La chimère des espèces protégées

Qui détermine de la liste des espèces à protéger ? Quels sont les effets de cette chimère ?

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La chimère des espèces protégées

Publié le 24 juillet 2013
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Qui détermine la liste des espèces à protéger ? Quels sont les effets de cette chimère ?

Par Michel de Poncins.

Cette reine des chimères surgit régulièrement dans l’actualité tel un serpent de mer. Les événements tragiques de La Réunion conduisent certains à demander l’inscription des requins dans la fameuse liste, ce qui serait une calamité pour les Japonais très friands de leurs ailes ! Une récente émission de M6 la fait resurgir d’une façon inattendue par le problème du logement. Le logement ne va pas. Les économistes savent que c’est le gouvernement qui est responsable de cette crise insupportable.

Un promoteur est venu sur la chaîne. Il a raconté tout tranquillement qu’un immense terrain qu’il avait acheté pour bâtir avait été gelé pendant trois ans à cause d’un crapaud unique qui en avait fait sa terre de prédilection. Il avait donc été nécessaire de trouver un autre terrain. Personne évidemment ne calculera jamais l’immensité des coûts correspondants avec les conséquences sur le logement et sur le PIB. Cela rappelle un aigle de Bonelli qui avait bloqué une autoroute pendant longtemps.

Quelles espèces protéger ?

Une réflexion sur la nature des espèces à protéger se heurte à des difficultés diverses. Veut-on protéger les espèces telles qu’elles étaient en 1800 ou en 1900 ? Ce serait intéressant, mais impossible pour les historiens. La date la plus raisonnable serait l’an 2000 dont le caractère est symbolique. La difficulté sera moindre. Un autre problème surviendra. Le catalogue vieillira, au risque de devoir s’ajuster tous les dix ans, de nouvelles espèces étant apparues entre temps.

Vient alors la question majeure : qui décidera de la liste des espèces à protéger ? Qui tiendra la télécommande ? À présent, c’est le plus grand désordre ; chaque pays a sa législation propre avec l’interférence des organisations internationales du type UE. Ce point est de grande importance car il existe un peu partout des sanctions soit civiles soit pénales en cas d’atteinte à une espèce protégée.

Au sommet, l’ONU avance à grands pas avec plusieurs agences plus ou moins dédiées.

Quels sont les effets de cette chimère ?

Le premier effet est, sans conteste, la ruine pour tous y compris pour les acteurs qui souvent ne s’en aperçoivent pas.

La ruine peut être illustrée par un seul exemple : le comptage des oiseaux est organisé depuis longtemps au nom du faux concept de réserve naturelle. La République du Centre nous apprend qu’il existe 300 réserves ; évidemment, il n’y en a jamais assez. Une réserve naturelle, ce sont plusieurs hectares où les activités sont réglementées avec, en particulier, le comptage des oiseaux. Ce comptage des oiseaux servirait à jauger l’état de l’environnement. Un oiseau étant par définition mobile la tâche est impossible. Elle ne devient réaliste que pour un ornithologue qui fait le travail à nos frais et qui, pour ce qui le concerne, est une espèce dûment protégée !

Il existe une deuxième conséquence qui, pour être moins évidente, est encore plus perverse : c’est le renforcement des pouvoirs du mondialisme incarné par l’ONU, le Mammouth des Mammouths. Nous l’avons déjà citée plus haut. Nous observons une fois de plus comment un pouvoir totalitaire mondial s’installe sous divers prétextes avec de multiples tentacules.

Un constat

L’actualité nous a conduit à analyser cette chimère de la protection des espèces. La sagesse voudrait que dans le cadre du droit de propriété les gens gèrent les espèces en respectant le droit des autres. Celui qui aime les loups peut les élever sans qu’ils dévorent les brebis. Nul besoin de réglementation pour cela.

Au surplus la nature renouvelle sans cesse les espèces dont personne ne connaîtra jamais la liste. Contentons nous d’admirer cette richesse.

Il existe, hélas, des personnes à qui cela ne suffit pas. Le jeu des idéologies et des intérêts se glisse dans toute chimère ce qui prolonge et consolide la chimère.

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  • Ouai moi aussi je suis une espèce en voie de disparition. On devrait obliger le conribuable a me trouver un terrain avec assez de nourriture pour que je puisse me reproduire. Entre temps je dois etre protege de tout ce qui pourrait nuit à ma peau.
    Si vous etes contre ca vous n’etes que d’horribles nazis capitalistes ultra liberaux destructeurs de Gaia et antechrist. Bruuuuler !

  •  » (…) de nouvelles espèces étant apparues entre temps. »

    Ah bon ?

    Autant il est illusoire de vouloir protéger toutes les espèces recensées ou non, autant certaines mériteraient peut-être d’être étudiées avant d’être détruites pour tenter de les préserver ailleurs. Le problème se pose donc de savoir quel organisme en aurait la charge, et comment limiter définitivement ses prérogatives ?

    • AkhThoT : « autant certaines mériteraient peut-être d’être étudiées avant d’être détruites pour tenter de les préserver ailleurs. »
      ——————————-
      Les espèces « détruites », ça se compte sur les doigts d’UNE main et aucune ne mérite d’être étudiée particulièrement, aucune. S’il y en a une, citez la, au lieu de faire de vagues insinuations alarmistes.

      Et oui, des espèces nouvelles qui apparaissent, il y en a des milliers chaque année, plus de 100/an par exemple rien que dans le grand Mekong : http://www.futura-sciences.com/magazines/nature/infos/actu/d/zoologie-mille-nouvelles-especes-decouvertes-region-mekong-17843/

      • @miniTAX

        Je ne suis pas spécialiste en la matière, je m’interroge comme beaucoup, sur l’impact réel (à ce jour ou plus tard) pour l’humanité de la disparition de certaines espèces.

        Les espèces contemporaines détruites ne se comptent pas sur les doigts d’une main. Les espèces détruites depuis l’avènement de la vie sur terre non plus.

        Je faisais une différence entre la découverte d’une nouvelle espèce, non observée jusqu’à ce jour et l’apparition d’une nouvelle espèce qui n’existait pas jusqu’à notre ère humaine.

        • Donc, par exemple, quelle espèce(s) détruite(s) ? Quel(s) nom(s) pourvez-vous nous donner ?

          • Merci AkhThot. Quelques remarques s’imposent. La plus frappante c’est, si ce sont là toutes les extinctions, à l’échelle de la vie, c’est infime, bien sûr. Ensuite : la plupart sont des espèces insulaires, ce qui est très particulier. Beaucoup sont très finement définies, comme le rhinocéros noir d’afrique de l’Ouest, pour ne prendre qu’un exemple parmi tant. Notez de plus qu’il y a pas mal de « probalement » et de « sous espèces » (en clair : l’espèce n’est pas éteinte). Finalement, pour déclarer un poisson éteint, ne faut-il pas une certaine foi tout de même ? Au vu de l’ensemble de l’information, la situation ne semble pas alarmante (et en tout cas, démontre l’absence totale d’ « extinction de masse », dont on entend parfois parler).

          • AkhThoT : « http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_esp%C3%A8ces_animales_disparues_durant_la_p%C3%A9riode_historique »

            Oui donc vous confirmez que les espèces contemporaines détruites par l’homme se comptent sur les doigts d’UNE main, (il n’y en a pas une seule en France ou en Europe depuis 200 ans), et que vous êtes incapable de nommer une espèce, UNE SEULE, qui « mériterait peut-être d’être étudiée avant d’être détruite » (vu que les extinctions ne concernent quasiment que des sous-espèces de familles prolifiques).
            Mais merci quand même pour la tentative d’enfumage…

          • Etrangement dans cette liste d’animaux disparus à la « période historique » il y a des bidules comme l’éléphant de Sicile dont si on suit le lien on apprend dans l’article dédié qu’il a « vécu au Pléistocène ». Pas vraiment « historique », hein.
            Malgré ça on a à peine une centaine « d’espèces », dont la plupart son « endémiques de tel endroit » et sont définies comme sous espèces ou pire. Honnêtement, entre la vache normande et la vache charolaise, si l’une « disparait », les vaches ne sont pas en danger pour autant, et quarante autres variétés seront apparues entre temps (d’ailleurs c’est ça le terme… des variétés de bestioles qui sont toujours là).
            Bref, pas grand chose à ce mettre sous la main, et certainement pas les chiffres annoncés dans les média (j’avais entendu à la télé un effarant « 10 000 espèces disparaissant chaque année sous les coups de l’homme »… Mensonge, enfumage, taxation !
            Et vous, victimes du syndrome de Stockholm vous défendez les arguments de ceux qui vous exploitent. Réveillez-vous !

      • Ne confondez pas « découvertes d’espèces » et « espèces qui apparaissent ».
        Une telle approximation est inconcevable en sciences.
        Comme les socialistes qui confondent « solidarité » et « charité », « assurances santés » et « système de répartition forcé »…

  • Pour la plupart des espèces, animales et végétales, tout leur comportement est inscrit dans leurs gènes. Il suffit de stocker leur patrimoine génétique et leur conservation assurée.
    Et on a fait de tels progrès dans ce domaine que c’est pitié de voir l’archaïsme des méthodes de « conservation » des espèces « protégées ».

  • Je suis libéral, entrepreneur et Docteur en Sciences de l’Environnement.
    Je ne dirais qu’une seule chose M. PONCELIN :
    Avant d’écrire de telles fadaises, vous devriez apprendre un peu les sciences biologiques et environnementales.
    Car votre lacune dans ce domaine n’a d’égal (papier après papier que vous écrivez) que les bêtises que vous écrivez !!!

  • @Nick de Cusa

    On peut penser que l’extinction de masse n’apparaitra que plus tard, lorsque trop d’espèces seront menacées d’extinction car trop peu nombreux en nombre de spécimen. Comme un effet domino des ensembles entiers disparaitront, soit dépendants les uns des autres, soit partageant le même espace.

    Cas d’étude les abeilles, sont-elles en voie d’extinction, et quelles incidences pour nous ?

    Je tiens à préciser que je ne fais que m’interroger !

    • Nous sommes ici pour discuter et argumenter, pas pour asséner.

      Je suis d’accord, mais sur un article totalement inepte, celà devient difficile d’argumenter ou de discuter

    • AkhThoT : « On peut penser que l’extinction de masse n’apparaitra que plus tard, lorsque trop d’espèces seront menacées d’extinction car trop peu nombreux en nombre de spécimen. »
      —————————
      NON ! Le rythme des extinctions (oiseaux, mammifères, plantes…), a chuté massivement depuis qu’on a commencé à faire des inventaires et il est tellement proche de zéro que c’est devenu statistiquement insignifiant. Prétendre conclure quoi que ce soit sur des données statistiquement insignifiant, c’est rien d’autre que de la superstition et du charlatanisme.

      AkhThoT : « Comme un effet domino des ensembles entiers disparaitront, soit dépendants les uns des autres, soit partageant le même espace. »
      —————————-
      Cet effet domino est une fable. L’interdépendance, la « fragilité de l’éco-système », la loi « axiomatique » aires-espèces (qui a permis de justifier les pires délires conservationnistes par les khmers verts) ainsi que les multiples autres rumeurs mille fois répétées ne sont que de la pseudo-science catastrophiste basés sur des faits anecdotiques et massivement contredits par la réalité.

      Avec des hypothèses sorties du chapeau, on peut conclure à n’importe quoi, surtout en matière de postulats du pire.

    • Les abeilles sont élevés par l’homme, il est a peut près certain que leur nombre actuel est plusieurs ordre de grandeur supérieur ce qu’il était il y a mettons 200 ans.

  • « Un oiseau étant par définition mobile la tâche est impossible. Elle ne devient réaliste que pour un ornithologue qui fait le travail à nos frais et qui, pour ce qui le concerne, est une espèce dûment protégée ! » Impossible ??? Je crois que vous sous-estimez le travail scientifique et la puissance des statistiques… Autant je peux etre d’accord sur le fait que la manière dont est gérée la protection de certaines espèces provoquents des couts économiques et sociaux qui frisent l’absurde, autant je m’insurge contre le fait de nier la valeur du patrimoine génétique du Vivant (idée sous-jacente de l’article).

    • Mais enfin de quel « patrimone génétique » parlez vous? c’est quoi un « patrimoine génétique »? Cela signifie t il que tout ce qui est vivant sur terre est la propriétés des être humain donc que c’est notre patrimoine? que c’est le patrimoine de Gaia?

      • J’entends par patrimoine génétique le système de codage des protéines.
        Protéines qui régissent l’ensemble de la vie de n’importe quelle cellule.
        La disparition de centaines d’espèces végétales comestibles, adaptés à leur territoire est un des problèmes de la destruction de ce patrimoine. Nos graines de céréales actuelles ne peuvent plus survivre sans nos engrais/pesticides. D’ailleurs, autre sujet mais un vrai problème se pose aussi concernant la disponibilité à moyen terme de l’azote minérale, utilisé pour fertiliser nos champs.
        « tout ce qui est vivant sur terre est la propriétés des être humain donc que c’est notre patrimoine? »
        Non, justement, ce n’est pas notre propriété, donc on évite de faire n’importe quoi avec…
        Les espèces sont interdépendantes, c’est le principe de la biodiversité. L’homme n’échappe pas à la règle à un besoin de tout un tas de petites bestioles pour survivre. Financer les recherches sur les espèces en voie de disparition c’est aussi comprendre les effets subséquents de ces disparitions.
        Après, utiliser un panda comme logo, c’est surtout pour émouvoir les mômes et leurs parents…

  • @miniTAX

    Au sujet de la tentative d’enfumage : vous réduisez le nombre d’espèce à moins d’une main en réduisant l’espace géographique à la France ou à l’Europe. Mais cela ne vous embête pas d’aller chercher des espèces nouvelles au Mekong.

    Vous vous attachez au nombre fini des doigts d’une main quand ça vous arrange, puis vous parlez de statistiquement insignifiant.

    Vous n’avez rien à me dire d’intéressant, je dénie tout autant aux scientifiques de nous enfumer en inventant des théories catastrophiques, que je dénie la trop grande assurance dont vous faites preuve (pas que vous) comme quoi tout ceci est sous contrôle, insignifiant ou aberrant.

    De plus vous me prêtez des propos non tenus.

    Balaise comme interlocuteur !

    • AkhThoT : « vous réduisez le nombre d’espèce à moins d’une main en réduisant l’espace géographique à la France ou à l’Europe. »
      ————————
      J’ai dit que les « extinctions modernes dues à la destruction par l’homme » se comptent sur les doigts d’une main pour **toute la planète**, je n’ai pas réduit ce compte à la France ou l’Europe (où il n’y a AUCUNE extinction de la sorte depuis 200 ans), vous savez lire le français ou bien ???

      AkhThoT : « que je dénie la trop grande assurance dont vous faites preuve (pas que vous) comme quoi tout ceci est sous contrôle, »
      —————————-
      Je n’ai pas en aucun cas fait preuve d’assurance et encore moins dit que « tout ceci est sous contrôle », vous affabulez. C’est au contraire ceux comme vous qui, en sortant des théories du chapeau genre « effet domino » et autre « interdépendance », prétendent parler du futur sans employer le conditionnel et vendent des certitudes qui n’existent pas, puisqu’à chaque fois qu’on vous demande de citer des exemples et des faits précis pour illustrer vos dires, vous faites le mort.
      Vous me contredisiez en affirmant que « les espèces contemporaines détruites ne se comptent pas sur les doigts d’une main », pourquoi donc n’en citez-vous pas simplement au moins 5 au lieu de brasser du vent ?

      • Je ne vends aucun futur, je pensais avoir été clair, je m’interroge à haute voie ici.

        Si ce seul fait vous est insupportable et vous fait réagir de la sorte, surtout ne vous étonnez pas que la parole libérale soit aussi peu écoutée et encore moins entendue par la population.

        Au lieu de rassurer, de convaincre, vous critiquez et dénigrez.

        Mais vous voyez je ne suis toujours pas convaincu et mon premier commentaire reste pour moi entièrement justifié.

  • La réponse libérale à toutes ces fadaises de protection en tout genre est simple : Vous êtes tout à fair libre de vouloir protéger certaines espèces animal? Créez donc des associations, des fondations, utiliser votre argent pour acheter des terrains sur lesquelles vous pourrez faire prospérer toutes les espèces qu’il vous plaira…Mais ne militer ou mieux encore ne réclamer par que des hommes politiques viennent piller les poches de tout monde pour financer vos lubies protectionniste.

    • Si la réponse libérale est parole d’évangile, que ne trouvons-nous un gourou pour la propager et nous sauver du système actuel.

      • Elle n’est pas parole d’évangile… Mais il est clair qu’elle est au moins logique. Si vous aimez les crapauds du Bengale au point de vouloir faire passer des loi pour les protéger et ainsi pourrir la vie des gens qui vivent autour (et pensent que ces bêtes sont des nuisances), prenez VOTRE argent (pas celui des autres, ça serait trop facile) et utilisez le pour protéger les dits crapauds. Personne ne vous en empêche. Mais ne décidez pas pour les autres que la survie de ce crapaud vaut plus que le confort que l’autoroute qui doit être construite par là apporterait aux habitants du coin. Dans le cas qui nous occupe, on ne parlerait pas de « défense de la nature » mais de tyrannie, et d’attaque contre la nature (les gens font partie de la nature, et leur liberté, leur propriété, sont importants… en fait des droits NATURELS).

        • Je n’ai jamais dit que l’homme devait céder face à l’animal, voici ce que je disais « certaines mériteraient peut-être d’être étudiées avant d’être détruites pour tenter de les préserver ailleurs ».

          Il y a bien une acceptation de ma part que des espèces seront détruites (voir déplacer), après ou non, que l’on se soit donné le temps de les étudier.

          Le crapaud du Bengale peut disparaitre, qui plus est si c’est une nuisance.

          Par contre vous n’avez pas peur de prendre comme exemple une autoroute, celle-ci entrainant un vol de terrain. Ce qui rejoint la deuxième partie de mon commentaire  » Le problème se pose donc de savoir quel organisme en aurait la charge, et comment limiter définitivement ses prérogatives ? » Pareil que pour la création de l’autoroute.

          • « Par contre vous n’avez pas peur de prendre comme exemple une autoroute, celle-ci entrainant un vol de terrain. Ce qui rejoint la deuxième partie de mon commentaire  » Le problème se pose donc de savoir quel organisme en aurait la charge, et comment limiter définitivement ses prérogatives ? » Pareil que pour la création de l’autoroute. »

            Il vous a été répondu plusieurs fois « Propriété privée » mais vous rester un indécrottable petit collectiviste. Affligeant.

  • je vous encourage à lire ces articles, qui, à mon sens devraient clore le débat
    http://wattsupwiththat.com/2010/01/04/where-are-the-corpses/

    http://wattsupwiththat.com/2011/06/01/common-sense-added-to-endangered-species-list/

    on est bien forcé de noter la similitude frappante avec certaines doctrines des climastrologues.

    • Vous connaissez la fable du garçon qui criait au loup ?

      On ne peut pas rejeter en bloc toutes ces théories sans un minimum de réflexion, et croire ainsi qu’ils auront toujours tort.

      Même si je vous l’accorde les dernières élucubrations qu’ils nous ont servis sont catastrophiques pour nos sociétés actuellement.

      • « On ne peut pas rejeter en bloc toutes ces théories sans un minimum de réflexion » : AkhThoT, vous avez entièrement raison !

        Ainsi, avec la somme des commentaires précédents murement réfléchis pour étayer une opinion incontestable, sans perdre plus de temps, vous avez désormais tous les outils pour savoir que les élucubrations mensongères ayant pu faire illusion un temps sont nulles et non avenues. A partir de ce corpus de preuves indubitables, si vous persistez à croire ou à faire croire qu’on puisse accorder le moindre crédit, ne serait-ce qu’un doute valable, aux fadaises susvisées, c’est soit par déficience intellectuelle soit par mauvaise foi.

        Les libéraux, et c’est peut-être leur meilleur atout, savent qu’ils n’ont pas besoin de gourou pour cheminer vers plus de vérité, cher AkhThoT : grâce à Dieu qui nous en a équipé (Dieu ou la nature, si vous préférez), l’intelligence suffit amplement à distinguer la vérité dans la brume du mensonge, ainsi qu’il en est pour n’importe quel honnête homme correctement éduqué. Bien sûr, ces conditions, être éduqué et honnête, sont indispensables pour progresser.

      • la fable du garçon qui crie au loup, ha ha…

        Not Extinct – Angola Giant Sable: Rare African antelope ‘rediscovered’ (BBC)
        Not Extinct – Bavarian Short-eared Mouse: Back from the dead, not seen for 40 years (The Guardian, UK)
        Not Extinct – Beck’s Petrel: Flies Back From Presumed Extinction (Science Daily)
        Not Extinct – Bhutan Bengal Tiger: Lost tiger population discovered in Bhutan mountains (BBC)
        Not Extinct – Cape Lion: ‘Extinct’ lions surface in Siberia (BBC)
        Not Extinct – Capricorn Beetle: ‘Extinct’ beetle comes out of the woodwork (The Daily Telegraph)
        Not Extinct – Canterbury Knobbed Weevils: ‘Extinct’ bug found alive and well in high-country reserve (The New Zealand Herald)
        Not Extinct – Cantor Giant Soft-Shell Turtle: Rare giant turtle found in Mekong (BBC)
        Not Extinct – Cobble Elimia, Nodulose Coosa and Cahaba Pebble Snails: Thought extinct found in Alabama (Associated Press)
        Not Extinct – Cozumel Thrasher: ‘Extinct’ Bird Rediscovered In Mexico (Science Daily)
        Not Extinct – Cuban Solenodon: Mammal thought extinct found in Cuba (The Age, Australia)
        Not Extinct – Dwarf Cloud Rat: Rediscovered After 112 Years (Science Daily)
        Not Extinct – Giant Palouse Earthworm: Idaho Researcher Finds Rare Earthworm (Science Daily)
        Not Extinct – Gilbert’s Potoroo: Thought extinct for over 100 years, found in Western Australia (Associated Press)
        Not Extinct – Glass Sponges: Once thought extinct, now found nearby (UWeek)
        Not Extinct – Greater Bamboo Lemur: Held Extinct Found on Madagascar (The New York Times)
        Not Extinct – Greater Mouse-eared Bat: ‘Extinct’ – bounces back (BBC)
        Not Extinct – Harlequin Frog (Carrikeri): Rediscovered In Remote Region Of Colombia (Science Daily)
        Not Extinct – Harlequin Frog (Painted Frog): Believed Extinct Found Alive (Science Daily)
        Not Extinct – Harlequin Frog (San Lorenzo): Rediscovery Of Endangered Colombian Frogs (Science Daily)
        Not Extinct – Harlequin Frog (Santa Marta): Rediscovery Of Endangered Colombian Frogs (Science Daily)
        Not Extinct – Indian Owl: Considered Extinct, Is Captured on Film by Americans (The New York Times)
        Not Extinct – Long Thought Extinct, Ivory-Billed Woodpecker Rediscovered In Big Woods Of Arkansas (Science Daily)
        – Cornell Researchers Say Double Knocks May Be ‘Soundprints’ Of Ivory-Bills (Science Daily)
        – Video Analysis Adds Evidence For Ivory-Billed Woodpecker (Science Daily)
        – Ivory-billed Woodpecker Sighted and Recorded (Science Daily)
        Not Extinct – Jaguar Spotted In Central Mexico For First Time In 100 Years (Science Daily)
        Not Extinct – Javan Elephant: Presumed Extinct, May Have Been Found Again – In Borneo (Science Daily)
        Not Extinct – Javan Rhinoceros: Thought Extinct, a Few Are Seen in Vietnam (The New York Times)
        Not Extinct – Kouprey Oxen: ‘Extinct’ oxen are seen (The New York Times)
        Not Extinct – La Palma Giant Lizard: Scientists find ‘extinct’ giant lizards (BBC)
        Not Extinct – Leatherback Turtles: Not extinct in Malaysia (The Hindu)
        Not Extinct – Laotian Rock Rat: Retired professor tracks down rodent thought to be extinct (Pittsburgh Post-Gazette)
        Not Extinct – Long-beaked Echidna: New hope over ‘extinct’ echidna (BBC)
        Not Extinct – Michigan Cougars: Not Extinct, Animal Droppings Indicate (Live Science)
        Not Extinct – Mount Diablo Buckwheat Wildflower: Thought Extinct Rediscovered in California (NPR)
        Not Extinct – Mountain Yellow-Legged Frog: Nearly Extinct, Population Discovered (Science Daily)
        Not Extinct – New York Moose: Once Extinct in the state, return to New York (The New York Times)
        Not Extinct – Opal Allotoca: ‘Extinct’ Fish Found (The New York Times)
        Not Extinct – Palos Verdes Blue Butterfly: Flutters Back to Life (The New York Times)
        Not Extinct – Pygmy Hippos: Caught on film (BBC)
        Not Extinct – Pygmy Tarsiers: Long-lost ‘Furby-like’ Primate Discovered In Indonesia (Science Daily)
        Not Extinct – Rat-squirrel: Not extinct after all (USA Today)
        Not Extinct – Red Colobus Monkey: Thought Extinct Still Exists (Science Daily)
        Not Extinct – Red-Crested Tree Rat: Cute rodent species surfaces after 113 years (USA Today)
        Not Extinct – Robust Redhorse Sucker Fish: Thought Extinct Found Again in Georgia (The Georgia Aquarium)
        Not Extinct – Ryukyu Spiny Rat: Not Extinct (Japan Probe)
        Not Extinct – Siamese Crocodile: Once Thought Extinct, Is Photographed In Thailand (Science Daily)
        Not Extinct – Sierra Nevada Red Fox: Rare fox pops up in Stanislaus National Forest (Sacramento Bee)
        Not Extinct – Sheepnose Mussel: Thought extinct surfaces in Mississippi (Delta Farm Press)
        Not Extinct – Short-necked Oil Beetle: Re-emerges after 60 years (BBC)
        Not Extinct – Storm Petrel: Flies back from extinction after 150 years (The Daily Telegraph, UK)
        Not Extinct – Sumatran Ground Cuckoo: Lost Cuckoo Breaks Its Silence (Science Daily)
        Not Extinct – Swinhoe’s Soft-Shell Turtle: Discovered Living In Wild In Northern Vietnam (Science Daily)
        Not Extinct – Tibet Red Deer: Hunch Leads to Discovery of Herd Thought to Be Extinct (The New York Times)
        Not Extinct – U.S. Jaguar: Gone for Decades, Jaguars Steal Back to the Southwest (The New York Times)
        Not Extinct – Warbler: Fiji’s ‘extinct’ bird flies anew (BBC)
        Not Extinct – Woolly Flying Squirrel: Long Thought Extinct, Shows Up in Pakistan (The New York Times)
        Not Extinct – Yangtze (Baiji) River Dolphin: Previously Thought Extinct Spotted In The Yangtze River (Science Daily)

        source : http://z4.invisionfree.com/Popular_Technology/index.php?s=05a287c3fb9ee2ff8831ee35780a106d&showtopic=2050&st=0&#entry4894439

        • Ce qui vous est difficile à comprendre, c’est que la raison peut disparaitre au profit de l’idéologie. Et comme les informations sur le sujet sont contradictoires cela va être difficile de faire la part du vrai du faux.

          Je ne retiens qu’une chose pour l’instant personne ne peut être sur de quoi que ce soit.

          Prenons le Baiji (Dauphin de chine) voici deux autres sources contradictoires à la votre :

          http://www.nmfs.noaa.gov/pr/species/mammals/cetaceans/chineseriverdolphin.htm
          During November and December 2006, an international research team, including biologists from NOAA’s National Marine Fisheries Service, conducted an intensive six-week multi-vessel visual and acoustic survey covering the entire historical range of the Yangtze river dolphin in the main Yangtze channel between Yichang and Shanghai (1,669 km). By the end of the expedition, the team failed to find any evidence that the species survives, and concluded that the Yangtze river dolphin may now be extinct (Turvey et al., 2007).

          http://en.wikipedia.org/wiki/Baiji
          The baiji population declined drastically in decades as China industrialized and made heavy use of the river for fishing, transportation, and hydroelectricity. Efforts were made to conserve the species, but a late 2006 expedition failed to find any baiji in the river. Organizers declared the baiji functionally extinct,[4] which would make it the first known aquatic mammal species to become extinct since the demise of the Japanese sea lion and the Caribbean monk seal in the 1950s. It would also be the first recorded extinction of a well-studied cetacean species (it is unclear if some previously extinct varieties were species or subspecies) to be directly attributable to human influence.

          In August 2007, a Chinese man reportedly videotaped a large white animal swimming in the Yangtze.[5] Although it was tentatively confirmed that the animal on the video is probably a baiji,[6] the presence of only one or a few animals, particularly of advanced age, is not enough to save a functionally extinct species from true extinction. The last known living baiji was Qi Qi (淇淇), who died in 2002.

        • « Ce qui vous est difficile à comprendre, c’est que la raison peut disparaitre au profit de l’idéologie.  »
          ——————–
          Il n’y a rien de difficile à comprendre, les pastèques nous le démontrent tous les jours, avec leurs mensonges permanents pour défendre leur idéologie obscurantiste et anti-humaniste. C’est vous qui ne le comprenez pas en débitant sans esprit critique leurs fadaises pseudo-scientifiques sur les espèces alors ne projetez pas votre crédulité sur les autres.

          ————————–
          AkhThoT : « Je ne retiens qu’une chose pour l’instant personne ne peut être sur de quoi que ce soit. »
          ————————–
          Ca ce n’est pas un scoop, c’est le sujet de l’article même, ce qui ne vous a pas empêché de balancer sur le ton de la vérité-si-je-mens les pseudo-théories des dominos et autres.

          Voici par exemple ce qu’écrit publiquement une spécialiste de la question, Diana Fisher, dans les Proceedings de la Royal Society, une institution qui ne fait pourtant aucun mystère de sa sympathie avec les thèses escrolo-malthusien-réchauffiste : http://rspb.royalsocietypublishing.org/content/early/2010/09/29/rspb.2010.1579.full
          « plus d’un tier des mammifères classés comme éteints ont été redécouverts »
          « les mammifères disparus au 20e siècle ont 3x plus de probabilité d’être redécouverts que ceux disparus au 19e siècle »
          « nos données sur les redécouvertes des mammifères suggèrent que le nombre d’extinctions dues à la perte de l’habitat [la fumeuse loi aire-espèce] est probablement surestimé »

          Etc, etc… Bref, les gens qui étudient la question, sauf quelques prophètes de malheurs patentés comme E. Wilson, n’ont aucune certitude sur le mécanisme, le nombre et encore moins sur le rythme d’extinctions. Leur discours n’a rien à voir avec la propagande obscurantiste de la « sixième extinction de masse » qu’on entend constamment des escrolos et dont les merdias font grande publicité.

          Et on attend toujours la liste d’au moins « 5 extinctions modernes dues à la destruction par l’homme » (le dauphin de Chine, même en admettant que l’extinction soit effective, ne rentre pas dans ce critère).
          Je crois qu’on peut attendre encore longtemps… Pour égrener de vagues menaces hypothétiques, il y a foule mais dès qu’il s’agit de donner des réponses précises et argumentées, il n’y a plus personne, quelle surprise !

          • Comme aucune espèce de la liste précédente ne reçoit votre appréciation, vous comprenez pourquoi je ne vous répondrais pas ?

            Quand je parlais d’idéologie je pensais autant à eux qu’à vous (et d’autres). C’est du niveau de croyance religieuse.

            Relisez bien mon premier commentaire, lui seul fait référence direct à l’article, les autres sont en réaction à d’autres commentaires.

            D’ailleurs où en êtes vous avec vos « espèces nouvelles qui apparaissent » ?

          • AkhThoT : « Comme aucune espèce de la liste précédente ne reçoit votre appréciation, vous comprenez pourquoi je ne vous répondrais pas ? »
            ———————
            Vous balancez une liste sans aucun rapport avec ce qu’on vous demande, clown !

            —————————-
            « D’ailleurs où en êtes vous avec vos « espèces nouvelles qui apparaissent » ? »
            —————————-
            Le nombre d’espèces actuels, si on suit la stupide loi aire-espèce que les pastèques utilisent pour la propagande de la sixième extinction de masse, est au moins le double de celui d’il y a 20.000 ans, quand la Belgique était sous 1 km de glace permanente. Pour un total d’espèces estimé entre 1 million et 80 millions (mais hé, c’est la « science » environnementale), cela correspond à un rythme ***d’apparition*** d’espèces de 50 à 4000 par an, toujours si l’on suit les hypothèses « scientifiques » des pastèques. Donc vous ne pouvez d’un côté ne garder ces hypothèses pour faire des insinuations alarmistes sur les disparitions tout en niant les apparitions d’espèce estimées en se basant les MEMES hypothèses.
            Et les découvertes de nouvelles espèces, on en fait constamment en permanence, oui, c’est un fait et vous êtes en plein déni obscurantiste.

        • Je pense qu’on pourrait essayer de distinguer les espèces en fonction de leur utilité.
          Protéger les pandas, c’est très romantique et très noble, mais effectivement ces bestioles-là ont une utilité plus que limitée pour nous, et sont assez vulnérables pour disparaître naturellement à la moindre apparition de prédateur carnassier sérieux.

          Par contre (même si je ne parle pas ici techniquement d’espèces en voie d’extinction), ça me semble plus cohérent qu’on surveille attentivement la population d’abeilles, dont la raréfaction aurait des conséquences désastreuses sur la pollinisation, ou de morue, dont la surpêche entraînerait des problèmes pour ceux qui s’en nourrissent et, d’après certaines théories (dont je ne postule pas la validité par principe, mais qu’il peut valoir la peine d’étudier) permettrait la prolifération de méduses qui perturberaient les reproductions de nombreuses autres espèces.
          ___________________

          « Cet effet domino est une fable. L’interdépendance, la « fragilité de l’éco-système », la loi « axiomatique » aires-espèces (qui a permis de justifier les pires délires conservationnistes par les khmers verts) ainsi que les multiples autres rumeurs mille fois répétées ne sont que de la pseudo-science catastrophiste basés sur des faits anecdotiques et massivement contredits par la réalité. »

          Ça dépend ce que tu veux dire par là. Si tu soulignes que de nombreuses disparitions peuvent s’avérer anecdotiques, contrairement à certains discours alarmistes, ok. Si tu considères que toute extinction ou raréfaction est anecdotique parce que la nature en a vu d’autres, ça me semble plus difficile à accepter.

          • Ce que vous voulez faire ce fait déjà naturellement. Les espèces que vous étiquetez « utiles » sont surveillées par les gens qui s’en « servent ».

            Si elles sont utiles alors elles ont un intérêt économique, et les acteurs en bénéficiant s’en occupent, c’est si simple que ça.

            Concernant les abeilles les apiculteurs sont très mobilisés, car c’est leur gagne pain. Les agriculteurs ne sont pas vraiment concernés par ce problème parce que les abeilles ne sont qu’une espèce parmi tant d’autres dans la pollinisation.

            Concernant les mers, c’est une fois de plus la tragédie des biens communs.

          • Silvos : « ça me semble plus cohérent qu’on surveille attentivement la population d’abeilles, dont la raréfaction aurait des conséquences désastreuses sur la pollinisation, ou de morue, dont la surpêche entraînerait des problèmes pour ceux qui s’en nourrissent »
            ———————–
            Les abeilles, les morues, tous des faux problèmes. La disparition massive des abeilles, il y en a eu de tout le temps, il suffit de relire les documents d’il y a 50, 100, 150 ans. La fluctuation de la population des morues est naturelle et dépend des cycles océaniques comme la NAO. L’explication de la surpêche est une pure hystérie obscurantiste, vu que les morues sont surpêchées en mer d’Islande depuis 30 ans sans que leur population baisse et que la population de Terre-Neuve est en train d’exploser de nouveau (chose que bien évidemment les pastèques se gardent bien d’ébruiter).
            Quand on a un non-problème, le plus cohérent, c’est de ne rien faire et non de courir comme des poulets sans tête.

            Silvos : « Si tu considères que toute extinction ou raréfaction est anecdotique parce que la nature en a vu d’autres, ça me semble plus difficile à accepter. »
            ———————————
            Je n’avais dit ça. Anecdotique ici veut dire prendre un fait isolé extrait de son contexte mais qui va dans son sens et en tirer une conclusion générale, tout en ignorant les multiples faits qui la contredisent.

            Et qu’est ce qu’il y a de difficile à accepter dans le FAIT que 99,99% des extinctions s’étaient produits déjà tout ***naturellement*** avant même que l’Homme existe ? Que tu le veuilles ou non, ignorer un fait ne l’empêche pas d’être un fait.

          • Totallystone : « Les agriculteurs ne sont pas vraiment concernés par ce problème parce que les abeilles ne sont qu’une espèce parmi tant d’autres dans la pollinisation. »
            —————————
            Le plus drôle, c’est que ces dernières années, la production agricole va de record en record, pendant que les « abeilles disparaissent en masse », nous dit-on. Dans l’univers parallèle des pastèques, il y a de moins en moins d’abeilles-indispensables-aux-récoltes et de plus en plus de… récoltes.
            Il y a effet sans cause et cause sans effet ! Mais hé, c’est de la « science » environnementale, mes amis.

      • La question n’est pas de rejeter ou non des théories, chacun est libre de le faire. Mais il se trouve que ceux qui adhère à ces théories au lieu de montrer l’exemple et d’essayer de convaincre les gens de leurs bien fondé afin de résoudre à la base les supposés problème tentent d’imposer leur vues en faisant du lobbying auprès de politiques afin que ceux ci imposent à tous leur vision (qu’elle soit juste ou non n’est pas le problème). Bien sur nos politiciens, toujours en quête de pouvoir sont bien incapable de résister à l’envie de légiférer tout azimut et sont trop heureux qu’on leur fournisse sur un plateau l’occasion de « sauver le monde ».
        Vous êtes écologiste? payer de votre personne, payez tout court pour mettre en pratique vos idées et convaincre les gens. La tyrannie même justifiée reste de la tyrannie, cela revient à considérer que les être humain sont des animaux domestiques dont il faut gérer l’existence et c’est tout simplement inadmissible.
        Vous êtes écolo? Financez des entreprises qui créeront des alternatives aux produits polluant, acheté des terres pour conserver les espèces en voix de disparitions, faites comme les chrétiens des premiers age, soyez des exemples et si jamais vos théories ne fonctionnent pas sachez le reconnaître au lieu de tordre la réalités. Combien de fois depuis des millénaires on nous à exposé en long et en large que la fin était proche, la terre ne pouvais plus nous nourrir, nous étions trop nombreux etc etc. Les années ont passé et jamais ces catastrophiques affabulations ne ce sont révélés exactes. Croyez vous que les charlatans qui les ont proférés aurait fait le moindre mea-culpa? Ils sont plus vindicatif que jamais! Comment prendre au sérieux des gens dont la mauvaise foie est sans limite?

  • @miniTAX

    Il vous a fallu quelques commentaires pour m’annoncer que cette liste n’était pas recevable, de plus cette liste était à destination de Nick de Cusa, qui n’a pas eu la même réaction que vous (et je ne parle même pas de votre liste Not Extinct en réponse)

    Vous continuez à faire semblant de ne pas comprendre en mélangeant allègrement « espèces nouvelles qui apparaissent » et  » découvertes de nouvelles espèces » (ne me prêter pas des écrits que je n’ai pas tenu pour vous justifier)

    Au fait, je ne suis pas une pastèque, sinon je ne suivrais pas contrepoints et je n’adhère pas à toutes les thèses que vous réfutées, mais je n’entrerais pas non plus en religion pour vous rejoindre.

    • Il y a un problème assez intéressant avec ces « disparitions » d’espèces. Prouver l’existence d’un truc est très simple : il suffit de montrer le truc en question. On prouve l’existence du socialiste à poil ras en faisant un tour à l’assemblée nationale, par exemple.
      Pour prouver la « non existence » et donc la disparition si l’existence avait été prouvée préalablement, c’est largement plus compliqué. Il faut montrer que non seulement on n’en voit plus mais aussi qu’on ne pourra plus en voir. Et donc il faut avoir tout visité, partout, en prenant en compte que les petites bêtes (comme les grosses) elles se baladent.

      Même en maths (où les problèmes d’observation, de mobilité, etc. ne se posent pas) prouver que quelque chose existe est immensément plus simple en général que de prouver que quelque chose n’existe pas. Pour les animaux, maritime en particulier, c’est juste impossible. Et qu’une population d’animaux X se réduise ou croisse, c’est un truc très naturel.

      Réflexion finale. Il est étrange que les escrologistes effarés par les « disparitions » d’espèces (le plus souvent non prouvées, donc) brandissent également l’étendard du Darwinisme contres les « obscurantistes religieux », et ne voient pas la contradiction. Ce qui prouve bien assez qu’on peut être un scientifique, sérieux même, parfois, et ne pas se servir de son cerveau très souvent.

      • Franz : « Pour prouver la « non existence » et donc la disparition si l’existence avait été prouvée préalablement, c’est largement plus compliqué. »
        ———————–
        Meuh non, c’est très facile, il suffit d’écouter AkhThoT et il va vous expliquer comment l’effet domino VA provoquer des disparitions en cascade.
        Et histoire qu’il ne m’accuse pas (gratuitement comme dab) de lui prêter des propos qui ne sont pas siens, voici comment ça fonctionne : « l’extinction de masse n’apparaitra que plus tard, lorsque trop d’espèces seront menacées d’extinction car trop peu nombreux en nombre de spécimen ». Et si c’est pas assez clair pour vous, voici le mécanisme « comme un effet domino des ensembles entiers disparaitront ».
        Eh hop, rien de plus simple, comme tout ce qui est de la « science » environnementale.

        • L’important en fait n’est pas tant l’effet domino, qu’il ait lieu ou non et quand il aura lieu. Il est inéluctable que des espèces disparaitront, les plus grosses et les plus visibles actuellement sont les tigres et les éléphants, et quand bien même ce ne serait pas celles-ci ni demain, ni dans dix siècles qu’importe ?

          L’important c’est bien de savoir si on s’en fout, si non que prévoit-on de faire ? Ce n’est pas un choix individuel, il est de la responsabilité de l’humanité, comment le libéral s’en accommode-t-il ?

          Dans 500 Millions d’années l’humanité aura disparu de la Terre (en gros), alors si aujourd’hui ou dans les années à venir des espèces disparaissent quelle importance finalement ? Les hommes ne les emporteront pas dans les étoiles (et encore si l’homme est capable de quitter la Terre)

          • AkhThoT : « L’important c’est bien de savoir si on s’en fout, si non que prévoit-on de faire ?  »
            ———————-
            « si on s’en fout » de quoi, des espèces qui vont peut-être disparaître on-ne-sait-quand selon la loi inéluctable sortie du chapeau de AkhThoT ? Oui, on s’en fout, complètement.
            Que prévoit de faire un libéral ? Bah de ne rien faire contre un non-problème. Par contre, si vous cherchez à tout prix une certitude sur le futur, vous n’êtes pas dans la bonne crèmerie, c’est pas chez Contrepoints qu’il faut demander mais dans une boutique de voyance & astrologie ou mieux, dans une officine de Greenpeace ou du WWF.

            Quant à résoudre les vrais problèmes de raréfaction d’espèces, on SAIT déjà comment le résoudre, efficacement et définitivement : il suffit de privatiser les réserves, comme en Afrique du Sud pour les éléphants ou d’autoriser l’élevage comme en Chine pour les tigres ou les tortues, bref, d’éviter surtout que les Etats et les écolos s’en occupent. Je n’ai pas le souvenir d’avoir entendu des risques d’extinction du poulet, de la vache, des canards, du chien, du chat ou des poissons rouges.

            Et puis le coup de « l’extinction inéluctable » de l’éléphant, ha ha c’est très drôle quand on sait que les réserves d’Afrique du Sud sont obligées d’en abattre en masse tellement ça pullule. On rigolerait plus si votre ignorance et votre vanité n’étaient pas aussi pathétiques.

          • Et quand bien même des espèces disparaitraient, est-ce forcément nuisible parce que l’homme en serait responsable ? Quand le tigre est arrivé, il a sans doute chassé et conduit à l’extinction un autre prédateur local avec lequel il y avait compétition pour les proies. Pourquoi préserver le tigre, « chassé et évincé » par l’homme, et pas le truc bidule qu’il y avait avant « chassé et évincé » par le tigre ? Qui décide quel animal doit être là ? Et si on « fige » l’état de la nature à ce qu’elle était en 2000, qui nous dit que ce serait mieux que ce qu’elle aurait pu devenir, y compris sous la pression de la pollution et de l’urbanisation ? Comment comparer ce qui n’existe pas encore ? Et de quel droit décider que telle espèce doit continuer d’exister et ainsi empêcher telle autre d’émerger ?
            Vous êtes Dieu, chez les éco-conscientisés ? ou vous vous prenez pour Lui ? Dans ce cas, c’est très simple, faites des miracles et sauvez tout le monde !

          • non l’humanité ça n’existe pas. La seule chose qui existe ce sont les individus. trop de crimes et d’injustice ont été perpétrés en nom collectif pour encore avoir recours à des considérations d’un autre age. il faut en terminer avec cette conception collectiviste de la société, seul les individus compte, seul eux sont en mesure de prendre des décidions qui impacteront leur avenir, personne ne peut le faire en leur nom ou a leur place, c’est uniquement de leur responsabilité. Et me parlé pas de la faillibilité des individus, les groupes d’individus sont tout aussi faillibles sauf que la conséquence de leurs erreurs sont toujours catastrophiques.

  • AkhThoT : « Je n’ai jamais dit que l’homme devait céder face à l’animal, voici ce que je disais « certaines mériteraient peut-être d’être étudiées avant d’être détruites pour tenter de les préserver ailleurs ». »
    ————————-
    Et LESQUELLES espèces donc (bis repetita) ???? Pour l’instant, vous continuez de répéter les mêmes fatuités sans pouvoir donner un seul nom, détail, référence, exemple…
    Bref, vous parlez pour ne rien dire. Enfumage, encore et toujours…

    • Tiens prenons les gorilles !

      J’attends vos enfumages maintenant.

      • AkhThoT : « Tiens prenons les gorilles ! »
        ———————————-
        Aucune espèce de gorille n’a disparu et encore moins « détruite » par l’homme. Et le gorille a été étudié sous toutes ses coutures, que ce soit dans la nature ou en captivité, que ce soit sur le plan biologique ou éthologique. Mais merci quand même pour votre enfumage.
        Quoi d’autre ?
        Et j’attends toujours la liste d’au moins 5 « extinctions modernes dues à la destruction par l’homme ». Pour l’instant, je n’en vois que deux, le pigeon voyageur d’Amérique et le dodo.
        Et ce pigeon est une sous-espèce d’une famille prolifique, dont l’Homme a fait des centaines de races depuis la domestication, pas la peine de verser des larmes de crocodiles.

        • Vous savez je réponds à votre question « Et LESQUELLES espèces » juste en dessous de « certaines mériteraient peut-être d’être étudiées avant d’être détruites pour tenter de les préserver ailleurs »

          Visiblement vous ne saisissez toujours pas certains termes de la langue.

          Maintenant vu le peu de nombre de spécimen de gorille, la consanguinité guette … mais bon vous avez raison le gorille ne présente plus aucun intérêt c’est bien connu.

          Et en ce qui concerne la liste attendue, vous allez l’attendre longtemps, relisez éventuellement mes commentaires précédents pour comprendre pourquoi.

          • AkhThoT : « mais bon vous avez raison le gorille ne présente plus aucun intérêt c’est bien connu. »
            ——————-
            J’ai jamais insinué et encore moins dit que le gorille « ne présente plus aucun intérêt », cessez de raconter n’importe quoi !
            Mentir et encore mentir, c’est tout ce qui vous reste comme argument.

            —————————–
            AkhThoT : « Et en ce qui concerne la liste attendue, vous allez l’attendre longtemps, relisez éventuellement mes commentaires précédents pour comprendre pourquoi. »
            —————————-
            Oui donc vous brassez du vent, ça je l’ai bien compris.

  • Qui détermine la liste des espèces à protéger ?
    En France, c’est l’UIC (http://www.uicn.fr/). Ce comité regroupe des chercheurs venant de divers secteurs scientifiques (ichtyologie, biologistes, etc.) et experts dans leur domaine. Ils éditent régulièrement la « liste rouge des espèces menacées ». Ils sont mondialement reconnus et font de régulières publications sur leurs domaines respectifs.
    Cet article est un peu alarmant quant au manque de discernement et de connaissance de l’auteur sur le sujet.
    Depuis le début du 20ème siècle, de nombreuses espèces ont disparus du fait de perturbations d’origines humaines sur des systèmes existant depuis de nombreuses années et en équilibres.
    En admettant une source fiable et scientifique sur « l’apparition de nouvelles espèces » dans les dernières années, la différence entre disparition et apparition sera négative.
    J’ai bien peur que l’auteur confonde deux choses très différentes : l’écologie (= science qui étudie les interactions entre les êtres vivants et leur milieu) et politique dite écologique (amalgame pseudo scientifico-sociologico-communiste visant à récupérer des électeurs).
    En confondant les deux on arrive à ceci : du nivellement par le bas.

    • Shandra : « Depuis le début du 20ème siècle, de nombreuses espèces ont disparus du fait de perturbations d’origines humaines sur des systèmes existant »
      ————————–
      « nombreuses », c’est combien ? Où sont les corps ???

      ————————–
      Shandra : »la différence entre disparition et apparition sera négative. »
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      Affirmation gratuite => poubelle.

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      Shandra : « J’ai bien peur que l’auteur confonde deux choses très différentes : l’écologie (= science qui étudie les interactions entre les êtres vivants et leur milieu) et politique dite écologique »
      ————————
      Il n’y a aucune confusion vu que l’écologie politique a complètement phagocyté l’écologie scientifique, il n’y a qu’à voir l’interdiction des OGMs en France malgré la protestation de milliers de scientifiques et les millions d’ha d’OGMs plantés dans le monde depuis plus de 10 ans sans causer un seul problème. L’écologie scientifique est devenu un fond de commerce pour parasites trop médiocres ou fainéants pour faire médecine ou de la biologie appliquée. Elle ne produit plus rien d’utile (citez-nous une seule découverte ou application d’importance sur ces 10 dernières années, histoire de dire autre chose que du vent) et ne pond que de l’alarmisme sur commande des politiciens pour justifier les pires mégalomanies politiques de vouloir « sauver la planète », « sauver l’ours blanc », « sauver le scarabée pique-brune », « protéger le climat » et autres foutaises étatistes. La peur, le catastrophisme et l’interdiction, voilà ce que tout ce que cette science « molle » produit et c’est très symptomatique que vous commenciez une phrase par le même mot.

  • @Deeggs
    « Il vous a été répondu plusieurs fois « Propriété privée » mais vous rester un indécrottable petit collectiviste. Affligeant. »

    Franz :
    « Mais ne décidez pas pour les autres que la survie de ce crapaud vaut plus que le confort que l’autoroute qui doit être construite par là apporterait aux habitants du coin »

    En effet, affligeant.

    • Oui, ne pas décider pour les autres, ravaler sa fierté et accepter que le voisin n’a pas le même avis que soit, c’est respecter la propriété privée.
      Des gens à l’autre bout du monde préfère une autoroute à un crapaud. Pour qui vous vous prenez de le leur interdire ?

      • Je vais essayer de comprendre votre monde imaginaire, vu qu’il vous est à vous impossible de comprendre ce que j’écris.

        C’est qui ces gens qui préfèrent une autoroute à l’autre bout du monde ? Ils sont bien tous d’accord de vendre (donner) leur propriété privé pour une autoroute à un collectiviste ? Aucun ne souhaite préserver le crapaud ? etc …

        • Vous savez, quand vous ne voulez pas comprendre un concept utilisé par votre interlocuteur, vous arrêtez la conversation. Vous ne faites pas semblant de chercher à comprendre en répondant à coté de la plaque. C’est du foutage de gueule.

        • Ces gens qui préfèrent l’autorout au crapaud sont « les gens normaux qui payent, et pas ceux qui croient que d’autres payeront ». Enfin moi je préfère avoir une autoroute qui connecte le coin ou j’habite à avoir des crapauds. Je ne suis sans doute pas seul.
          L’autoroute passe, logiquement, là où les gens ont accepté de vendre leur bien, ou une partie de celui-ci, pour qu’elle soit construite. Mis à part là où un Etat tout puissant peut exproprier les gens au nom du « service public » ou du « bien commun » ou encore de « la collectivité ». La société d’autoroute n’a aucune raison d’être collectiviste ou quoi que ça soit. Elle peut (devrait même) être une entreprise privée visant à faire du profit en répondant à la demande de circulation libre des gens, du coin et d’ailleurs.
          Si certains souhaitent préserver le crapaud, pas de problème, ils essayent d’acheter la terre où il vit, ou alors ils tentent de l’acclimater ailleurs. Leur demande pour ces terres peut faire monter les prix du terrain suffisamment (s’ils sont vraiment décidés à mettre leur argent là où est leur bouche, comme diraient les américains) pour que finalement l’autoroute passe un peu plus loin… Sauf si les gens qui veulent l’autoroute sont plus nombreux, plus convaincus (donc plus prêts à mettre leur argent en jeu pour ça).
          Vous voyez, le libéralisme c’est largement plus « démocratique » pour de vrai que le collectivisme. En plus d’être plus efficace, et de garantir les droits naturels des gens !

          • @Franz
            « L’autoroute passe, logiquement, là où les gens ont accepté de vendre leur bien »
            En réalité, cela veut dire que l’on ne peut pas construire d’autoroute, ni d’aéroport, etc … car il y aura toujours quelqu’un sur les propositions de tracés pour s’opposer (entre parenthèse j’admire le fait que vous oubliez que les sorties peuvent être très espacées, et que le bruit est loin d’être anodin, alors les locaux …).

            Remarquez que cela résous du même coup le problème du crapaud.

            Faites gaffe avec ce genre de propos vous allez faire passer le libéralisme pour une utopie.

  • @ miniTAX : Certes le nombre de morue de Terre-neuve augmente de nouveau, mais il n’est pas impossible que les quotas de pêches introduits dans les années 90 aient pu aider.

    Par ailleurs, pour ce qui est des abeilles, leur population fluctue en effet souvent, je n’ai pas parlé de catastrophe imminente. Simplement au cas où il y aurait un risque réel pour cet insecte (et pour les quelques autre pollinisateurs, histoire de considérer une situation vraiment préoccupante), il serait plus que pertinent de prendre des mesures, sinon l’agriculture pourrait subir des conséquentes graves.

    Quant à l’extinction naturelle des espèces bien avant l’arrivée de l’homme, loin de moi l’idée de la nier…

    • Le fait est que les apiculteurs n’ont attendu personne pour s’occuper du problème des abeilles.
      De la même manière les agriculteurs n’attendent personne pour résoudre leurs problèmes.

      Il n’y a pas de raison de demander à ce que « quelqu’un » (l’état?) prenne de mesure, les gens s’en occupent très bien tout seul.

      Le problème de la pêche et la « déforestation » sont simplement dû à l’absence de gestion raisonnable parce que ce sont des propriétés communes.

    • Silvos : « Certes le nombre de morue de Terre-neuve augmente de nouveau, mais il n’est pas impossible que les quotas de pêches introduits dans les années 90 aient pu aider. »
      ———————–
      Ce n’était pas des quotas mais une interdiction pure et simple de pêche à Terre Neuve basée sur de la pseudo-science catastrophiste. La population de morue ne s’est jamais « effondrée », (ça n’existe nulle part, sauf dans les termes chargés jusqu’à la gueule fréquemment employés par les prophètes de malheur), elle avait simplement baissé et aurait pu être gérée de manière rationnelle et démocratiquement par des quotas comme en Islande et non par hystérie et par pression politique des pastèques avec l’aide de la propagande des médias. S’il y avait eu « effondrement » des morues à Terre Neuve à cause de la surpêche, pourquoi ce serait juste à Terre Neuve et non ailleurs, et pourquoi juste pour la morue et non pour le hareng ou le capelan dont les tonnages de pêches sont tout aussi énormes ? Le fait que ceux qui montent en épingle le cas de la morue de Terre Neuve comme exemple de catastrophe écologique se gardent bien de parler de l’abondance de la population actuelle et encore moins de la nature cyclique de l’espèce démontrent bien que c’est une manipulation de l’opinion publique basée sur le mensonge et l’exagération, une de plus des pastèques, pour ne pas changer.

      —————————-
      Silvos : « il serait plus que pertinent de prendre des mesures, sinon l’agriculture pourrait subir des conséquentes graves. »
      —————————-
      Il n’y a aucune pertinence à « prendre des mesures » alors que 1) on n’a pas d’explication des causes et encore moins des solutions 2) on a la preuve qu’il n’y a PAS conséquence grave vu que la production agricole va de record en en record depuis des années pendant le soit-disant effondrement des abeilles !!!
      Agir sans savoir quoi faire est non seulement non pertinent mais surtout très dangereux. Ce n’est pas plus pertinent que les danses de la pluie, mais en bien plus cher, ce n’est pas de l’action mais de l’agitation.
      Goethe disait avec raison : « rien n’est pire que l’ignorance en action ».

      • Toi qui reprochais à AkhThoT de ne pas se servir du conditionnel, tu pourrais remarquer que je n’ai pas dit « il faut prendre des mesures pour », mais « il serait alors pertinent de prendre des mesures » (sous-entendu dans le cas où un paramètre identifié par des chercheurs sérieux serait en cause et modifiable ; désolé si c’était pas assez explicite).

        Après je ne dis pas que les cycles d’espèces comme la morue ne dépendent que de l’homme, la rhétorique culpabilisante systématique m’exaspère. Simplement le paramètre anthropologique est un des nombreux facteurs qui influent sur ces cycles, il serait aussi ridicule de lui nier toute importance que de lui imputer tout changement.

        • Silvos : « Simplement le paramètre anthropologique est un des nombreux facteurs qui influent sur ces cycles, il serait aussi ridicule de lui nier toute importance que de lui imputer tout changement. »
          ————————–
          Dire que « l’homme est un des nombreux facteurs qui influent », c’est comme dire que pisser dans un lac fait monter le niveau d’eau, ce ne sera jamais faux mais c’est parler pour ne rien dire.
          Dans une discussion rationnelle, tout est question de quan.ti.fi.ca.tion ! Et, je n’ai jamais « nié toute importance » de l’homme, c’est quoi ce délire ???

  • Avec les réflexions à la Michel Ponçin, on n’aurait jamais interdit le vol. On en serait resté à des arguties sur le degré de violence acceptable dans la société, et on se serait appesanti sur le cout inacceptable de la traque au voleur de poules pour rejeter le principe même de l’interdiction du vol.

    Qui plus est, ces arguties ne constituent pas le fondement de l’argumentation de l’auteur, qui est repose sur l’idée qu’un propriétaire à par définition une emprise absolue sur son bien, et que toute limitation légale de cette emprise est une violation inacceptable d’un droit naturel fondamental.

    De fait, si M Ponçin est constant dans sa logique, la collectivité n’a pas plus le droit d’empecher qui que ce soit de raser à blanc sa propriété que de l’empêcher de monter un réacteur nucléaire, de développer des armes bactériologiques, ou de manipuler des explosifs. Ca ne regarde personne.

    Ceci étant une absurdité manifeste, cela implique qu’il y ait des limitations au droit de propriété, compte tenu des conséquences prévisibles des actes de chacun. La conséquence prévisible du développement d’armes bactériologique, c’est le crime de guerre. Pour en revenir à nos moutons, tout le problème revient donc à dire : Existe-t-il des conséquences négatives collectives prévisibles à la destruction de certaines populations sauvages ? La réponse est oui. Exemple : les pollinisateurs.

    Alors oui, certes, la protection des espèces est un concept qui peut facilement partir à la dérive, et qui est mal exploité [la protection des espèces est focalisée sur des populations à l’échelle nationale, passant à côté des problèmes de (sur)population locale], mais c’est loin d’être une chimère.

    On passera à côté du « renouvellement » des espèces … mauvaise foi évidente.

    • « Avec les réflexions à la Michel Ponçin, on n’aurait jamais interdit le vol. On en serait resté à des arguties sur le degré de violence acceptable dans la société, et on se serait appesanti sur le cout inacceptable de la traque au voleur de poules pour rejeter le principe même de l’interdiction du vol. »

      J’adooooooreeee. « On aurait pas interdit le vol ». Mais le vol ne s’interdit pas mon cher monsieur. Il est. vol. Et donc si vous venez me voler un truc, comme ce truc est à moi et pas à vous et que j’y tiens, je vous casse la figure et je reprends mon truc. Ca c’est toujours passé comme ça. Personne, surtout pas « on », n’a jamais interdit le vol ex abrupto.

      « De fait, si M Ponçin est constant dans sa logique, la collectivité n’a pas plus le droit d’empecher qui que ce soit de raser à blanc sa propriété que de l’empêcher de monter un réacteur nucléaire, de développer des armes bactériologiques, ou de manipuler des explosifs. Ca ne regarde personne. »

      Si, ça regarde la personne qui fait ça, et à la limite ses voisins. S’ils ne sont pas content qu’il fasse ça, ils peuvent lui racheter sa terre et la « sanctuariser ». Par contre « la collectivité » (qui n’existe pas, hein, je ne l’ai jamais vue, personne ne lui a jamais parlé, je ne sais pas ce qu’elle pense, bien que « on » lui prête des tas d’idées, d’actions, etc.) elle n’a rien à dire. Puisque ce n’est pas aux gens qui la brandisse, et qu’ils ne s’y intéressent qu’à concurrence du fait que ça ne leur coute rien. D’ailleurs, si plus de gens construisaient des centrales nucléaires dans leurs jardins, on aurait de l’électricité pas chère et qui n’émet pas de CO2, de particules fines, de ci, de ça, tout choses qui, nous dit on, seraient très mauvaises pour « la nature » (là encore, quel orgueil, parler pour « la nature » alors qu’on n’est jamais que nous même… )

      Finalement vous parlez de guerre. En avez vous une seule qui ait été déclenchée par un individu et non par un État ? Sinon des guerres civiles/résistances contre l’oppression, je ne vois pas. Ce sont toujours les « collectivités » (enfin les quelques uns qui prétendent l’incarner) qui déclenchent des guerres. Au nom de la paix, bien sûr. Et bientôt pour sauver la nature, certainement.

      • Si vous ne faites pas partie d’un collectif, vous n’avez aucun droit. C’est aussi simple que ça. Si la collectivité dont vous faites partie vous semble « fumeuse », cela signifie simplement qu’elle est prête à partir en lambeau, et vos droits avec.

        Un homme qui ne fait pas partie d’un collectif n’a de fait aucun droit, aucune responsabilité, aucune liberté, ces concepts n’ayant plus aucun sens dans cette situation.

        « Si, ça regarde la personne qui fait ça, et à la limite ses voisins. S’ils ne sont pas content qu’il fasse ça, ils peuvent lui racheter sa terre et la « sanctuariser » »

        Reformulons : Le fait qu’untel construise des armes de destruction massive/une centrale nucléaire regarde untel, et à la limite ses voisins. S’ils ne sont pas contents qu’untel développe x/y, ils peuvent lui proposer de racheter sa terre, pour la « sanctuariser ».

        Si ça, ça n’est pas une démonstration par l’absurde, je ne sais pas ce qu’il vous faut. Quoi que, si. Des cours d’histoire.

        • Si vous avez besoin d’un collectif pour être responsable de vos actes, alors la notion de responsabilité vous échappe.
          Si vos droits n’existent que parce que « quelqu’un » vous en a accordé, alors vous n’avez pas de droits.
          La collectivité, si elle doit pouvoir se définir autrement que par « tous les hommes, du présents du passé et de l’avenir », doit donc être une réalité « locale ». Elle se divise. Et se divise donc logiquement jusqu’à être « atomique ». Donc l’individu. C’est donc, en restant à vos arguments, de l’individu et de lui seul que le droit, les droits, proviennent. Ce qui ne vient pas de l’individu ne peut pas non plus venir de la « collectivité », qui est si floue qu’elle n’est rien.
          Si une « collectivité » contient 10 personnes dont 6 sont contre le passage de l’autoroute, alors il y a une collectivité de 4 qui est à 100% pour l’autoroute. Suffit d’ailleurs que 3 personnes se rajoutent (arrivant d’ailleurs, ou étendant le périmètre de la collectivité) et qu’ils soient « pour » pour que magiquement le bien change de camp ? Et si la seule « collectivité » apte à juger pour l’autoroute (ou quelque autre sujet que ce soit) n’était pas simplement les gens concernés et eux seuls ?

          Quant à la démonstration, si vous la voyez « absurde » c’est qu’il vous manque la case logique, la case raison, et plus surement encore la case liberté (pour tous et pas que pour vous !). Et pour les cours d’histoire, je peux vous en « donner » mais ça sera payant, la demande est hélas pour vous bien plus forte que l’offre.

          • « Si vous avez besoin d’un collectif pour être responsable de vos actes, alors la notion de responsabilité vous échappe. »

            La responsabilité est une notion relative … à un système de valeur, et donc une communauté. Il n’existe pas plus de sens inné de la responsabilité qu’il n’existe de langage inné dans lequel s’exprimeraient directement les enfants.

          • « le sens de la responsabilité » n’existe pas. Par contre, quand vous faites quelque chose en assumer les conséquences positives et négatives, intégralement est quelque chose qui existe.

            Si vous vous trouvez seul dans la nature en situation de survie et que vous n’êtes pas responsable de vos actes (pas par rapport à une collectivité, à la nature, à Dieu, mais par rapport à vous même) , vous allez rapidement passer de vie à trépas.
            La responsabilité est consubstantielle à la liberté, et elle ne se décrète pas, ne vient pas des autres, mais de soi même. Elle n’est pas question de normes culturelles, mais d’être vivant.

    • Oula ya du lourd là… D’abord personne n’a jamais interdit le vol. la propension des étatiste à imaginer que l’état est à l’origine du droit est soit le reflet d’une profonde bêtise soit la manifestation de leur insidieu besoin de tyrannie. Les notions de propriétés (donc de vole), de responsabilité et de liberté des individus existe depuis la nuit des temps. Bien avant que quiconque ai songé à en faire une morale voir même une loi tout le monde savait que s’approprier le bien d’autrui était mal et les voleurs étaient systématiquement combattu.
      Etre propriétaire d’un bien ne signifie pas pouvoir faire tout et n’importe quoi avec. Les limites se trouve dans 1/ le respect de liberté d’autrui 2/ la responsabilité de ses actions. Il se trouve que la plupart du temps ce ne sont pas les individu qui bafoue massivement la liberté des gens ou qui n’assume pas leurs responsabilité, c’est l’état donneur de leçon qui piétine, spolie, assassine sans rendre de compte à personne.
      Jusqu’à nouvel ordre il est parfaitement admit que l’on puisse raser à blanc sa propriété.
      Si personne à ma connaissance n’a jamais construit de centrale nucléaire dans son jardin, les états par contre l’on fait la plupart du temps sans rien demander à leur citoyens. Et si jamais une catastrophe survient croyez vous que ceux qui on commandité la construction des centrale seront inquiétés? je vous laisse répondre à cette question…
      Tout cela pour dire que lorsque l’état décide d’une loi ou d’une action il est plus que raisonnable de penser que ce n’est pas forcément une bonne chose alors que laisser les gens trouver par eux même les solutions conduits bien souvent a trouver le meilleur compromit.
      Alors oui la protection des espèces lorsqu’elle est décrété par l’état est bien souvent une aberration comme la plupart de loi et règlement qui nous submerge depuis des décennies.
      De deux choses l’une soit on considères les individus comme des êtres intelligent et responsable alors l’état doit rentrer à la niche et laisser les individus construire d’eux même la société de leur choix. Soit on considère que la société c’est du bétail et alors la démocratie est une hypocrisie. Il vaut mieux tomber le masque et décréter la tyrannie.

      • Laurent :
        « De deux choses l’une soit on considères les individus comme des êtres intelligent et responsable alors l’état doit rentrer à la niche et laisser les individus construire d’eux même la société de leur choix. Soit on considère que la société c’est du bétail et alors la démocratie est une hypocrisie. Il vaut mieux tomber le masque et décréter la tyrannie. »

        Les êtres ne sont pas tous intelligents et responsables et la démocratie telle quelle est appliquée aujourd’hui est une hypocrisie, vous ne le saviez pas ?

        Pour autant l’état n’est pas la seule solution à la prise en charge des individus incapable de le faire eux-mêmes, des communautés peuvent le faire (même si ceci ne repose que sur la compassion). Et il faut quand même (à mon avis) un médiateur pour faire respecter les droits des individus et régler les conflits. Peut-être aussi pour gérer l’espace public ?

      • L’Etat n’est pas à l’origine du droit. La collectivité est à l’origine du droit. Si pour vous ce concept de collectivité ne fait pas sens, je vous renvoie à ma réponse à Franz.

        • Réponse qui n’a aucun sens. Mais oui, le droit émerge de l’interaction entre plusieurs individus, de la volonté qu’ils ont (les individus) de mettre un cadre à leurs contrats pour en dénouer les conflits par avance. Donc dans une certaine mesure on pourrait (en torturant les mots au delà de toute clémence) dire que la collectivité est la source du droit.

  • on se perd un peu dans le débat sur les espèces disparues, la question centrale c’est au nom de quoi peut on interdire à une personne de faire un truc pour la simple raison que ça met « une espèce en danger »…
    Ok c’est la loi je suis démocrate je la respecte…mais qu’est ce qui motive les loi de protection des animaux?

    jusqu’alors ça a toujours été priorité à l’humain, on voit la montée d’une idéologie qui au final nuira à des hommes pour protéger des animaux…pour la raison non démontrée que ça aura au final des répercussions sur « l’humanité ».

    l’auteur met bien en avant les conséquences économiques et donc humaines de la protection des animaux ou des milieux…ça c’est un fait…

    Au final , des bureaucrates bien portants disent à des crève la faim , ne touche pas à la foret amazonienne , c’est notre bien à tous, et tant pis pour ta gueule, va fouiller les poubelles…

  • Bonsoir je suis vendeur de kebab donc libéral. Alors quand j’ai croise le dernier couple de dodos vivant au détour d’un bois je n’ai pas hésité. C’est une espèce insulaire, aucun intérêt et D’ailleurs ce n’est pas vraiment une espèce donc il n’a jamais disparu. Je me demande pourquoi tout le monde le regarde empaille au natural history muséum, je n’ai cause de tort à personne. Le fait qu’il n’y en aura plus jamais pour personne n’en fait pas un cas particulier, c’est ma liberté point.

    • Tho : « Le fait qu’il n’y en aura plus jamais pour personne n’en fait pas un cas particulier, c’est ma liberté point. »
      ——————–
      Si le dodo est sur TON île, oui, ce serait ta liberté, point, y compris celle de te réjouir d’exterminer une espèce.
      Sinon, tu vas en tôle, pour avoir tiré le dodo dans la propriété de quelqu’un d’autre, point. Le dodo n’aurait jamais disparu si le droit de propriété avait été respecté.
      Mais merci quand même pour ta philosophie de comptoir; de kebab.

      • @miniTAX
        Simplification du problème au cas qui va bien pour ne surtout pas se poser de question.

        Ca ressemble de plus en plus à une religion et toi à un intégriste !

      • « Le dodo n’aurait jamais disparu si le droit de propriété avait été respecté. »

        Si seulement vous pouviez recopier ces 66 caractères (en signature) à la fin de chacun de vos post, ça permettrait à tous les inconnus de mesurer en un instant le degré de pertinence de vos points de vue. Un sacré progrès en perspective. Sans rire (avec un poil de malice tout au plus).

        • Si pour vous être « malicieux » c’est autre chose qu’être ridicule et méchant, vous vous trompez du tout au tout !
          Sinon prouvez qu’avec un strict respect du droit de propriété le dodo aurait quand même disparu.
          Quand vous aurez échoué, un grand progrès aura été réalisé. Pour vous.

    • la question serait pourquoi vous le tuez ce couple de dodos..si vous crevez la dalle …

      vous êtes libre par essence…surtout si vous êtes seul, si vous vivez dans une communauté vous établissez des règles qui sont en effet assez vite non libérales..
      règles du genre on boulote pas les dodos…( euh pourquoi ? be après il y en aurait plus. et alors? ben ce serait grave..ben pourquoi? les generation sfutures ne pourraient pas en profiter…mais si je crève de faim, ce ne sera pas ma génération future…)

      la notion d’intérêt e la communauté est centrale… elle est toujours invoquée.mais n’existe pas du moins .mais malheur à celui dont l’existence m^me nuit à la communauté…

      Ensuite plus de dodos..on bouffe quoi…

      c’est ça l’article…quand un intérêt communautaire nuit à la vie de certains…

      alors pourquoi protéger des espèces? et à quel prix?
      ce n’est pas difficile de comprendre que pour accepter une contrainte il faut saisir son intérêt de façon claire mais aussi les limites…

  • Heureusement GDF-Suez va nous débarasser (localement, hélas) d’une espèce dangereuse et inutile :
    http://www.contrepoints.org/2013/07/26/132186-gdf-suez-exige-de-pouvoir-massacrer-librement-des-aigles

  • Tiens, histoire de me faire incendier, voici une citation de Claude Levi-Strauss. Et puis je vous dis adieu car vous me faîtes peur.
    « En ce siècle où l’homme s’acharne à détruire d’innombrables formes vivantes, après tant de sociétés dont la richesse et la diversité constituaient, de temps immémorial, le plus clair de son patrimoine, jamais, sans doute, il n’a été plus nécessaire de dire, comme font les mythes, qu’u humanisme bien ordonné ne commence pas par soi-même, mais place le monde avant la vie, la vie avant l’homme, le respect des autres avant l’amour-propre ; et que même un séjour d’un ou deux millions d’années sur cette terre, puisque de toute façon il connaîtra un terme, ne saurait servir d’excuse à une espèce quelconque, fût-ce la nôtre, pour se l’approprier comme une chose et s’y conduire sans pudeur ni discrétion »

    • Attendons les réponses, surtout celle de miniTax. Pour l’exciter un peu plus je rajouterai que Claude Levi-Strauss était assez désespéré par l’évolution démographique : la popullulation.

    • Ahhh, l’inénarrable CLS, l’anti-pensée absolue, l’argument d’autorité ultime !

      Citations :
      – « Le monde a commencé sans Lévi-Strauss et il s’achèvera sans lui »
      – « Rien ne ressemble plus à la pensée mythique que l’idéologie de Lévi-Strauss »
      – « La fonction primaire de la communication de Lévi-Strauss est de faciliter l’asservissement »

  • Il serait utile que ce docte Monsieur Poncin nous protège du fatra d’inepties que coulent de sa plume d’oie, car vu son niveau de conscience des problêmes de notre temps il ne fait pas de doute qu’il doit encore écrire avec cet instrument d’une autre époque

  • Impressionnant ce manque de connaissances dans le domaine de la biologie et de la protection !
    Sa remarque sur de dénombrement des populations d’oiseaux m’a bien amusé. Monsieur de Poncins devrait également se demander comment on fait pour connaître le nombre d’habitants de notre pays (d’une ville, d’une commune ..) car, avec les moyens de locomotion à notre disposition, l’Homme est de loin l’espèce la plus mobile. Pourtant, nous organisons régulièrement des recensements et les résultats servent de base à de nombreuses décisions politiques. Alors, s’il se renseigne un peu sur les méthodes mises en place pour suivre les fluctuations de populations d’animaux sauvages d’oiseaux, de mammifères, d’insectes, il découvrira que c’est possible (et que la majorité du travail est effectué par des bénévoles).

    • Insinuer que le dénombrement d’espèces serait comparable au recensement, qui coûte des centaines de millions d’euros et des dizaines de milliers d’agents sur une population qui est pourtant fichée à l’individu près par les multiples registres d’état civil, non mais keskilekon !

      Décidément, l’obscurantisme des escrolos n’a aucune limite.

  • Et bien… j’en suis abasourdi…

    Après tout si je relis les commentaires, mon voisin vient chez moi alors que je ne l’ai pas invité, » BIM, dans la gueule, il reviendra pas ce con, ICI c’est CHEZ MOI »

    Plus sérieusement, comment pouvez vous croire d’être aussi important que vous puissiez posséder des espaces parce que vous avez des tunes, pourquoi seriez vous plus légitime qu’un mollusque !
    Parce que vous prosez convenablement ?

    Pour travailler au quotidien sur la protection des espèces et des espaces je puis vous informer que les conséquences sont réelles :
    vous parlez d’espèces, mais vous devriez aussi parler d’espaces !
    les crapauds de l’autoroute en question ont besoin d’un espace de vie, des zones humides ou bien de cailloutis. Allez détruire une nouvelle zone humide vous perdrez (et ce n’est pas empirique de le dire) une réserve d’eau, puisque vous n’êtes pas sans savoir le rôle des zones humides et qu’elles ont régressé de 80% en France durant les 40 dernières années.

    Bref, votre article est une ode au capitalisme, et c’est bien connu les bourgeois c’est comme les cochons !

    • Mais non, on n’est pas plus important que le molusque qui passe ici. Ou que l’ours. D’ailleurs, si vous plantez votre tente dans la zone territoriale (la « propriété privée » d’un ours, vous allez assez rapidement comprendre comment les choses se passent. Soit vous tirez vite et bien et votre fusil est d’un bon calibre, soit vous comprendrez rapidement qui est légitime à réclamer la propriété de ce lopin.

      • C’est sûr que quand on voit des individus comme Oula, on se dit qu’il y a des sous-espèces humaines qui ne valent pas plus qu’un mollusque.
        Notre crétin du village va bientôt nous rétorquer qu’il n’a pas plus de droit que la vache dont il déguste le steak.

  • Juste deux précisions sur les comptages d’oiseaux:
    1. Ils ne se font pas que dans les réserves naturelles.
    2. D’accord, les oiseaux volent, d’où le fait que le Comptage WETLANDS par exemple, se fait tous les ans un samedi à la mi-janvier en même temps partout en France, justement pour éviter au maximum les doublons. Cela donne des chiffres très fiables.

  • le Grand pinguoin
    le moa
    le dodo
    le solitaire de Rodrigues
    l’étourneau de Bourbon

    Vous en voulez d’autres, n’attendez pas la liste est longue, et se prolonge à l’instant même où je vous parle…

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