« Les Bourgeois c’est comme les cochons ça fait du bruit quand on les égorge ». Ce sont ces mots doux qui accompagnent les journées de milliers d’étudiants depuis plusieurs semaines maintenant, semaines pendant lesquelles les facs se sont retrouvées prises en otage par une poignée d’agités tous plus marxistes les uns que les autres.
Bâtiments occupés, saccagés, des vols de matériel s’élevant à plusieurs milliers d’euros (que le contribuable se verra gracieusement facturés), et des étudiants interdits d’étudier. Cette triste situation ne fait que refléter ce qui se passe à l’échelle nationale.
Les syndicats, qui ne représentent, rappelons-le, que 7% des travailleurs, se sont autoproclamés représentants du peuple, et du haut de leur monopole, embrigadent les foules dans une succession de manifestations grotesques, et brident nos libertés. En effet ce sont les syndicats qui décident de l’ouverture des magasins le dimanche, au mépris de l’avis des salariés, tout comme ils décident, à l’échelle universitaire, de qui a le droit d’étudier ou pas.
Ce sont donc les syndicats et autre bloqueurs manifestants qui imposent leur loi. La crainte de Raymond Boudon quant à la « tyrannie des minorités actives » semble prendre forme et c’est à nouveau que nos libertés se retrouvent bafouées et piétinées. Cette réaction illustre combien la réforme de ce Code du travail archaïque est plus que nécessaire, elle est vitale.
Enfin après une semaine de véritable guérilla un média en parle. Ce silence était vraiment insupportable.
Tous ces gamins qui adorent le communisme mériteraient bien leur tour au goulag!
La violence dans leurs propos et leurs cassures sont si grandes par rapport à cette loi si petite, que ça en dit long sur l’impossibilité à réformer ce pays.
Moi c’est décidé, dès que l’opportunité se présente je quitte cette France qui n’est plus mon pays.
non j ‘aimerais bien être comme ces étudiants, bourrés d’incohérences et de contradiction et absolument sur d »avoir raison, ça doit être di soux d’imaginer que les autres doivent prendre ma vie en charge, e décide de ma vie et les autres payent…le rêve..
D’abord, (je le dis sans doute à cause de mon âge) il faut garder une indulgence pour la jeunesse dont il est difficile de nier qu’on ne fait pas tout ce qu’il faudrait pour un accès à un premier travail, donc à une insertion sociale autonome: leur frustration est compréhensible et leur ambition n’est pas, pour la grande majorité, de glander pour une petite allocation!
Le marxisme: ils n’ont pas vécu la période inquiétante où U.S.A. et U.R.S.S. se regardaient en chiens de faïence, toujours prêts à mordre: la « guerre froide ». Beaucoup n’ont même pas vécu « la chute du mur », dit, à l’époque de la construction: »mur de la honte ». Ils ne connaissent donc pas bien les pratiques du communisme qui promettait le « grand soir » où avec des « citoyens libres, égaux et solidaires », verrait leur « radieux avenir ».
Par contre, ils connaissent bien le « turbo-libéralisme », notion dévoyée, à la Goldman-Sachs, dans lequel l’argent est LE critère de toute activité humaine, les jeunes n’étant qu’une classe d’âge de consommateurs à séduire pour vendre mieux et plus!
Est-ce étonnant qu’à un âge, au sortir d’une adolescence plus ou moins révoltée, quand on veut dessiner le sens de sa vie, on aille vendre des hamburgers chez Mc Do avec un bac + 5, simplement pour pouvoir se payer sa « colloc » et « croûter », qu’on puisse se révolter? Non, c’est compréhensible! Bien sûr, « Podemos » est vraisemblablement un leurre mais seuls, ils n’ont aucune chance d’être entendus.
Ce n’est qu’une des conséquences de ces 40 dernières années, en France, politiquement mais pas seulement! (Et les « socialistes »
ne sont donc pas les seuls fautifs.)
Quand aux syndicats: qui d’autre a les budgets pour organiser marches et manifestations ou tracts, sans compter ce coup de main pour s’opposer à la politique et à la « démocratie » et imposer leurs propres volontés? (« alliance objective » ou « récupération »: ce fut aussi le cas en ’68)
A Jeremie..Exact c’ est ce qui est en train d’ arriver en France..On quitte le pays car liberte egalite fraternite sont trois mots qui n’ ont plus cours en France..c’ devenu de l’ anarchie ou chacun fait ce qu’ il veut sans etre inquiette au contraire l’ impuissance de l’ Etat pousse tout un chacun a faire selon ses desirs..Bof..
La France est tout sauf une anarchie (si seulement), une anomie pour ces casseurs et autres zadistes oui c’est sûr.
Mais pour le reste de la population nous obéissons bien à notre grand maître et dieu-serviteur l’Etat.
Nos gouvernements ou ce qui en tient lieu ne récoltent jamais que ce qu’ils ont semé
En même temps si les jeunes sont ainsi, cela vient bien de l’éducation qu’ils ont reçu….l’éducation post 68 commence à montrer ses magnifiques effets….
On va tout droit vers des générations de demeurés, c’est comme ça..
Quand je vois que l’une de mes connaissances est prof d’histoire, pourtant totalement unculte, marxiste et disons le ignare, cela ne me rassure pas du tout pour l’avenir
inculte pardon, au moins je ne suis pas prof de français !
Une loi « travail »: quoi de plus détestable quand on ne vise qu’à faire comme tant de Français: vivre aux dépens des autres, dans la fonction « publique », dans les associations bidons (ex. ), ou bien en n’étant pas imposable comme la moitié des foyers fiscaux du pays (ce qui donne l’occasion à nos « chers » élus, lesquels s’accordent un beau petit « paradis » fiscal, soit dit en passant, de lâcher les chiens sur ceux qui fraudent le fisc, des salauds qui refusent de cracher au bassinet pour les entretenir)?
Ce n’est pas tant le marxisme qui anime ces « jeunes », totalement incultes, cela va sans dire, mais le désir de se la couler douce en exigeant des autres qu’ils bossent à leur place, comme le font si bien tous les syndicalistes…
Eh beh, ça va en faire des orphelins si on doit les bourgeois… A croire que tout ces gamins ne savent pas exactement d’où ils viennent…
:-), oui, hilare!
Je suis étudiant à Nanterre et libéral depuis un moment. Louis-Batiste Nauwelaerts je vois que vous être coordinateur SFL à la fac, comment puis-je vous contacter ?
Je trouve ça simplement scandaleux que les médias ne parlent pas autant de ces manifestations et leurs conséquences.
Pour vivre dans une ville théâtre de ces fameux débordements comme les journalistes aiment les appeler, il ne s’agit pas de petits débordements ou simples cassures mais bien de scènes quasi apocalyptiques d’une ville en guerre civile. Et personne n’ose s’attaquer à ces délinquants.
Même Daech qui effraie tout le monde n’avait pas eu le culot de s’attaquer à un hôpital, nos « casseurs » si.
Croyez-vous les médias impartiaux?
On peut cependant parier qu’avec un gouvernement de droite, toutes ces actions seraient couvertes par radios et télévision…
Les médias impartiaux ça se saurait. Surtout quand on voit la tête des manifestants, ça passerait mal de les montrer à la télé.
Mais le pire reste que les forces de l’ordre n’ont sûrement pas le droit de les toucher (je suppose). Ils préfèrent dire aux commerçants de ne plus travailler plutôt que de nous protéger. Pathétique.