Les tiraillements du Camp du Bien

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Les tiraillements du Camp du Bien

Publié le 13 mai 2015
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Il y a encore quelques années, il était assez facile de repérer les bons des méchants. Mais petit à petit, avec la crise et l’arrivée au pouvoir des Socialistes officiels, les cartes se sont brouillées, les méchants sont devenus foutrement plus nombreux, à mesure que les dénonciations des bons s’empilaient. En ce mois de mai 2015, on doit se rendre à l’évidence : le Camp du Bien s’est démultiplié pour ne faire qu’une succession de petits baraquements retranchés d’où partent des tirs nourris, tous azimuts.

Pour tout dire, c’est le bazar et une vache n’y retrouverait pas ses chatons.

Chat bourré

Jusqu’au 7 janvier dernier, on pouvait encore trouver des grandes idées qui rassemblaient mollement les individus, à l’instar des petits coquillages ballotés par une mer paresseuse. Il y avait l’antiracisme, bien sûr, la lutte contre les discriminations et pour l’égalité, décidément, la volonté d’en finir avec le méchant turbo-libéralisme (évidence nécessaire). À dose plus ou moins modérée, les combats pouvaient comprendre aussi ceux contre la pollution et le réchauffement climatique, la domination patriarcale et le massacre des bébés phoques. Simple, vous dis-je.

Après le 8 janvier, les choses sont devenues nettement plus complexe, tout d’un coup. Le Camp du Bien s’est retrouvé plongé dans un abîme de perplexité.

charlie hebdo intouchablesIl devait dénoncer l’abominable, mais devait à tout prix éviter l’amalgame, ce truc dangereux à base de bête immonde pilée et macérée dans du jus de communautarisme le plus aigre. Le Camp du Bien devait à la fois garantir, rubis sur l’ongle, la liberté des uns à s’exprimer, de préférence en faisant des dessins de figures religieuses sodomisant des enfants (suggestion de présentation), tout en expliquant aux autres la notion de respect et l’absolue nécessité de ne pas stigmatiser qui que ce soit, le tout en poursuivant ceux qui affirmaient s’exprimer autrement que dans les cases prévues à cet effet, tout en préparant ouvertement une loi de surveillance que la NSA n’aurait même pas osé pousser en loucedé.

Fatalement, même pour le Camp du Bien dont la souplesse intellectuelle est légendaire et lui permet de plier la réalité avec une dextérité invraisemblable, ce genre d’exercices acrobatiques peut provoquer des foulures (du droit) et autres entorses (aux principes de base) assez carabinées. Ce qui devait arriver arriva : le Camp du Bien explosa.

À présent, l’état des lieux est impossible à faire. Les Camps du Bien se tirent les uns sur les autres. Tenez, dans l’actualité, on trouve de tout.

Le Camp du Bien ne stigmatise pas, c’est dit. Mais comme le Camp du Bien est laïc, il ne voudra pas de certains signes ostentatoires, comme … une jupe trop longue. Le Camp du Bien est poursuivi par une association du Camp du Bien pour discrimination. Là encore, rassurez-vous, le Camp du Bien gagnera à la fin (je vous laisse choisir lequel, moi, je m’y perds).

Le Camp du Bien Caroline Fourest est pour la liberté d’expression, on l’a vu, et il lui arrive même de se fendre de livres entiers pour l’expliquer en long, en large et parfois un peu de travers. Alors le Camp du Bien Aymeric Caron dissèque et critique, dans une émission officiellement Camp du Bien Laurent Ruquier. Et parfois, ça se termine en distribution d’anathèmes. Prendre parti sera complexe. Le Camp du Bien gagnera, quoi qu’il arrive.

Le Camp du Bien, il n’aime vraiment pas trop discriminer. C’est très vilain, ça, monsieur. Mais le Camp du Bien admet que, parfois, faire des statistiques ethniques, ça peut le faire, à tort ou à raison. Bien sûr, lorsque le Camp du Mal entreprend de faire mine de s’y employer, c’est la tempête : Ménard qui tente de savoir combien d’enfants musulmans il peut avoir sur sa commune en comptant les patronymes arabes, c’est insupportable en République Socialiste du Bisounoursland. Sauf qu’à bien y réfléchir, il devient difficile de lui reprocher ce que d’autres prônent, ou font carrément. Au sein même du Camp du Bien, le Deux Poids, Deux Mesures entraîne des crispations…

D’un côté, on comprend que le Camp du Bien (ici, le ministre du Chômage, François Rebsamen), travaille pour l’égalité entre les hommes et les femmes au travail. De l’autre, le Camp du Bien ne saura pas tolérer qu’on supprime le « rapport de situation comparée » (RSC), institué par la loi Roudy de 1983. Le Camp du Bien lance donc une pétition contre le Camp du Bien. Rassurez-vous, le Camp du Bien gagne à la fin, même si on peut s’étonner que le Camp du Bien désire si ardemment faire des statistiques sexuelles, alors qu’il s’interdit de faire des statistiques ethniques.

Egalité, Taxes, Bisous : République du Bisounoursland

Le Camp du Bien, il a été Charlie. Mais à lire les Grands Penseurs Inévitables de ce Camp, il n’aurait pas dû, ou s’il l’a été, c’était pour camoufler son islamophobie. Le Camp du Bien bondit (forcément, se faire traiter de cryptofascisme et de pétainisme, ça picote un peu). La bataille sera homérique, le Camp du Bien en sortira vainqueur, c’est évident.

Et bon courage pour y comprendre quelque chose …

Alors que les scories de mai 68 retombaient en France, la société s’est progressivement accommodée de ces individus aux agendas politiques socialistes les plus agressifs, qui ont eu la présence d’esprit de se placer dans les strates les plus efficaces pour diffuser leurs messages, essentiellement les médias, l’enseignement et la politique. Ces messages bien spécifiques ont, « avec brio » si l’on regarde la société actuelle, fait passer le plaisir immédiat avant le bonheur, la consommation avant l’épargne, l’amusement et le divertissement avant le sérieux, et l’insouciance inculte avant la culture et le savoir. Après presqu’un demi-siècle, ça y est, la mission est réussie, qui consistait à faire en sorte que partout, tout le temps, les soldats de la Pensée Autorisée soient à l’affût, prêts à dégainer et à fusiller sur place le moindre impétrant qui aurait eu l’audace de penser de travers et de le dire.

Cette observation peut être faite dans à peu près tout le monde occidental, avec des variantes en fonction du terreau local, parfois plus conservateur, parfois plus progressiste. Mais en France, le mal est si profond, si bien implanté et la liberté d’expression est si bien corsetée que la moindre formule de dissidence est rapidement attaquée par des meutes de sicaires fanatisés du Camp du Bien.

Jusqu’à présent, cela avait eu pour effet de réduire au silence, ou à peu près, tout ceux qui ont le malheur de réclamer moins d’État, moins de cette solidarité gluante, de cette déresponsabilisation galopante, de cet égalitarisme forcené qu’on nous fourre partout, à toutes les sauces, dans tous les discours, à toutes les occasions, dans chaque commémoration, célébration ou événement. A contrario, tous ceux qui réclamaient exactement l’inverse ont eu des boulevards médiatiques, et, par voie de conséquence, les subsides généreux d’une République reconnaissante.

Seulement voilà : deux effets sont apparus progressivement.

D’une part, comme je l’ai dit, la mission du Camp du Bien est un succès : l’attrition des ennemis sous ses feux est complète. Malheureusement, des mercenaires sans ennemis finissent bien vite par s’ennuyer, et finissent par se chamailler.

D’autre part, la crise aidant, les subsides sont plus difficiles à distribuer. Le nombre de mercenaires du Camp du Bien a tant augmenté que payer leur solde devient fort coûteux. Il faut choisir celles des factions qui recevront, celles qui seront aidées, celles qui devront se débrouiller. Les repas sont plus frugaux, les appétits s’aiguisent, les crocs sortent. Et comme, en plus, aucun alpha n’a vraiment pris la direction, que le seul qui pourrait y prétendre est tout sauf un chef crédible, … les dissensions se muent en batailles rangées.

Le Camp du Bien n’a plus ni ressources intellectuelles ou morales, ni plus la moindre colonne vertébrale doctrinaire. Les penseurs et intellectuels, depuis longtemps éteints, ont été remplacés par des vendeurs de soupe populiste qui ont choisi de se tirer dans les pattes en s’accusant mutuellement de censure, de fascisme, de racisme ou de discrimination amalgamante pétaino-islamophobe (ne reculons devant rien) pour exister médiatiquement et grappiller, tant que cela sera possible, les quelques miettes que la France pourra encore leur offrir.

Le délitement du pays continue. Regardez-les bien se débattre dans la purée collante que tous ces groupes ont contribué à former. Regardez cette magnifique élite se focaliser sur ces kyrielles de sujets dilatoires alors que l’économie n’a jamais été aussi mauvaise. Regardez-les bien se foutre presque sciemment (j’insiste sur presque) de ceux qui paient pour leurs combats grotesques, leurs idées pourries et leurs débats indigents.

Regardez-la bien, cette élite, et profitez-en tant que vous pouvez. Parce qu’à un moment ou un autre, la réalité, implacable, va reprendre ses droits et tout ça va devoir s’arrêter. Ça risque d’être un peu douloureux.

le socialisme c'est magique
—-
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  • Muray sors de ce corps !

  • « un peu douloureux »

    C’est le cas de le dire.

  • A l’ordre du jour du conseil des ministres d’aujourd’hui, le sujet EXTREMEMENT important, primordial, nécessaire … porté par notre ministre de l’économie, de l’industrie et du numérique :

    – décret substituant la dénomination « CCI France » à la dénomination « assemblée des chambres françaises de commerce et d’industrie ».

    Alléluia ! l’économie Française est sauvée !

  • Merci pour les éclats de rire et la justesse ! Tchouang Tseu avait bien raison de dire de ne jamais laisser gouverner les Saints, parce qu’ils favorisaient alors, et ce irrémédiablement, les escrocs et les voleurs… 🙂

  • Le camp du Bien veut aussi entrer dans l’histoire en serrant la main d’un bienfaiteur pour l’Humanité (je parle du journal, bien sûr).

    Il devrait aussi rendre visite au digne représentant d’une dynastie historique elle aussi, qui se sépare de ses ministre à coup de missile sol-air !

    • Et bien sûr toujours pas un mot pour les Cambodgiens le 17 avril ou pour les Vietnamiens le 30… Tous victimes du Camp du Bien (et accessoirement un peu trop jaunes et trop bouddhistes).

      • Vous n’êtes pas seul à y penser… Guère nombreux certes. La repentance à sens unique, on attend les émeutes dans le 13ème et à Belleville pour en parler ? #ohwait

        « Don’t listen to what Communists say, instead look closely at what the Communists do! »

    • La dynastie historique, avec ses missiles, c’est pour le troisième mandat :mrgreen:

  • c’est qui la bombe sur la photo à gauche ?

  • Bonjour, l’ article aurai pu se finir par « ce camp du bien est foutue »

  • Mes respect cher Maitre H16. Merci pour bon (mauvais) moment tellement il est réaliste.

    Oui ce pays est foutu et l’Europe l’aide à sombrer encore plus vite.

  • Excellent comme toujours H16 .. mais putain quand cela va t-il s’arrêter ? quand la réalité va t-elle reprendre la main ?

  • Moi, je suis pour le clan du bien
    Paske « Roudy can’t fail »

  • moi ce que j’adore dans l’histoire de la jupe trop longue, c’est la réponse administrative :
     »
    Ikram n’a jamais été exclue de cours à cause d’une jupe trop longue, explique Raymonde Rouzic. Cette sanction serait liée à un manque d’investissement dans son travail. » L’inspectrice n’a toutefois pas pu obtenir la raison exacte de l’exclusion.
     »
    Apparemment les notes c’est trop traumatisant, et « l’exclusion  » (TM) c’est Mal, par contre exclure une élève pour « manque d’investissement dans son travail » c’est OK. Va comprendre, Charles …
    De mon temps le « manque d’investissement dans son travail » ça se traduisait au contraire par une inclusion supplémentaire sous forme d « heures de colle », mais c’est le progrès, je suppose.

  • La confusion entre morale et politique est un signe patent de tendance totalitaire.

  • Je sens dans ce pays comme une période de glaciation : les politocards s’agitent du menton mais tout le monde s’en fout. Personne ne parle vraiment de leurs réformes débiles et de leurs états d’âme.

    L’agitation de la société française dans sa caisse de résonance a fait place à un silence glacial.

    Plus aucun écho.

    On a atteint le point haut. Il va se passer quelque chose sous peu.

  • Changer les dénominations, on n’imagine même pas le coût en lettres , enveloppes, tampons, cartes de visites et plaques… Mais comme c’est l’état qui paie, c’est pas important.
    En Voyage dans le golfe, il regardait à droite, sur son plan de vision gauche on coupait en tranchettes une femme : sans jugement : n’en demandez pas autant au défenseur des droits de Charlie (d’ailleurs il n’est pas au coura, il ne l’a pas dit ça!! gueueu gueueu).
    http://www.seneweb.com/news/61/une-femme-decapitee-en-pleine-rue-a-la-m_n_145417.html

  • C’est certain qu’on est en train d’entrer dans le dur. Ils sont en train de se bouffer entre eux. Mais quoi de plus normal : comment concilier islam, féminisme, laïcité, lutte contre l’homophobie et l’antisémitisme ? Où est l’intrus ?

  • C’est certain qu’on est en train d’entrer dans le dur. Ils sont en train de se bouffer entre eux. Mais quoi de plus normal : comment concilier Hisse-lame, féminisme, laïcité, lutte contre l’homophobie et l’antisémitisme ? Où est l’intrus ?

  • François Hollande a été élu grâce à une campagne de tout les instants pour diaboliser son adversaire (il a bien réussi:même sur ce site, les internautes perdent toute objectivité dès qu’il s’agit de lui), et grâce à une posture et un discours destiné par contraste à le situer dans le camp du bien.

    Encore aujourd’hui quand l’opposition ose critiquer une action gouvernementale, plutôt que d’avancer des arguments et de s’expliquer pour convaincre, on préfère critiquer l’adversaire, lui reprocher son action ou inaction passée, et toujours le traiter d’affreux méchant. Vals l’a bien compris et est un champion de cette (im) posture.

    L’étape suivante, malheureusement est de légiférer pour combattre les méchants, au début sur des choses assez consensuelles comme les affreuses caricatures racistes de taubira, puis plus subtilement sur des choses moins evidentes comme le fait de conseiller de quitter la secu, d’obliger à dénoncer son employé pris en excès de vitesse,…

    Finalement, pourquoi ne pas interdire tout de suite les partis de droite?

    • « Encore aujourd’hui quand l’opposition ose critiquer une action gouvernementale, plutôt que d’avancer des arguments et de s’expliquer pour convaincre, on préfère critiquer l’adversaire, lui reprocher son action ou inaction passée, et toujours le traiter d’affreux méchant. Vals l’a bien compris et est un champion de cette (im) posture. »

      valls est un faschiste. il est temps de l’obliger à assumer sa nature en l’écrivant à la bombe de peinture sur les permanences du ps.

  • Il est clair que l’enseignement, les medias, la politique rassemblent plein de gauchistes, rhabillés en socialistes ou en républicains. Les plus dangereux ne sont pas ceux qui sont restés militants, mais ceux qui ont le pouvoir d’Etat.

    S’il y a sans doute une appétance de l’intellectuel pour la gauche et ces métiers intellectuels, la partie demeure jouable.
    Un libéral, c’est aussi un intellectuel (l’entrepreneur lui est un praticien de l’économie concurrentielle). Ce que fait le militant gauchiste ou socialiste, le militant libéral peut le faire : syndicalisme libéral dans l’administration, journaliste libéral, politicien libéral.

    Le problème du militant libéral est que presque tout reste à faire : réaliser des projets media (s’inspirer de Contrepoints, du Collectif Antigone) ; organiser des rencontres avec le pays réel : entrepreneurs, artisans, paysans, collecter des témoignages des exclus comme les chômeurs ou les sdf. Pourquoi ils en sont là ? Dialoguer avec les autres opposants au socialisme : catholiques, conservateurs, autonomistes, indépendantistes, identitaires…

    Une coalition majoritaire anti-socialiste ne peut pas prendre sur les seuls thèmes libéraux, ni sur les critères républicains du camp du Bien. Suivre l’adage l’ennemi de mon ennemi est mon ami.

  • je suis vraiment rassuré le Camp du bien a gagné. C’est ça la bonne réponse

    Ce pays n’est pas encore foutu. Il est juste en train de finir de scier la branche pourrie sur laquelle il est assis.

    Bisous

  • plus sérieusement aujourd’hui un collègue de bureau assiste à une réunion d’entreprises présentant leur capacité marketing. A la suite de la réunion, l’échange est libre entre les intervenants. Mon collègue tombe sur le représentant d’une entreprise privée, fournisseur d’un service à notre société et avec laquelle nous rencontrons de nombreux problèmes. Il commence à lui détailler nos problèmes en lui suggérant de s’atteler à trouver rapidement une solution, que nous commençons à évaluer d’autres solutions en sus des recours judiciaires que nous pourrions prendre contre eux en raison de leur manquement au contrat. Le gars lui répond alors qu’il s’en contrefout, n’est pas concerné. Il est en stage de l’ENA pour 6 mois, stage obligatoire, qu’il n’attend qu’une seule chose, c’est de retourner dans le service public…
    Alors quand les élites, les corps dirigeants de l’état tiennent ce genre de raisonnement, je crois que nous sommes vraiment foutus…il faut fuir.
    Des anecdotes de ce style, j’en ai 3 autres au moins à partager avec vous…
    Allez bisous a tous. Ne faites pas trop de mauvais rêves, ils ont prévu de la vaseline et sans doute de l’opium pour tous…

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