Un scandale au GIEC ? C’est « Sauvons le climat » qui l’affirme…

Les points de vue exprimés dans les articles d’opinion sont strictement ceux de l'auteur et ne reflètent pas forcément ceux de la rédaction.
Publié le 18 juillet 2014
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Par Anton Suwalki

giec perdu dans la sciencePeu connue du grand public, Sauvons le climat (SLC) est une association qui considère que « la consommation sans frein des énergies fossiles provoque, via les gaz à effet de serre, un réchauffement climatique dont les conséquences s’annoncent redoutables. »

Comme son nom l’indique, faisant écho aux si nombreux sauveurs de la planète, elle a fait sienne la mission de préserver le climat et l’« avenir des générations futures ».

Elle se distingue toutefois des organisations environnementalistes technophobes et nucléophobes, et défend fermement l’énergie nucléaire, dont le poids en France fait de celle-ci un des pays développés les moins émetteurs de CO2.

Jusqu’à présent, SLC n’avait à notre connaissance jamais exprimé la moindre divergence ni la moindre réserve sur les rapports du GIEC et son traitement du réchauffement climatique.

Les climatosceptiques sont traités très rudement, et le site de l’association laisse passer des commentaires d’une extrême violence où l’on propose d’envoyer Courtillot et Allègre à Cayenne.

Rien de très étonnant lorsqu’on sait que le prestigieux conseil scientifique de SLC comporte parmi ses membres Michel Petit, membre de l’académie des Sciences et ancien expert français du GIEC. De ce fait, les erreurs ou (supposées) manipulations des climatosceptiques sont vigoureusement dénoncées, tandis que l’affaire de la fonte des glaciers de l’Himalaya d’ici 20351 est analysée avec une candeur certaine par le même Michel Petit, dont les propos en public sont parfois surprenants. Ainsi, selon lui, l’optimum climatique médiéval n’aurait existé qu’en France2 !

Le communiqué du 15 juin 2013 est d’autant plus surprenant.

Qui a rédigé le rapport du groupe 3 du GIEC se demande l’association ? Diable ! Se pourrait-il donc qu’il s’agisse d’autre chose que d’un groupe d’experts chargés de faire le point sur l’état de la connaissance en matière de stratégies permettant de « limiter le changement climatique » ?

La neutralité et l’intégrité du GIEC n’avaient jusqu’à présent jamais été mises en doute par SLC, y compris lors du rapport spécial de 2011, où un scénario délirant3 laissait entrevoir la possibilité de produire 77 % de l’énergie primaire mondiale d’ici 2050 à partir d’énergies renouvelables.

« Qui avait rédigé ce rapport ? », aurait également pu demander SLC à l’époque. Parmi les auteurs, Sven Teske de Greenpeace, co-inventeur de ce scénario avec Christine Lins de l’EREC, syndicat professionnel de l’énergie renouvelable.

Mais cette fois-ci, le GIEC est allé trop loin, et SLC s’insurge contre la tonalité antinucléaire du résumé pour les décideurs. S’exprimant dans une tonalité très chevènementiste (ou dupont-aignantiste), l’association s’est donc penchée sur la nationalité des auteurs du rapport :

« Il y a trois co-présidents dans le GR3, un Cubain, un Allemand (Ottmar Edenhofer), un Malien. Parmi les six vice-présidents il y a un Britannique, un Italien mais aucun Français.

Le rapport du GRIII contient évidemment la liste des auteurs. On peut alors juger du « rapport des forces ». Et la surprise est amère. Pour les 16 chapitres du rapport on compte huit auteurs travaillant dans des institutions ou universités françaises à comparer à 73 auteurs allemands ! Si on limite le décompte aux auteurs principaux on trouve cinq Français travaillant dans des institutions ou universités françaises à comparer à 27 Allemands. La contribution allemande n’est dépassée que par celle des USA avec 49 auteurs. Le Royaume-Uni en compte 14, les Pays Bas et l’Italie 9 chacun.

Certains chapitres sont particulièrement importants.

Le chapitre 6 traite de l’évaluation des trajectoires de transformation (Assesment of Transformation Pathways). Pour un Français (Jean Charles Hourcade), on compte 13 Allemands.

Le chapitre 7 traite des systèmes énergétiques : aucun Français (où est passé EDF ?), huit Allemands.

Le chapitre 16 traite des questions de coûts d’investissement et de finances : aucun Français, trois Allemands.

L’annexe 3 traite des coûts spécifiques des technologies et des performances : pas de Français, cinq Allemands.

Parmi les rédacteurs du résumé pour décideurs (SPM) on compte un Français travaillant pour l’OCDE et un autre travaillant à l’université de Princeton, pour 16 Allemands. Aucun Français travaillant dans une institution française.

Pour le Groupe I les auteurs français du résumé pour décideurs étaient au nombre de quatre pour six Allemands. »

 

En somme, si on comprend bien, trop d’Allemands, et pas assez de Français, aux yeux de SLC !

En principe, la composition d’une équipe d’experts ne devrait être jugée qu’au regard de la compétence de ceux-ci et de leur complémentarité, et non pas en fonction de leur nationalité.

Doit-on comprendre que le fait d’être allemand altère l’objectivité de l’expertise ? Que le point de vue d’un expert allemand diffère par nature de celui d’un expert français, et que ceux-ci sont là pour défendre les options stratégiques de leurs États respectifs ? Ce serait l’aveu que nous ne sommes plus dans la science ! C’est bien l’opinion de SLC, qui considère par conséquent qu’on doit respecter un équilibre des représentations nationales pour que des points de vue inconciliables puissent s’exprimer de façon équilibré :

« Il existe actuellement des différences de stratégies importantes entre pays, selon qu’ils envisagent ou non de sortir du nucléaire en recourant plus longtemps à l’usage de combustibles fossiles pour la production d’électricité. Les deux stratégies sont illustrées par celles de la France et de l’Allemagne. On pouvait donc espérer que les deux choix possibles seraient exprimés de façon équitable au sein du GRIII… »

La « sous-représentation » française dans le GR3 est-elle le résultat d’un « complot allemand » ou de l’incurie du ministère de l’écologie française ?

Le communiqué de SLC vire au chauvinisme douteux et belliqueux :

« La faible représentation de la France dans le Groupe III était-elle délibérée ? Ou bien résulte-t-elle d’un dysfonctionnement du Ministère de l’Écologie (en 2008-2009) chargé de fournir une liste d’auteurs possibles au GIEC ? Quoiqu’il en soit, cette faiblesse de la contribution française est un scandale et exige que la lumière soit faite pour comprendre comment elle a pu être possible ».

Le mot est lâché : un scandale, le premier que SLC entrevoit au GIEC. Sur certains points, l’association a raison : la tonalité du résumé est bien antinucléaire, et on peut se demander avec elle :

« Comment peut-on dénoncer les risques des mines d’uranium et ne pas dire un mot sur ceux des mines de charbon ?

Comment parler de risques opérationnels du nucléaire sans dire un mot de ceux des industries du gaz, des barrages hydroélectriques, de l’exploitation de la biomasse etc. ?

Pourquoi taire que jamais un programme militaire n’a été la conséquence d’un programme civil préexistant ?

Les déchets nucléaires sont contrôlés et confinés contrairement aux gaz, poussières et déchets solides produits par la combustion du charbon, du pétrole et du gaz. »

 

Mais d’autre part, si on peut concevoir que les points de vue adoptés correspondent effectivement aux choix énergétiques (catastrophiques) de l’Allemagne, on devrait se contenter de pointer les faiblesses et la partialité du rapport du GR3 du GIEC, et surtout ne pas lui opposer un rééquilibrage diplomatique, plus de Français pour contrebalancer l’influence germanique.

La réaction de SLC est un bel aveu, et une concession involontaire aux critiques du GIEC.

Contrairement à l’image que certains veulent en donner, le GIEC n’est pas un organisme neutre, qui se borne à faire le point sur l’état des connaissances en matière de climat, mais il est au carrefour de la science et de la politique qui font rarement bon ménage.

Comme l’explique Michel Petit :

« Une première version est soumise à la revue par des experts du domaine abordé, désignés par les états-membres et par les organisations non gouvernementales (ONG) concernées par le changement climatique, qui ont un statut d’observateur. Certaines de ces ONG sont d’obédience écologiste, d’autres représentent les vues des pétroliers et des autres lobbies de producteurs d’énergie. Toutes les sensibilités sont donc présentes et, de plus, la liste des experts n’est pas fermée : toute remarque scientifique est prise en compte, quel qu’en soit l’auteur ».

Toutes les sensibilités ! Comme si la vérité scientifique était une question de « sensibilité » !

SLC semble donc avoir enfin compris où peut mener la prise en compte de ces « sensibilités » : des lobbies économiques, politiques et/ou idéologiques qui se livrent à des jeux d’influence. La tonalité antinucléaire du rapport du GR3 en est une illustration.

L’affaire des glaciers de l’Himalaya en est une autre4.

Mais réclamer une représentation équitable (avec en toile de fond une germanophobie à peine dissimulée) de toutes les sensibilités apparaît bien naïf.

Comment un consensus scientifique digne de ce nom pourrait-il émerger d’un équilibre d’influence entre ceux qui ont intérêt à exagérer les conséquences éventuelles du changement climatique, et ceux qui ont intérêt à les minimiser ?

Quoi qu’il en soit, SLC s’est enfin rendu compte que cet organisme hybride qu’est le GIEC pouvait produire des rapports, et des résumés pour décideurs5 altérés par de mauvaises influences. Il y a un début à tout.


Sur le web.

  1. Cette affirmation figurait dans le quatrième rapport du GIEC : les glaciers devraient avoir perdu 80 % de leur surface d’ici à 2035. La source « scientifique » de cette grosse bourde n’était autre que le WWF.
  2. En réalité il existe plusieurs dizaines d’études peer-reviewed consacrées à l’optimum médiéval, tendant à accréditer l’idée d’un phénomène global. En tout cas, Michel Petit est à notre connaissance le seul à affirmer que cela n’a concerné que la France.
  3. Parmi 164. Soulignons que tester 164 scénarios, quel que soit le domaine, ne fait pas vraiment très sérieux…
  4. On peut très bien imaginer que l’ « erreur » ait échappé à la vigilance collective des relecteurs du rapport du GIEC, révélant une simple défaillance du processus de relecture. Par contre, il est difficile de croire, à l’instar de Stéphane Foucart du Monde, que l’erreur, surtout quand on en connaît la source, se soit glissée toute seule dans le rapport du GIEC, sans que quiconque ait eu la volonté de tromper. En accès libre, l’article de Foucart sur ce sujet.
  5. Tout porte à penser que ces résumés, dont le contenu est négocié mot par mot, sont encore plus sous influence que les rapports eux-mêmes.
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  • Il ressort de cette controverse qui n’en est pas vraiment une que l’IPCC se décrédibilise progressivement et qu’il faudrait purement et simplement dissoudre cet organisme qui n’a fait que ressasser des mensonges, des contre-vérités scientifiques et des données truquées depuis plus de 20 ans. Etant moi-même blogueur climato-sceptique et répétant à longueur de billets que le climat va non pas se réchauffer mais se refroidir en raison de l’évolution de l’activité solaire parfaitement prévue par les astrophysiciens et géophysiciens et que cette évolution pourrait être beaucoup plus rapide que prévue, il y a donc réellement une urgence à reconsidérer la production d’énergie, au moins électrique, en s’orientant massivement vers le nucléaire, filière thorium et neutrons rapides en particulier. Quant à la raréfaction des énergies fossiles, c’est un faux débat, on découvre tous les jours de nouveaux gisements : j’ai vu depuis un avion des plates-formes pétrolières au large de Valencia en Espagne, il y a des réserves de gaz gigantesques au large de Chypre et dans toute la Méditerranée orientale, on est donc encore très loin du fameux (et fumeux) peak-oil dont les écolos nous rabattent les oreilles depuis des années !!! Le marché de la peur a bien fonctionné mais il faudrait mettre de l’ordre aux Nations-Unies …

    • On peut jouer aussi sur la consommation d’électricité.
      Ce qui me gène, c’est le comportement de nos gouvernants à ne pas prévoir au moins une alternative (en gros, le pire de ce qu’on prévoit n’arrive pas).

      Exemple célèbre : Roline B. commande la production mondiale d’antiviraux sans conditions.

      Réchauffement ou refroidissement, il faut prévoir une contre solution à la solution attendue.
      En l’occurrence, les investissements sur les EnR n’aurait jamais dû être fait en France puisque l’Allemagne pour dépasser ce que nous produisons déjà avec nos barrages est inatteignable pour nos finances !

      Quant aux incitations, il suffirait de faire porter simplement aux consommateurs la charge d’un tampon de sécurité pour couvrir un arrêt brutale d’approvisionnement. Subventions et coercitions sont stupides et inefficaces.

      • Oui, mais je ne suis pas sûr que les décideurs politiques comprendront et assumeront un jour toutes leurs stupidités : ainsi, en Belgique aujourd’hui, tous les journaux font paraître en première page le risque de black-out électrique l’hiver prochain. On étudie des solutions d’urgence comme les délestages programmés, etc. Mais aucun journal ne dit pourquoi on en est arrivé-là, pourquoi un pays occidental développé sera mis au rang d’un quelconque pays sous-développé d’Amérique Latine ou d’Afrique. Non, ce risque de black-out est vu comme un cas de force majeure, une punition des dieux, mais jamais comme la résultante d’une politique énergétique incohérente et absurde, pour ne pas dire plus.

        • A propos de balck-out, la menace en Europe est réelle mais les écolos ont utilisé comme prétexte le fait que le Japon n’a pas connu de black-out après le grand tremblement de terre du 11 mars 2011 alors que tous les réacteurs nucléaires avaient été arrêtés du jour au lendemain. Je me trouvais à Tokyo quelques jours plus tard et j’ai constaté que curieusement l’éclairage des gares avait diminué de moitié et tous les escalators étaient en réparation. C’était la contribution des services publics à la pénurie d’électricité à venir. La plupart des entreprises se sont immédiatement équipé en groupes électrogènes plus puissants que ceux dont elles disposaient. Les hôpitaux qui possèdent tous un groupe électrogène ont fait de même. Le back-out a été évité de justesse pour toutes ces raisons et également grâce au civisme exceptionnel de tous les Japonais ! Par exemple mon fils qui habite Tokyo a supprimé le repassage du linge et le chauffage et je peux affirmer que le matin à la mi-mars, dans sa maison, on prenait le petit-déjeuner avec une température avoisinant les 10 degrés ! La facture énergétique du Japon correspondant aux importations supplémentaires de gaz liquéfié et surtout de charbon a quasiment triplé dans les quelques mois qui ont suivi cette catastrophe qui, faut-il le rappeler, a fait près de 20000 morts. Pour le civisme des Européens, il est illusoire d’y songer même un court instant ! A la suite de cette catastrophe ces cons d’écolos ont déclaré que puisque le Japon avait quitté le nucléaire du jour au lendemain l’Europe pouvait tout à fait arriver au même résultat avec des moulins à vent et des panneaux solaires. C’est du grand n’importe quoi !

        • C’est surtout que plusieurs réacteurs nucléaires belges ont leurs cuves fissurées et que, malgré leur stupidité, les dirigeants politiques et industriels ont quand même conscience qu’un Fukushima en Belgique poserait quelques problèmes.

          • A force de dépenser de l’argent en moulins à vent, on oublie d’entretenir les centrales nucléaires…
            Quant à un fukushima en Belgique, il est certain que ce pays subit régulièrement des tsunamis et des tremblements de terre…

          • Oui, Observatoire du nucléaire, c’est bien comme je l’avais dit : « ce risque de black-out est vu comme un cas de force majeure, une punition des dieux ». Il n’y a rien à faire, c’est comme ça.

      • « On peut jouer aussi sur la consommation d’électricité. »

        Oui.

        On peut aussi moins utiliser le chauffage électrique et plus le chauffage aux fossiles.

        Oh wait…

      • « Quant aux incitations, il suffirait de faire porter simplement aux consommateurs la charge d’un tampon de sécurité pour couvrir un arrêt brutale d’approvisionnement. Subventions et coercitions sont stupides et inefficaces. »

        Tampon qui porte où ? Arrêt des PC, des frigos ?
        Le communisme, c’est la pénurie organisée…

        • Marge de sécurité ?
          Si mon chauffage électrique s’arrête, je le subirai beaucoup plus que mon frigo ou mon PC. Et pour mon smartphone, j’ai ma voiture !

    • S’il n’y a pas d’effet de serre et pas de risque de pénurie d’énergies fossiles, alors pourquoi investir dans le nucléaire ? Juste par stupidité ?

      • Peut-être simplement parce que la France n’a pas beaucoup de réserve d’énergie fossile sur son territoire. Et que les acheter à l’étranger est très cher.
        Peut-être simplement parce que l’électricité nucléaire, une fois les investissements amortis, est bien moins chere que celle issue du charbon, du pétrole ou des éoliennes.
        Peut-être simplement parce que tous les emplacements possibles pour faire des barrages sont déjà équipés …
        Le Nucléaire a été le seul choix politique réellement efficace et judicieux en France !!

      • Le nucléaire est fiable, bon marché, avec un « combustible » très très dense dont on peut stocker des réserves considérables, ce qui permet à la France de ne pas être à la merci des fournisseurs, contrairement aux hydrocarbures dont les stocks sont très limités.

        Le nucléaire permet de réduire nos importations d’énergie, il permet aussi d’exporter de l’électricité. Le nucléaire est bon pour la balance commerciale.

        Le nucléaire français s’adapte à la consommation d’énergie en réglant le flux neutronique, contrairement à des réacteurs fonctionnant en mode tout ou rien dans les pays moins nucléarisés.

        Le nucléaire n’est pas polluant contrairement au charbon qui est la seule alternative bon marché pour produire de l’électricité. Le nucléaire est bon pour la santé, il évite les maladies respiratoires.

        La filière nucléaire fabrique des isotopes qui sont utilisés pour les diagnostics médicaux.

        Les réserves d’hydrocarbures facilement accessibles décroissent rapidement, ne reste que les réserves plus difficilement accessibles. Les réserves d’éléments fissiles sont considérables, celles d’éléments fertiles immenses. Il faut relancer la filière rapide et surgénératrice. C’est là que doivent aller nos investissements sur l’énergie, non dans les gadgets (= les énergies approuvées par vous).

        Modulable, bon pour la prospérité, la santé, l’équilibre de la balance commerciale, l’environnement, la sécurité énergétique… je comprends que vous soyez contre, comme tous les prophètes de malheur.

        • Le nucléaire :

          – « fiable »… comme à Fukushima*
          – pas cher… comme le montrent nos factures qui explosent, et ce n’est qu’un début avec le vieillissement du parc
          – combustible dense… après l’avoir volé au Niger ! Indépendance énergétique = 0 car 100% de l’uranium est importé
          – pas polluant : oui… hormis ses nombreuses et graves pollutions : rejets chimiques et radioactifs dans l’air et les rivières, déchets radioactifs, mines d’uranium, etc, sans oublier les catastrophes
          – le nucléaire permet de traiter les cancers… dont il est massivement responsable
          – la France atomique IMPORTE massivement de l’électricité tous les hivers, merci à l’Allemagne et ses centrales au charbon de nous chauffer !
          – etc etc

          Merci pou tout les nucléos, vous êtes géniaux

          • « comme le montrent nos factures qui explosent »

            Merci à l’éolien et surtout au solaire.

            « hormis ses nombreuses et graves pollutions »

            Quelles graves pollutions?

            Citez-en une, avec ses effets sur l’homme ou environnement, qu’on rigole.

            « – le nucléaire permet de traiter les cancers… dont il est massivement responsable »

            Non, les faibles doses de radioactivité sont sans danger.

            « la France atomique IMPORTE massivement de l’électricité tous les hivers, »

            Quel rapport?

          • Lorsqu’on observe ce qui s’est passé au Japon, on devrait se prosterner devant la qualité des centrales nucléaires Japonaises.

            Elles ont résisté à un tremblement de terre colossal (magnitude 9 – 15000 morts).
            La seule centrale qui a foiré, c’est à cause d’un mur trop bas qui fut submergé par le tsunami.

            A l’inverse de ce que vous dîtes, la leçon à tirer du japon, c’est l’extrême fiabilité des centrales nucléaires.

            • Plus les nucléocrates sont défaillants, plus ils sont contents d’eux.
              Puisque vous n’aimez pas la vie, faites un suicide collectif entre vous plutôt que de vouloir nous tuer avec vous…

              • Au fait, il est où le « désastre », le big one de Fukushima?

                Vous nous avez fait miroiter une explosion de vapeur causé par le corium, dispersant tous les éléments lourds, et même un syndrome chinois, et on a eu un peu de césium dispersé dans l’océan.

                Où est le spectacle annoncé?

                Vous nous avez annoncé une grand partie du Japon contaminée pour des millénaires.

                Et déjà les gens reviennent dans la région.

                Remboursez. Nos. Invitations.

                • Il est vrai que vous pouvez faire encore pire (et que vous allez très probablement y arriver vu le délabrement du parc nucléaire mondial) mais il faut reconnaître que votre Fukushima est déjà très réussi : des centaines de milliers de cancers sont en cours, le Japon est effectivement contaminé pour des millénaires, et vos pairs nippons enfoncent le clou en renvoyant en zone contaminée des milliers de malheureux.
                  Pas besoin de nazis quand on a les pronucléaires…

                  • « des centaines de milliers de cancers »

                    où ça?

                  • eh… ne parle pas de fukushiman regarde tchernobyl et montre nous les cancers….

                  • il n’y pas beaucoup de pro nucléaires, il y a des anti antinucleaires et c’est assez différent, en gros on veut du courant pas trop cher quand on en a besoin.

                    l’impact sur la santé humaine de l’industrie nucléaire est faible jusqu’à présent, , accidents compris, je vous conseillerais plutôt de jouer sue l’aspect catastrophe environnementale radioactive, car dans ce cas nul moyen de biaiser la seule façon d’être sûr d’éviter un accident dans une centrale nucléaire et de ne pas la construire, ensuite vous pouvez parler d’assurer tout cela…

                    vous pouvez aussi constatant que le nucléaire est sûrexiger pourtant de nouvelles mesures de sécurité, vous arrivez sans doute à le rendre définitivement hors de prix.

                    Mais tant que vous pouvez prétendre accepter de vivre dans une « autre » société sobre en énergie, de vivre d’une façon diamétralement opposée à la votre vous avez beau jeu , tout est permis en utopie ou negawattland. Sauf que je ne vous crois pas. Vous êtes peut être une exception mais la majeure partie des écologistes que je connais sont de fieffés hypocrites.

                    • Vous semblez confondre les écologistes avec les infâmes membres de l’ « élite » du parti marron EELV. Or, c’est évident, il n’y a aucun rapport !!!

                    • et oui les écologistes c’est personne, les décisions écologistes c’est personne, et le pire c’est que c’est un peu vrai, on a parfois l’impression que des mesures qui semblent écologique ( et je voudrais bien qu’on me dise exactement quand on peut qualifier une mesure d’écologique) sont prises de temps à autre pour rappeler qu’on a des verts au gouvernement…

                      aussi je fais peu de cas des grands mots vides de sens adorés par la mouvance verte ( environnement, gaspillage , nature, sauver le climat ou la terre, mesure vert etc) , je préfère parler des décisions simples et leurs effets….

              • Un peu courte la réponse !

                Oui ou non ? les centrales japonaises ont-elles résisté au tremblement de terre ?

  • Un article qui répond aux insinuations de certains dans le précédent article à propos du GIEC « Climat, Antartique… » :
    – Non, le GIEC n’est pas LA Science.
    – Oui, l’organisation du GIEC pose problème.
    – Et oui, les solutions étatiques mises en oeuvre au et par le GIEC se retrouvent dans tous ces domaines qui font débat de société : « Nucléaire, urbanisation, éolien, huile de palme, etc..  »

    Donc, guère étonnant que le point de vue libéral (et la moyenne des articles de contrepoints) soit critique !

    • Vous avez l’air de confondre le GIEC (IPCC) avec Greenpeace et le WWF mais ce n’est pas grave puisque le GIEC est gangrené de l’intérieur par ces deux ONG et bien d’autres du même genre terroriste : terroriste = sème la terreur …

  • Il faut couper le chauffage des lieux de réunions de le giec.

  • Même pour les carbonistes (et je l’ai un peu été, à une période, avant que l’authenticité des courriels du Climategate soit confirmée), il faut être sous drogues pour prendre au sérieux le WG III. Déjà le II n’est vraiment pas clair, mais le III, c’est clairement un club de greenpisseux rêveurs éveillés.

    Mais on peut être carboniste sans être GIECiste. On peut critiquer le GIEC sans critiquer la théorie du réchauffement anthropique. Mais en pratique la plupart des carbonistes défendent le GIEC, ce qui pose un sérieux problème. Défendre la théorie n’implique pas de défendre la principale institution qui la défend, sauf quand on a perdu la boule.

    Enfin, je rappelle que beaucoup de scientifiques en France étaient au PCF, même quand l’URSS opposait la science bourgeoise à la science prolétarienne!

    J’ai des amis (ex-amis en fait), scientifiques très brilliant (dans des sciences dures) qui gobent tous les délires GIECistes (ou bien qui font semblant). Ils sont aussi gauchistes, ça a peut être un lien.

    Est-ce qu’être très intelligent rend très con?

    • Oui, il y a comme une sorte de pyramide de l’incompétence, du n’importe quoi, de la récupération politique et de l’activisme. On part de recherche en science « dure » pour comprendre le climat, puis on met en place des théories orientées, puis du buzz sur des conséquences imaginaires et des prospectives farfelues, pour finir sur une foire d’empoigne entre écologistes de sensibilités différentes.

      Cette seule réalité est déja affligeante et montre les limites de notre « civilisation » moderne : on n’est pas plus malins que nos ancrètres, malgré tous les progrès de la connaissance.

    • Je ne souscris pas à votre concept de « carbonisme ». Point n’est besoin de faire référence au GIEC (et en particulier au WG I) pour constater que pas une seule académie nationale des sciences au monde ne fait entendre une voix discordante sur les faits, à savoir sur le fait que les émissions de gaz à effet de serre, et principalement du dioxyde de carbone, par le développement des activités humaines ont des impacts sur l’environnement, et notamment contribuent à un « réchauffement climatique ».

      On peut effectivement s’opposer à l’institution GIEC dans son principe sans jeter pour autant le doute sur les connaissances scientifiques qui s’affinent d’année en année ni jeter le discrédit sur la climatologie scientifique et les chercheurs qui la font progresser.

      Est-ce que c’est une question de bêtise (de connerie, écrivez-vous) ?
      Cela me paraît un peu facile de traiter de « con » ses adversaires politiques.

      J’y vois la marque d’une inclinaison de pensée « totalitaire » sur la quelle semble glisser la collectivité humaine de façon récurrente. S’il elle ne s’exprime pas aujourd’hui en termes de science prolétarienne elle emprunte la novlangue du moment, celle qui célèbre la science citoyenne, le vivre ensemble, les générations futures, etc. Ce virus de la « science citoyenne », porté par les gauches de la gauche, y compris écologiste, prospère sur le terreau des peurs. Il semble effectivement plus facilement porté, au sein des sciences de la nature, parmi ceux qui travaillent dans la recherche fondamentale – physiciens, mathématiciens, etc. – que parmi ceux qui travaillent dans une recherche plus appliquée – biologistes, etc. -. La manipulation des concepts favoriserait le dogmatisme alors que le travail de paillasse ancrerait davantage dans le réel ? Je ne suis pas certain que prendre le problème par ce bout fasse avancer les débats. J’incline à penser qu’il est préférable de poser noir sur blanc les concepts politiques et de faire de la pédagogie sur les errements auxquels nous condamnent, structurellement, une conception de l’expertise qui mêle dangereusement science et politique.

      • « pour constater que pas une seule académie nationale des sciences au monde ne fait entendre une voix discordante sur les faits, »

        Si, la notre.

        • Ah bon ?

          Et cela qu’est-ce que c’est ?

          http://www.academie-sciences.fr/activite/rapport/rapport261010.pdf

          CONCLUSIONS
          • Plusieurs indicateurs indépendants montrent une augmentation du
          réchauffement climatique de 1975 à 2003.
          • Cette augmentation est principalement due à l’augmentation de la
          concentration du CO2 dans l’atmosphère.
          • L’augmentation de CO2 et, à un moindre degré, des autres gaz à effet de serre,
          est incontestablement due à l’activité humaine.  
          • Elle constitue une menace pour le climat et, de surcroît, pour les océans en
          raison du processus d’acidification qu’elle provoque.
          etc. etc. etc.

          • « Les corrélations directes purement statistiques entre deux quantités sont utiles
            pour mettre en évidence des couplages non modélisés ou mal représentés,
            mais non pour tester précisément les mécanismes internes aux    modèles et
            leur pertinence quant à la simulation des variations du climat. C’est une partie
            des débats actuels entre scientifiques.
            Les éventuels comportements fortement instables ou chaotiques du système
            atmosphère‐océan‐cryosphère‐surfaces continentales sont un autre facteur
            important d’incertitude. »

            En gros ça dit qu’on ne sait pas modéliser le machin. De façon très poli.

            • Trop compliqué pour rafi :mrgreen:

            • J’ai la désagréable impression que vous noyez le poisson.
              Je vous reprenais sur l’expression « carboniste ». Pas sur autre chose.

              Sauf à ce que vous en donniez une autre définition, chacun comprendra que ce vous appelez « carbonisme » doit caractériser ceux qui affirment que (1) il y a un réchauffement climatique, (2) ce réchauffement est principalement du à l’augmentation de la concentration du CO2 dans l’atmosphère, (3) cette augmentation de C02 est due pour l’essentiel à l’activité humaine. Je confirme : ce que je viens de décrire est partagé par l’ensemble des académies des sciences de la planète. Autrement dit, parler de « carbonisme » est impropre. Il s’agit bel et bien de la physique du climat. Elle s’appuie à la fois sur des mesures et des théories physiques. Elle n’est controversée par aucune institution scientifique.

              Votre réponse porte sur les prévisions…
              Mais c’est un autre champ.
              Parlez alors des « prévisionnistes » si ce sont les « prévisionnistes » qui vous dérangent.

              • J’ai la désagréable impression que vous noyez le poisson.

                Et moi qui croyais que le poisson aimait l’eau, et que cet élément lui était agréable :mrgreen:

              • « Elle s’appuie à la fois sur des mesures et des théories physiques »

                Non, elle s’appuie sur que dalle.

                Un modèle physique hyper simpliste de l’atmosphère qui n’a jamais été validé, des prévisions jamais réalisées (plutôt l’inverse), et une corrélation historique entre CO2 et temp où en regardant de plus près le CO2 arrive après…

                Et vous savez bien que les carbonistes sont pour la plupart des CO2-H2O-istes, des rétroactions-positivistes, ce qui a priori est ridicule (si un système a une rétroaction positive on ne voit pas bien comment il pourrait être stable aussi longtemps).

                Sans les rétroactions l’effet du carbone est très faible, et c’est pas marrant parce qu’on ne peut pas faire de catastrophisme.

                La plus grande escroquerie de l’histoire.

                • Ne vous énervez pas… cela ne sert à rien…
                  Vous nous faites pas de votre incrédulité personnelle, grand bien vous fasse.
                  J’affirmais que « pas une seule académie nationale des sciences au monde ne fait entendre une voix discordante sur les faits » à savoir que (1) il y a un réchauffement climatique, (2) ce réchauffement est principalement du à l’augmentation de la concentration du CO2 dans l’atmosphère, (3) cette augmentation de C02 est due pour l’essentiel à l’activité humaine.
                  Vous répondiez par « Si, la notre »
                  Je vous communiquais la preuve que votre affirmation était fausse : http://www.academie-sciences.fr/activite/rapport/rapport261010.pdf
                  Et depuis vous nous la jouez sur l’air de « monsieur je sais tout » donnant des leçons de physique à toutes les académies des sciences (la française comprise) et au WG1 du GIEC pour le même prix.
                  Ce que pointe Suwalki c’est qu’une organisation écologiste pronucléaire, à savoir « SLC », dénonce un positionnement partisan sur le plan politique du WG3… portant crédit à ce qui est dénoncé depuis longtemps par nombre d’observateurs à savoir que le GIEC est une institution hybride de science et de politique.
                  Et là je suis d’accord.
                  Quant à sombrer dans la pseudo-science comme vous le faites, c’est un autre scénario sur lequel je ne vous suivrai pas.

                  • Non, l’Académie des sciences émet des réserves polies sur les rétroactions, c’est un fait.

                    Que ça vous énerve n’y change rien.

                    Que ça vous dépasse n’y change rien.

                    Que vous n’y compreniez rien n’a que peu d’importance.

  • Le SLC vient de comprendre et reconnait à demi-mot que le GIEC est un « machin » POLITIQUE !!!

    Pris les pieds dans le tapis, la chute n’en sera que plus dure !!!

    Tous ces gens qui nous ont fait perdre du pouvoir d’achat, de la liberté, de la capacité à innover… devront passer devant un tribunal civil quand l’aventure GIEC s’arrêtera… Bientôt, très bientôt !!!

  • Les « artistes » se sont inquiétés de l’arrivée à la mairie d’Avignon du FN, parce que cela pouvait interférer avec les choix théâtreux.

    Donc, la mairie pèse sur les choix artistiques! Même en creux, même en menace, la mairie peut interférer. Les choix ne sont pas totalement indépendants des préférences des élus.

    Merci pour cette magnifique révélation de la part du directeur du festival.

  • Observatoire du nucléaire : « C’est surtout que plusieurs réacteurs nucléaires belges ont leurs cuves fissurées et que, malgré leur stupidité, les dirigeants politiques et industriels ont quand même conscience qu’un Fukushima en Belgique poserait quelques problèmes. »
    —————————————
    T’es quand même un fieffé menteur !
    La Belgique a 7 réacteurs nucléaires dont deux sont en arrêt pour maintenance-rechargement combustible comme ça se fait tous les 18 mois. Il n’y a aucune « cuve fissurée » et encore moins de réacteur arrêté pour cause de « cuve fissurée » (l’histoire des « micro-fissures » dont les escrolos ont fait les gorges chaudes il y a deux ans a fait PLOUF, il faut être une andouille d’escrolo pour qualifier un défaut localisé non évolutif de « fissure »). A ma connaissance, aucun réacteur nucléaire n’a jamais été arrêté pour cause de « cuve fissurée », parce que si ça existait, tu nous aurais informé, pas vrai ?

    Comment savoir quand « Observatoire du nucléaire » ment ? Quand il a les lèvres qui bougent.
    Le pire, c’est qu’il répète tellement souvent ses bobards qu’il finit par y croire !

    • N’insulte pas l’idiot qui nous est utile. Le nucléaire est aux mains de l’Etat, l’Etat ment en général, la méfiance s’impose donc. Et la chose nucléaire est dangereuse, les mesures de sécurité indispensables imposent qu’on ne sache pas vraiment ce qui se passe au cœur de na centrale. Il y des fissures ? il n’y en a pas ? Aucune idée. Mais je ne suis pas assez idiot pour faire aveuglement confiance à des organismes d’Etat, et donc merci aux déments complotistes paranoïaques.
      Certes se sont des idiots, qui nous expliquent sans sourciller qu’une centrale fait plus de dégât qu’une bombe d’Hiroshima, mais ils font gratuitement l’ingrat boulot de mettre la pression sur l’Etat pour qu’il soit prudent avec le nucléaire, et qu’il ne raconte par trop de craques.

      • P :  » Le nucléaire est aux mains de l’Etat, l’Etat ment en général, la méfiance s’impose donc. »
        ———————
        Le nucléaire en Occident est construit par le privé (toutes « nos » centrales à eau pressurisées sont sous licence Westinghouse, vu que nos centrales gaz-graphite développées par l’Etat ont été un flop monumental). Et il est géré par le privé dans pleins de pays, aux USA, au Canada, au Japon, en Allemagne, en Belgique… Donc votre prétexte pour excuser l’anti-nucléarisme obscurantiste n’est pas valable (ce n’est pas comme s’il n’y avait pas de vrais prétextes hein !).

        P : « Il y des fissures ? il n’y en a pas ? Aucune idée. »
        ——————————
        Ce n’est pas parce que vous n’avez « aucune idée » que la vraie info n’existe pas. Et encore moins que ça accréditerait n’importe quelle rumeur hystérique.
        Ce que vous faites c’est de la rhétorique de l’argumentum ad ignorantiam, ça ne vaut pas un clou.

        P : « mais ils font gratuitement l’ingrat boulot de mettre la pression sur l’Etat pour qu’il soit prudent avec le nucléaire, et qu’il ne raconte par trop de craques »
        ——————————-
        Contrer des mensonges par d’autres mensonges n’est acceptable ni sur le plan moral, ni sur le plan pratique. Et si vous mettez en balance toutes les conséquences de cette paranoïa anti-nucléaire, à savoir l’inflation réglementaire et bureaucratique pour adresser un faux problème, la perte de confiance injustifiée dans une technologie d’avenir, le coût sur la prospérité et le progrès, c’est doublement inacceptable.

      • Pas de fissures, sinon la centrale serait définitivement arrêtée ❗

    • Exact, miniTAX ! Mais les menteurs comme « Observatoire » sont nombreux, et ainsi, le possible black-out électrique est présenté à la population comme un cas de force majeure, jamais comme la résultante vue, sue, voulue de la politique escrologiste de décroissance (politique que l’on retrouve chez les socialauds et chez le petit parti démocrate – chrétien qui forme son annexe bien-pensante, outre chez les escrologistes proprement dits).

  • Tiens, encore un article à charge du Giec. Toujours le même bourrage de crâne.. trop d’allemand cette fois; pourtant ce sont de vrais champion.

  • Rien que le nom de l’asso « Sauvons le climat » est inepte: comme si le climat était une espèce animale en voie d’extinction.

    Ces formulations « sauvons le climat », « réchauffement du climat », « dérèglement du climat » tendent insidieusement à faire passer dans les esprits l’idée que le climat est une chose, un objet sur lequel on peut exercer un contrôle, que l’on peut réguler avec des accords internationaux.

    Plus bête encore, cela tend à faire croire que le climat est sujet à des normes, avec des températures et pressions « normales », des « normales saisonnières », des cycles rigoureusement fixes et réguliers. Normes fixées on ne sait comment par on ne sait quelle bande de météoproctologues, scientifétichistes, et autres organes de ponction fiscalo-administrative.

    Les « catastrophes climatiques » sont immanquablement la preuve que ces normes ne sont décidément pas suffisamment mises en oeuvre, et qu’il faut agir au plus vite parce que de toute façon c’est trop tard pour mettre au chômedu tout ces employés du GIEC qui vivent de l’argent du contribuable.

    Toutes ces foutaises ne sont pas beaucoup plus intelligentes que de déclarer que dorénavant, on va contrôler les tremblements de terre, parce que la tectonique c’est méchant, ça tue des gens, ça coute de l’argent, et que la fracturation hydraulique va tous nous mener à notre perte.

    Plus ça va, plus je me rends compte à quel point les hommes veulent tout contrôler, et vivent dans l’illusion qu’ils peuvent tout contrôler. C’est pour cela que je m’intéresse tellement à la pensées des libéraux.

    • C’est drôle parce que c’est vous l’incarnation de « les hommes veulent tout contrôler » quand il s’agit de créer des parcs naturels, des mesures de protection de telle ou telle espèce, c’est vous les premiers à gueuler. Encore une fois, c’est tout et son contraire.

      Deuxième point, vous ne savez pas ce que c’est qu’une normale saisonnière? Vous niez son existence?
      C’est vrai qu’avec ce genre de discours délirant, la question de réchauffement ne se pose même pas. Pardon mais les normes pour le bassin parisien c’est +1/+7 en hiver et +12/+24 en été par exemple. Et c’est une moyenne élaborée depuis des décennies, et ça a « toujours » été le cas à peu de chose près. Etc.. etc.
      Vous trouvez ça absurde? Abonnez vous au petit quotidien.

      • Je ne nie pas le fait que des températures de 23°C à Saint Etienne au mois de mars soient inhabituelles, par contre je nie que ce soit « anormal ». Je nie l’expression de « normale » saisonnière, et de toute norme comme celle que vous citez, « la norme pour le bassin parisien », je nie cette expression qui voudrait laisser penser que le climat et ses phénomènes sont immuables, ce qui est bien sûr faux.

        Le climat est un système par nature complexe, changeant, cyclique, et dont on ne peut sûrement pas prétendre qu’il soit parfaitement prévisible. Ce qui serait « anormal », ce serait que le climat ne change pas!
        Le terme de norme est tout simplement inapproprié dans ce contexte.

        « Ca a « toujours » été le cas ». Faux, et vous le savez. « Moyenne élaborée depuis des décennies », vos décennies me font bien rire face aux grands cycles climatiques qui s’étendent sur des millénaires. Vous avez aussi déjà entendu parler des petits cycles glaciaires? Figurez-vous qu’ils sont suivis de petits cycles de réchauffement.

        Je ne nie pas le réchauffement, bien qu’il soit « en panne » depuis plus de 15 ans (contrairement aux prévisions « normales »), je nie qu’il soit irréfutablement et exclusivement causé par nos rejets de CO².

        Et bien sûr je déplore cette propension humaine à prétendre tout contrôler. « C’est drôle parce que c’est vous l’incarnation de « les hommes veulent tout contrôler » quand il s’agit de créer des parcs naturels… » C’est qui « vous »? C’est moi qui parle présentement, et ai-je parlé de parcs naturels?

        Je ne connais pas ce petit quotidien auquel vous faites référence, et pour ce que j’en sais, vous pouvez allez le lire aux toilettes et fantasmer tout ce que vous voudrez dessus, mais ne me prêtez pas des propos ou des penchants sortis de nulle part, et nous pourrons alors échanger sur de meilleures bases.

        • Pour le petit quotidien c’est le sujet de l’article contrepoint suivant. C’est un journal pour enfants. Autrement dit, j’utilisais une pointe d’humour, c’est de bonne guerre.

          Pour le « vous », c’est un abus de langage, c’est destiné à la majorité de ceux qui commentent ces articles. Retournez leur l’argument.

          Pour la norme, certes, ce n’est pas le plus propre des mots. Mais il ne s’agit que d’un mot, préférez moyennes si ça vous choque. Une température de 23° à saint Etienne en mars n’est pas anormale, elle est très nettement au dessus des normales est et tout à fait remarquable.

          Enfin, le « toujours », je l’ai mis entre guillemet. On peut dire que depuis quelques décennies (voir quelques millénaire), le climat est stabilisé dans nos régions, avec quelques périodes un peu plus froides ou plus chaudes. Détecter un changement de la moyenne n’a rien de sorcier.
          // le réchauffement n’est pas que du au CO2 personne n’affirme le contraire.

          • « On peut dire que depuis quelques décennies (voir quelques millénaire), le climat est stabilisé dans nos régions »

            Le climat est stable sur de quelques millénaire???

          • Stabilisé ❓
            C’est quelque peu osé ❗

            • Mais c’est un fait enfin! Il y a des périodes glaciaires et inter glaciaires, voila. En France ça fait 10 000 ans que le climat est comparable d’un siècle à l’autre, bon, faut arrêter un peu la.

              • Vous vous contredisez vous même.
                Ce n’est pas stable. Il y a des variations de tout genre.

                • Je ne me contredit jamais. Par contre je met en évidence celle des autres. Quand je parle de climat stable, vous comprenez que le régime climatique de période inter glaciaire est le même depuis 10 000 ans, avec en gros les mêmes répartitions climatiques sur la planète. Inventez vous un autre mot si vous voulez. C’est dingue faut toujours que les gens perdent leur temps à pinailler sur des mots. C’est quand même pas compliquer à comprendre.

                  • Pikouli : « Quand je parle de climat stable, vous comprenez que le régime climatique de période inter glaciaire est le même depuis 10 000 ans, avec en gros les mêmes répartitions climatiques sur la planète. »
                    ————————————————
                    Il y a 8000 ans, le Sahara était encore une savane infestée de crocodiles et d’hippopotames. Il y a 6000 ans, le lac Tchad était profond de presque 100m et faisait plusieurs centaines de fois sa superficie actuelle. Pendant l’optimum romain il y a 3000 ans, les Romains produisaient de la vigne en grande quantité en Angleterre.
                    Tandis que Pikouli, il continue de répéter, le climat est stable, le climat est stable ! Et c’est des réchauffistes dans son genre qui traitent les autres de négationnistes du changement climatique. Cherchez l’erreur…

                  • Comment pouvez affirmer que vous connaissez le climat régional depuis 10 000 ans?

                    • J’ai dit statut « inter glaciaire  » , autrement dit que l’on est pas en glaciation. La transition ne s’est pas faites du jour au lendemain, et le 10 000 ans c’était pour donner l’ordre de grandeur dans le temps, au détour d’une phrase; et bien sur vous vous empressez à sauter dessus. Vous pourrez me rétorquer 8000 ou 12000 ans, si vous avez du temps à perdre.

                    • Pikouli : « La transition ne s’est pas faites du jour au lendemain, et le 10 000 ans c’était pour donner l’ordre de grandeur dans le temps, »
                      ————————–
                      Le problème est justement qu’il n’y a pas qu’une transition simple du glaciaire à l’interglaciaire où le climat devient « stable » comme tu le conçois dans ton esprit simpliste.
                      Le problème est que même PENDANT l’interglaciaire, le climat n’a jamais été stable, il y a eu des périodes de fluctuation brutales comme pendant le dryas antérieur ou des périodes de fort réchauffement prolongé comme l’optimum holocène (pendant lequel la surface du lac Tchad était des dizaines de fois plus grande que maintenant).
                      Ton « climat stable pendant l’interglaciaire » est une affirmation non seulement ignorante, mais extrêmement stupide compte tenu de ton entêtement à la défendre. Car à part répéter le mantra « le climat était stable » (sous-entendu, l’homme l’a déréglé), qu’as tu apporté comme argument concret jusqu’à présent ? Que dalle !
                      Répéter 100x une chose fausse ne la rend pas vraie.

                    • J’ai bien compris cotre dernière citation, et éviter de la répéter nous savons tous deux d’où elle provient.. Oubliez votre mot stable et apprenez un peu le climat français, vu les âneries que vous dites.

                    • Euh, il y aurait un mot « stable » selon Pikouli, donc avec des variations importantes ❓

                    • Oui.

                      La variabilité est dans la normale saisonnière.

                      Les évènements hors normes sont dans la norme.

                      Personne n’est normal, mais tout le monde l’est.

                      Tout est dans tout, mais rien n’est dans rien.

                  • Si si, Sissi, vous vous contredisez …

      • @Pikouli
        Personne n’a dit qu’une normale saisonnière est absurde. Car tu cites la normale saisonnière comme un singe savant sans la comprendre, pas étonnant que tu mélanges tout.
        Une « normale » saisonnière, comme tu l’as montré à l’insu de ton plein gré, concerne une région climatique restreinte : faire la moyenne d’un climat parisien avec un climat méditerranéen, un climat continental avec un climat océanique, c’est parfaitement stupide. C’est pourtant ce que font les climastrologues en nous parlant de « dérèglement climatique ». C’est ça qui est absurde.

        Ensuite, par convention, la « normale » est calculée comme la moyenne sur les trois décennies récentes (et non « une moyenne élaborée depuis des décennies », affirmation ignorante sortie de ton chapeau). En ce moment, la normale (saisonnière, mensuelle, annuelle, journalière…) est la moyenne des décennies 80-90-2000 mais à partir de 2021, ce sera une nouvelle « normale » basée sur les décennies 90-2000-2010, ce qui veut dire c’est une valeur éminemment variable, preuve justement qu’un climat « normal » n’existe pas !!!
        Et enfin, les températures « normales » que tu cites toi-même ont des intervalles de fluctuation de plusieurs degrés. Aucun rapport donc avec la prétention à la certitude du dixième de °C affichée par la FARCE (la fraternité des alarmistes du RC exagéré).

        Bref, Slump montre la Lune et tu regardes son doigt.

        • Ah oui, je ne comprend pas une normale saisonnière, c’est nouveau ça.. sa majesté miniTax qui se tait et disparait quand il ne sait pas quoi dire réapparait pour décréter que je ne sais pas ce que c’est.

          Pour le reste c’est exactement ce que j’ai dit. Les normales ont des petites fluctuations dont on sait estimer l’ordre de grandeur. Il est alors possible de détecter une variation de la température par rapport à ces moyennes. En revanche, au lieu de jouer au singe, vous feriez mieux de relire le commentaire de celui à qui je répond.
          En d’autre terme 20 lignes creuses de votre part.

          • Pikouli : « Ah oui, je ne comprend pas une normale saisonnière, c’est nouveau ça..  »
            ———————–
            Bah non, ce n’est pas nouveau, c’est évident que tu es totalement ignare sur la question, on en a la preuve avec ton affirmation stupide « la normale est une moyenne élaborée depuis des décennies ». Et si tu crois que tu peux faire illusions avec tes fumigènes, tu te mets le doigt dans l’oeil.

            Pikouli :  » En revanche, au lieu de jouer au singe, vous feriez mieux de relire le commentaire de celui à qui je répond. »
            ———————-
            C’est toi qui devrais te relire. Ca t’éviterait (on peut rêver) de jouer au contortionniste qui dit tout et son contraire, du genre « le climat est comparable d’un siècle à l’autre » puis  » Si on zoome un peu, on a des périodes d’optimum et d’autres plus froides appelés petit âge glaciaire » ou « les normes pour le bassin parisien c’est +1/+7 en hiver et +12/+24 en été » puis « le climat est stable » (même un mongolien sait que qu’un intervalle énorme de 1°C-7°C est tout le contraire de « stable », 2°C étant la différence entre Dijon et Perpignan !).

            Au lieu raconter n’importe quoi, tu aurais pu nous dire par exemple quelle serait LA température normale pour le bassin parisien et, puisqu’il y a eu dérèglement climatique et que ce serait « détectable » (dixit un certain… Pikouli), quelle serait la nouvelle température, histoire qu’on sache si c’est statistiquement hors de l’intervalle de fluctuation naturelle, ou pas. Mais bon, je sais qu’on attendra jusqu’à la St Glinglin.

            Pour ce qui est de brasser du vent avec des affirmations gratuites, Pikouli, il répond toujours présent. Mais quand on lui pose des questions précises, on peut être sûr qu’il va faire le mort ou sortir ses vagues généralités HS pour faire diversion. C’est tellement prévisible avec les réchauffistes !

            • Vous êtes un champion du monde.
              Vous parlez des normales saisonnières et vous n’êtes même pas capable de comprendre que +1/+7 et +12/+24 c’est les moyennes mini/maxi en hiver et en été. La vous devez pas vous sentir très malin sur ce coup.
              Ah oui, la différence dijon/perpignan c’est le double de ce que vous décréter, alors les chiffres tirés du chapeau..

              Vous vous rendez compte de ce que vous écrivez.. mais vous vous croyez intelligent mais vous écrivez n’importe quoi.
              En ce qui concerne la « stabilité », vous (tous) parlez pour ne rien dire. Enfin, pour le tout et son contraire, évitez de reprendre mon expression pour écrire autant de bêtise

              • Pikouli : « vous n’êtes même pas capable de comprendre que +1/+7 et +12/+24 c’est les moyennes mini/maxi en hiver et en été.  »
                ———————–
                Mais tu ne comprends rien à rien, pauvre enclume !
                Je n’ai jamais dis le contraire, ce que je te dis, c’est que c’est stupide de citer une plage de moyenne mini/maxi aussi large pour parler de « normale » climatique, surtout pour insinuer qu’il y aurait un changement détectable par rapport à une « normale ».

                Pikouli : « Ah oui, la différence dijon/perpignan c’est le double de ce que vous décréter, alors les chiffres tirés du chapeau.. »
                ————————-
                Ce n’est pas des chiffres tirés du chapeau, ne projette pas tes tares sur les autres.
                Il y a en première approximation une hausse de 1°C environ quand on descend de 2° de latitude, c’est la valeur que j’ai utilisée pour estimer de tête la différence Dijon/Perpignan. La vraie différence est effectivement plus grande parce que je n’ai pas tenu compte de la différence d’altitude. Dijon est à 250m d’altitude, donc il faut lui enlever 2°C dû au gradient thermique adiabatique (la température baisse d’environ 7°C quand on monte de 1000m).
                Ca ne change rien au fait que la (relativement) faible différence de température entre Dijon et Perpignan démontre que c’est grotesque de citer une énorme plage de 1°-7°C pour parler de « normale climatique » et pire pour faire croire que c’est « à peu près stable ».
                Et ça ne change rien au fait que tu évites soigneusement de répondre à la question : quelle est la « normale » du bassin parisien et qu’est ce qu’on aurait pu détecter d’anormal avec le « dérèglement climatique » récent.
                Comme on pouvait s’y attendre, tout ce que tu as comme réponse, c’est de l’enfumage, encore et toujours…

                • Vous n’allez pas attendre la réponse puisque je l’ai déja dit. Vous êtes un champion, je l’ai dit. Vous n’avez encore pas compris que c’était les moyennes mini / maxi journalier autrement dit matin/ après midi enfin! C’est quand même extraordinaire de ne pas réussir à le comprendre. Et après c’est moi l’enclume tutoyée qui ne comprend rien! Tu me fais bien rire.
                  Pour votre histoire de moyenne, si votre estimation s’est limitée à la différence de latitude, c’est que votre culture climatique de la France est limitée chez vous.. quelle différence entre Dijon et Perpignan au dela des 200 m d’altitude d’écart.

                  • Alors on parle plus de température moyenne?

                    Pourquoi non?

                    • Quoi mais vous faites exprès? Vous n’avez pas vu l’énorme bévue que mon interlocuteur commet? Comment ça je parle plus de moyenne, je fais que ça, mais lisez donc!

                    • Vous parlez des extrema ou de la moyenne?

                      Il faudrait savoir.

                    • Mais c’est pas sérieux… il faudrait savoir.. mais je parle de la même chose depuis le début. C’est facile de comprendre que je parle de la moyenne des extremas, Tnm et Txm; ça saute au yeux quand même. Je vous apprend que les moyennes que l’on calcule quand on fait un bilan sur les températures, c’est ce couple de valeur.

                      Par contre si vous me dites que les Tnm et Txm ne sont pas des moyennes vous pouvez vous arretez la.

                    • Vous n’avez jamais jeté un coup d’oeil à un bilan météorologique mensuel?

                    • On peut faire des moyennes des extrema tant qu’on veut, mais il faudrait justifier en quoi c’est pertinent.

                    • En quoi c’est pertinent.. mais par rapport à quoi? Quel problème posez vous?
                      Voyez vous, j’essayais de faire comprendre à mon interlocuteur que c’était un couple de valeur et non une plage de température (il me demandait une moyenne précise, j’ai fait plus que ça, 4 valeurs! il a disparu depuis qu’il a compris son immense bêtise…); et ce couple de température est pertinent en météorologie car c’est systématiquement ces valeurs qui sont calculés et présentés lorsque les bilan sont faits. Et c’est ainsi depuis que l’on fait des relevés météo; donc je vois vraiment pas ou vous voulez en venir.

          • Pauvre Pikouli, je vous plains.
            Dans un futur proche vous allez vous retrouver comme ces sympathisants communistes du passé, qui un jour on découvert la réalité du communisme.
            Votre état d’esprit sera le même quand vous découvrirez la nature du GIEC et la fumisterie de ses thèses et surtout de ses solutions.
            J’espère que vous aurez l’honnêteté de le reconnaître.

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