Par Baptiste Créteur.
La CGT s’est spécialisée dans les actions de contestations et n’aime pas qu’on conteste son action. Pourtant, il y aurait de quoi faire.
La CGT lutte dans son propre intérêt, et avant tout pour exister. Elle agit certes au nom des salariés, comme les soviets agissent au nom du prolétariat. Mais les représente-t-elle vraiment ?
Jusque 2008, en France, cinq syndicats étaient jugés représentatifs a priori : il était même interdit d’apporter la preuve du contraire1. C’est évidemment risible, mais peut-être pas autant que la situation depuis : la représentativité d’un syndicat se fonde désormais sur des critères à l’aune desquels la prétendue représentativité de nos syndicats est une vaste blague.
- Peut-on en effet vraiment considérer que la CGT incarne « le respect des valeurs républicaines » quand elle empêche la parution des quotidiens nationaux et mène des actions violentes ?
- Le sort du rapport Perruchot, et l’opacité des comptes de la CGT, relèvent-ils de « la transparence financière » ?
- Et que dire des « effectifs d’adhérents et cotisations » quand la CGT représente moins de 3% des salariés ?
On peut affirmer que la CGT n’est pas représentative, on peut même le montrer à l’aune de ces critères. En vain : il suffit à une organisation syndicale de rassembler 8% des suffrages exprimés pour être « représentative ». Alors que nombre de Français ne s’estiment parfois pas représentés par un président ayant obtenu la majorité…
C’est un réel problème, car si la CGT n’a pas besoin d’être vraiment représentative, elle n’a pas besoin de défendre l’intérêt des salariés. D’autant plus qu’elle ne compte pas vraiment sur eux pour se financer : entre subventions et détournements, les salariés représentent une fraction de leur budget.
Et ça ne manque pas : la CGT défend ses propres intérêts, pas ceux des salariés.
- Elle ne lutte pas pour l’emploi : elle préfère le dépôt de bilan aux licenciements.
- Elle ne lutte pas pour les salariés : elle préfère imposer le repos dominical que laisser travailler des étudiants et mères célibataires qui n’ont pas d’autre choix.
- Elle ne lutte pas pour la croissance : elle préfère voir l’économie péricliter que renoncer à certains privilèges.
- Elle ne lutte même pas pour le dialogue social : elle préfère le marbre de la loi à la souplesse des accords d’entreprise.
La CGT n’est pas un syndicat représentatif, et elle n’agit pas dans l’intérêt des salariés. C’est déjà beaucoup, mais de là à affirmer comme l’a fait Pierre Gattaz que la CGT est une minorité qui se comporte « comme des voyous, comme des terroristes », il y a un pas à franchir.
Imaginons l’espace d’un instant qu’une organisation – par exemple un groupe armé financé par divers trafics et affilié au Parti Communiste à l’État Islamique – se livre à quelques méfaits, et demandons-nous quel vocabulaire serait le plus approprié.
- Cas n°1 : l’organisation dérobe chaque jour des tonnes de papier pour nourrir la propagande d’une dictature. Peut-on parler de voyous, de terroristes ?
- Cas n°2 : l’organisation empêche la parution des journaux qui refusent d’être distribués par ses sbires au prix fort, tabasse leurs salariés, séquestre leurs dirigeants et détruit leur production. Peut-on parler de voyous, de terroristes ?
- Cas n°3 : l’organisation empêche la parution de journaux qui refusent de diffuser un tract
de son secrétaire généralde son calife suprême. Peut-on parler de voyous, de terroristes ? - Cas n°4 : l’organisation vole et stocke en région parisienne des milliers d’armes de guerre en prévision
du Grand Soird’un coup d’État violent. Peut-on parler de voyous, de terroristes ? - Cas n°5 : l’organisation prend le contrôle de sites pétrochimiques sensibles pour la sûreté, et stratégiques pour l’approvisionnement en énergie du pays. Elle en empêche l’accès et menace de bloquer l’économie du pays. Peut-on parler de voyous, de terroristes ?
- Cas n°6 : l’organisation bloque la circulation des trains pour
sensibiliser les voyageurs à la loi Travail et obtenir leur adhésionpropager le message du calife et recruter pour le djihad. Peut-on parler de voyous, de terroristes ?
Apparemment non, puisque Manuel Valls juge les propos de Pierre Gattaz inacceptables :
« Tout mot qui tend les rapports entre les organisations n’est pas le bienvenu, a poursuivi le Premier ministre. Les propos de Pierre Gattaz à l’égard de la CGT, qui est une organisation que nous respectons, (…) qui est une grande organisation, tous ces mots sont à proscrire », a-t-il encore déclaré, appelant « tout le monde à débattre du fond du texte ».
Il faut donc proscrire les mots « voyous » et « terroristes » pour parler de la CGT – c’est le Premier ministre qui le dit. Apprécions le sens du dialogue de cette « grande organisation » apparemment respectable :
Pour les citoyens, ce ne sont pas de bonnes nouvelles. Aujourd’hui, en France, non seulement un groupe radical et violent peut détourner des fonds au long cours en toute impunité, organiser des blocages et séquestrer les honnêtes gens ; mais il peut le faire avec la bénédiction du Premier ministre. Et en toute impunité : la majorité actuelle a voté l’amnistie syndicale.
L’État de droit n’existe plus. La justice et la vérité passent après la paix sociale – social, comme dans dialogue social, c’est-à -dire avec seulement 3% de vrais morceaux de société dedans. Le reste, c’est le gras, l’argent du contribuable, et le sourire de Manuel Valls.
La violence est le dernier refuge de l’incompétence. Enfin, ça, c’était du temps d’Asimov ; aujourd’hui, il y a la CGT.
- On parle de présomption irréfrageable. ↩
Ce qui est risible, c’est la MANIERE de négocier de la part de ses gens là . Dernier exemple en date, les grèves préventives pour « peser sur les négociations salariales à venir ». Donc, par principe, et avant même de connaître les propositions de l’autre partie, la CGT arrive à la table des négociations avec un flingue qu’il pose sur la tempe de ses interlocuteurs. Admirable conception du dialogue social que n’aurait pas renié la N’drangheta ou Cosa Nostra !!!!
La seule chose qui sépare encore la CGT de ces organisations, c’est qu’elle est légale (mais ni légitime, ni représentative, hélas…).
Un grand bravo pour cet article.
Il y a le terrorisme intellectuel par exemple. Un terrorisme assez répandu. Et a partir du moment ou l’on casse les bien d’autrui pour arriver à ses fins est me semble t’il une des formes du terrorisme. Quand on menace en général c’est du terrorisme. Bref, il y a petit et grand terrorisme ou il s’agit d’insufler la peur, le desarroi dans une relation de peur et de loi du plus fort. Apres il est vrai que dans le contexte actuel, le mot terrorisme prend une autre dimension mais ça ne change pas le fond des choses qu’il faut nommer. Le point interessant, sinon c’est de voir pour une fois la gauche être la victime des même superlatifs qu’elle utilise couramment d’habitude contre les autres aussi.
Une question : si l’on enlève les fonctionnaires et assimilés (edf, sncf…) du nombre d’adhérents, que reste-t-il ?
Et un commentaire personnel : ils peuvent bien bloquer les journaux, ceux-ci étant dans leur immense majorité la voix du gouvernement, ça ne me dérange pas du tout !… sauf si l’état les renfloue derrière comme elle l’a fait pour l’Humanitè il y a quelques années…
Mon problème avec la cgt c’est qu’elle ne travaille pas pour moi, elle travaille pour tous. Ainsi, ceux qui ont une productivité moindre y trouvent un avantage tandis que ceux qui ont une productivité meilleure y perdent. Mathématiquement on obtient donc une moyenne a la baisse de la productivité et des salaires puisque les productifs ne trouvent plus d’intérêt a se dépasser. Vous me direz que l’intérêt des productifs dans un monde communiste parfait devraient être le groupe avant eux même. Malheureusement quand on voit la médiocre qualité du rapport entre humains et entre hiérarchie et employés, alors qu’est ce qu’on peut en avoir vraiment à faire des autres? On devient individualiste et donc du coup, la cgt merci mais pas pour moi.
normal que valls s’insurge contre le mot térroriste ; la cgt , ce sont des voyous , et entre voyous ( ceux de la république et ceux de la cgt ) on se comprend ….
Question subsidiaire: faut-il discuter avec les terroristes ou les combattre?
C’était pas le Cancer du Général du Travail selon Coluche?
MODERATION CONTREPOINTS >> Les appels à l’autoritarisme et à la dictature ne sont pas tolérés sur Contrepoints.
Merci d’aller faire ce genre de propagande liberticide ailleurs.
Premier avertissement avant bannissement.
Que vous détestiez la CGT et les communistes je le comprends aisément, mais de là à vouloir un dictateur…L’Italie a fait de belles réformes ces dernières années qui aideront à long terme et n’a pas eu besoin de dictature malgré le fait qu’elle était dans une situation encore plus dégradée et encore plus irréformable que la France.
Ce pays a seulement besoin d’un leader avec une vision claire et qui ne flanchera pas si son avenir politique est en danger, comme Renzi en Italie.
MODÉRATION CONTREPOINTS >> Les appels à l’autoritarisme et à la dictature ne sont pas tolérés sur Contrepoints.
Merci d’aller faire ce genre de propagande liberticide ailleurs.
Premier avertissement avant bannissement.
Une situation économique dramatique, une menace bolchevique, un état de droit en faillite, des tentations dictatoriale justifiée par un « nettoyage nécessaire » sur fond de populisme et de démagogie…
Ça ne vous rappelle rien et vous pensez que ce coup ci ça va bien tourner ?
Certains ne retiennent rien de l’Histoire, l’éducation est pourtant si essentielle de nos jours.
+1 les gens ont de drôles de façons de penser quand même : la démocratie va mal : alors soit on renonce à la démocratie, soit on en veut plus.
Jamais ils ne se posent les questions de fond, il faut de suite que « on » (les boucs émissaires et/ou les politiciens) soit responsable.
Jamais ils ne se remettent en question : trop pénible pour l’ego.
Absolument pas. Ce serait un veritable désastre.
Ce n’est pas un appel a une situation, je ne suis ni fou ni désespéré, c’est une sérieuse crainte, justifiée.
Quitte a débattre, autant connaitre les enjeux.
Mais ne débattons donc pas. N’en parlons plus.
Exactement. Certains n’ont probablement pas connu l’Italie des années 90 pour estimer notre situation plus grave.
«  »Elle agit certes au nom des salariés, comme les soviets agissent au nom du prolétariat » »
Excellente formule !
Ou comment faire le bonheur des autres, contre leur gré, et avec leur argent …. La dévotion au service des autres, n’a pas de limite !
Bravo! Tout est dit.
Le terme de terroriste est trop connoté dans le contexte actuel et donc inapproprié. En revanche, la CGT a bel et bien un comportement bolchevik et stalinien, c’est à dire fasciste ! C’est bien pire que celui d’un voyou … Dans tous les cas de figure, la CGT, au limite de l’incitation à l’insurrection, commet des actes illégaux, donc délictueux . Si le gouvernement n’agit pas pour faire cesser et condamner de tels agissements qui nuisent gravement à l’immense majorité des Français qui ne se reconnaît pas dans cette chienlit, il en supportera les conséquences …
Le stalinisme était contemporain du fascisme et non, ce n’était pas la même chose, dans le rapport à la propriété par exemple. Votre « donc » est de trop. Notez bien que ce n’était pas mieux, ce qui est encore une toute autre question.
Dans « Le socialisme en chemise brune », Benoît Malebranque relativise fortement cet différence sur le rapport à la propriété. Si Staline avait aboli la propriété privée, Hitler s’en foutait. Son bras droit, le gros Hermann, qui se servait purement et simplement, en est l’illustration parfaite. Le nazisme n’était donc qu’une forte de socialisme, entendu comme le « tout à l’Etat », une formule mussolinienne. Il y a bien une identité profonde entre nazisme et socialisme qui explique d’ailleurs pourquoi les socialistes aiment tant se présenter comme « antifascistes ».
Exact. Et parce que les mots ont un sens, il faut rappeler sans cesse que nazisme est l’abréviation de national-socialisme.
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Nazisme
Il t à un excellent chapitre dans le livre de Schiller qui décrit comment et pourquoi Hitler a choisit le NSDAP pour son côté socialiste. D’ailleurs le président du parti qui était un convaincu du socialisme est resté en poste jusqu’aux grandes purges.
Beaucoup ignorent que le parti Nazi existait avant Hitler, que celui-ci a choisi un des multiples partis socialistes qui découlaient de la scission entre les « internationalistes » et les « nationalistes » qui a eu lieu lors de la formation de l’internationale ouvrière. La même scission ayant eu lieu en France lors de l’épisode de la SFIO sous fond de guerre de leadership dirigée par le russes.
Il me semble surtout qu’on ne peut tolérer qu’un syndicat fasse et revendique de l’action politique au delà de la représentation des salariés et dans le respect de la loi – sans prétendre se substituer au parlement. Et si on avait des syndicats écologistes et des syndicats FN ? Les uns luttant systématiquement contre les industries utilisant de l’huile de palme et les seconds contre les entreprises employant les mauvaises personnes ou avec des capitaux étrangers.
C’est déjà dans la loi, dans la définition de la représentativité : un syndicat doit être indépendant politiquement.
entre 2 maux il faut choisir le moindre..la CGT , bof , l’état….il y a plus que des claques qui se perdent
Oui, délirant l’impunité dont bénéficie cette mafia.
Ce serait intérressant que la justice fasse une vaste enquête;
Mais ils sont plus occupés a remplir leur mur des cons avec des cathos et des gens de droite. Ainsi que les tribunaux d’ailleurs.
Une mafia ne dispose pas d’impunités sans avoir de complicités au niveau de l’état…. Voila un sujet dont on ne parlera pas demain dans les journaux!… Dommage.
La justice ne fait pas vraiment de « vaste enquête ». Elle agit surtout pour punir des infractions ou arbitrer des litiges. D’où l’appel du MEDEF pour que les entreprises victimes d’actes illégaux portent plainte.
Excellent article qui situe bien la CGT dans les camp des staliniens et des maffieux. Cette organisation devrait être jugée et dissoute pour sabotage de l’économie Française.
C est marrant quand le terrorisme n est vu que par un seul bout d une lorgnette…que dire du terrorisme de beaucoup de patrons. ..chantage au CDD, aux objectifs, a la productivité aux conditions de travail et face aux administrations pour obtenir subventions exonérations…des milliards récupérés via le CICE. chantage a la creation puis a la non destruction. ..
Tout le monde fait chanter tout le monde
La différence c’est la légalité des actions.
Les ‘patrons’ sont dans la légalité, malgré un environnement législatif très défavorable pour eux.
Militez pour durcir les lois contre les ‘patrons’, c’est légal.
Bloquer des dépôts, couper le courant etc.. c’est illégal.
Oh mon Dieu. En échange de la rémunération, l’employeur souhaite que l’employé soit productif et remplisse ses objectifs ! Quel terroriste cet employeur !!!
La soit disant « violence sociale » est un artifice réthorique pour justifier la violence réelle des syndicats. Cette terminologie est un parfait exemple de terrorisme intellectuel: l’employeur qui refuse de se laisser marcher sur les pieds est considéré comme un criminel…
Juppon et Macramé sont des socialistes bon teint. L’un est un pur produit de la technocratise fronzaise et l’autre un arriviste du capitalisme de connivence.
« La paix sociale est-elle plus importante que la vérité » surtout plus importante que la liberté d’expression ?
Le politiquement correct est une dictature qui commence à atteindre des limites inconcevables.
En interdisant de dire ce que l’on pense (surtout des c…) en faisant de la morale bien-pensante, la gauche fabrique le FN, lui donne sa seule légitimité : celle de revendiquer le droit de dire n’importe quoi (traduit en : tout haut ce que les gens pensent tout bas)
La CGT fait tout ce qui est aux borderline du terrorisme, du comportement de voyous. Vrai ou faux, aucune importance : le ressenti des gens est la seule importance qui compte.
Article et commentaires diffamatoires vis à vis de la CGT mais surtout de ses milliers adhérents et des millions de salariés qui lui font confiance dans les élections professionnelles et plus globalement pour l’ensemble des salariés.
On peut ne pas partager ses positions et ses pratiques, mais la tolérance, la liberté d’opinion et d’expression sont essentielles.
Traiter les salariés qui se battent aujourd’hui dans le cadre des organisations syndicales (car dans l’action il n’y a pas que la CGT mais d’autres organisations syndicales, y compris localement des structures affiliées à des centrales syndicales qui n’appellent pas à l’action) de voyous et de terroristes est tout irresponsable et inacceptable dans une démocratie.
Un seul point positif à de tels propos, cela ne peut donner qu’un peu plus de coeur à l’ouvrage à tous ceux qui se battent contre le projet loi « travail » !!!!
LD allez consulter un psychiatre car affirmer dans le même texte :
« la liberté d’opinion et d’expression sont essentielles.
Traiter les salariés de voyous et de terroristes est inacceptable »
perso j’ai bien ri, merci !!!!
« la liberté d’opinion et d’expression sont essentielles.
Traiter les salariés de voyous et de terroristes est inacceptable »
M’empêcher de me déplacer, ou me couper l’électricité, c’est me manquer de respect.
Et celui qui me manque de respect, je le traite de voyou ou de terroriste.
C’est aussi simple que cela.
Le communisme dont est issue la CGT c’est selon Lénine « Les Soviets plus l’électricité ». Quand Lénine parlait de l’électricité c’était la maitrise de l’énergie qui est le moyen dans l’avenir (et surtout du XXIème siècle) de diriger et dominer le monde. Philippe Martinez est le fidèle soutien de la stratégie léniniste en possédant la force syndicale des centrales nucléaires. Et un Gouvernement de Gauche qui réagit mollement à cette action ne peut que paraitre comme complice de cette engeance putride et contaminatrice par son effet populiste
tous les gens qui font gréve devraient conserver les acquis sociaux et les autres ont leur supprime tous!Facile de bouffer dans la gamelle tout en crachant dedans!!
La France est en faillite et les « acquis sociaux » vont bientôt passer à la trappe pour la plupart des gens tandis que les privilégiés, dont les cégétistes continueront de leur uriner dessus en rêvant du grand soir.
Ça a déjà commencé d’ailleurs, les prestations sociales, en baisse, sont à peine dans la moyenne européenne alors que le pays est recordman mondial pour les prélèvements… un comble !
Pendant ce temps, dans le pays d’à côté ou le droit de grève n’existe plus depuis 1937, ou le code du travail est minimal et ou les syndicats adultes discutent avec le patronat, le chômage est à 4% y compris chez les jeunes (25% en France) et les salariés gagnent trois fois plus qu’en France (6200 euros) sans une seule caisse sociale en déficit, avec une dette à 35% en réduction malgré des impôts 20% moins élevés qu’en France.
Ça donne une idée du désastre français dont les syndicats comme la CGT bloqués quelque part entre 1870 et 1917 sont en bonne partie responsables.
Je suis 100% d’accord avec vous. Comme vous, je déplore que tant de Français et parmi eux des jeunes manipulés ne fassent pas ce constat. C’est purement factuel.
Pierrot Leloup : « tous les gens qui font gréve devraient conserver les acquis sociaux et les autres ont leur supprime tous! »
Dans la mesure où la majorité des gens qui font grève sont payés avec de l’argent pris de force aux autres comme le soulignent la Cour des comptes et le rapport Perruchot, vous êtes donc pour le rétablissement de l’esclavage: Des parasites qui vivent sur le dos d’autres personnes qui n’ont droit à rien.
Le manque de scrupules et d’humanité des gens comme vous ne cessera jamais de m’étonner.