Aujourd’hui, et suite à l’intéressante remarque d’un de mes lecteurs réguliers que je remercie au passage, je voudrais vous parler d’une tendance de fond, de ce qui n’était encore il y a quelques années qu’un petit crin-crin désagréable et qui, au fil du temps et grâce aux efforts redoublés de la Socialie triomphante, s’est mué en fond sonore permanent, de plus en plus fort. Ce crin-crin devenu tapage ne fait plus guère de doute : on assiste à une guerre sans merci contre l’idée même de propriété privée et, en particulier, contre son expression la plus liquide, le capital.
Du reste, dans un pays qui sombre tous les jours un peu plus dans le socialisme le plus débile et le plus débridé, on ne peut pas s’en étonner, et ce n’est donc pas une révélation dont je veux vous faire part, mais plutôt tenter de vous repasser, en condensé, le film de cette asphyxie, en notant son accélération récente.
Le début du film est difficile à dater, mais on peut, arbitrairement, revenir 70 ans en arrière : pour la retraite des Français, le choix de la répartition sur la capitalisation fut un signal clair et donna une idée assez bonne de ce qui allait se produire ensuite, doucement d’abord puis à un rythme plus soutenu ensuite.
En effet, avec l’impulsion pétainiste et sous couvert d’aider ceux qui n’auraient pas eu les moyens de capitaliser, on a dépossédé toute une partie de la population du fruit de son travail, et on a, implicitement, incité la population à laisser l’État s’occuper de son avenir, quitte à faire la cigale et oublier que ce sont les fourmis qui construisent et laissent une société, une structure viable à leur descendance. Le résultat fut visible à deux niveaux : d’une part, l’idée même que chacun devait faire preuve de prévoyance pour ses vieux jours se dilua rapidement dans l’irresponsabilité générale, l’État s’occupant – croyait-on – de tout. D’autre part, la graine était plantée : puisque l’État permettait de se débarrasser simplement d’un fardeau tout en prétendant s’occuper des pauvres, des nécessiteux, des impécunieux et des insouciants, autant étendre la riche idée à tout ce qu’on pouvait.
Le mouvement général était lancé : sus à l’épargne, haro sur le capital, finissons-en avec la propriété privée.
Évidemment, une telle déclaration, ouvertement faite, aurait provoqué des frictions désagréables dans la population. On procéda donc par petites touches successives, obstinées et permanentes.
L’inflation joua son rôle. En rabotant la monnaie (le franc, puis le nouveau franc, puis l’euro), on incita plus que fortement les individus à dépenser. Thésauriser, mettre des biftons dans le bas de laine devenait une opération idiote, alors qu’acheter, consommer et placer sur des marchés permettait, au moins en partie, d’éviter l’amoindrissement des sommes. Le paradigme dépensier s’implanta. Jamais le keynésianisme, tel qu’interprété par la masse politicarde, ne se porta aussi bien : en période de crise comme en période de croissance, la force publique fut systématiquement mise à contribution. La dette grandit à chaque période faste. Elle devint obèse à chaque ralentissement. Elle explosa à la crise de 2008.
La guerre est maintenant totale contre le capital, l’épargne et la propriété privée : outre les banques centrales qui n’hésitent plus à parler de taux négatifs, la déflation – pain béni pour les fourmis – est vécue comme une abomination apocalyptique pour les cigales.
Cette déflation marque l’agonie des moyens « conventionnels » de spoliation de l’épargne. On n’hésite plus, dès lors, à envisager des moyens moins habituels : depuis l’expropriation pure et simple (que ce soit pour la Dune du Pilat ou des immeubles parisiens, la spécificité de ces exemples ponctuels ne doit pas faire oublier que ce procédé devrait normalement relever de l’exceptionnel – c’est de moins en moins vrai), en passant par l’utilisation des fonds publics pour évacuer les capitaux privés par nationalisation (larvée ou non), ou la lutte contre l’argent liquide soi-disant pour éviter le terrorisme (mais surtout pour en finir une fois pour toutes avec ce moyen simple d’échapper à la férule étatique), jusqu’à l’inévitable chyprage à venir des comptes bancaires particuliers, on comprend que tout sera tenté pour qu’enfin le peuple remette absolument toute forme d’épargne, de propriété privée, de richesse et de thésaurisation entre les mains de l’État.
Petit à petit, le capital, cet outil essentiel de liberté, ce concentré liquide de travail, cette forme la plus fluide de propriété privée, est rationné et progressivement retiré aux classes moyennes, celles qui sont les plus nombreuses et dont la somme totale est la plus juteuse.
La réaction est logique. Les transactions « hors du contrôle de l’État » (au noir, donc) augmentent. Puisqu’épargner n’est plus possible ni rentable financièrement, les classes moyennes choisissent de s’appauvrir. Parallèlement, le système D se développe, en parallèle des marchés de consommation traditionnels, devenus progressivement trop coûteux. Mieux encore, la base du commerce fleurit à nouveau : l’économie du troc connaît une embellie. On ne compte plus les petits marchés discrets, les brocantes et autres vide-greniers entre particuliers, de moins en moins amateurs.
Et comme on pouvait s’y attendre, ce petit morceau de liberté, ce moyen parallèle pour à nouveau pouvoir épargner, mettre de côté, capitaliser… est à son tour attaqué. Les lois se multiplient pour « encadrer » ces brocantes plus ou moins sauvages, et la force publique, au départ laxiste, se fait fort d’appliquer des textes jusque-là oubliés. Eh oui : même ce dernier moyen, ultra-simple, basique même, de commercer, va disparaître, harassé par un État obèse ne pouvant pas se satisfaire de la moindre parcelle de liberté de ses assujettis.
À force, on en arrive à des systèmes absurdes qui visent à passer d’une économie de capitaux à une économie de flux pour camoufler une destruction consciencieuse du capital et de la propriété privée à une échelle jamais imaginée, puisqu’on en vient même à inscrire dans la loi l’annulation pure et simple de cette dernière sous des prétextes de plus en plus fumeux. Chaque initiative particulière est alors réprimée fermement encadrée par la loi pour éviter tout bénéfice tout abus, exactement comme si votre bien privé n’était plus à vous, si le fait d’engranger un profit était une honte, en laissant toute latitude aux pouvoirs publics pour s’emparer du butin au moindre petit doute.
Et le pire, c’est que non seulement, plus personne ne s’en rend vraiment compte, mais en plus, les générations actuelles souhaitent cette tendance. On trouve normal de débattre sur la nécessité d’encadrer Uber, AirBnb, les brocantes et toute cette économie du troc de petits services. On trouve appétissant d’interdire le cash. On ne tique même pas sur les droits de succession. On se fiche complètement de mettre des propriétaires à la rue. On espère que le capital sera davantage taxé que le travail, parce qu’enfin, si l’on veut un pays vraiment égalitaire, tout ceci est indispensable, bien sûr !
La conclusion s’impose : ce mauvais film n’est pas fini. On continuera sur la même lancée, à lutter d’arrache-pied contre la méchante propriété privée, l’encombrante épargne et le vilain capital.
Forcément, cela va bien se passer.
—-
Sur le web
« les générations actuelles souhaitent cette tendance. On trouve normal de .. »
Je ne crois pas que les générations actuelles souhaitent quoi que ce soit. Ce sont juste des consommateurs anesthésiés qu’on berce et dont ceux qui ont la mainmise sur les moyens maintiennent l’état larvaire. Je fais cette remarque car ce n’est pas un détail à mes yeux ; de fait on ne doit pas considérer ces larves comme des témoins valables ou des éléments de mesure légitimes sur lesquels appuyer des discours, des manifs, des projets de grande envergure. Entre « populisme » et « despotisme », la route est délicate à tracer.
Les jeunes générations semblent aussi s’en foutre pour le moment, sans doute trop occupées à profiter de leur jeunesse et aussi bien formatées par l’Ednat et les médias partisans. Néanmoins, je crois percevoir une petite lueur d’espoir, lorsque l’on leur parle de sujets bien concrets, comme la sécu, leur retraite et aussi le poids des prélèvements sur leur salaire. Leur faire lire H16 ou les envoyer sur un site comme Contrepoints est sans doute la meilleure chose à faire pour leur ouvrir les yeux sur la triste réalité de notre pays.
au niveau des jeunes générations, je note dans mon entourage proche qu’ils sont parfaitement conscience de la situation et qu’ils en sont à travailler au noir, en tout ou partie en ce disant que tout ça va dans le mur et qu’il est donc inutile de cotiser à quoi que ce soit. Ils ne protestent pas , ils attendent tranquillement.
Il en a aussi beaucoup qui s’expatrient et ne comptent pas revenir.
c’est bizarre , mais ceux qui partent et ceux qui entrent ne sont pas de la même couleur … un nouvel avatar de la loi d’osmose ?
vous ne vous posez pas la question de savoir s’il est pertinent de faire voter des larves ?
Je suis parfaitement d’accord avec votre observation. Il est incontestable que la bêtise gagne du terrain chaque jour dans notre pays, et que l’usine monstrueuse à fabriquer des ventres mous tourne à plein régime (je parle évidemment de l’EN).
Il en va des jeunes comme d’une grande partie de la population. Ils sont désormais « hors sol », coupés de leur propre histoire, de leur propre culture, de tout esprit critique, ils adhèrent sans broncher aux projets mortifères de l’empire du bien. Ainsi, ils lui servent d’alibi.
Il devient alors légitime de se demander si, entre autres choses, la déliquescence de notre système éducatif ne résulte pas d’une stratégie délibérée.
Ah, mais ne généralisez pas, hein !
Je suis jeune (18 ans), produit tout frais de l’EdNat (Bac S 2013) et clairvoyant (du moins je l’espère).
Si j’avais du me reposer sur l’EdNat pour me constituer ma tête montaignoise, ç’aurait été un échec. Aujourd’hui, le meilleur conseil à donner est de lire, tout et n’importe quoi (surtout n’importe quoi) et de critiquer systématiquement.
Avec internet, les opportunités ne manquent pas et n’importe qui peut s’éduquer sans l’Etat. Ceux qui se contentent de ce qu’on leur donne ne peuvent s’en prendre qu’à eux-mêmes.
merci pour votre commentaire. Mon fils n’a que 15 ans, lit tout et surtout n’importe quoi. J’ai adoré par ailleurs sa derniere critique d’Antigone, « le + mauvais bouquin lu depuis longtemps, avec ces depressifs chroniques incapables de prendre une bonne decision ». Ils surfe sur le ressac de l’EN, mais est deja pret a surfer sa vie. A l’heure de l’information, l’ignorance est un choix.
Non, les jeunes qui sont bon et capables quittent le pays… nous ne nous sommes pas battus, ils ont pris acte et renoncent à l’héritage que nous leurs laissons, contraint et forcés à devenir et réfugiés économique de part le monde… Pas fière, mais bon l’avenir est clairement ailleurs …
Excellent article. Moins drôle que le précédent parce que le constat est triste mais très fort.
Le plus difficile est de faire tomber le mur de Berlin que les gens ont dans la tête.
ce que je demande au préfet c’est le remplacement des commissaires enquêteurs par des fonctionnaires homme ou femmes qui viennent mettre en forme les droits des terrains constructibles. Il y a trop de connivences dans les Mairies. Il en est de même des aménagements de plan d’eau en zone humide. Moi même ne pouvaist pas évaluer la superficie sans connaitre l’inclinaison du terrain. Assez de bureaucrates dans ces services de l’État, il faut des fonctionnaires de terrain
la commune n’a pas vocation de classer des terrains en natura 2000. Ce n’est pas le rôle des élus. Faire payer un cabinet d’études qui coûte cher à la collectivité locale n’est pas le rôle prépondérant d’un Préfet. Les chambres d’agriculture doivent revoir leur fonctionnement. Comme l’État aussi dans sa restructuration.
ce qu’on demande avant tout, c’est que l’état et les collectivités ne se mêlent plus de décider si un terrain est constructible ou non , ou si on a le droit de creuser un étang.
foutez-nous la paix , nous pourrons construire et créer et on économisera un bon nombre de services administratifs.
Bonjour Patrick,
Les plans locaux d’urbanisation sont fait à l’aide de carte de photos aeriennes comme les plans de zones humides. Dans le cadre de la construction de la LGV sud Europe atlantiques les zones humides sont remises en cause pour la protection des espaces naturelles (ex. le vison d’Europe). Ces zones humides ont été recensées et mise en page sur un gros rapport visant l’environnemental.
En 2003, sur ce terrain, j’avais envisagé de faire un plan d’eau : une source tout en haut de ce terrain alimente un cours d’eau dans la partie basse. Ce terrain est pentu et pour évaluer la superficie réclamée par la Ddaf, j’avais besoin de conseils de technicien, à savoir le déplacement d’un technicien (des eaux et forêts ou autre), je ne demandais pas de subventions. Je sais qu’il fallait planter des robiniers.
C’est pour cela que je demande à Monsieur le Préfet de mettre en oeuvre un service d’aménagement avec des techniciens (des hommes ou des femmes de terrain), un service gratuit pour moi contribuable.
Salutations
il est naturel que l’État aide les propriétaires terriens à protéger l’espace de leurs zones humides. Ce n’est pas des subventions mais des conseils. Les propositions faites dans ce cas sont dérisoires. L’Etat est en faillite, il est inconcevable de prendre ces petits propriétaires pour des charlots à manipuler.
En effet , les plus beau paysages , les plus beaux centre ville ont été faconnés au cuors des siècles par des gens libres et c’est maintenent que l’état veut mettre son grain de sel partout que nous avons des entées de villes horribles , des lotissement ou s’entassent les petits pavillons et leur ribanbelles de cabanons et autre barbeques tous plus affreux les uns que les autres; a force de tout vouloir » zoner »nous vivons dans un pays qui ne ressemble plus a rien et ou les prix dépassent l’entendement; Qui a dit: mettez un technocrate dans le désert, au bout de six mois il importe du sable ??
» on espère que le capital sera davantage taxé que le travail … »
ça va etre difficile , vu que quand on est à son compte , à moins d’avoir une solide niche , entre les prélèvements sociaux et ceux de l’état , on est souvent à plus de 50% de taxation . les états » providence » volent d’ abord les travailleurs puisqu’il leur prend la moitié du fruit de leur travail … une bonne manière finalement pour qu’il n’en accumule pas , du capital !
Bonjour
Le système avale le système ou le virus est bien dans la pomme…
C’est bien le capitalisme qui à l’origine a été créé sur la base même de la proprité des uns sur les autres. La propriété de la terre est d’ailleurs illogique sur le plan humain puisque chacun est bien résident de cette terre. Sans retomber dans l’explication de Marx (l’analyste je précise, rien à voir avec les communistes ensuite), personne ne contradira cela.
Voir que maintenant le peuple moyen ou le petit peuple se sente floué par la crise et voir son « petit capital personnel » passer à la moulinette est bien un paradoxe. Les gros avalent les petits nous avons connu cela depuis les années 70, jusqu’aux groupes qui aujourd’hui avalent les autres groupes, et désormais les états qui puisent dans les pôches de ceux qui ont encore des biens. Toute forme de propriété est une forme subtille de vol sur le reste du collectif. Faut-il soulever aussi que les occidentaux bien au chaud, encore pas pour tous, vivent sur la misère de nombreux autres peuples dit pauvres ou en développement aussi ?
La politique n’est donc la cause mais bien le matérialisme et le pouvoir des uns sur les autres, et ce depuis trés longtemps. Mais le système ne fonctionne plus par la réalité présente. Le coupable n’est pas ailleurs qu’en cela quand on le laisse faire sans esprit.
Cordialement
Ne pas penser que le gouvernement actuel soit le seul fautif ni cette fausse notion de socialisme, sachant qu’il sert trés bien les intérêts des gros propriétaires désormais aussi bien que d’autres avant lui.
C’est une crise systèmique mondiale et surtout celle des consciences sur notre mode de vie qui n’est plus possible devant plus de 7.5 milliards de nos semblables.
« notre mode de vie qui n’est plus possible devant plus de 7.5 milliards de nos semblables »
On a beau être 7,5 milliards, l’être humain est toujours le même individuellement. La faillite des systèmes politiques qui ne peuvent s’adapter est une chose, mais la plus importante des données de base reste la même et vous faites l’impasse sur cette donnée.
Le capitalisme n’a pas été créé – c’est le socialisme qui est une invention tendant à canaliser et à édulcorer la notion de clans et qui doit évoluer car il n’est plus adapté à la situation actuelle. Cette évolution est peut-être nécessaire pour permettre l’instauration d’un système nouveau, stable et mieux adapté. Mais si vous vous trompez vous aurez 7,5 milliards de victimes sur la conscience. Alors je vous conseille fortement de revoir votre copie.
Si nous suivons votre développement plus en profondeur ce serait les pauvres qui auraient généré les riches au travers du socialisme, bien que le social est issus de « société » pour rappel donc d’une vision collective humaine et plus juste, rien à voir avec la politique effectivement. (Je suis apolitique aucunement partisan je précise).
Pour l’évolution du genre humain il manque certainement d’un peu plus de spiritualité (et non de religion je précise aussi…) l’exemple du fonctionnement de nos sociétés, qu’importe les partis, restent maintenus et basés sur l’argent et non autre chose.
Salutations
« une vision collective humaine et plus juste »
Oubliez 2 secondes la « justice » qui a autant de définitions qu’il existe d’êtres humains. Nous sommes hélas à la fois profondément individualistes, attachés à la propriété, mais aussi enclins à la solidarité et recherchant la protection d’un clan.
J’ai toujours été surpris et choqué par la tendance humaine à créer des sous-clans à l’intérieur des clans : dans une classe de 30 élèves, vous arrivez encore à créer des sous-clans de « sportifs », « geeks », « cultivés », « cools » … Quand on arrive à former un clan de quelques dizaines de millions, c’est pour aller taper sur le clan de teutons en face. Sinon on forme des clans de « nobles », « prêtres », « artisans », « paysans », ou des « classes sociales » ou des castes pour dominer les autres ou défendre ses propres intérêts. La « collectivité humaine » ou la « société » ne me semblent donc pas évidentes ou gagnées d’avance autrement que part une coercition qui la vide de son sens.
Alors il faut bien sur trouver la meilleure solution possible, mais en tenant compte de ce que nous sommes réellement et surtout de définir un but fédérateur pour l’humanité entière et non basé sur une lutte d’intérêts particuliers ou d’intérêts de groupes. L’argent est un faux problème : il ne traduit que notre nature individualiste et vous ne pouvez pas la rayer d’un trait de plume (pas plus que le côté solidaire ou social – mais n’oubliez jamais que ce côté social est basé au départ sur des clans)
Je suis apolitique aucunement partisan je précise
Vous prenez position, donc vous n’êtes pas apolitique .
« Toute forme de propriété est une forme subtile de vol sur le reste du collectif. »
C’est un sophisme visant à éluder le sujet de la propriété privée : aucun élément permettant de définir le concept de propriété privé n’a été apporté alors que cet énoncé s’appuie explicitement dessus.
« Le concept volé :
L’exemple le plus connu de ce type de sophisme d’ambiguïté est la phrase célèbre de Proudhon : « la propriété c’est le vol « . En effet le mot vol ne peut prendre de signification que si le concept de propriété a été défini. Voler signifie justement prendre la propriété de quelqu’un sans son consentement.
Là où il n’y a pas de propriété, il ne peut y avoir de vol. Il y a ici une contradiction interne. Utiliser le mot vol en niant le concept de propriété revient à utiliser un concept- la notion de vol- tandis que l’on ignore ou nie la validité du concept sur lequel il est fondé-la notion de propriété-. Cet acte intellectuel s’appelle un vol de concept. Ce sophisme est plus fréquent que vous ne le pensez. »
Bertrand Lemennicier
Le vol de la nature vous le prenez à qui, si vous ne considérez pas l’humanité comme le propriétaire ou plutôt l’invité juste de passage ?
Pour rappel la nature était au service de l’homme désormais la main mise sur les matières premières empêche nombre d’homme chez eux de manger.
Ne jouons pas avec les mot sur les maux des autres hommes.
Salutations
Vous clamez « Le vol de la nature ». Cela relève du slogan, rien d ‘autre.
Pour me prouver le contraire, pourriez-vous définir ce que recouvre le concept de vol (surtout sur la « nature ??) employé dans ce slogan mais sans faire entrer en jeu le concept de propriété, sinon c’est un sophisme.
En réalité, vous n’avez pas défini du tout l’action humaine et n’avez cerné en rien ce qu’est la propriété privé (chose bien plus complexe et raffinée que ce beaucoup déclament)
« Pour rappel la nature était au service de l’homme désormais la main mise sur les matières premières empêche nombre d’homme chez eux de manger. »
Absurde. La nature n’est pas une personne, elle n’est donc au service de personne. Si elle peut être utile, c’est justement parce que des hommes s’en approprient les matières premières (notamment pour obtenir à manger par l’agriculture).
Travailler honnêtement pour gagner sa vie et réussir à épargner pour avoir un patrimoine, est-ce du vol?
Je pense que nos gouvernants cherchent à donner du succès à cette idée pour la simple raison que, eux fonctionnaires élus pour la plupart, n’ont absolument pas besoin d’épargner vu qu’ils sont pris en charge par l’État jusqu’à la tombe, avec un niveau de vie que leur envieraient beaucoup de retraités.
La caste qui nous gouverne réalise l’idéal socialiste: prise en charge du berceau au cercueil. Qui paye?
Qui paye?
L’état, c’est gratuit
« C’est bien le capitalisme qui à l’origine a été créé sur la base même de la proprité des uns sur les autres. »
Euuuuuuuuuh…
:facepalm:
« La propriété de la terre est d’ailleurs illogique sur le plan humain puisque chacun est bien résident de cette terre. »
On n’est pas propriétaire de la Terre, mais de la Terre qui a été travaillée.
« Toute forme de propriété est une forme subtille de vol sur le reste du collectif. »
Et ton droit à la vie est lune forme subtile de violation du droit du collectif à t’éliminer physiquement…
Il y a du capital qui ne peut pas être volé par les étatistes : le capital humain.
Développez vos connaissances, vos talents, votre savoir-faire dans ce qui vous plait. Stockez ce capital dans l’attente de jours meilleurs (dans votre tête).
N’employez ce capital qu’au strict minimum afin de engendrer suffisamment de revenus monétaires pour vivre correctement mais pas assez pour que les porcs de l’état se gavent de tout ce que vous savez faire.
Hormis l’esclavage, ils ne peuvent rien contre cette fuite du capital non monétisé.
Bonjour
Le bilan actuel de crise se suffit à lui-même pour dénoncer le/les coupables et le fait qu’effectivement les peuples sont bien sous un effet d’offre et non demandeur de leur situation difficile comme l’on voudrait ici nous le faire encore croire un moment. Pensez qu’un autre principe de vie collectif soit possible hors de ce système purement financier semble échapper à beaucoup de gens pour la suite, qui s’imposera elle aussi. Notre société crée en ce moment un retour à soi et sur soi, (Travail au noir, système D, retour aux solutions de partage collectif de services…etc…) donc pas spécialement égoïste, mais bien pour canaliser les bonnes intentions aussi. le système actuel est mort puisque basé sur de l’argent virtuel hors de l’économie réelle en occident.
Cordialement
Moi même je stock du capital humain, dans mon congélateur.
(Désolé, je n’ai pas pu m’en empêcher ^^’, et sinon je suis d’accord et j’applique à la lettre d’ailleurs!)
Ce n’est qu’en partie vrai.
L’état s’est fait une spécialité de déterminer qui peut faire quoi. Si à l’origine les critères étaient de compétence, ils sont devenus aujourd’hui purement formels. Il faut des diplômes et des qualifications, des brevets et autres titres de capacité délivrés par l’état ou le glacis de connivence et de plus en plus « chargés » (au sens de leur coût) et de moins en moins liés à une compétence réelle. Et je ne parle pas des multiples exceptions et dérogations pour tel ou tel public dont l’état recherche les faveurs.
Quant aux moyens d’exercice de ce capital, il est lui aussi de plus en plus encadré. Les ETI deviennent clairement le parent pauvre de toutes les dispositions dites « entrepreneuriales ». Les pluriactivités sont surtaxées sans aucune mesure par rapport aux autres, pour des services lamentables. Que penser ainsi des AE qui quand ils payent des charges sous les plafonds, cotisent à des régimes obligatoires sans avoir de droits ouverts en contrepartie?
Les européens de l’Est à qui on a imposé le communisme avaient un mur, des barbelés, des tanks et des mitrailleuses pour les contraindre et leur refuser la liberté mais ils en rêvaient. En France, le long processus d' »éducation socialiste » a créé des individus qui ne rêvent pas de liberté mais d’ordre puisque depuis 40 ans on leur fait croire que cette liberté est la source de tous leurs maux…. Et qui mieux que l’état peut leur apporter ce bonheur de s’occuper de tout. La révolution libérale n’est malheureusement pas pour demain mais la fin de l’histoire sera cruelle pour ces gens..
la propriété n’a jamais existé sans l’état. l’état vous donne ce droit mais il peut changer d’avis quand bon lui semble et si cela l’arrange . ça toujours été ainsi et cela sera toujours ainsi a moins que vous songiez a défendre ce que vous considérez vous appartenir l’arme a la main..faut pas trop compter sur la justice ..d’état !
il ne faut pas oublier que la France appartient en totalité à l’état jusqu’à ce que quelqu’un lui en conteste la propriété par la force..ou sournoisement en capturant son économie ou qu’un malade se fasse élire et rende au peuple ce qui appartient au peuple
« la propriété n’a jamais existé sans l’état. »
Allons. Elle existe même pour les animaux. Essayez, pour rire, de piquer *son* os à un Rottweiler, ou *sa* grotte à un ours.
et nous voilà revenu dans ce merveilleux pays des pionniers américains qui défendaient leur propriété à coups de revolver, troquaient avec les indiens autochtones , et accueillaient à bras ouverts les migrants de tout pays…Le libéralisme « naturel »….Et puis tout a changé avec le chemin de fer……Le pétrole…..Les sherifs…Etc etc ..
Puis vint le nirvana soviétique. Un orgasme est souvent brutal après tout, en tout cas chez certain.
En tout cas j’admire votre capacité à aligner les clichés plus vite qu’un japonais au Louvre. Bien joué!
Non je pleure le paradis perdu…Vois pas ce que vient faire le nirvana soviétique…Les russes ne se remettront jamais de la mort de leur empereur…..Vous n’avez pas de paradis perdu ???? Ce serait triste pour vous….
Y a des pavés en or à Moscou, pas à Paris ❗
sigmund : « Vois pas ce que vient faire le nirvana soviétique… »
Il est aussi pertinent dans la conversation que vos cowboys et de vos indiens.
Certes, il est dommage que les fontaines à lait et de miel ne coulent pas partout gratuitement, et que nous ne sommes « que » des animaux sociaux et raisonnables, qui ne se perfectionnent que par de nombreuses et longues itérations…
« la propriété n’a jamais existé sans l’état » En France, mais également aux USA affligés du grand dépendeur d’andouilles qui leur tient lieu de président, on continue à devoir s’user la vue, l’ouïe et les neurones avec ce genre de niaiseries pour faibles d’esprit. Pourtant, Frédo a définitivement clos le sujet depuis bientôt 170 ans :
« Rousseau, étant convaincu que l’état social était d’invention humaine (…) Selon lui, la loi devait transformer les personnes, créer ou ne créer pas la propriété. Selon moi, la société, les personnes et les propriétés existent antérieurement aux lois, et, pour me renfermer dans un sujet spécial, je dirai : Ce n’est pas parce qu’il y a des lois qu’il y a des propriétés, mais parce qu’il y a des propriétés qu’il y a des lois (…) L’opposition de ces deux systèmes est radicale (…) Dans le premier cas, le législateur a pour mission d’organiser, modifier, supprimer même la propriété, s’il le trouve bon ; dans le second, ses attributions se bornent à la garantir, à la faire respecter.
(…) l’homme naît propriétaire, parce qu’il naît avec des besoins dont la satisfaction est indispensable à la vie, avec des organes et des facultés dont l’exercice est indispensable à la satisfaction de ces besoins. Les facultés ne sont que le prolongement de la personne ; la propriété n’est que le prolongement des facultés. Séparer l’homme de ses facultés, c’est le faire mourir ; séparer l’homme du produit de ses facultés, c’est encore le faire mourir.
(…) l’homme vit et se développe par appropriation. L’appropriation est un phénomène naturel, providentiel, essentiel à la vie, et la propriété n’est que l’appropriation devenue un droit par le travail. Quand le travail a rendu assimilables, appropriables des substances qui ne l’étaient pas, je ne vois vraiment pas comment on pourrait prétendre que, de droit, le phénomène de l’appropriation doit s’accomplir au profit d’un autre individu que celui qui a exécuté le travail.
(…) C’est en raison de ces faits primordiaux, conséquences nécessaires de la constitution même de l’homme, que la Loi intervient. Comme l’aspiration vers la vie et le développement peut porter l’homme fort à dépouiller l’homme faible, et à violer ainsi le droit du travail, il a été convenu que la force de tous serait consacrée à prévenir et réprimer la violence. La mission de la Loi est donc de faire respecter la Propriété. Ce n’est pas la Propriété qui est conventionnelle, mais la Loi. »
http://bastiat.org/fr/propriete_et_loi.html
Les idéologues peuvent raconter n’importe bêtise pour enjoliver leurs turpitudes, la collectivisation, notamment celle des capitaux, aboutit à faire mourir l’homme. Sans doute possible, toute tentative de collectivisation, même partielle, même lente et progressive, est un crime.
Notre Freddo en chef est admirable.
Les idéologues se fourvoient complètement sur l’action humaine et la vie. Pourtant leurs slogans et autres sophismes emportent l’adhésion des faibles d’esprit ou des consciences distraites encore et encore.
c’est beau , mais que penses tu des nomades ?
moi même je fus propriétaire comme papa et cela a fini par me gonfler , je ne possède plus rien , je suis libre et nomade, je vais là où le vent m’emporte.
non , la propriété n’est pas le naturel de l’homme c’est la fin de la liberté et le début de l’esclavage de l’homme par l’homme.
la propriété n’est pas le naturel de l’homme c’est la fin de la liberté et le début de l’esclavage de l’homme par l’homme.
Chez les socialistes, oui, tout à fait ❗
reactitude: « la propriété n’est pas le naturel de l’homme c’est la fin de la liberté et le début de l’esclavage de l’homme par l’homme. »
S’il te reste deux trois trucs je suis prêt à te libérer de tes vilaines chaines.
La propriété est aussi vieille que l’homme qui se fait chier à construire une hutte pendant que le
socialistetype d’à coté lorgne le résultat avec envie.« La propriété est aussi vieille que l’homme »
pas facile de raisonner sur un sujet ancré dans le subconscient !
qu’est ce qui est le plus intéressant et le moins couteux transformer son travail en ‘propriétés’ ou en lingots d’or ? faut il louer sa maison de vacances ou être propriétaire et voir toute sa vie le même paysage ?
et en ces temps de travail rare , faut il s’accrocher comme une moule a son rocher et payer une dime a l’état pour avoir le droit d’aller voir ailleurs ?
et en ces temps de travail rare , faut il s’accrocher comme une moule a son rocher et payer une dime a l’état pour avoir le droit d’aller voir ailleurs ?
Faute de propriétaires à taxer grassement, vous allez vous faire … chyprer votre retraitre ou vos fonds
En fait, vous avez un comportement profondément individualiste. Les libéraux ne peuvent vous donner tort, mais vous ne pouvez en aucun cas généraliser aux autres vos choix personnels – dont l’optimisation ne peut répondre qu’à votre propre situation.
Soyez au moins clair, lucide et objectif et vos remarques seront alors intéressantes.
Tout d’abord le nomades possèdent en général des troupeaux et je pense qu’il est fortement déconseillé d’y toucher. Ensuite les nomades ne vivent pas en société mais en clans – c’est peut-être une organisation plus « naturelle » pour l’homme, mais elle ne lui permet pas de progresser. Personnellement je refuse de faire partie d’un clan quelconque, et si l’avenir de l’humanité est de répéter à l’infini des guerres de clans je n’en vois pas l’intérêt et elle peut disparaître sans que cela ne me gêne.
Enfin si vous êtes un individu isolé et non le membre d’une tribu, vous n’êtes pas un nomade mais un marginal.
@reactitude
Tu es nomade dans une caravane qui t’appartient? Ou alors SDF avec TA maison sur le dos et TES chaussures au pieds?
Tu signes toujours du même pseudo qui te désigne mais qui est une propriété qui t’es propre.
Ce n’est pas la propriété qui est coupable de la fin des libertés et du début de l’esclavage. Tu le dis toi-même que ce n’est pas son naturel. Car justement le seul coupable de ces bassesses est bien la nature humaine. Regarde comme des « elus » s’imposent et comme des assujettis se laissent mener aux pâtures…
Propriété et droit de propriété sont 2 choses différentes.
Je n’ai pas besoin de l’État pour qu’un bien soit mien.
Au fait, comment expliquez-nous le marché noir ?
Vous croyez être propiétaire de votre maison ou appartement?
Vous ne l’êtes pas vous en êtes locataire.
L’impôt foncier en est le loyer que vous payez à l’Etat, sous peine d’être exproprié.
Une de mes connaissances, bénéficiaire d’allocations-logement, locataire d’un HLM, paye un loyer inférieur à mon impôt foncier, alors que j’ai moi-même payé de lourdes traites pendant 20 ans.
mais bien sur si tu ne paye pas l impot l etat met ton bien aux encheres pour le montant de ta dette….
La propriété, ça n’existe pas. Abolissons-là !
La france n’appartient pas à l’état . Ce dernier est une organisation politique et juridique au service de la nation, bien que ses membres ont tendance à croire linverse.
Cette organisation a comme principal mission de faire respecter les règles dont le droit de propriété.
En 2010, les verts de la Gironde faisaient le constat que le wharf (déversement des eaux. usées) polluait les eaux à quelques mètres de la Dune du Pilat. Malgré les stations d’epuration , la pollution existerait encore.
Le tourisme est une activité très lucrative mais qui pollue beaucoup.
Je pense que les rupains polluent plus que les pauvres.
Les pauvres ne se paient pas de vacances dans ces appartements du front de mer. Les SDF viennent sur les plages pour se laver et dorment à la belle étoile, font les poubelles pour y trouver de la nourriture.
C’est ça la liberté !
Tout est relatif bien évidemment
Prétendre que la propriété, le « capital » privé est attaqué c’est refuser de regarder la réalité en face. Il suffit de regarder la bien portance des assurances privées complémentaires, sur-complémentaire aussi bien pour la retraite que pour la santé, l’explosion des offres qui n’existaient quasiment pas il y a 50 ans. Vous pouvez aussi constater l’augmentation du capital privé depuis 40 ans et la stagation voire la baisse du capital public durant cette même période (passage de 300% du revenu national brut à 700% pour le capital privé). Vous parlez de nationalisations, mais avez-vous oublié les vagues de privatisation des années 80-90 ? Sans compter la multiplication des délégations de services publics et des PPP (qui coûtent une fortune aux Français). Soyons un peu sérieux.
Dernière chose, vous semblez considérer l’épargne comme le moteur du capitalisme. Mais c’est une grave erreur, le moteur du capitalisme c’est le crédit, le crédit créé ex-nihilo et non pas le crédit couvert par l’épargne. C’est grâce à ce type de crédit que peut exister une croissance capitaliste. Je vous rappelle cette réalité toute simple mais peut-être contre-intuitive pour certains : c’est le crédit qui fait l’épargne et non l’épargne qui fait le crédit.
Il suffit de regarder la bien portance des assurances privées complémentaires, sur-complémentaire aussi bien pour la retraite que pour la santé, l’explosion des offres qui n’existaient quasiment pas il y a 50 ans.
Tout va très bien ♫♪ madame la Marquise ♪♫, tout va très bien ♫♪
très bonne remarque. Aujourd’hui la situation semble plus mauvaise qu’il y a 50 ans, c’est ce que vous pensez ? Et il y a 50 ans, il n’existaient pas toutes ces complémentaires et sur-complémentaires. Donc….
Les gens faisaient autrement. Ils n’étaient ni plus cons ni plus mal qu’aujourd’hui ❗
Cette loi du 05/3/2007 lien Ouest France mériterait un article et meme plusieurs à 1ere vue il semble que les victimes devront aller au delà des juridictions françaises pour que leur droit soit respecté ce n’ est pas le seul délire un autre peu connu est que dans certain cas l’ on a obligation de cotiser à la sécu via la csg ..et l’ obligation de payer 100% des ses frais de médecine ça parait incroyable mais c’ est vrai en démo- CRASSE
C’est au pied du mur… qu’on voit le mieux le mur. -_-
Alors vivement le mur ! Et tant pis pour le réveil brutal des badauds.
Tous les jours on y a droit…
Les Français préfèrent la colocation !!(sic!!), et des reportages sur tous les merdias..
Les Français adorent les transports alternatifs comme le co-voiturage !!(sic!!)
Les Français vont moins en location de vacances car ils adorent le Camping..(sic!!)
Les arbres qui cachent la forêt : avec 800 000 Chômeurs en plus et 9 millions de pauvres, c’est sûr qu’il n’ont plus les moyens, ni de s’acheter de voiture, ni de louer un appartement, ni d’aller à l’hôtel(et bientôt de partir en vances).. On ne sait plus comment décrire la décrépitude de la consommation en France..Alors, avec les merdias, ils ont inventé les nouvelles tendances….Et ce n’est pas les 3 000 000 de Français qui ont fui cette incompétence ces dernières années et la grande vague de migration prévue en Juillet. Qui aideront à remonter les chiffres de la consommation.. Ils ont vendu leurs maisons, certaines sont vides, les nouveaux propriétaires partageurs, qui restent pour aider les nouveaux arrivants en masse, pourront laisser les portes ouvertes pour abriter, avec grand coeur, les nouveaux arrivants. De toute façon si les nouvelles chances, forces votre porte, vous ne pourrez les mettre dehors avant qu’un juge le décide dans 3 à 5 ans.. Pourquoi s’attacher à des choses matérielles en France ?
Et les médias, ils sont aux mains de qui ? Eh oui, eux ils se goinfrent et veulent que les moissonneurs s’appauvrissent et aient de mins en moins de liberté pour les critiquer.