Par Michel Gay et Gérard Petit.
Dans un système idéal, les capitaux disponibles s’investissent dans des secteurs utiles à la collectivité et rentables pour l’actionnaire, créant ainsi une spirale vertueuse. Mais avec le boom des énergies renouvelables intermittentes (EnRi), sous caution écologique, ce que nous observons apparaît éloigné de ces canons économiques et civiques.
Une atonie durable de l’économie raréfie les opportunités d’investissements. En conséquence, une abondance de capitaux (toutes sources confondues…) est disponible pour des placements. De plus, les actionnaires, à la recherche d’une rentabilité élevée, accompagnent rarement dans la durée des projets prometteurs mais non immédiatement profitables.
La vague verte opportune
Dans un contexte de demande stagnante où la politique de l’offre peine à dynamiser l’économie, une « vague verte », avec les énormes besoins financiers qu’elle implique, arrive donc opportunément. Les EnRi, notamment les éoliennes et les panneaux photovoltaïques avec leurs tarifs d’achat élevés garantis, assurent une rémunération attractive des capitaux par le biais des subventions prélevées sur les consommateurs et les contribuables.
Nimbées de vertus écologiques, car destinées à remplacer les sources polluantes carbonées (et pour certains aussi nucléaires), ces sources d’énergie n’offrent aux investisseurs que des avantages, et même un supplément de « responsabilité sociale » dont ils pourront se prévaloir. La COP 21 leur confère une nouvelle légitimité en appelant à la maîtrise des évolutions climatiques, déclarée enjeu mondial, et en adoubant les EnRi (et aussi le nucléaire…) comme un levier majeur pour agir. Le mariage de la finance et de l’écologie fournit des placements mirifiques à des investisseurs opportunistes. Les perspectives sont mirobolantes pour qui se situe du bon côté.
Quant à la pérennité du contexte, le soutien des politiques, désireux de s’attirer la bienveillance des mouvements Verts, se traduit en lois et dispositions favorisant le développement des EnRi (productions prioritaires, facilités de créations, gestion de l’intermittence à la charge des opérateurs historiques,…).
L’injection de capitaux dans le secteur est déjà énorme et sa progression soutenue devrait encore augmenter à l’aune des futures promesses électorales. Pourquoi s’arrêter en si bon chemin ?
Le bilan de ces choix engageant pour des décennies le citoyen-consommateur-contribuable est peu reluisant. Les mâts éoliens et les champs de panneaux solaires occupent déjà des surfaces considérables mais ils contribuent bien peu à la production électrique nationale (quelques pour cents tout au plus). Cependant, leur poids sur la facture d’électricité, via la CSPE ou le tarif de transport, est déjà sensible et va fortement croître.
La pollution des paysages fait regimber les citoyens un peu partout en Europe. Cependant, les communes attirées par les subventions perçues, voire désireuses d’investir, sont fascinées par le mythe de l’indépendance électrique et accueillent souvent volontiers les nouveaux champs éoliens et solaires.
Volonté politique de réduire le nucléaire
Mais, plus fondamentalement, si dans des pays où la structure de la production électrique est largement carbonée, développer les EnRi peut faire sens, la France n’est pas dans cette situation.
Seule la volonté politicienne idéologique de réduire la contribution du nucléaire explique un tel choix. Les EnRi aléatoires ne peuvent prétendre se substituer à des productions programmables. Dire qu’il suffirait de rendre souple et intelligent le réseau électrique actuel, présenté comme pataud, est tout simplement mensonger.
Pour la société leurrée, aucun gain n’est à attendre en retour de la dérive des factures. Au contraire, les vrais besoins d’investissements concernent le parc nucléaire qui demeure indispensable. Il nécessite des mises en conformités à des normes évolutives (dont les dispositions post-Fukushima) et la préservation de son potentiel. Les sommes sont conséquentes, mais doivent être placées en regard des bénéfices attendus (sûreté et performances) en projection sur deux décennies.
Le remplacement à grande échelle de moyens de production électrique programmables par des sources aléatoires (notamment éoliennes et photovoltaïques) obligerait à compenser l’intermittence par des moyens souples à créer si la part du nucléaire venait à diminuer. Seul le gaz importé (moins pollueur en gaz à effet de serre que le charbon, mais pollueur quand même) est adapté. Ces centrales seront chères à opérer, compte tenu d’un mode d’exploitation intermittent (en miroir des EnRi), loin des conditions de rentabilité.
Il faudrait, là aussi, investir des capitaux dont la rémunération devra être garantie par des mécanismes compliqués avec, à la clé, un nouveau renchérissement des tarifs d’électricité.
Les EnRi, inefficaces pour assurer la transition énergétique, engloutissent de gigantesques capitaux d’affairistes utilisant à leur profit l’idéologie « verte » au détriment de l’intérêt général, et les Français voient rouge !
« les Français voient rouge ! »
Il faudrait arrêter d’utiliser à tort et à travers cette expression cherchant à englober la multitude. Non, l’ensemble des français ne voient pas rouge sur cette problématique que vous défendez et à laquelle j’adhère. Une partie seulement, et selon les échos que j’entends autour de moi, cela ne me donne pas l’impression qu’elle soit majoritaire.
La plupart des gens sont soumis à leur sentimentalisme irrationnel. A chaque fois qu’il faudrait prendre une décision avec pragmatisme, c’est souvent un mauvais choix qui en ressort à la place. La plupart de ceux qui sont aux rennes d’un pouvoir quelconque, ont bien compris cette faiblesse pour surfer à leur aise en limitant au maximum leur empreinte de responsabilité.
Ce qui fait qu’aujourd’hui, avec des aspirations pour se sentir responsable d’un monde meilleur, de moins en moins de personne prend ses responsabilités de la conséquence de ces actes dans la réalité. Une société d’irresponsables, aussi bien le « citoyen » lambda que le politicien, à la différence que certains en sont plus conscients que d’autres, que certains sont plus coupables que d’autres.
Tout à fait d’accord.
« Les Français voient rouge » implique que l’auteur connaît tous les Français et les as tous entendu.
L’argumentation de l’article doit se suffire à elle seule, pas besoin d’utiliser la propagande comme ces journalistes qu’on a plus envie de lire.
Mais si voyons, les français voient rouge. Etant communistes, ils voient d’ailleurs tout en rouge. Et donc, de ce fait, quand on leur pique leur pognon pour financer ces hérésies et qu’on les lave et les essore plus blanc que blanc, comme en économie ce sont des bleus, ils ne voient pas rouge, bien au contraire c’est écolo-positif, ils voient donc vert. Et là les libéraux ne comprenant rien à cette irrationalité rient jaune jusqu’à broyer du noir. C’est compliqué les couleurs quand même!
« Le martyr dit « rouge » […] est le plus connu, il est celui qui, en tant qu’individu ayant refusé d’apostasier, subit une « mort-supplice » infligée par la communauté. » (Wikipedia)
« La plupart de ceux qui sont aux rennes… » Et ceux qui sont aux caribous ???
Ils adorent les biches 🙂
Ils brament comme des cerf…
bah , les ferrailleurs ont pris le pouvoir , ce sont des spécialistes en recyclages et voilà une bonne idée que d’obliger le monde a recycler du neuf pour en faire du vieux , bcp plus de potentiel que de faire du neuf avec du vieux..et nous voilà de nouveau a vélo entourés de moulins a vent comme au bon vieux temps des ginguettes au bord de l’eau et où les riches étaient vraiment riches et les pauvres vraiment pauvres.
Le plus terrible dans cette affaire, c’est qu’il est de plus en plus évident que le CO2 n’a aucun effet mesurable sur la température, et donc que dépenser des sommes pharaoniques pour réduire nos émissions non seulement n’a aucun sens, mais ne sert à rien.
Il y a plusieurs aspects à considérer :
1) Selon le rapport AR5 du GIEC, page 471, figure 6.1, la part des émissions anthropiques n’est que de 4%, avec une incertitude d’au moins 20%, ce qui est en cohérence avec les analyses isotopiques, selon lesquelles le taux de CO2 anthropique dans l’atmosphère est de 6%. Mais cette information essentielle est soigneusement cachée dans le résumé pour les décideurs, document sans aucune valeur scientifique, mais qui est le seul à être lu et à servir de référence aux politiques, aux organisations internationales et aux médias.
2) Le CO2, gaz inodore et incolore, quelle que soit son origine, n’est PAS un polluant, mais gaz de la vie, car il est nécessaire à la photosynthèse. Son action présumée sur la température est une hypothèse non prouvée, mise à mal par nombre d’observations (il n’y a plus de réchauffement depuis environ 20 ans, quoique, sur cette période, il y ait eu inflation de nos émissions) et de publications scientifiques (1350) et par le fait que les projections des modèles numériques numériques divergent de plus en plus des observations, ce qui confirme qu’ils n’ont aucune crédibilité, tout comme les thèses du GIEC qui en sont le socle.
3) La sensibilité climatique est, selon le GIEC, de 1°C à 2,5°C (augmentation de température pour un doublement du taux de CO2). Selon le rapport AR5 du GIEC, la sensibilité la plus probable est de 1°C. Bien sûr, cette information n’est pas reprise dans le SPM (résumé pour les décideurs), ce qui confirme le positionnement idéologique de ce SPM. Selon 3 études récentes, elle est de 0,6 à 1,4°C. La valeur basse du GIEC est donc encadrée. Prenons ces données comme base de calcul. L’augmentation du taux global de CO2 est régulière, de 2 ppm/an, soit +0,5%/an, et donc il est légitime de considérer que ce taux d’augmentation va perdurer au cours de ce siècle. Donc, la fourchette de réchauffement en 2100 sera de : 0,5% x (0,6 à 1,4) x 85 ans=+0,3°C à +0,6°C. Même si l’on prend la sensibilité climatique du GIEC, on trouve en 2100 : 0,5% x (1 à 2,5) =+0,4°C à +1°C Quelles que soient les sensibilités climatiques retenues le réchauffement en 2100 serait au plus de +1°C et plus probablement +0,4°C, et cela en respectant les chiffres du GIEC.
Pour ces trois raisons, l’hystérie collective, l’alarmisme climatique, l’inflation normative et le développement insensé des EnRi n’ont donc aucune raison d’être…
Et il faut préciser que l’augmentation moyenne depuis la sortie du petit âge glaciaire est de 0,8°/siècle.
Le plus terrible dans cette affaire, c’est que, selon le GIEC soi-même, MÊME en supposant que le CO2 à les effets qu’on lui impute sur la température, et bien dépenser des sommes pharaoniques pour réduire nos émissions ne sert quand même à rien !
L’effet de ces mesure serait en effet de reculer de quelque mois la date de l’apocalypse initialement prévue (au lieu de se produire en janvier 2100, elle aurait lieu en juillet … ce qui ne change rien au fond)
Mais ça ne veut pas dire que ça n’a aucun sens. Ça peut être plusieurs choses
Un sacrifice religieux, ou une indulgence catholique. C’est de la bonne conscience qui ne coute pas cher, puisque c’est d’autres qui payent.
Un outil de domination, selon le mode qui est prêté à l’Église par les mêmes zélateurs gauchistes du RCAC. Un cynique moyen pour détourner du pognon vers leurs mains et les buts qui sont les leurs.
Ce n’est pas dormez tranquille jusqu’en 2100.. les effets sont progressifs et ont déjà commencé.
Le problème que le public a, c’est que 2100 c’est loin, et 3 ou 4° en plus dans la moyenne mondiale ne leur signifie rien. C’est moins de la moitié de la différence de T celle du matin quand ils sortent chercher leurs baguettes.. et pourtant 5° c’est la différence entre ère glaciaire et maintenant.
les effets sont progressifs et ont déjà commencé. Depuis un long moment déjà. Rien de nouveau.
Heureusement que tes commentaires ne sont pas plus longs, tu finirais avec 10C° ou 20C° d’augmentation…
3C°, 4C° ou 5C° ce sont des chiffres totalement délirant qui n’ont rien à voir avec les prévisions scientifique du GIEC qui donnent 1.3C°-1.6C° comme les plus probable. Un chiffre qui ne se démarque pas franchement de ce que le fait le climat depuis toujours.
Ça donne une idée du sérieux sur lequel reposent tes prédications de l’apocalypse et ta totale immunité au fait scientifique vu que je te l’ai déjà mentionné plusieurs fois avec la littérature scientifique adéquate en lien…
Mais qu’est ce que vous chantez la?
Seul un scénario, le plus ambitieux, pourrait permettre ce chiffre que l’on a déjà pratiquement atteint..
Pouvez vous citer une source, du Giec par exemple?
Par ailleurs, ce que je dis n’est pas une prévision. Je vous dit simplement que, même si c’était le cas, 3 ou 4° de plus en moyenne en 2100 ne signifie rien pour beaucoup, c’est indiscutable, alors pourquoi allez vous partir dans des dénonciations fallacieuses?
C’est ça oui…
Du coup on s’oriente plutôt vers +30C°. Ne soit pas timide, va y carrément.
Je t’ai posté au moins 3-4 fois la littérature scientifique adéquate mais tu préfères tes cantiques.
J’attends vos sources. Jusqu’à preuve du contraire, plusieurs scénario vont vers 3. 4 voir 5°. Vous pouvez ironiser avec vos 30° si vous n’avez pas d’autres échappatoire.
Pourquoi faire ?
La littérature scientifique dont les rapports du GIEC eux-même ne t’ont pas intéressés le moins du monde les 4 dernière fois.
Tu veux parler de ceux de l’AR3 et 4 qui s’éloignent de plus en plus de la réalité d’une manière aussi hilarante que tes croyances ? 🙂
Ils les a cité au moins 10 fois.
Tu les veux une 11 ième fois ❓
Oui s’il vous plait
Non, la science ce n’est pas ton truc, il ne faut pas insister.
Beati paupere spiritu…
Ben voyons.. lol
Pas doué non plus pour chercher l’information, mais qu’en ferait tu puisque tu sais déjà tout
de l’apocalypsedu climat pour les 200 prochaines années ?Nos nombreux échanges depuis des mois avec toute la littérature scientifique voulue:
https://www.google.ch/search?q=« Djamal »+ »Ilmryn »
Par exemple, premier résultat, commentaire du « 15 février 2015 à 2 h 42 min »
Papier scientifique publié dans Nature « Energy Budget Constraints on Climate Response »
Un peu plus bas, Audit sur les stations de mesures USHCN.
etc., etc.
Le GIEC ne paris pas sur les effets directs du CO2 mais sur sa rétro action sur l’atmosphère et les océans (la vapeur d’eau est un GES plus plus important que le CO2).
Or le GIEC semble en savoir beaucoup moins sur le cycle de l’eau et des nuages que le CO2, dont il vient à peine d’en avoir un aperçu par satellite.
Et pourtant, ils continuent de laisser croire aux scientifiques des autres domaines de la nature ou économistes, que les modèles sont « robusts » (ils ne peuvent pas utiliser le terme « fiable », alors un synonyme passe partout…)
Déja votre première raison est tout sauf une raison. En quoi le fait que les émissions anthropiques représentant ‘que’ 4% des émissions totales est une raison?
Ce sont justement ces quelques pourcentages qui, en bonne partie, s’accumulent dans l’atmosphère.. vous utilisez le même type d’argument que « le CO2 c’est que 0.04% » ou encore « la vapeur d’eau est le principal gaz à effet de serre ». Des vérités qui peuvent dérouter les plus crédules. C’est malhonnête et non rigoureux.
Par suite, votre « gaz de vie », (vous aimez le rappeler…), a une action prouvée. Comment pouvez vous affirmez que la températures n’augmentent plus depuis 20 ans (ou le pic de 1997 soigneusement sélectionné), alors qu’au contraire, la température s’envole depuis le début de la décennie.
Enfin, votre sensibilité est sortie du chapeau. Vous avez vos sources? Si vous croyez que le climat se résume à une simple règle de 3… quelle rigueur!
Tout va bien Madame la Marquise !
Ce qui est malhonnête, c’est de faire croire qu’on peut prédire sur 100 ans les températures en partant de modifications infimes dans un gigantesque système chaotique qu’on ne maitrise absolument pas actuellement.
C’est pour cela que les modèles n’ont pas fait mieux que le simple hasard pour l’instant.
« les activistes du réchauffement climatique sont comme des fourmis qui considèrent que le monde est fait de rochers de 1 mm de diamètre, regardent les 3 derniers millionièmes de 1% de l’histoire de la Terre et font des conclusions extravagantes sur le climat ».
-Hayden, professeur émérite de physique à l’Université du Connecticut.-
@Djamal: 1997 n’est pas le pic, El nino s’est plutôt produit en 1998. De toute façon, cette critique de faire du cherry picking est fausse puisqu’il est habituel que la contre partie (la nina) équilibre la perturbation atmosphérique. De toute façon, en partant après ces 2 épisodes, la température ne « s’envole pas », en tout cas, bien en deçà des modèles.
D’ailleurs, je vous rappelle que vous même ne semblez guère patient d’attendre la fin de La nina suivant l’el nino de 2015 pour établir une tendance. Un oubli sans doute, malgré votre grande rigueur :))
Oui 98, mais vous avez raison : il faut patienter. Mais ne dites pas que les températures n’augmentent pas. On verra pour la tendance par la suite.
Elles augmentent :?. Et alors ❓
Je pourrai alors descendre couper le chauffage en été. Plus de 1 m3 pour 240 m2 sur 4 étages.
cela à cause d’un sèche-serviette branché sur le réseau de chauffage 🙁
Quand les Français auront compris qu’on leur pique leur pognon pour que des promoteurs rapaces puissent bénéficier d’avantages déraisonnables, et pour des taux de production électrique ridicules, alors ils verront peut-être rouge et alors nul ne sait ce qui pourrait advenir.
Oui, en attendant, achetez vous 2 panneaux solaires et une petite éolienne pour l’eau chaude, refaite l’isolation de la baraque, et vous aurez 300€ d’électricité par an au lieu de 1200€. « Ça sert à rien les renouvelables », « le réchauffement c’est du Pipo », on en sait rien, mais peut être demain vu le nombre restreint de pays producteurs et leur stabilité, on aura un crack sur l’uranium de type choc pétrolier des 70′, si on en dépend à 80% ça risque de faire très mal.
Attention M Gay, si vous persistez à traiter le CO2 de polluant (« le gaz est moins pollueur en GES que le charbon, mais pollueur quand même »), je vais vous dénoncer aux sataniques « climato sceptico réalistes » !
Ceci dit, ils ne tiennent pas (encore ?) de listes de « déviants » (climatiques), comme souhaiterait le faire madame Corinne Lep*ge.
Et un bonus concernant la CSPE (entre autres) :
http://www.la-croix.com/Economie/France/Les-iles-du-Finistere-visent-100-d-energie-renouvelable-en-2030-2016-09-14-1200788871?utm_source=Newsletter&utm_medium=e-mail&utm_campaign=welcome_media&utm_content=2016-09-14
à savoir, la différence de prix entre la centrale au fioul et le tarif « moyen » EDF, environ 15cts, disparaitrait miraculeusement avec l’électricité produite par les hydroliennes, pourtant encore plus chère que celle produite par la centrale au fioul !
Pour être tout à fait complet, il ne fait pas oublier que les énergies fossiles bénéficient de subventions étatiques à travers le monde. Bien davantage que les énergies « vertes ». Une campagne a été menée par l’ODI récemment à l’occasion du G20 de Hangzou : https://www.odi.org/g20-fossil-fuel-subsidies mais elle n’a été que peu reprise sur Internet. Un petit extrait, pour les anglophones :
« The G20 pledged to phase out ‘inefficient’ fossil fuel subsidies in 2009, yet new research finds that governments are spending $88 billion every year supporting exploration – more than double what the oil and gas companies are investing. »
jamais compris comment on pouvait avancer que l’énergie fossile est subventionnée, 80% de taxes sur le prix de vente , ce ne sont pas des subventions mais des investissements pour amorcer la pompe a fric !
Personne n’a jamais dit qu’il ne fallait pas investir – seulement qu’il fallait investir quand on est relativement sur d’un retour sur investissement. Tant que le droit du sol rend les états propriétaires de leurs ressources, il est normal que les gouvernements subventionnent la prospection – sauf que évidemment il serait surement plus logique d’explorer les réserves potentielles de Gaz et Pétroles de Schistes …
Encore un argument écolo totalement irrationnel ou même franchement manipulatoire. Cela devient lassant …
On omettra opportunément de mettre en parallèle l’ensemble des taxes collectés sur les énergies fossiles, ainsi que les royalties versé aux états pour pouvoir extraire de leur sol les énergies fossiles afin d’éviter de voir que les énergies fossiles sont des contributeurs net au budget des états, ainsiq ue les impôts sur les bénéfices des compagnies pétrolières.
On omettra aussi bien évidemment de faire remarquer que sur les 88G$ il y abeaucooup de déduction fiscale comme dans n’importe quel secteurs.
Exemple les USA nous avons 5,123M$ de déduction fiscale ce qui n’est pas une aide, en contrepartie le gouvernement reçoit en contrepartie le montant total des taxes perçues rien que sur le diesel et l’essence par le gouvernement fédéral étaient de 35.2G$ en 2014 (source wikipedia)
Donc si ce rapport n’a eu aucun retentissement c’est parce qu’il ne regarde que d’un côté!
Flo-rian vous lisez au moins ce qu’il y a dans vos liens avant de nous les communiquer ? Vous les comprenez ?
Pas étonnant que cette étude ait été peu reprise sur Internet à part par des gogos
J’ai regardé pour la france car j’étais un peu étonné que le pétrole soit subventionné vu qu’il nous coûte plus de 40Mds en taxe chaque année.
Alors regardez ce qui est inclus dans le chiffre de ce qui est considéré comme subventions pour la france soit $42M (millions hein, pas milliards) : R&D comme pour toutes autres entreprises, le coût des études sismiquesde l’IFP sur le sous-sol français, l’exemption de TVA sur le offshore drilling (bah oui comme pour tout ce qui est fait en mer : fuel, duty free etc…)
J’ai regardé pour les USA c’est du même tonneau, même pire : ils ont considérés que les amortissements accélérés des frais d’exploration étaient des aides.
Il est vrai que dans plusieurs pays producteurs de pétrole, le prix du carburant est, ou a été ridiculement bas, surtout quand le baril dépassait les 100$.
Ces différences avec les « prix de marché » (mais qu’est-ce que ça veut dire quand on utilise les ressources de son propre sous-sol ?) sont comptées dans ces fameuses « subventions », et en représentent une bonne part.
Ha ha, l’essence est taxée à 150%, donc bon.
Le CO2 n’est pas un problème, si on n’abat pas des milliers d’hectares de forêts tous les jours.
L’alimentation de la planète n’est pas un problème, si on ne désertifie pas des milliers d’hectares fertiles par l’exploitation à outrance.
L’alimentation n’est pas un problème, si on ve vide pas les océans et qu’on les transforme en poubelles, si on ne « tue » pas 100 millions de requins par an uniquement pour leurs ailerons.
Etc, Etc…
Le problème c’est l’Homme.
Pardon, mais pour les requins il faudrait peut-être subventionner et cibler la chasse (Ile de la Réunion). J’ai peu de compassion pour les bobos surfeurs imprudents, mais on frise tellement le ridicule qu’on est en plein dedans …
100 millions de requins par an ?
Bah c’est qu’il y en a au moins 100 millions, c’est pas une paille !
100 millions c’est le nombre de requins pêchés chaque année. C’est inexact de dire qu’ils sont tués uniquement pour leurs ailerons puisque le requin est aussi consommé en steack surtout en Asie
La chair de requin c’est pas mauvais, un peu comme l’espadon.. faut juste le faire mariner dans du jus de citron et le rincer avant de le mettre sur le barbecue (mariner pour extraire l’ammoniac-urine)
Ce chiffre considérable entrainent la raréfaction des populations de requins, en particulier pour nombres d’espèces qui sont désormais classées vulnérables voir en danger d’extinction. La pêche a triplé depuis 50 ans; et je vous rappelle que la plupart des pêcheurs rejettent les requins encore vivant à la mer.. ils ne s’embarrassent pas de leurs carcasses volumineuses et bien moins rentables que leurs ailerons. Pourquoi voulez vous minimisez ce fait?
Je pense que, suite à votre commentaire, vous pouvez retournez vers vos affaires avec le sentiment que l’homme est coupable du réchauffement climatique parce que tue beaucoup de requins.
Telle est probablement votre logique (inconsciente) si l’on peut dire.
Bref, d’un point de vue général, aujourd’hui, ceux qui croient encore au réchauffement climatique anthropique se réduisent de plus en plus à ceux qui n’ont pas vraiment la liberté ou les facultés (morales, culturelles, intellectuelles) de reconnaitre que c’est pure foutaise.
Je veux bien faire de la gymnastique intellectuelle pour faire le lien, quoique, en général, les défenseurs des animaux sont aussi des défenseurs de l’environnement, donc ont toutes les chances d’être « réchauffistes », je vous l’accorde.
En revanche, je suis persuadé que le nombre de climato-sceptiques n’augmentent pas. De toute façon, pour ceux qui croient différemment (on dirait une religion.. on croit en Dieu ou pas, on croit en Pierre Paul ou Jacques pour changer ses habitudes etc.. mais lorsqu’il s’agit de science .. #lol), vous les traiter avec dédain et mépris.
Je vous retourne l’argument en ce qui concerne la morale et la culture, mais je ne m’abaisserai pas à l’intellectuel; quoique..
Comment pouvez vous soutenir que c’est pur foutaise? Vous n’y connaissez strictement rien, comme 99% des gens !
Bonjour Djamal
Toujours sur le pont pour défendre la cause écolo-collectiviste :).
Vous dîtes, « comme 99% des gens ! » , ben oui c’est vous le perroquet qui répète ad nauseum la doxa rechauffistes: « On va tous mourrir ».
J’ai un certain age et j’ai connu le fin du pétrole (en 1990 c’est sûr), l’épidémie du SIDA et ses 500 000 séro-positifs ‘estimés’ en 1987 (heureusement les méchants labo capitalistes on fait des recherches versus les décisions de la ministre de la santé), le trou dans la couche d’ozone (le mélanome pour tous), la taxifolia (la mer med future mer morte) et tous ces sinistres prévisions d’apocalypse ne se sont pas réalisées.
Oui la température augmente, elle augmente depuis la sortie du petit age glaciere, cela aura des effets positifs et des effets négatifs, on verra bien et faisons confiance à l’Homme pour s’adapter comme il a tjs fait.
Pour aujourd’hui, n’hypothéquons pas l’avenir avec des dettes monstrueuses et des politiques de désorganisation de la société industrielle.
Vous avez un certain âge, ce qui explique que vous m’accusiez de collectiviste. Vos vieux spectre rouges du XXe siècle..
Voyez mes propos, il n’y a aucune idéologie politique. Enfin, les malheurs que vous avez connu ne sont rien à côté de ceux que l’ont aurait si la température montait de 4° en moyenne mondiale… 10 milliards de sédentaires qui espèrent vivre 80 ans dans la bonne humeur dans ces conditions? L’équation devient très compliquée, philanthropie ou pas.
Ce coup ci c’est sûr, c’est pas du pipeau.. lol
On y croit dur comme fer.
Bien forgée, comme les convictions…
Ouaip… 🙂
Chiffre ridicule que même le GIEC ne considère pas comme crédible dans sa littérature scientifique.
Déjà mentionné, mais vous faites résonnez
votre peur de la mortvos croyances inlassablement comme un disque rayé.Encore une fois, vos sources?
Je fais une mise en perspective. Si la température montait alors..je ne fais pas une prédiction. Vous faites sans cesse de l’intentionnalisme, c’est drôle.
Ce chiffre de 4° n’a rien de non crédible d’ici 2100. Ce n’est pas en répétant que c’est délirant que ça l’est.
oui oui….
Oui alors indiquez moi le passage du dernier rapport qui indique vos chiffres. Vous avez le don de répondre avec un dédain qui ne vous sert pas. Vous bloquez? Vous bottez en touche. J’attends vos sources. Faites un contrepoint rigoureux.
Une recherche Google montre facilement que je t’ai inondé avec ces rapports et cette littérature pendant des mois.
Tu te moques totalement de ce que dit la science.
Je laisse à votre sagacité:
Les 50 meilleurs chercheurs et scientifiques dans chaque discipline (Mathématiques, Physique, Chimie et Informatique) se sont penchés sur la recherche du boson de Higgs. Ils savaient ce qu’ils cherchaient et ont mis 70 ans à le trouver. Et pourtant que des cadors et des laboratoires très bien financés car essentiels à la Recherche. Pour le GIEC, nous avons des 4 ou 5èmes couteaux, si ce n’est plus loin dont les laboratoires sont bien moins dotés (la météorologie a un intérêt économique, le climat, c’était beaucoup moins sur jusqu’à il a 30 ans et on était surtout descriptifs). Donc, nous avons des Xièmes couteaux qui ont déclaré et affirmé avoir démontré le changement climatique en moins de 30 ans. Résultats, leurs dotations financières (notamment étatiques) ont considérablement augmenté… Dans de tels conditions, excusez-moi mais j’ai des doutes (sauf peut-être que 97 % des scientifiques sont intéressés par de gros financements et plein de jolis congrès aux 4 coins du monde).
Deuxièmement, l’énergie apportée par notre étoile sur cette planète est 10000 fois la quantité d’énergie consommée par l’Humanité entière. Laissez nous vos équations pour démontrer que la part anthropique est largement prépondérante… Je vous rassure, personne au GIEC ne s’est proposé…
Pour une part (mais pour une part seulement) on peut faire confiance à ceux qui en savent beaucoup et qui ont l’air sincères.
L’esprit de finesse joue un rôle dans cette affaire, par exemple, pour reconnaitre ceux qui militent pour la cause réchauffiste parce qu’ils aiment donner des leçons (surtout lorsqu’on n’en a pas trop l’occasion dans la vraie vie etc.).
En fait nous sommes tous des gens intelligents (plus ou moins quand même) et ce qui décide de notre opinion c’est souvent notre choix, notre sélection, parmi l’ensemble des données qui nous sont disponibles.
Si nous sommes orientés alors nous éviterons de prendre connaissance et de tenir compte de certaines informations ou témoignages etc…
Voyez avec vous-memes ce que vous allez faire de ce que je vous indique ci-dessous:
pour lecture: « Étude sur la nature des mouvements écologistes… » par Emmanuel Grenier
et voir ou écouter:
Why I Left Greenpeace
https://www.youtube.com/watch?v=BpBnJq19R60
Climate Change: What Do Scientists Say?
https://www.youtube.com/watch?v=OwqIy8Ikv-c
What They Haven’t Told You about Climate Change
https://www.youtube.com/watch?v=RkdbSxyXftc
Bonne chance.
@Dja-mal
Vous n’avez pas d’esprit critique par rapport aux informations que vous lisez.
Si vous prenez le poids de tous ces requins divisé pas leur nombre vous vous rendriez compte que ça ne fait que quelques kilos l’unité.
La roussette est un requin, la saumonette aussi, l’aiguillat commun aussi (très bon ce dernier) et dans un filet de pêche il y en a des milliers et donc c’est facile de dire 100 millions de requins pour faire peur aux gens crédules.
Mais je peux vous faire encore plus peur avec des chiffres.
Nombre d’animaux tués dans le monde en 2003 sans compter les poissons : 142 milliards
45,895,000,000 (45 milliards) poulets
90,000,000,000 ( 90 milliards) d’animaux marin
2,262,000,000 (2.3milliards) canards
1,244,000,000 (1.2 milliards) cochons
857,000,000 (857 millions) lapins
691,000,000 (691 millions) dindes
533,000,000 (533 millions) oies
515,000,000 (515 millions) moutons
345,000,000 (345 millions) chèvres
292,000,000 (292 millions) vaches et veaux
65,000,000 (65 millions) rats et souris
63,000,000 (63 millions) pigeons and autres oiseaux
23,000,000 (23 millions) buffles
4,000,000 (4 millions) chevaux
3,000,000 (3 millions) ânes et mules
2,000,000 (2 millions) chameaux et autres camelidés
TOTAL: 142.794.000.000
Je maintiens ce que je dis malgré votre mise en perspective
C’est bien cela votre problème : vous croyez en verts et contre tout.
« Pour ceux qui croient, aucune preuve n’est nécessaire. Pour ceux qui ne croient pas, aucune preuve n’est possible. »
— Stuart Chase
Quel est le rapport? Vous récitez votre chansonnette sans prendre la peine de lire ce que j’ai mis.
C’est indiscutable pourtant, vous êtes un intentionnaliste, voila tout.
Le rapport est pourtant évident. Tu te moques totalement des faits.
Intentionnaliste ? Je ne vois pas trop le rapport surtout pour moi qui m’attache à de l’analyse et à la corroboration par les faits (cf ma liste d’animaux tués ci-dessus et les éléments apportés qui tendraient à faire passer un chiffre pour du sensationnel)
Apprenez le sens des mots svp. Dire à un libéral qu’il est intentionnaliste c’est assez croquignolet. Et on aurait de quoi vous retourner le compliment vu que ce sont plutôt ceux qui sont dans le principe de précaution qui sont intentionnalistes et je pense d’ailleurs que c’est une remarque que l’on a dû vous adresser et que vous n’avez pas comprise.
Pourquoi voulez vous minimisez ce fait?
Il n’a rien minimiser ❗
Rejeter le reste vivant est une ânerie évidente qu’il ne faut pas soutenir. C’est plus prioritaire que le CO2.
Tout comme le mercure que balance dans les océans chaque année, bientôt même les crevettes seront immangeable.
Ne prenez donc pas les gens pour des abrutis.
La place est limitée sur un bateau pour y stocker les produits de la pêche si il est plus rentable de stocker des ailerons de requins que le requins entier, il vaut mieux le remettre à la mer que de le ramener sur terre si c’est pour finir dans une poubelle.
Et pourquoi ne pas le commercialiser ❓ On faisait bien cela avec la morue, vidée, et plongée dans la saumure. Ce n’était pas très coûteux.
La carcasse est mangée par des lottes et par des crevettes qui seront autrement meilleures, et même par d’autres requins dont on peut manger les ailerons.
On pourra toujours regretter la souffrance animale, sans tomber dans le veganisme.
Le problème de regretter, c’est que ça ne change rien, concrètement. Au contraire, le véganisme contribue activement à réduire la souffrance animale. Qu’on le veuille ou non.
Je ne vois pas en quoi le requin blessé souffrirait plus que la crevette et la lotte affamées.
Enfin, si, ceux qui s’identifient au requin souffrent plus que ceux qui s’identifient à la crevette.
Bah, viendra le jour ou ils manqueront de requins. Ce sera bien fait pour leur mauvaises habitudes.
Et achever la bête, pour éviter la souffrance, c’est interdit ❓
La souffrance de qui ?
A votre avis ❓
Pas celle du pêcheur…
Pourquoi ? Par réciproque à la règle chez ces êtres conscients que sont les requins que tout surfeur auquel on a arraché un appendice doit être achevé pour ne pas souffrir inutilement ? Ou parce que comme le jardinier achève chaque tronçon du ver de terre que sa bêche a coupé en deux au risque de se couper un orteil, le pêcheur ne doit pas faire moins avec le requin ?
J’ai une règle simple : on n’achève pour leur éviter des souffrances que les êtres envers lesquels on éprouve des sentiments de sympathie.
Vous faites du pathos maintenant? Inhabituel.
L’éthique est une notion à géométrie variable pour les individus.. on en a la démonstration ici même.
Troll is troll…
@Djamal : Vous pétez plus haut que votre luc maintenant. Question priorité, on a le droit d’en avoir. Le réchauffement naturel attendra une dizaine d’année en ce qui me concerne.
@MichelO : rien n’interdit d’avoir une pensée et rien n’interdit de la mettre en pratique. D’autant qu’elle ne nuit pas au autres.
Je partageais votre avis pour le coup cher MichelC !
Non, juste pour des gens qui ont peu de réflexion entre le moment où ils ont lu et le moment où ils s’expriment.
Comme dit plus haut ce n’est pas 100 millions de requins de l’espèce commune (3 mètres, 300kg) qui sont tués chaque année.
Rien que ce chiffre de 100 millions devrait interpeller en rapport avec la population nécessaire pour qu’il n’y ait pas extnction immédiate (maturité sexuelle de 4 ans et gestation 1 an). Et ceux qui mangent le plus de requins sont… les requins.
D’autre part,comme dit un commentateur, même pour les requins rejetés à l’eau après prélèvement des nageoires, ce n’est pas perdu.
Si ceux qui pratiquent cette pêche font ainsi c’est que ce n’est pas rentable de faire autrement. Vous voulez quoi ? Une subvention d’état ?
Le foie d’un requin c’est déjà 25% de son poids, ça ne se mange pas et ça serait rejeté à l’eau immédiatement. En fait il n’y a que 20% de comestible.
Voilà vous êtes tout à coup moins ignorant.
Si ceux qui pratiquent cette pêche font ainsi c’est que ce n’est pas rentable de faire autrement. Vous voulez quoi ? Une subvention d’état ?
Jamais dit qu’il fallait une subvention d’état. Si cela ou la disparition des éléphants, lions, tigres, n’est pas plus prioritaire que le réchauffement naturel, alors MEGA 😆
Il n’y a justement pas de disparition des requins de façon générale, quelques types sont seulement plus rare.
http://eurotwit.blogspot.fr/2016/09/climate-change-gives-you-shivers_15.html