Ouf, la France est sauvée encore une fois des miasmes fétides du parti pas républicain-mais-qui-a -le-droit-de-se-présenter.
Une autre analyse de cette volonté de front républicain pourrait être, dans un esprit chagrin aigri par des années de gouvernances catastrophiques « UMPS », que nos hommes politiques refusent de partager le gâteau, tout simplement.
Le fric, les prébendes, les voitures, le train de vie, les chauffeurs, les secrétaires, la fifille casée comme attachée, le beau-frère dans la commission d’urbanisme, les potes du syndicat dans des formations professionnelles, des millions qui viennent à point pour appointer les militants méritants dans ces milliers de structures qui se créent et se superposent sans problèmes, pour élaborer de nouvelles normes qui permettront d’embaucher de nouveaux experts en application des normes en question.
Ça a dû être un gros sacrifice pour les régions abandonnées par Valls : tous ces militants professionnels, toutes ces associations subventionnées, tous ces relais qui vont disparaître, cet argent-subvention qui ne sera plus là à la fin du mois. Et qui ira dans les pompes à finances des nouveaux venus, leur permettant de renforcer leur prise de pouvoir pour prévoir l’achat de sympathies pour dans 6 ans. Le socialisme nordique et celui de Paca auront du mal à surmonter ces absences. Martine Aubry ne pourra plus la ramener, ni les autres barons qui auront dû leur survie à la stratégie des deux guignolos de l’Élysée-Matignon..
Et il ne reste qu’un pouvoir monarcho-jacobin, Flanby, qui se rend de plus en plus indispensable pour 2017, flanqué de Manuel Quasimodo.
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