Par Benoît Rittaud
et le jury du Climathon (qui dénonce avec la dernière énergie le satanique Collectif des climato-réalistes)
Énorme frappe cette semaine de la part d’une institution qui devient décidément incontournable dans la compétition de propagande climatique.
Après sa victoire en semaine 26, qui suivait celle de sa ministre Najat Vallaud-Belkacem en semaine 24 (qui lui avait valu le titre de championne de printemps), l’Éducation nationale française s’illustre encore au Climathon. C’est cette fois son Conseil supérieur des programmes qui rafle le titre de la semaine, pour la splendide institutionnalisation de la propagande climatique proposée dans son projet de programme pour les cycles 2, 3 et 4.
Le cœur de la victoire est un passage qui propose ce fabuleux item « climatologie et développement durable » dans le chapitre des enseignements artistiques :
Simple hasard ou allusion cryptique au Climathon, l’item qui précède immédiatement ce morceau de bravoure est celui-ci :
Une autre partie du projet de programme concerne la science fiction l’histoire-géographie. On y trouve l’énoncé d’une cause de mobilité humaine dont on serait bien en peine de trouver un exemple factuel avéré mais dont on prophétise sait qu’elle fera des trillions de déplacés d’ici 2010 très bientôt.
De façon fort pertinente, le projet de programme précise bien qu’il ne saurait être permis aux élèves de poser des questions. Il s’agit au contraire de les rendre dociles et soumis.
Ainsi donc, comme l’a dit la ministre Najat Vallaud-Belkacem, « il faut que les élèves votent oui », et bien sagement. (À quoi doivent-ils voter oui ? Mais au Référendum maudit, voyons !)
Cette belle victoire ne saurait se conclure sans des encouragements chaleureux à l’enseignant qui a porté à la connaissance du jury ce magnifique projet de l’Éducation nationale. Ayons une pensée pour cet enseignant qui, après quelques errements de jeunesse, a enfin intégré le sens profond de sa noble mission, aidé en cela par une hiérarchie qui semble n’avoir pas ménagé sa peine pour le remettre dans le droit chemin. Avec pudeur, cet enseignant a ainsi requis l’anonymat, désireux qu’il est de « ne pas revivre le cauchemar qui a empoisonné [s]a vie pendant plusieurs années : rapports de [s]a hiérarchie, sanctions administratives, etc. » Le chemin de la rédemption est dur parfois, mais libérateur. Voilà au moins une âme sauvée, qui n’apparaîtra pas dans la liste de ceux qui soutiennent en leur nom le Collectif des climato-réalistes (actuellement 161 personnes damnés).
Les accessits de la semaine
Parmi les nombreux cataclysmes causés par l’Irréversible Réchauffement, la hausse du niveau des mers est l’un des plus concrets, des plus implacables et des plus frappants pour l’imagination. C’est un phénomène très simple à comprendre (ça chauffe => ça fond => ça monte => on est noyés) et peut s’appuyer sur l’intemporel mythe du Déluge. Cette semaine, c’est Le Plus de L’Obs qui se colle à l’illustration de l’Apocalypse hydrologique en ouvrant ses colonnes à Dorota Retelska, docteure en biologie, pour un article mélangeant opportunément histoire géologique, hypothèses gratuites soutenues par des faits et prédictions farfelues, et projections robustes.
S’appuyant sur les travaux de James Hansen et Valérie Masson-Delmotte (cette dernière étant signataire du fameux Appel pour stopper les crimes climatiques, vainqueur de la semaine 35 ainsi que champion d’été du Climathon), l’article annonce les Désastres Vengeurs qui menacent notre Humanité inconsciente.
« [L]es socles de glace maintiennent en place d’énormes glaciers. S’il cèdent (sic), les glaciers couleront plus vite. Les fragments pourraient être ensuite emportés vers des eaux plus chaudes, et fondraient vite. L’inlandsis Ouest-Antarctique pourrait se briser et fondre en quelques décennies, vers la fin du XXIe siècle. Dans ce cas, le niveau de la mer pourrait monter de plusieurs mètres en 2100.
(…)
Les données paléontologiques indiquent qu’une montée du niveau de la mer de six à neuf mètres en quelques décennies s’est déjà produite dans l’histoire de la Terre, à une température similaire.
(…)
Une semblable élévation du niveau de la mer de quelques mètres pourrait se produire au XXIe siècle. »
Partant de faits plus ou moins établis, on émet une hypothèse et, une fois enclenché le conditionnel, il ne reste qu’à dérouler :
« La banquise semble effectivement se fragmenter, des grandes parties de glaciers se détachent, et l’Antarctique-Ouest est maintenant fragilisée, si bien que sa désintégration est devenue inéluctable. Le niveau de la mer monterait alors rapidement, probablement précédé par des vagues immenses. Les scientifiques mentionnent que la fonte des glaces réelle pourrait être encore plus rapide que leurs prévisions. Elle se produit peut-être déjà aujourd’hui. »
Désintégration inéluctable, vagues immenses… Le Déluge, on vous dit ! Petit plus : l’article ne manque pas de caser l’adjectif qui fait peur :
« Ce modèle semble décrire la réalité d’aujourd’hui. La fonte de glace est de plus en plus rapide, elle semble augmenter de façon exponentielle. »
Une carte des terres rognées par les flots déchaînés en cas de hausse du niveau de l’océan (de 7 mètres, allons-y gaiement) plus tard, l’article conclut en usant de probabilités de façon fort sibylline limpide :
« Actuellement, d’autres experts calculent et vérifient probablement s’il y a une chance sur deux ou une chance sur trois que les événements décrits ici ne se produisent.
Pour les auteurs, c’est une quasi-certitude. »
Les indécrottables optimistes qui espèreraient une rédemption possible en seront pour leurs frais :
« Dans le futur, peut-être, des nouvelles solutions technologiques existeront, mais les dangers émergent à une vitesse à laquelle nous ne pourrons faire face. »
C’est la fin d’un cauchemar pour les tenants de l’orthodoxie : le fameux plateau de températures qui montre que la Terre ne se réchauffe plus depuis quinze ou vingt ans n’a jamais existé. Nada. Rien. Un simple mirage, comme s’en targuait déjà le Journalderéférence en juin. C’est cette fois Ouest France qui nous annonce triomphalement la parution d’une étude de l’Université de Stanford qui montre que tout ça, c’était rien qu’une bête faute de calcul :
« L’apparente pause dans le rythme récent du réchauffement, qui a largement été accepté comme un fait, est en réalité un signal artificiel créé par des biais dans les méthodes statistiques. »
C’était pourtant simple :
« Pour cette nouvelle étude, les scientifiques ont modifié la méthode statistique couramment utilisée en biologie ou en médecine, « mais pas idéale pour étudier les processus géophysiques ». »
L’argumentation n’est certes pas très étoffée, mais le principal, comme le reconnait le vice-président du GIEC, qui ne semble pas trop fâché de la remise en cause radicales des méthodes statistiques frelatées utilisées depuis des années par ses ouailles, c’est que « cette étude enfonce le dernier clou du cercueil de la notion de pause véhiculée par les semeurs de confusion climatique ».
Un esprit inquiet pourrait se dire que, somme toute, aussi bien L’Obs que le Journalderéférence et Ouest France se permettent de remettre en cause certains résultats et méthodes jusque là  tenus pour acquis par le GIEC. Les climato-sceptiques se seraient-ils infiltrés jusqu’au cœur de l’establishment ? Mettons tout de suite le holà à la théorie du complot : la véritable boussole qui permet de suivre la voie de la bonne science n’est pas celle de la constance dans les méthodes, mais de la constance dans le « c’est pire ». Toute étude prévoyant des résultats plus catastrophiques dans des délais toujours plus brefs doit être jugée comme intrinsèquement recevable. Évidemment, celles qui osent minimiser ou reculer la date du Déluge se doivent d’être dénoncées comme criminelles.
Comme le rapportent aussi bien le Journalderéférence que Direct Matin, la célèbre nuit blanche parisienne a choisi un thème tout ce qu’il y a d’original : le climat. La fête se donne pour ambition d’être un « premier écho artistique » à la COP21, et démontre si besoin en était l’extrême vitalité du milieu artistique contemporain. Le Journalderéférence, qui nous rapporte le programme au titre évocateur « Atmosphères ?… Atmosphères ! » souligne qu’il s’agit « d’une façon de rappeler que l’art contemporain, tout autant que l’avenir de la planète, concerne tout le monde. ». Même si le parallèle entre les deux ne saute peut-être pas aux yeux, reconnaissons au moins quelques similitudes entre l’art contemporain et la lutte contre le réchauffement climatique, dont un appétit marqué pour les subventions publiques (40% de la centaine d’œuvres étant par exemple des commandes publiques). Parmi toutes ces œuvres traitant de thématiques aussi insolites que la fonte des glaces, la déforestation et le réchauffement climatique, le jury du Climathon, quitte à se défaire brièvement de sa légendaire neutralité, confesse un certain penchant pour les 270 blocs de glace colorés du Ice Monument de l’artiste chinois Zhenchen Liu destinés à fondre lentement sur le parvis de l’Hôtel de ville. Le jury regrette seulement qu’il n’ait pas été prévu de jucher un ours blanc du zoo de la Flèche en haut d’un des blocs pour démontrer de manière définitive les conséquences dramatiques de la fonte des glace sur cette espèce.
L’appel déjà rappelé plus haut « pour en finir avec les crimes climatiques » est désormais célèbrissime pour sa large victoire au championnat d’été (bien que le nombre de ses signataires reste aujourd’hui inférieur à celui de la liste des soutiens au Collectif des climato-réalistes). Déjà signataire de ce premier appel, Naomi Klein (brillante vainqueur en semaine 14) a tenté la passe de deux en lançant en pleine campagne des élections législatives canadiennes un Manifeste qui ressemble furieusement au premier. À noter cependant que les principales envolées lyriques qui en faisaient tout le sel, et notamment l’appel à l’insurrection, ont malheureusement été caviardées (peut-être dans un souci de meilleure adéquation avec les préoccupations de l’électeur canadien). En recyclant jusqu’à l’intitulé de son plaidoyer, le « Manifeste du grand bond [en avant] » (The Leap Manifesto), Naomi Klein rend un hommage appuyé aux grands anciens et démontre, si besoin était, qu’elle ne se laisse pas impressionner par les représentants du grand Capital qui tentent sans vergogne de décrédibiliser depuis 50 ans l’audacieuse politique économique menée par le grand Timonier. Le jury est particulièrement sensible à ce louable effort de déploiement opérationnel d’une économie circulaire de la pensée climatique et sociale.
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Sur le web.
« Manifeste du grand bond [en avant] »
Pour l’honnête citoyen correctement éduqué (celui qui a su s’extraire de la propagande éhontée de l’éducation nationale), il ne fait aucun doute que le réchauffisme climatique n’est qu’une tentative désespérée de Communisme 2.0. Entre les versions, il y a simplement une différence de positionnement par rapport au temps. Avec les cocos « classiques », l’évolution historique de la société jugée infernale devait mener inéluctablement au paradis communiste et il ne s’agissait que d’accélérer sa survenue (le paradis n’attend pas). Avec les néo-cocos escrologistes, il s’agit d’instaurer le paradis communiste tout de suite afin d’éviter demain l’enfer climatique dont les idéologues menacent les faibles d’esprit apeurés et tremblants.
L’éducation nationale ferait mieux de faire réfléchir sur les écueils /erreurs méthodologiques des réchauffistes . Je conseille à tous de lire le Livre blanc rédigé par la Société de calcul mathématique ( rapport de 171 pages mais il y a un résumé) afin de comprendre la difficulté de mesurer les températures et de conclure quelque chose et aussi de comprendre pourquoi il est insensé d’attribuer les supposés problèmes aux activités humaines. Bonne lecture et à diffuser pour que nos concitoyens redeviennent un peu plus  » scientifiques « et moins manipulables.
http://www.scmsa.eu/archives/SCM_RC_2015_08.pdf
Ce qui est stupide, c’est qu’on nous dit de quoi on doit ou ne doit pas avoir peur, comme si la peur était quelque-chose de rationnel, mesurable, quantifiable, panifiable et que cela pouvait résoudre le problème d’avoir peur ou pas :
– de la fonte des glaces, peur tu auras,
– de la chaleur peur tu auras,
– de l’écart des revenus peur tu auras,
– de la pollution peur tu auras,
– de la rigueur peur tu auras,
– des robots peur tu auras,
– des entrepreneurs peur tu auras …
Mais :
– l’endettement point ne craindra,
– les réfugiés point de craindra,
– la police et la surveillance de tes faits et gestes point ne craindra,
– le refroidissement point ne craindra,
– le chômage point ne craindra,
– les politiciens, les menteurs, les escrocs patentés point ne craindra,
– l’administration omniprésente point ne craindra …
Mais au delà de la peur, qui évalue les problèmes ? Qui établit des priorités ? Qui agit ? Qui évalue l’efficacité des actions AUTREMENT que pour générer de nouveaux messages de peur ou de tranquillité totalement subjectifs, biaisés et en dehors de la réalité et des véritables préoccupations justifiées ou pas. Comment pourrait-on de toutes manières mesurer le progrès et l’efficacité sans avoir défini le but et les priorités. La plupart des vrais problèmes (dette, chômage, désindustrialisation, déstabilisation de pays et de continents …) sont niés ou masqués et l’on invente sans cesse de nouveaux problèmes impossibles à vérifier ou à mesurer.
La plus grande peur (rationnelle) que l’on devrait avoir n’est-elle pas celle de l’incurie de ceux qui sont sensés nous gouverner ? Car si on les installe sur des fauteuils dorés ce n’est pas pour qu’ils nous fassent peur, mais pour qu’ils aient peur à notre place. S’ils estiment devoir agir, ils ont le pouvoir. Mais s’ils se trompent qu’ils craignent la réaction du peuple en retour.
J’ai eu la désagréable surprise de constater que la lutte pour sauver le climat s’était insinué dans le passage du code de la route. Ainsi un des thèmes abordés brièvement et la conduite éco-responsable et son impact sur le « changement climatique ». J’ai également vu passé deux questions relatives à ce sujet et la bonne morale qui va avec (les voix off lors de la correction aux questionnaires).
Argument 1 : 80% du pétrole extrait dans le monde brulé dans les transports.
Argument 2 : Maximums de températures en augmentation bcp plus rapide ces dernières années, même sur une longue échelle de temps.
Pour moi, penser qu’il n’y a pas de réchauffement est pour moi une absence de bon sens tout simplement..
(même si je reste ouvert aux démonstrations mathématiques + ou – complexes)
Bien entendu, cela ne veut pas dire que les plantes n’aiment pas le CO2 (carbone positif pour elles) ni que les coraux n’arriveront pas à s’adapter (ils y en a déjà qui commence à s’adapter)
Pour les pays du nord, le réchauffement est positif.
Le problème est pour les pays du sud. Heureusement, nous leur versont déjà environ 0.5% de notre RNB.
Le plus problématique en fait est la baisse de biodiversité dont nous faisont parti.
Et penser que notre biologie génétique pourra compenser cela est un peu présomptueux qd même (http://www.automatesintelligents.com)
Source de votre argument 2?
Et explication de « ces dernières années, même sur une longue échelle de temps » ?!?
quand je pense que tout est ecrit depuis 1972
http://www.asterix.com/la-collection/les-albums/le-devin.html
« Pour moi, penser qu’il n’y a pas de réchauffement est pour moi une absence de bon sens tout simplement.. »
Pour votre gouverne, c’est exactement la thèse du GIEC : il n’y a pas de réchauffement, sauf si l’Homme change des trucs.
Effectivement, c’est totalement dépourvu de bon sens…
« Le problème est pour les pays du sud. »
Lesquels ?
Ceux entre les tropiques, dont le climat est entièrement fixé par la météo quotidienne (l’orage de fin de journée etc.), climat qui donc n’a pas changé et ne changera pas de sitôt ?
Ceux du sahel, qui risquent, les pauvres, de revoir le Sahara reverdir comme il y a 10 000 ans ?
…
lesquels, donc ?
« Le plus problématique en fait est la baisse de biodiversité dont nous faisont parti. » Faudrait savoir : il y a changement climatique ou pas ? Parce que le changement ne menace pas la biodiversité, il la rend possible. Les environnements présentant le plus de biodiversité sont les environnements instables et fluctuant, tandis que les environnement stables sont d’une pauvreté affligeante.
une remarque la température est une grandeur associée à un système donné.
EN conséquence réchauffement climatique doit vouloir signifier réchauffement du système climatique… doit on y mettre les océans?
En réalité , ce qu’on croit savoir c’est qu’il y a eu une augmentation d’un machin qui n’a pas de sens physique qui s’appelle temperature globale des températures « de surface » et en réalité de la surface de la mer essentiellement et ce depuis environ un siècle…et là par exemple j’ai comme un problème…me dire que la temperature moyenne de l’ensemble des océans es connue depuis 100 ans avec une précision telle qu’on puisse conclure quoique ce soir me rend dubitatif ou pantois….
alors soit, depuis que nous disposons de mesure satellitaires on peut un peu recouper les « mesures » « terrestres » et là vous avez le choix car ces mesures ne se recoupent pas tant que ça…mais en climatologie, ça ne semble pas faire problème…
Si on choisit les mesures satellitaires… les modèles ne font pas un très bon boulot… si on choisit les mesures terrestres et qu’on arrive à les suivre, car elles changent sassez souvent , c’est un peu meilleur…
LA question que vous devez vous poser n’est donc pas y a t’il réchauffement climatique…mais comment peut on prétendre avoir des certitudes avec un truc pareil???
Je crois que de plus en plus, on modélise les mesures. Comme on sait que les modèles de Tglobale sont faux dans leurs prévisions, on peut se dire que les modèles de de Tglobale sont probablement aussi faux dans le présent et le passé : les paramètres qui échouent à prévoir les températures futures peuvent difficilement être crédibles pour reconstituer les températures passées, remplir les trous dans les données ou évaluer les températures au fond des océans avec quelques dizaines de sondes pour la planète ?
Et comme par hasard, avec une petite modélisation plus fine(aude) la « pause » du réchauffement disparait.
Mais qu’attendent-ils pour médéliser à fond la courbe du chômage afin de créer de l’emploi ?
Pour la biodiversité c’est exactement le contraire: toute modification drastique favorise de nouvelles espèces.( principe de l’écologie).Les mammifères ( donc nous) se sont développés grâce aux changements drastiques sur terre. Lorsque l’homme crée un étang il favorise la diversité. Même quand il met le feu il favorise la diversité (pin alep, sequoia..) etc…c’est l’absence de changement qui appauvrit car in fine les espèces invasives prennent le dessus au dépend des autres.
1. 80% du pétrole est brûlé en transport
2. Plus de même de chaton que l’année dernière.
Personne de sensé ne peut ne pas établir un lien clair et incontestable.
Subventions publiques pour les Fétes et l’art contemporain, appel aux dons pour sauver La Victoire de Samothrace et autre chefs d’oeuvres intemporels…
Tout est politique.