La prison pour les climatosceptiques

La prison aurait un effet dissuasif sur les climatosceptiques. C’est l’argument très sérieusement défendu par des écologistes radicaux pour tuer le débat sur le réchauffement climatique.

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La prison pour les climatosceptiques

Les points de vue exprimés dans les articles d’opinion sont strictement ceux de l'auteur et ne reflètent pas forcément ceux de la rédaction.
Publié le 18 avril 2016
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Par Nick Gillespie.
Un article de Reason

Barreaux By: GraniersCC BY 2.0

 

Bill Nye, baptisé Science Guy en raison de l’émission pour enfants qu’il présentait sur PBS dans les années 1990, est d’accord pour emprisonner les gens qui remettent en question le changement climatique.

Voilà ce qu’il déclarait :

Il y a un effet dissuasif sur les chercheurs qui doutent fortement du changement climatique, et je pense que c’est bien.

Interrogé sur l’affirmation du militant écologiste Robert Kennedy selon laquelle les climatosceptiques devraient être jugés comme criminels de guerre, la personnalité de télévision s’interrogea : « Nous verrons ce qu’il se passe ».

Dans une discussion à propos de l’action engagée par divers procureurs généraux contre ExxonMobil, action qui a conduit à des injonctions de think-tanks pro libre-marché comme le Competitive Enterprise Institute (CEI), Nye avait ceci à dire :

En tant que contribuable et électeur, l’introduction de ce doute extrême concernant le changement climatique affecte ma qualité de vie en tant que citoyen public… Dès lors, je peux comprendre pourquoi des gens sont très préoccupés à ce sujet, et qu’ils s’engagent dans des poursuites criminelles aussi bien que des discussions comme celle-ci. […] Qu’il y ait un effet dissuasif sur les chercheurs qui doutent fortement du changement climatique, je pense que c’est bien. (Bill  Nye, le Washington Times.)

Vous n’avez pas besoin d’être un partisan de la Terre plate pour penser que ce type d’attitude n’est pas forcément la bonne. La recherche fonctionne mieux lorsque les consensus sont atteints par la preuve et un accord large, pas par des menaces politiques et juridiques.

Le correspondant scientifique de Reason Magazine, Ronald Bailey, note que l’injonction du CEI, qui vise 10 ans de correspondance interne et d’informations privées sur ses donateurs, découlait directement d’une conférence organisée par Al Gore et comprenant plusieurs procureurs généraux d’États.

Leur cible principale est la société ExxonMobil, dont ils prétendent qu’elle a menti au sujet de la science écologique. Mais comme Bailey, qui n’est pas vraiment d’accord avec le CEI sur de nombreux problèmes et politiques liés au changement climatique, le fait remarquer,

interdire les désaccords sur la manière d’interpréter la recherche mène vers le chemin périlleux du lyssenkisme, dans lequel seule la recherche approuvée officiellement est autorisée à être pratiquée et discutée.

Et comme Glenn Reynolds, le professeur de droit de l’Université du Tennessee qui édite le site populaire Instapundit, l’a écrit dans USA Today, l’injonction visant le CEI est destinée à punir l’association à but non lucratif pour avoir reçu de l’argent d’ExxonMobil, et cela bloquera presque certainement sa capacité à lever des fonds auprès de ses donateurs. Tout cela parce qu’ils ne souscrivent pas à la bonne façon de penser et d’agir contre le changement climatique prônée par les politiciens.

Prescrire une telle orthodoxie semble être exactement ce qu’ils ont à l’esprit. Leur approche est, et j’utilise ce terme tout à fait délibérément, complètement non-américaine. En réalisant cette action, ils trahissent leurs serments professionnels, abusant de leur pouvoir et agissant contrairement à l’éthique en tant qu’avocats… Les défenseurs de la libre expression parlent déjà d’un boycott du tourisme aux Îles Vierges. Et partout les électeurs doivent se demander : si ces fonctionnaires de l’État ont un tel mépris pour les droits constitutionnels d’autrui, quelles seraient leurs prochaines cibles pour discours inacceptable ?

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  • Ça sent la fin pour les réalistes, la gestapo verte s’occupe de tout.
    L’accusation elle-même sera suffisante pour tuer le peu de raison qui reste. Si ça ne passe pas juridiquement au usa ça passera ailleur sans problème et les accusations seront suffisantes pour tuer faussement les réputation et arrêter toute recherche non officielle.
    J’en suis presque à souhaiter la victoire de Trump.

  • Les « verts » ont inventé une nouvelle « peur » pour asseoir leur pouvoir… après les nobles, la religion, l’argent, les syndicats… voilà le « réchauffement climatique »… comment peut-on même imaginer pouvoir prévoir le temps dans 50 ans quand on est incapable de prévoir avec certirude le temps qu’il fera demain…

    • D’accord pour le début…
      La seconde partie, par contre… On est incapable de dire ce qui arrivera à une molécule de gaz mais très capables de décrire ce qui arrivera au gaz dans son ensemble. Si on maîtrisait les dynamiques climatiques (et qu’on ne regardait pas les données uniquement par rapport à un modèle) on pourrait sans doute aucun faire de même (de bonnes prévisions « en moyenne » et à long terme) pour le climat. Mais on n’y est pas et tant que des ânes se prenant pour des scientifiques auront le monopole du discours publique sur le sujet, ça ne risque pas d’arriver…

      • @Franz: Votre comparaison est inexacte. Le climat est le résultat d’une somme d’évènements climatiques qui s’effectuent jour après jour, ou a des échéances beaucoup plus courtes. De fait, écarter les difficultés d’établir la météo est un mauvais signe sur la qualité de notre compréhension des mécanismes du climat.

        Exemple: le cycle de l’eau tourne autour d’une quinzaine de jours. L’accumulation de la chaleur dans l’océan dépend énormément de la couverture nuageuse. On a constaté que le climat réagissait plus vite que les modèles le prévoyaient face à une forte éruption volcanique. De fait le froid consécutif diminue l’évaporation, donc plus d’ensoleillement, donc réchauffement rapide.

        Qui dit météo dit cycle de l’eau. Or on a beaucoup de lacunes dans ce domaine.
        Et comparer le climat de la Terre à un ballon de plastique reviendrait à connaitre beaucoup plus de variable que sa pression ou ses dimensions.

        • Le climat ce n’est pas la météo…

        • Au contraire la comparaison de Franz est parfaitement exacte. Il est beaucoup plus facile de prévoir la quantité moyenne de pluie sur l’année que de prévoir la quantité de pluie qui va tomber chaque jour de l’année, de la même façon qu’il est bien plus facile de prévoir la moyenne d’un dé (3,5 ) que de prévoir à chaque coup si il va tomber sur 1, 2 ou 6. D’ailleurs, si on suit la métaphore du dé, le climat c’est la répartition des chiffres sur le dé, la météo c’est ce qui sort effectivement ( « le climat c’est le temps que vous vous attendez à avoir, la météo c’est le temps que vous avez vraiment » )
          Et nonobstant les catastrophistes, je parie volontiers que en 2050 le climat de Marseille sera resté Méditerranéen et celui de Bordeaux océanique tempéré, tout en restant parfaitement incapable de vous dire combien d’eau tombera sur ces villes le 1 mai 2050 (ou n’importe quel autre jour)

          • bof pas vraiment, on est incapable de prédire la moyenne des résultats de lancers de dés, notamment car on ne sait pas décrire un lancer…aussi on postule que chaque face est équiprobable, …mais on en sait rien….on est tout pareil incapable de prédire la pluviométrie moyenne sur une période car on ne sait pas si une tendance s’ajoute au bruit …on ne sait pas… aussi on postule d’abord que c’est stable..
            pour les dés on peut vérifier si hypothèse d’équiprobabilité tient…pas pour la pluviométrie.

            et personne ne sait prévoir le comportement d’un gaz réel, car un gaz réel n’est jamais isolé et les jolis principes de la thermo aident peu…faut voir comment il échange car en général dans tous les cas pratiques ça échappe à nos possibilités théoriques… On sait juste décrire des cas idéaux et encadrés…absolument pas concrets…

          • Je paris 1 euro (qui sera alors valorisé au taux courant) qu’il fera beau et qu’il ne pleuvra pas (on verra dans 34 ans).

          • @P: « le climat c’est la répartition, la météo c’est ce qui sort effectivement »

            Heu, non, ce serait plutôt l’inverse : la météo consiste à prévoir le temps, le climat enregistre le temps effectivement produit. La météo d’hier ne m’intéresse pas, comme les projections climatiques peu fiables non que peu d’intérêt sauf politiques.

            Encore une fois, ce que je critique dans la comparaison de Franck, c’est l’abus des estimations moyennes qui lissent tous les effets, alors que les difficultés de la météo sont justement dans la compréhensions des éléments composants le climat dans leurs réactions au jour le jour.

            Le fait que la prévision météo ne progresse pas et qu’on mette cela sur l’effet papillon, devrait être remis en cause. Meteo France, combien de conducteurs de train SNCF ?

            • Je ne pense pas qu’on puisse dire que les météorologues n’ont pas fait de progrès: leurs prévisions à court terme sont plus exactes qu’avant mais avec un problème qui demeurera encore longtemps: ils ont souvent raison à 50 ou 100 km, près. Ce n’est que normal: leurs informations sont plus fiables par les mesures enregistrées sur le terrain comme dans l’atmosphère, les photos par satellites sont une aide supplémentaire, comme les communications automatiques sur le plan « mondial ». Il est clair aussi que l’informatique facilite leurs calculs, enregistre les données constatées ce qui enrichit la banque de données et permet de comparer la situation d’aujourd’hui à des milliers d’autres situations plus ou moins semblables/différentes. Par contre, la moindre « erreur » peut changer le scénario!

              Si vous écoutez les prévisions, ils ont aussi l’honnêteté de donner un degré de fiabilité (souvent sur 5) ce qui signifie leur propre confiance/méfiance dans leurs prévisions suivant leurs hypothèses possibles. (Je me souviens d’un chercheur universitaire qui a eu le courage de confronter sur une longue période, leurs prévisions au principe aléatoire disant que « demain la météo sera comme aujourd’hui »: il n’y avait pas une très grande différence, à l’époque! On fait mieux, maintenant, grâce à la technologie.)

              Si on veut être réaliste, on a intérêt à accepter ces « vérités statistiques ». En science, chaque « progrès » apporte une réponse mais soulève 1000 nouvelles questions. (Mais toutes les prévisions climatiques ne reposent que sur des modèles mathématiques avec la réserve habituelle de « toutes choses étant égales par ailleurs », ce qui est rarement le cas!!! Ce genre de prévision est à comparer à celle de 1973 qui prévoyait qu’on n’aurait plus de pétrole à partir de ce siècle-ci! On voit bien ce qu’il en est!

        • @ amike
          Vous avez raison! Que ce soit pour la météo ou pour le climat, on en est encore à constater des événements et d’en enregistrer les conséquences dans le temps en tachant de trouver les liens logiques qui expliquent la relation de cause à effet qu’on peut tenter de reproduire en laboratoire pour les confirmer avant de les extrapoler « dans la vraie vie » comme un des nombreux éléments qui intervient sans doute dans la météo. Il convient donc de rester modeste, tant il y a probablement de facteurs susceptibles d’intervenir.

          Et il est évidemment absurde d’établir dès maintenant une « conviction » généralisée sur le résultat: le changement climatique péjoratif mondial. De là à récupérer cette conviction politiquement pour en construire une nouvelle idéologie, cela n’a d’intérêt que pour ceux qui en vivent! Beaucoup vivent de cette « conviction »: pensons simplement à A.Gore ou plus près, N.Hulot et Y.Arthus Bertrand (Ils ont tous les 3, dépensé des tonnes de carburant!)

          À part ça, « l’écologie » n’est pas, en soi, une mauvaise chose: l’économie d’énergie peut intéresser tout le monde, à commencer par les entreprises. Veiller à modérer la pêche pour assurer l’avenir des pêcheurs n’est pas sans intérêt. Recycler les déchets comme revenir à du réparable me convient en étant moins consumériste. Diminuer la pollution se fait pour le bien-être de tous etc …etc

          Quant à la COP21, pour l’ONU, ce peut être une occasion de réunir les autorités de pays sur un sujet (prétexte) pacifique, et donc provoquer le dialogue entre des pays qui se regardent « en chiens de faïence »: c’est bien l’une des missions de l’ONU! Mais c’est aussi une forme de récupération! Comme le sera la taxe carbone, si pratique pour les gouvernements, sans compter les intermédiaires qui rêvent d’ouvrir le marché des quotas!

  • les verts nous emmerdent ; ces gens là polluent autant si ce n’est plus que n’importe quel lambda ; si réchauffement il y a , ils y contribuent également ; je leur propose de se retirer dans un coin de la planête avec obligation d’y vivre comme à l’age de pierre ; je vois d’ici la tronche qu’ils feraient ;

  • Militons tous pour l’interdiction du monoxyde de dihydrogène (Dihydrogen Monoxide ou DHMO pour nos amis anglophones), une substance tellement dangereuse qu’il suffit d’en inhaler (même en faible quantité) pour risquer de mourir d’asphyxie…et faisons emprisonner ceux qui pensent que cette molécule est indispensable à la vie telle que nous la connaissons 😀

  • Cette attitude d’empêchement par la mise en prison (ou pire) de ceux qui ne pensent pas comme vous n’est pas réservée à quelques zozos comme le scientifique d’opérette qu’est Bill Nye mais s’applique désormais à l’ensemble des États de la planète par l’intermédiaire du « Lyssenkisme » de l’ONU :

    « Les pays devraient se dépêcher de ratifier l’accord de Paris sur le climat ou pourraient perdre la possibilité de déterminer comment le nouvel accord va fonctionner, a averti un officiel juridique de l’ONU. »*

    On touche désormais à la véritable raison de toute cette duperie mondiale qu’est le réchauffement climatique (par l’Homme), à savoir la GOUVERNANCE MONDIALE par l’ONU sans qu’aucun état ne puisse s’y opposer… Voir l’exemple de la COP21…

    Et au vu de ce que l’ONU a dans ses tuyaux (comme la diminution rapide du nombre d’habitants sur terre et le métissage de tous les peuples…) on peut craindre le pire.
    .
    *http://junkscience.com/2016/04/un-ratify-paris-climate-deal-or-face-exclusion-from-decisions/
    Qui reprend « climatechange news »

  • L’idéologie et le totalitarisme sont comme cul chemise. Les écologistes sont éminemment dangereux : beaucoup estiment que face, à l’homme mauvais, « sauver la planète » est un impératif ….

  • La prison?
    La prison!!

    Mais qu’est-ce que c’est ces demi-mesures?
    C’est bien le coté émollient des verts.

    La peine de mort Monsieur!!

    La peine de mort!!

    Et sans sursis encore!!!

    • J’ai vu des appels à l’extermination plus d’une fois de manière sérieuse.

      • Oui, notamment quand un « polémiste » anglais appelle à la peine de mort pour les climatologues dans un éditorial de The Australian. Etonnamment, je n’ai pas constaté alors une indignation unanime sur Contrepoints.

  • La méthode est particulièrement vicieuse : on agit sur les hypothèses pour que seules ne subsistent celles qui conduiront naturellement vers la solution voulue. Un TINA.

    Si toutes les hypothèses étaient envisagées : état du climat, causes, évolutions possibles, alors les choix seraient du ressort de la démocratie. Soit on corrige, soit on s’adapte, par exemple. Or l’élite n’en veut plus de la démocratie.

    Un autre exemple : les partis centristes à propos de l’Europe. « Pourquoi des référendums et des partis puisque nous proposons la meilleure solution entre les extrêmes ? ». Ces partisans sont polarisés et toute différence est présentée comme un extrémisme, et avec la pire des condamnations possibles.

    • Surtout, en matière scientifique, l’argument d’autorité est le signe que quelque chose ne va pas dans le raisonnement.

    • @ amike

      Je ne suis pas très d’accord avec votre dernier alinéa.

      En France, vous avez l’habitude du système « gauche-droite », pour 5 ans, modulé par l’alternance au pouvoir.

      Ailleurs, la démocratie se fait par des coalitions dont la vie ne dépend que de la confiance du parlement élu à la proportionnelle: ces coalitions ont, en interne, déjà des sensibilités différentes et gouvernent donc avec un assentiment plus large: cela ralentit sans doute les décisions qui doivent souvent respecter des intérêts différents d’une population plus large: il est donc logique qu’une plus grande part de la population se retrouve dans les idées du centre qui va vraiment de droite à gauche, dans ses composantes clairement identifiées.

      À côté, il y a bien des partis qui systématiquement, critiquent les partis au pouvoir de n’être pas assez radicalement à gauche ou à droite: ces partis demeurent donc dans l’opposition, avec des électorats modestes qui gonflent parfois de façon conjoncturelle à propos d’un sujet polémique ou sur un moment particulier de contrariété.

      Vos 2 « grands » partis, PS et LR, sont déjà, eux-mêmes des conglomérats de tendances diverses qui ne font pas « sécession » tant un grand parti est nécessaire si on veut avoir une chance de gouverner. Le centre se résume à un parti plus modeste qui n’a aucune chance de gouverner sans alliance. De plus, votre président et votre gouvernement restent au pouvoir envers et contre tous les sondages, en attendant que le peuple s’exprime lors des prochaines élections où on prévoit une montée du FN, parti que la majorité des citoyens ne désire pas raisonnablement voir au gouvernement.

      Ce sont donc des choix constitutionnels différents! Difficile de dire si l’un est plus démocratique que l’autre. Mais actuellement, je vois mal Fr.Hollande organiser le référendum qui le conduirait à la sortie!

  • L’empreinte écologique q’une cellule de prison supplémentaire est catastrophique, donc il faudra libérer quelques assassins pour faire de la place.

  • certains écologistes devraient lire la vie de Galilee de Berthold brecht…

  • Pour les réfractaires je suppose qu’ils proposent les fosses communes et les balles dans la nuque ? Après tout, les bonnes vieilles méthodes de tonton staline ont fait leurs preuves.

  • Le reigne des pastèques approche (verts dehors, rouge dedans). Les khmers verts sauront vous rééduquer.

    Le simple fait qu’on veuille interdire les thèses opposées par la loi est le pire discrédit qu’on puisse leur opposer. Par ailleurs voire ce genre de lois passée dans un pays où le droit d’enseigner que la terre a été créée en 6 jours par un barbu, que l’arche de Noé a vraiment existé etc… C’est d’un grotesque sans nom.

  • L’écologie, le nouveau fascisme: interdiction de circuler, de penser, de manger tel machin, etc. Pourquoi est-ce que cela me rappelle certaines choses du passé ?

    • Allons allons, ne tombons pas dans la caricature. Vous allez nous dire que cela vous rappelle les heures sombres de notre histoire?
      Cela devient inaudible tant la comparaison est inappropriée.

      • Djamal cessez-donc vos simagrées, je suis le premier à reconnaître que le point Godwin est nuisible à la plupart des discussions, mais pour le cas précis de l’écologie radicale, il est on ne peut plus approprié, car elle répond strictement à toutes les définitions du fascisme.

        Ça vous vexe probablement de soutenir / défendre une idéologie ouvertement totalitaire et coercitive, niant l’individu au profit d’un supposé bien être collectif ou d’une quelconque cause supérieure (« sauver la planète « ) ? Tant pis, assumez vos choix. C’est très exactement la définition du fascisme, dont on retrouve tous les attributs dans la doxa environnementaliste actuelle, de la négation du désir jusqu’à la xénophobie, en passant par l’anti-modernisme et un relativisme moral confinant au nihilisme. Tout y est.

        Donc, si, la comparaison avec le fascisme est pour une fois tout à fait pertinente. Va falloir vous y faire.

  • Plus rien ne nous étonnera chez ces pastèques. Il ne leur restera plus que les goulags, l’internationale et les camps de rééducation.

  • La prison pour les climatosceptiques, d’accord.
    Mais en 2100, si la terre n’est pas devenu un four, il faudra les relâcher.

  • Fachauds, hors de nos vies !

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