Par Damien Theillier.
Un article de l’Institut Coppet
La couverture média des émeutes de Baltimore a été courte. Trop courte. D’autres sujets plus croustillants sont arrivés aux oreilles des rédactions.
Dommage, car ce qui s’est passé à Baltimore peut se passer, d’une certaine façon, en France.
Je suppose que vous savez ce qu’il s’est passé. Un jeune homme a été arrêté de façon très musclée par la police. Pour quelle raison ? On l’ignore. La justice le découvrira.
Freddy Gray était connu défavorablement de la police. Ces 10 dernières années, il avait fait l’objet de 22 interpellations liées à la drogue – détention et trafic.
À sa mort, les quartiers populaires de Baltimore se sont embrasés : agressions physiques, saccages, et scènes de pillages.
Voyez : la colère a remplacé la raison. Un certain nombre de journalistes ont évoqué une lecture raciale de l’événement. Les pauvres Afro-Américains contre les policiers blancs. Cette grille de lecture ne tient pas, dès lors qu’on sait que l’unité d’intervention était constituée de policiers de tous les horizons.
La cause est ailleurs, et trop peu de médias en ont parlé.
Avant de vous en dire plus, je veux être sûr que nous soyons sur la même longueur d’ondes : il ne s’agit pas d’excuser les émeutiers. En aucun cas. En effet, détruire un peu plus son environnement n’est pas le meilleur moyen de s’en sortir. S’attaquer à la propriété privée durement acquise par ses proches – les biens des voisins, les petits commerçants – ne crée pas non plus de la croissance.
Vous connaissez Frédéric Bastiat. Vous connaissez son sophisme de la vitre cassée. Imaginez que la vitrine de votre magasin favori est cassée. Belle affaire pour le vitrier. Belle affaire pour l’économie ?
Non, dit Bastiat :
« La vitre étant cassée, l’industrie vitrière est encouragée dans la mesure de six francs ; c’est ce qu’on voit. Si la vitre n’eût pas été cassée, l’industrie cordonnière (ou toute autre) eût été encouragée dans la mesure de six francs ; c’est ce qu’on ne voit pas. »
C’est vrai. Les conditions de vie dans les quartiers pauvres sont difficiles. Le chômage dépasse 8,4 % de la population active (contre 5,5 % en moyenne). Revenir sur le marché du travail est difficile et de trop nombreuses personnes dépendent des bons alimentaires. Sans travail, pas la dignité de gagner son pain quotidien de ses propres mains.
Mais d’où vient ce manque de travail ?
Jeffrey Tucker listait plusieurs causes de l’émeute de Baltimore : la guerre contre la drogue, la militarisation de la police, le communautarisme, le nivellement vers le bas de l’éducation, etc.
Je ne développerai ici qu’une seule cause.
Baltimore est un bastion démocrate depuis plusieurs décennies. Avec une politique centrée sur l’assistanat, une partie de la population est coupée du monde du travail. Comment ? En développant un salaire minimum.
Et tant qu’à faire, un salaire minimum bien trop élevé.
8,25 dollars de l’heure aujourd’hui, et il est prévu de l’augmenter à 10,18 dollars en 2018. Toute personne incapable de produire 8,25 dollars plus bénéfices est automatiquement exclue du marché du travail.
Pourquoi cela éloigne-t-il les plus faibles du travail ? Regardez cette vidéo sous-titrée par l’Institut Coppet :
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…le fantasme de la ‘white guilt’ (la ‘culpabilité blanche’)
Comme tout fantasme, il n’est, précisément, qu’ un fantasme. Comme l’explique très bien Henry Louis Gates Jr., professeur à Harvard, dans un article paru dans la très respectable ‘Grey Lady’ The New York Times
http://www.nytimes.com/2010/04/23/opinion/23gates.html?scp=1&sq=henry%20gates&st=cse&_r=1,
‘the sad truth is that the conquest and capture of Africans and their sale to Europeans was one of the main sources of foreign exchange for several African kingdoms for a very long time // la triste vérité est que la conquête et la mise en captivité d’Africains et leur vente à des Européens fut une des principales sources d’échange avec l’étranger pour pas mal de royaumes africains et ce, pour un très long laps de temps’.
Ce professeur oublie – à dessein? – que les grands commerçants d’esclaves en Afrique furent pendant des siècles et presqu’ exclusivement des musulmans (les Européens ne s’aventurant à l’intérieur du continent que fort tard), comme le note Thomas Sowell, lui-même un noir, dans ‘Race and Culture’, BasicBooks 1994, p. 188, où il écrit que 11 millions de noirs furent ainsi expédiés outre-Atlantique, et que 14 millions furent transférés dans les pays musulmans d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient. Mais, dit-il, pour chaque esclave capturé, beaucoup d’autres durent mourir. Les estimations de ce ‘collateral damage’ varient: ainsi le célèbre missionnaire David Livingstone avait estimé que pour chaque esclave parvenu à une plantation, cinq autres furent tués dans le raid initial ou moururent de maladies et d’épuisement pendant les marches forcées (David Livingstone, ‘Woman’s Presbyterian Board of Missions’ 1888, p. 62). Ceux qui furent laissés sur place, c’étaient les très jeunes, les faibles, les malades et les vieux. De cette façon, le chiffre de 25 millions d’esclaves fournis par les marchands d’esclaves musulmans aux divers marchés cache un chiffre de morts estimé à 120 millions.
Ce professeur ‘oublie’ également que les pirates de la Côte de Barbarie exécutèrent longtemps des raids meurtriers sur les côtes européennes, faisant environ 1,25 millions de prisonniers pendant les 5 siècles que cela durait, cf Joshua London, ‘Victory in Tripoli: How America’s War with the Barbary Pirates Established the U.S. Navy and Shaped a Nation’, John Wiley & Sons, Hoboken NJ, 9/2005. Ladite guerre (2 campagnes en fait) mit fin à ce trafic dont les victimes par ailleurs et pendant longtemps, furent aidées (rachetées si possible) par des organisations charitables surtout françaises comme les mathurins. [L’idée d’envahir l’Algérie reposait d’ailleurs en partie, en France, sur la connaissance o combien étendue et vivace de ce trafic séculaire.]
Contrairement cependant aux 14 millions de noirs exportés vers les pays musulmans qui n’eurent que très peu de descendants, les 11 millions transférés en Amérique firent souche et prospérèrent. Le mot n’est pas trop fort: en effet, suffit de comparer les conditions de vie des malheureux (descendants d’) esclaves américains avec celles de leurs heureux congénères + descendants restés en Afrique, pour immédiatement comprendre l’étendue du désastre cà d de ce ‘white guilt’.
J’ai vu il y a plusieurs années déjà , un film que je n’ai malheureusement pas enregistré. Il y fut question du s.i.d.a. et de son origine, qui semble bien se trouver quelque part dans l’est de l’ex-Congo belge. Ce film donc montra un hôpital, le même, à environ 25 années d’intervalle. Premières images, datant de 1959: une route en parfait état menant à cet hôpital moderne, bien tenu et propre, les instruments flambant neufs, les chambres accueillantes et douillettes, les patients bien nourris et habillés, le personnel souriant. Puis, ce même hôpital un quart de siècle plus tard: une succession de nids de poule menant à une bâtisse délabrée, la peinture se détachant par plaques, les instruments ayant un air de ‘déjà -vu’ trop incontestable que pour s’y étendre plus longuement, les chambres dans un état indescriptible, les patients affamés, le personnel les mains dans les cheveux. Explication? Mobutu et son authenticité zaïroise avaient passé par là ; sa fortune personnelle, pour finir, équivalait à peu près à la dette publique zaïroise, honni soit qui mal y pense… – des phénomènes identiques s’ étant manifesté dans toute l’Afrique noire après la décolonisation, j’ai déjà mentionné Mugabe,
http://www.contrepoints.org/2015/06/05/209913-les-islandais-attaquent-leurs-banques-pour-faux-monnayage#comment-1134627.
J’ai également eu l’occasion, dans ce contexte, de citer Hegel
(http://www.contrepoints.org/2015/06/13/210825-pas-de-decollage-africain-sans-etat-de-droit#comment-1136708),
et j’attends toujours qu’on vienne le contredire (mais avec des arguments, pas avec des sentiments, si bons fussent-ils). Je viens de citer Thomas Sowell, qui dans un de ses articles de fond dont je suis friand, décrit une réalité qui en son temps, n’avait pas échappé à Hannah Arendt, cf ‘THE LAST INTERVIEW and other conversations’, Melville House, Brooklyn – London 2013, p 95-96 où elle note (dans une interview ‘Krisen der Republik’ donnée à Adelbert Reif en 1970) que « now, if a section of the city becomes black as a result of the policy of integration, then the streets run to seed, the schools are neglected, the children run wild – in short, the neighborhood becomes a slum. The principal sufferers, aside from the blacks themselves, are the Italians, the Irish, the Poles, and other ethnic groups who are not poor but are not rich enough either to be able simply to move away or to send their children to the very expensive private schools // si donc une section de la ville devient noire suite à la politique d’intégration, les rues sont pleines d’ordures, les écoles sont négligées, les enfants courent n’importe où – en bref, le quartier devient un slum (bidonville). Ceux qui en souffrent principalement, à part les noirs eux-mêmes, sont les Italiens, les Irlandais, les Polonais et d’autres groupes ethniques qui ne sont pas pauvres mais pas non plus suffisamment riches pour simplement déguerpir ou pour envoyer leurs enfants dans les écoles privées horriblement chères ».
Si quelqu’un sait une meilleure définition/description de la ‘white guilt’, qu’il n’ hésite pas à la communiquer.
l’esclavage, jusqu’à une période récente à l’échelle de l’Histoire, constitua l’une des pratiques les plus universelles pratiquées par l’humanité, sur les cinq continents et probablement depuis que cette humanité existe. Les paléontologues mirent récemment en évidence des traces d’esclavage à l’ère paléolithique, c’est-à -dire 6000 ans avant JC. toutes les civilisations ont pratiqué l’esclavage, la première a l’avoir abloi c’est la civilisation occdentale. l’esclavage fut aboli dans les royaumes chrétiens d’Europe occidentale dès le XIII ème siècle. Ainsi Louis XIV déclarait-il « tout esclave posant les pieds en mon royaume sera immédiatement un homme libre ». L’Occident chrétien fut, pendant plusieurs siècles, la seule civilisation à avoir banni l’esclavage sur son sol. La quasi-totalité de l’humanité le pratiquait alors.
Lisez l’Histoire des traites négrières de l’historien Olivier Pétré-Grenouilleau, spécialiste de l’histoire de l’esclavage. il y a eu 11 millions d’Africains victimes du trafic occidental, 14 millions pour la traite inter-africaine, 17 millions pour la traite orientale.
les arabes musulmans sont les plus grands esclavagistes de tous les temps.Tidiaine N’DAYE, un sénégalais musulman, dans son livre « Le génocide voilé », paru en 2008, rappelle que si l’esclavage transatlantique a été une tragédie, celui arabo-musulman a été une MONSTRUOSITE pour reprendre ses termes. autre livre intéressant: l’esclavage en terre d’islam de Malek Chebel http://www.herodote.net/622_au_XXe_siecle-synthese-12.php une vidéo tres intéressante: https://www.youtube.com/watch?v=cJiArz9pOMw les plus grands esclavagistes de tous les temps furent les arabes. ils ont d’ailleurs, réduit plusieurs millions d’européens en esclavage. http://www.pvr-zone.ca/esclave_blanc.htm http://www.dailymotion.com/video/xwin8f_islam-et-esclavage-la-traite-negriere-arabo-musulmane_news?start=67 https://www.youtube.com/watch?v=o1__Y5RuPJU&feature=youtu.be v=MzQ0MQ%3D%3D http://fr.guyderambaud.wikia.com/wiki/Les_esclaves_français_des_Maures_et_des_Turcs.#cite_note-2
Il y a aujourd’hui 70 millions d’individus qui sont DESCENDANTS ou METISSES d’Africains qui PEUPLENT le continent américain, des Etats-Unis au Brésil en passant par les Îles Caraïbes, ALORS qu’on n’en trouve PLUS trace dans les pays arabo-musulmans. pq ?? parce qu’ils ont tous disparu. car les arabes pratiquaient la castration systématique des esclaves males(https://www.youtube.com/watch?v=eXlmwx1qHDQ ). la traite négrière arabe a duré beaucoup plus longue dans le temps ( du VIIIe au XXe siècle). La traite occidentale ( à partir du XVIe siècle, vers les Antilles et les Amériques ) aurait eu du mal à se développer si elle n’avait pu s’appuyer sur des structures esclavagistes existant de longue date en Afrique et qui avaient été implantées par des ethnies et des Etats islamisés ( Peuhls, Wolofs, Haoussas, … : toutes peuplades dites » niangs » , c’est-à -dire à peu près l’équivalent de » talibans » : » ceux qui étudient le Coran » ) qui se livraient, d’abord au profit des négriers maures, puis tout naturellement ensuite au profit des négriers blancs, à la chasse aux peuplades » niaks » ( animistes ), jugées inférieures et simiesques
…Ã qui le dites-vous.
Vos sources me sont connues, évidemment. Mais saviez-vous qu’ il y eut au moins un grand roi noir qui avait comme qui dirait des pressentiments? « (…) Sonni Ali ou Ali Ber (1464-1492) était un farouche adversaire de deux peuples dont certains éléments étaient récemment islamisés: les Peuls et les Touareg. Dans l’avance progressive de ces ‘non nègres’ vers la boucle du Niger, il voyait une terrible menace pour le monde noir. Ses pressentiments paraissent d’ailleurs justifiés puisque ce sont d’autres musulmans non noirs, les Marocains du sultan saadien Ahmed el Mançour, qui devaient, un siècle plus tard, mettre fin à la grandeur du royaume Sonrhay. » (R. et M. Cornevin, ‘Histoire de l’Afrique’, Petite Bibliothèque Payot 1964, p.164.
« La quasi-totalité de l’humanité le pratiquait alors » – – – mmmmouais
« Der Umstand, dass diese unwürdige Einrichtung (i.e. die Sklaverei) in China weitgehend fehlte, stellte eines der bemerkenswertesten Kennzeichen der chinesischen Zivilisation dar [Fuβnote: …die tsu (Fronarbeiter) gaben einen unerschöpflichen Vorrat an billigen Arbeitskräften ab. ‘Jeder männliche Gemeine im Alter zwischen 20 und 56 Jahren war zu einem Monat Arbeitsdienst pro Jahr verpflichtet’ (…)] // La circonstance que cette institution indigne, l’esclavage, n’a pratiquement pas existé en Chine, fut une des caractéristiques les plus remarquables de la civilisation chinoise [note en bas de page: les tsou (ouvriers corvéables) fournirent une force de travail inépuisable. Tout homme du commun âgé de 20 à 56 ans était tenu à un mois de service de travail par an (…)] . »
Arthur Cotterell/Yong Yap, « Das Reich der Mitte », Knaur München, ISBN 3-426-03735-1, p. 36).
votre commentaire ne contredit en rien ce que je dis au contraire. Vous dites vous même que c’est une particularité de la culture chinoise par rapport à tous les autres cultures de ne pas avoir eu d’esclavage.
C’est vrai, encore aurais-je dû mettre l’accent sur le fait que les Chinois ont toujours été, sont et resteront probablement, une TRES grande portion de l’humanité
D’un autre côté, il est établi et vous le savez sans aucun doute, que les pyramides égyptiennes ne furent pas construites par des esclaves mais par des hommes libres très bien payés en nature
« l’esclavage, jusqu’à une période récente à l’échelle de l’Histoire, constitua l’une des pratiques les plus universelles pratiquées par l’humanité »
J’objecterais que l’Europe chrétienne (disons à partir de l’an mil) fit notablement exception à cette règle, ou plutôt rompit (graduellement et non brutalement) avec elle après s’y être conformée depuis la nuit des temps.
C’est une autre circonstance atténuante à l’esclavage occidental en Amérique: Il s’agissait des confins extrêmes et sauvages de notre aire de civilisation, extrêmement loin de son coeur. Contrairement aux traites arabo-musulmanes, qui étaient au coeur même de cette civilisation.
Autre précision: C’est la contrainte étatique qui a entretenu l’esclavage aux USA, envers et contre le peuple et la culture. Selon Stefan Molyneux, sans l’interdiction d’affranchir par testament, la guerre de sécession n’eût pas eu lieu puisque, en prolongeant la tendance existant lorsque cette loi scélérate fut instituée, on constate qu’elle aurait permis de libérer deux fois tous les esclaves Noirs américains…
Sans parler de l’obligation faite à tous les Blancs de pourchasser les esclaves Noirs fugitifs, alors que 95% n’en possédaient pas et donc ne tiraient que des inconvénients de cette institution abjecte.
Sans parler des Noirs libres et propriétaires d’esclaves Noirs…
Conclusion:
L’histoire de l’occident chrétien démontre doublement que le christianisme exclut l’esclavage. Éteint une première fois, il n’ a pu resurgir que temporairement, à la faveur d’un contexte extrêmement isolé et par l’irruption de la différence raciale.
Cette résurgence a été permise par l’État et a perduré à cause de lui.
Elle n’a eu aucun rapport avec la liberté économique (évidemment) et s’est produite en violation des positions des autorités chrétiennes et de la liberté non seulement des esclaves Noirs, mais aussi de leurs propriétaires Blancs (ou Noirs
si vous lisez tout mon commentaire vous voyez que c’est un peu ce que je dis.
« Cela peut se passer en France », malheureusement les medias sont censurés, durant 12 jours il y a eu des émeutes dans un quartier populaire de Tourcoing – Oui mais le PS se réunissait et il ne fallait pas que les medias, lui fasse de la peine. Alors silence total.
http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuFupAyulysXnbvmeK.shtml
8.4% de chômage c’est difficile dans un quartier aux USA ? Pas en France ou le chômage dépasse 26% dans les quartiers et ou le gouvernement s’en félicite et fait cacher par des medias serviles les émeutes. Autre pays, autres moeurs ! Aux USA la désinformation, ne semble pas encore de mise.
Notez que dans l’indifférence générale, Ils ont recommencé en vue des prochaines élections, à distribuer des crédits à tour de bras au plus défavorisés : chacun sa house. Alors un pauvre américain -Noir ou Blanc- n’a rien à voir avec un pauvre Français.
« Aux USA la désinformation, ne semble pas encore de mise », non, en effet: le First Amendment étant ce qu’il est, non seulement des islamistes radicaux comme Anjem Choudary ont le droit le plus strict de propager la sharia, mais encore des journalistes comme Pamela Geller ont le droit le plust strict de les contredire (et de les ridiculiser) en public,
http://www.realclearpolitics.com/video/2015/05/07/draw_mohammed_contest_pamela_geller_vs_fundamentalist_muslim_anjem_choudary.html
Cependant, ce n’est pas que les bien-pensants ‘politically correct’ ne fassent de leur mieux pour en finir une fois pour toutes avec cet honteux état des choses:
« Kirsten Powers’ new book, ‘The Silencing,’ nails it by showing just how bad things have gotten for free speech in America (…) Her book catalogues and analyzes the dehumanization and demonization techniques the illiberal Left applies towards anyone who dares to veer from their rigid narratives // Le nouveau livre de Kirsten Powers, ‘The silencing’, le met en exergue en montrant juste combien la libre parole est mal en point en Amérique (…) Son livre catalogue et analyse les techniques de déhumanisation et de démonisation que la gauche illibérale applique envers tout un chacun qui ose de se départir de leurs rigides ‘narratives’ (j’aurais tendance à traduire: ‘histoires à dormir debout’, comme p.ex. la ‘narrative’ de la ‘white guilt’). »
http://thefederalist.com/2015/05/20/lgbt-activists-arm-for-further-war-on-free-speech/
« Ils ont recommencé en vue des prochaines élections, à distribuer des crédits à tour de bras au plus défavorisés  » c’est justement ce qui a causé la crise des subprimes, Clinton pour se faire réélire a fortement incité les banques à prêter aux pauvres
les gauchistes n’apprendront t ils jamais de leurs erreurs du passé ??? cela me facscine la faculté qu’ont les gauchistes à mettre une politique qui a déja été mise en oeuvre ailleurs et qui a été un désastre. mais bon, pour un gauchiste ce n’est pas le résultat qui compte mais l’intention. ce n’est pas grave si des régimes socialistes ont massacré des tas de gens vu que c’est l’intention qui compte
Qu’est-ce qui brûle vraiment à Baltimore ? 50 ans de politiques d’Etat-providence socialiste.
http://davidstockmanscontracorner.com/whats-really-burning-in-baltimore-50-years-of-liberal-welfare-state-policies/
oh oui, David Stockman! j’ai déjà eu le (malin) plaisir de le citer en terminant par ‘il y a de l’espoir’
http://www.contrepoints.org/2015/06/09/210342-versailles-lupanart-de-lart-contemporain
en effet, la moitié des policiers impliqués étaient des noirs mais bien sûr, la plupart des médias n’en ont pas parlé tout comme ils n’ont pas dit que le chef de la policier, la maire, le procureur,….étaient tous des noirs. ils ont préféré crier au racisme.
http://www.slate.fr/story/100985/ferguson-baltimore-emeutes-problemes-raciaux
Le salaire minimum n’a pas pour seul effet d’éloigner les plus vulnérables du travail.
Il appauvrit aussi les plus pauvres, y compris ceux payés à ce salaire, car ils consomment du travail payé à ce salaire (ils font leurs courses chez Wal Mart et pas chez Costco).
Il raréfie le travail peu qualifié, celui que consomment les pauvres.
Autre effet pervers: La désertification des campagnes, qui ne peuvent compenser leur faible densité que par un coût du travail plus réduit. Abolissez ce monstre qu’est le salaire minimum, et bien des pauvres trouveront une vie décente à la campagne.
Le salaire minimum est la preuve absolue que le socialisme est un refus de penser, une révolte contre la raison, une régression intellectuelle tribale.
Sur ces sujets il faut réécouter Thomas Sowell ou Walter E Williams: Le racisme de gauche détruit le capital humain de la population noire américaine, et la gauche n’a pas l’excuse de l’ignorance.
La gauche a délibérément refusé de les écouter.
Révolte contre la réalité et idolâtrie de la violence étatique, le socialisme méprise la voix de la sagesse et redoubles de stupidité et de brutalité à chaque catastrophe par elle causée…
Comment arrêter cette spirale ?
Tant que le pouvoir politique est morcelé, il reste à fuir les zones ravagées par le socialisme.
Mais maintenant que Washington est une citadelle socialiste et viole allègrement et répétitivement toutes les limites constitutionnelles, quel espoir pour les USA ?
http://www.dreuz.info/2015/06/21/la-guerre-de-la-gauche-contre-les-noirs-en-amerique/#sthash.hV6TNsLw.dpbs
La guerre de la gauche contre les Noirs en Amérique
« Au nom de la « guerre contre la pauvreté », la gauche américaine a mis en place des subventions qui n’ont pas fait reculer la pauvreté, mais ont multiplié les familles noires monoparentales, augmenté considérablement le nombre de noirs vivant dans des « ghettos », créé un terreau favorable aux gangs et au crime chez les noirs. Cette politique, mise en place sous Lyndon Johnson, n’a jamais été vraiment remise en cause depuis. Il en a résulté une « contre-culture » noire extrêmement destructrice pour la population noire. Cette « contre-culture » a été sans cesse regardée d’un œil favorable par la gauche, qui a détourné le regard du nombre de morts noirs qui a été la conséquence. La gauche américaine est responsable de l’existence des « ghettos », de la criminalité noire, de la destruction de la famille chez les noirs, de la mentalité d’assistés chez tant de noirs, de la haine anti-blanche et anti-policiers chez les noirs. Elle est responsable du nombre de noirs criminels, du nombre de noirs en prison, du nombre de noirs tués par d’autres noirs, entre autres. Quand j’entends des gens de gauche aux Etats Unis déplorer le « racisme » dans leur pays, j’ai un sentiment de dégoût »
Il existe de nombreux mythes au sujet de la composition ethnique homogène des centres-villes. L’intelligentsia et les médias, affirment que c’est causé par les « inégalité des revenus, » la « cupidité » et l’impossibilité pour certains de gagner « un bon salaire . »
Ce qui est jamais mentionné, c’est la politique explicitement raciste du gouvernement via l’Administration des travaux publics du New Deal (fait par le Parti démocrate) et de la Federal Housing Administration.
L’Administration des travaux publics avait une politique de ségrégation explicite que logement public pourrait seulement être créé pour abriter les personnes de la même race que le quartier dans lequel il est situé. Mais les logements sociaux ont été créé dans les quartiers en grande partie mixtes, qui ont été détruits et remplacés par des logements sociaux distincts. Cela a créé une ségrégation raciale où rien n’avait existé, et cette intégration avant l’intervention du gouvernement était dans les années trente lorsque le racisme est plus socialement acceptable.
Il y a peut-être encore plus de succès pour la ségrégation des régions métropolitaines de la Federal Housing Administration. La FHA a financé la production de masse de logements sur les subdivisions (comme Levittown) dans la trentaine, la quarantaine et la cinquantaine. La FHA a donné des prêts concessionnels avec des taux d’intérêt inférieurs aux constructeurs comme Abraham Levitt à condition qu’aucune des maisons de ces quartiers seraient vendues aux noirs.
George Romney que le Secrétaire de l’HUD sous Nixon a tenté de remédier à la situation lorsqu’il a proposé de retenir des fonds fédéraux pour toute communauté suburbaine qui n’a pas de ségrégation appelées communautés ouvertes. Les démocrates se sont opposé à lui. Au milieu d’un tel tollé sur ces politiques Nixon a été contraint de freiner lui.
http://prospect.org/article/public-housing-government-sponsored-segregation
http://www.civilrights.org/publications/reports/fairhousing/historical.html?referrer=https://www.facebook.com
quelques liens pour aller plus loin sur la question de la ségrégation résidentielle aux USA: http://www.manhattan-institute.org/html/cr_66.htm
http://www.s4.brown.edu/us2010/Data/Report/report2.pdf
« Les pauvres afro-américains contre les policiers blancs » Il n’y a jamais eu aussi peu de racisme aux usa, les données montrent que le racisme est en baisse constante depuis au moins les années 1960. Alors pourquoi des sondages récents montrent un pessimisme sur les relations raciales ?
Parce que les médias ne s’arrêtera pas en parler ! Et la preuve de l’amélioration des relations entre les races est enfouie sous des incidents racistes très rares. http://edition.cnn.com/2014/11/26/us/ferguson-racism-or-racial-bias/index.html?hpt=hp_t1
Ce sont les blancs qui sont les plus tués par la police américaine: https://scontent-ams3-1.xx.fbcdn.net/hphotos-xap1/v/t1.0-9/1475904_362494303936571_2399803834584440319_n.jpg?oh=9dd431ca2abe5153e833ca5f13f52a65&oe=55F26978 et non pas les noirs. Les Noirs commettent des crimes avec violence à un taux beaucoup plus élevé que les blancs. Et par rapport à la fréquence où ils commettent des crimes violents, ils sont tués à taux plus faible par la police que les blancs.
(attention. Blancs comprends l’ensemble des blancs y compris les hispaniques)
L’Amérique est l’un des pays les moins racistes au monde: http://www.washingtonpost.com/blogs/worldviews/wp/2013/05/15/a-fascinating-map-of-the-worlds-most-and-least-racially-tolerant-countries/
87 % des américains approuvent le mariage mixte entre blancs et noirs contre 4 % en 1958: http://www.gallup.com/poll/163697/approve-marriage-blacks-whites.aspx
cela montre clairement qu’il y a bcp moins de racisme qu’avant
Vos liens au dessus montrent également qu’il y a jamais eu aussi peu de ségrégation résidentielle aujourd’hui depuis 1910. preuve de l’attuénation du racisme
« ségrégation résidentielle » ségrégation résidentielle entre les différents ethnies
les blancs ont plus de chances d’être tués que les noirs: https://www.facebook.com/UnbiasedAmerica/photos/pb.123061011213236.-2207520000.1435089755./313534055499263/?type=3&theater
je voulais dire tués par la police.
autre lien qui prouve cela: https://www.facebook.com/UnbiasedAmerica/photos/pb.123061011213236.-2207520000.1435089755./313314445521224/?type=3&theater